Deux semaines sont passées depuis le dernier repas d’anniversaire fêté chez Jean entre amis
Jacques est parti jeudi matin en déplacement à l’autre bout de la France. En ce samedi matin, la journée s’annonce calme sans mon mari Jacques, il ne rentrera que jeudi prochain assez tard.
Après avoir bu un café, je flâne dans la maison, simplement vêtue d’un léger peignoir en soie, dont j’aime le contact sur sa peau nue.
Le téléphone sonne, à la troisième sonnerie je décroche.
– Allô !! Oui ??
— Bonjour Nicole, c’est Marcel, un ami de Jeanne, ouvrez votre ordinateur, je t’ai envoyé un mail de la part de Jeanne, regardez votre boîte mail et dite moi ce que vous en pensez.
Mon cœur ce met soudainement accélérez, mon sang me chauffe les tempes, j’ouvre ma boîte mail perso, passant tous les messages je vois un mail nommé (la piscine).
L’ordinateur a mis du temps à le charger à cause de plusieurs pièces jointes assez volumineuses, ce sont des photos, il y en a une dizaine, pendant ce temps l’homme s’impatiente au téléphone.
— Alors où en êtes-vous ? Je n’ai pas que ça à faire. Ce sont des photos réalisées par Jeanne sur le bord d’une piscine, tu es très photogénique ! Pour les conséquences, je t’amène à y réfléchir !
Je sens mon sang se glacer brutalement en entendant ces mots, Jeanne encore ! elle a mis sa menace a exécution ?
Je clique sur la première photo pour l’apercevoir sur l’écran et là j’ai failli m’évanouir comprenant d’un seul coup que je suis piégé.
La photo me montre couché dans l’herbe pendant que Frédéric me ramone le ventre. On distingue très bien mon visage, il m’est impossible de nier la scène. J’ai rapidement affiché les autres photos, sur la deuxième on distingue la pénétration de plusieurs doigts de ce pervers et le pire c’est que je présentais un visage radieux et satisfait.
Sur la suivante je vois ma bouche coulisser sur la bite de Frédéric, c’est vraiment obscène comment cette salope a pu me faire çà.
La quatrième n’est pas mieux, la bouche ouverte je jouis, en premier plan on distingue la grosse queue qui me défonce mon puits d’amour.
Malgré cette trahison et ma rancune naissante, la vue de ses photos très explicites m’a néanmoins émoustillé, mon esprit se rappelle le fantastique plaisir que mon corps a retiré de cette expérience.
– Tu as démontré de belles qualités de baiseuse, je crois que ton mari ne le sait pas ! Je me trompe ?
— Vous êtes des salauds…
— Mais oui ma chère, tu comprends bien que nous avons un tas d’autres photos de tes exploits et que nous mourons d’envie de les partager avec… Votre époux et vos amis, ainsi que vos collègues.
À ces mots j’ai comme un malaise, mes mains se mettent à trembler, je suis paralysé par cette hypothèse que je redoute tant.
— Non, ne faites pas çà, je vous en prie.
— Je pense qu’il est déjà trop tard, je pense qu’à cette heure-ci votre mari ne reçoive quelques exemplaires bien sélectionnés pour leur, comment dire… Leur perversité.
— Non, non je vous en supplie… arrêtez tout… j’accepte vos moindres désirs, je vous en prie, ne faites pas çà.
Un long silence me permet d’espérer que cela soit encore possible, que je peux encore sauver les apparences et mon couple, que tout çà n’est qu’un mauvais rêve.
— Bon, je vais voir avec mon amie Jeanne ce qu’il est encore possible de faire et je te rappelle.
Il a raccroché et j’éclate en sanglots sur mon bureau avec toujours la dernière photo affichée sur l’écran de l’ordinateur.
Mon Dieu, si mon mari voit çà il tombera sûrement en syncope, il ne me le pardonnera jamais, tout en pensant à mes craintes mes yeux ne quittent plus l’image, mes pensées virevoltent entre le plaisir naissant et la colère encore présente.
Après tout la scène est plutôt excitante, c’est très chaud, ça dégage une perversité torride, comme disent les hommes, c’est bandant, mes tétons qui pointent ne s’y trompent pas.
Perdue pour perdue, il me faut maintenant assumer ma faute, ça passe ou sa casse, ma seule chance est d’abdiquer et de me soumettre à leur volonté.
Elle ne sera peut être pas si ingrate que çà, même en rencontrant mon mari elle n’a aucun intérêt à faire capoter notre couple, c’est sûrement encore un jeu pervers pour m’exciter davantage, alors pourquoi pas. Cette fois-ci c’est mon portable qui vibre.
– Oui, allô ?
— C’est moi, Marcel, alors tu as réfléchi ????
— Oui !! Que veux-tu que je fasse ? Lui dis-je agressivement.
— Déjà, tu vas me parler sur un autre ton, tu m’appelles Marcel sinon ça va très mal se passer pour toi ! Compris ?
Énervée, mais n’ayant pas trop le choix, je lui réponds
— Oui Marcel
— C’est bien tu apprends vite.
— Je t’attends dans une heure à cette adresse dans la tenue que je vais te dicter. Tu porteras un tailleur chic, jupe droite légèrement fendue sur la cuisse, sans rein en dessous, avec des hauts escarpins. Un tailleur sans sous-vêtements ni chemisier sera ma tenue ??
— Je serai presque nue ? Que je proteste faiblement.
— Oui comme ça tu seras plus vite à poils !!! Puis il raccroche.
Une heure après je me rends à l’adresse indiquée. Le Marcel me fait entrer.
— Je vois ma petite pute que tu as respecté mes consignes pour t’habiller !!
— Je ne vous permets pas de me traiter de pute.
— Je te traite comme je veux, espèce de salope.
— Avec ces photos, je suis le propriétaire de ton corps, de ta chatte, de ton cul, de tes seins ! Tu me comprends bien ?
— On doit pouvoir te baiser par tous les trous ! Je veux que tu deviennes une bonne et dévouée salope pour moi, tu me dois obéissance et respect. Je ne tolérerai aucun écart ! Si tu veux récupérer les photos, tu vas faire tout ce que je dis, sinon tu sais ce qui t’attend.
— Répond ! Tu sais ce qui t’attend ?
— Oui
— Alors ?
— Oui je ferais tout ce que vous voulez
— Oui qui ?
— Oui monsieur Marcel !
— Bon tu vas commencer par aller t’asseoir sur ce fauteuil
Il me désigne un fauteuil juste en face de l’axe d’une webcam bien cachée. Je le saurais bien plus tard.
— Mets une jambe sur un des accoudoirs et branle-toi !
Résignée, j’obtempère, relève ma jambe gauche, la passe sur l’accoudoir du fauteuil, ce qui a pour effet de remonter complètement ma jupe, de découvrir mes bas auto fixant et mon sexe dépourvu de sous-vêtements.
— Bien je vois que, conformément à mes instructions tu n’as pas mis de culotte. Je suis sur que cela t’excite hein salope ?
— Pas du tout !
— Mauvaise réponse ! Tu vas dire que cela t’excite parce que tu es une grosse salope !
— Je ne peux pas dire ça !
— Encore une fois mauvaise réponse ! À la troisième, tu rentres chez toi et tu subis les conséquences.
— Alors ?
— Je… Ça m’excite de ne pas porter de sous-vêtements.
— Pourquoi ?
— Parce que je suis une grosse salope.
— Et bien voilà ! C’est pas si difficile de dire la vérité ! Maintenant, branle-toi devant moi et fait ça bien, je veux te voir mouiller !
La main tremblante, je descends vers mon sexe, commence à caresser mes lèvres intimes, devant cet homme que je méprise. Mes mouvements sont lents. Je m’attarde un peu sur mon clitoris et s’insère parfois le majeur dans mon minou. Le Marcel a sorti son sexe il est d’une grosseur impressionnante je n’ai jamais vu ça, il se masturbe aussi lentement. Au bout de quelques minutes, les deux doigts que j’enfonce maintenant ressortent de plus en plus luisants, la tête rejetée en arrière, je ressens les prémices du plaisir. Marcel s’approche alors, se met à genou devant moi et se met à me lécher mon sexe avidement, il remplace mes doigts par les siens, de surprise, je pousse un petit cri, puis un râle roque annonciateur d’une jouissance intense. Tout mon corps se crispe, je me laisse aller à crier cet orgasme de toutes mes forces.
— Très bien salope, tu vois que tu aimes ça. Maintenant, lèche tes doigts.
J’obéis, je me mets alors à nettoyer mes doigts souillés de mes sécrétions intimes avec ma langue.
— Est-ce que tu as envie que je te baise petite pute ?
— ???????
— Je n’ai rien entendu !
— Euuh ???? Oui… !!
— Oui qui ?
— Oui monsieur Marcel ?
— Alors, ouvre ta veste de tailleur et mets-toi à quatre pattes
Je défais alors les deux boutons qui ferment mon tailleur, mes deux seins apparaissent, nus sous la veste. Je me mets alors à quatre pattes sur le fauteuil, la tête tournée en direction de la caméra invisible,
j’apprendrais plus tard que Marcel a caché des caméras dans la pièce, pour mieux m’asservir.
Je vois Marcel se diriger vers la porte située dans mon dos, l’entrouvre légèrement ???? Puis revient se positionner derrière ma croupe offerte. Il présente son gros gland près de mes lèvres intimes, il commence à s’introduire entre mes lèvres que je sens gonfler de désir et d’envie !
Centimètre par centimètre il continue sa progression. Puis il s’arrête d’un coup. Je sens mon vagin tout distendu, je m’attends à l’entendre craquer.
— Tu as réussi la première étape, le gland est passé !! Puis il rajoute presque en riant.
— Il reste à faire entrer le reste de ma queue…….
J’y crois pas !! Je sens que je vais tomber dans les pommes, tellement je me sens envahi par ce membre, tellement je sens que mon puits d’amour va craquer.
C’est bizarre, mais cette douleur s’accompagne d’une sorte de plaisir, le plaisir d’avoir mal ???
Petit à petit le Marcel continue de prendre possession de mon puits d’amour.
Je sens comme si un gros tube comme ma main qui m’envahit, ma tête me tourne, tourne, je pousse des râles de plaisir ou de douleur.
Après quelques secondes, qui me paraissent longues, Marcel me dit :
— Tu es à moi !!! Et d’un seul coup il finit de m’enfiler !
Je me mords les lèvres fort pour ne pas hurler. Hurler ma douleur, mais surtout mon désir.
Des étoiles brillent dans ma tête, je suis submergée par une onde de bonheur, de béatitude que je n’ai jamais connue. Lentement Marcel commence à faire des allers et retours avec une adresse bien calculée !
Un râle s’échappe de mes lèvres à chaque introduction.
Je sens une chaleur qui monte, dans mon ventre !
J’imagine le spectacle, moi la bonne épouse à quatre pattes, les seins ballants s’agitent dans tous les sens, dans des habits classes, pénétrée en force par un homme que je ne connaissais presque pas, il y a deux heures. Qui en plus me procure les signes révélateurs d’un plaisir avenir !
Alors c’est vrai que je suis une salope, j’en suis surprise moi-même !!
Je ne vois pas qu’une ombre se dessine dans la porte qui s’entrebâille, elle s’avance vers nous. Toute aux coups de queue que je reçois, en tournant le dos à la porte, je ne vois pas un homme rentrer. Il a déjà sorti son membre disproportionné qu’il faisait coulisser entre ses deux mains. Je pousse des petits cris de jouissance à chaque fois que la verge de Marcel me pénètre, un peu plus profond à chaque fois. Dans la montée de mon plaisir Marcel se retire alors d’un coup.
Quand il se dés emboîte, je sens comme un air frais qui prend la place du membre impressionnant qu’il m’a logé dans mon minou.
— Reste à quatre pattes. J’en ai pas fini avec toi. À moins que tu ne veuilles que j’arrête ?
— ????? …
— J’ai rien entendu, tu veux que j’arrête ou que je continue ??
— Continuez monsieur Marcel.
— Pourquoi ???
— Parce que j’aime ça et que je suis votre salope.
— Voilà très bien, maintenant tu as compris.
Tout en parlant, il laisse sa place à l’inconnu qui se positionne derrière ma croupe. Moi je crois que c’est Marcel qui me reprend. Je sens un très gros gland qui se frotte sur mes lèvres intimes bien lubrifiées, il appuie l’arrondi de sa queue pour recommencer la pénétration… Mes lèvres s’écartent et s’arrondissent pour mouler son membre, il le fait pénétrer, lentement. Il pousse au maximum, mais seulement la moitié de sa verge pénètre mon puits d’amour qui se distend encore plus. – OUIIIIIIIII ! Ça y est ! La tête de mon nœud est rentrée ! Je réalise que c’est une queue nettement plus grosse qui me pénètre ?? Ce n’est pas celle de Marcel ? Horrifié je pousse un cri, je tourne la tête, pour découvrir que c’est un autre homme qui a investi mon puits d’amour.
— NOOOOON !! NOON!! Pas de ça ?????
— Comme tu as été bien obéissante, j’ai décidé de t’offrir la plus belle bite de la région. Quand Roger t’aura ramoné bien profond tu pourras plus t’en passer !!
— Mais vous me prenez pour une pute ??? Mais je ne suis pas une pute !!!
— Je te prends pour ce que tu es, une salope qui ce fait, prendre par Frédéric, par Gilles et par d’autre, moi j’appelle ça une pute. En attendant, suce-moi, je commence à débander !
Il me présente son sexe souillé de mes sécrétions à mes lèvres, il me saisit la nuque. – Ouvre la bouche !!! Je prends sa grosse queue entre mes lèvres. Il commence des va-et-vient jusqu’au fond de ma gorge. Le changement n’a duré qu’une minute à peine, je n’ai pas eu le temps de me soustraire à Roger. Pendant ce temps-là centimètres par centimètres la verge de Roger repousse mes chairs, elle progresse toujours, mes sécrétions intimes forment un bourrelet mousseux autour de sa pine noueuse, l’élasticité de mes chairs intimes atteint son maximum, le Roger commence alors des va-et-vient, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin, essayant de rentrer un peu plus son sexe à chaque coup de reins.
Ayant mes mains en appui sur les accoudoirs du fauteuil, mes seins libres de toute attache, ballottent de droite à gauche à m’en faire mal. Heureusement que je vois les deux mains de Marcel qui se sont avancées pour les prendre, il me les malaxe, me les presse comme si c’était des oranges. Bizarrement cette douleur est plus douce que l’intrusion du monstre dans mon ventre, mes muqueuses sollicitées à outrance m’amènent doucement, mais sûrement à l’orgasme.
Oui, je JOUIIIIS !! Je n’ai jamais connu une telle sensation. OOOOH !! Mon Dieu mon ventre va éclater sous de diamètre de son engin.
Sa verge est entrée quasiment en entier, mais il a beau faire, je ne peux en absorber plus.
Quelques minutes après, Marcel a retrouvé toute sa vigueur. Il se retire de ma bouche accueillante. Il fait coucher Roger le dos sur le tapis, son sexe se dresse telle une tour.
C’est alors que je vois son sexe, il doit mesure au moins trente centimètres, si ce n’est quarante…. Il est très gros, cela semble physiquement impossible. Marcel éclate de rire en voyant ma surprise et me dit :
— Je te présente Roger. La nature lui a mis entre les jambes, ce qu’elle ne lui a pas mis dans la tête ! Marcel m’ordonne de m’empaler dessus. Les jambes repliées, portant toujours mes escarpins, toute excitée je présente le gland à l’entrée de mon puits d’amour, je descends doucement.
Je m’arrête arrivée aux deux tiers de ce monstre de chair, qui est arrivé au fond de mon puits d’amour. Je commence alors à m’élever et à redescendre par petit à coups, chacun m’arrachant un râle de plaisir de plus en plus fort. Roger attrape mes seins de ses mains calleuses, il les pétrit sans ménagement aucun, laissant des traces blanches avec ses doigts. Marcel se positionne alors derrière moi, les deux mains sur mon dos il me couche sur Roger.
Il présente son gros gland à l’entrée de mon jardin secret, puis sans me prévenir ni préparation, il fait rentrer la moitié de son sexe dans mon fondement d’un seul coup. Je pousse un cri de douleur et de surprise par cette double pénétration. Roger me tient collé à lui. Je crie toujours quand Marcel commence à me sodomiser de manière violente en rythme avec les coups de rein de Roger.
— Voilà salope tu as ce que tu mérites, deux grosses bites qui te remplissent à fond. Elle est bonne hein Roger, cela te change des vaches !
— Oh oui elle est bonne la dame
— C’est pas une madame, c’est une salope ! Une pute !!
La bite de Roger me déchire les parois vaginales en entrant. Il me défonce complètement le vagin et je crie sous les coups de boutoir de mes deux amants. Je suis complètement déconnectée du temps, je hurle à la mort.
Marcel m’encule de plus belle et je sens qu’il ne va pas tarder à jouir. Roger me défonce le vagin avec son pieu. Je crie, je gémis, sentant l’orgasme monter et je tourne la tête pour regarder Marcel droit dans les yeux comme pour le remercier de ce plaisir. Puis tout se calme dans mon ventre, une douce chaleur pointe irrémédiablement dans mes reins, je recommence à haleter de manière de plus en plus bruyante. Puis mes halètements se transforment en cri de plaisir et d’un coup une jouissance extraordinaire me submerge, pendant plusieurs minutes, je crie mon orgasme sans discontinuer. Un flot de liquide s’échappe de mon vagin, inondant le ventre de Roger.
— Regarde comme elle jouit cette pute, elle t’en a mise partout !
— Oui, c’est une pute !! — Je suis sûr que tu ne savais pas que tu es une femme fontaine. Ton corps est plus réceptif que ton cerveau de bourge.
Roger me pilonne de plus belle. Après encore quelques coups bien profonds, je sens le souffle chaud de Roger dans mon cou et un râle qui sort des profondeurs de son être :
— ARRH !!! OUIIII !! Ça vient !!!………. Qu’elle est bonne !!!
Roger est le premier à jouir, il inonde mon puits d’amour d’une crème chaude, épaisse et abondante. Marcel est sorti de mon jardin secret, encore groggy par la jouissance qui m’a terrassé, je regarde d’un air hébété cet énorme sexe. Il me saisit alors les cheveux par-derrière, m’obligeant à ouvrir la bouche, il crache son venin, qui s’écrase au fond de ma gorge. Je déglutis à cinq ou six reprises pour pouvoir avaler la semence odorante, il en a tellement que je faillis avaler de travers et de m’étouffer ! Le surplus dégouline sur mon menton. Après ça ils me font nettoyer leur sexe longuement avant de me laisser m’affaler par terre sur le tapis.
Marcel va chercher des bières, il en offre à Roger. Ils me forcent à boire du whisky pur, deux verres d’affilés, Je me laisse faire. Je suis là, nue avec deux hommes fortement membrés, affalés sur le tapis le whisky a fait disparaître le goût du sperme de Marcel dans ma bouche, mais il annihile la volonté de me rebeller. Puis ils me demandent de les sucer à nouveau. Roger me place sur le ventre, récupère sur ses doigts de son sperme qui s’écoule encore de mon vagin, il les enfonce lentement dans mon anus. La petite porte de mon jardin secret résiste un peu, puis s’ouvre lentement, laissant pénétrer deux doigts, puis trois. Je pousse de petits gémissements, qui ressemble à du plaisir – encule-là Roger, elle en meurt d’envie, fais-la hurler !
Je m’y attendais plus ou moins, mais je redoute l’intromission de cette énorme cheville dans ma petite mortaise. Marcel n’a plus aucun tabou maintenant, je vais être sodomisée comme une chienne.
Roger m’écarte les fesses et prenant sa pine qui a retrouvé toute sa prestance, l’approche de mon cul. Je sens l’énorme gland appuyer contre mon anus. Je sais que je vais déguster… Il se met à pousser lentement, sans brutalité, inéluctablement, son gland essaie de perforer mon anneau. Ma petite porte s’ouvre, à mon grand étonnement elle absorbe l’énorme insertion assez facilement. Une fois le gland passé, l’ensemble du sexe disparaît en entier dans mes reins.
Arrive la douleur, elle irradie dans mon corps, me tirant presque une larme, je pousse un cri. Il ne bouge plus laissant l’étroit conduit s’habituer à cette présence incongrue, mais supportable, heureusement que Marcel a alésé le trou. Une fois la tête entrée le reste devrait suivre sans trop de casse.
Marcel me soulève la tête en tirant sur mes cheveux.
– Alors sale petite pute, ça te fait quoi d’avoir une grosse bite dans le fion, espèce de salope ? Ouvre grand ta bouche !!! Je m’exécute, ce salaud m’envoie trois gros mollards au fond de la gorge ????
– Avale chienne !!! Ce que je fais malheureusement.
– Regarde-moi ça, cette chienne à déjà avaler à du foutre aujourd’hui… Maintenant c’est mes mollards qu’elle avale, elle est à moi maintenant !!!! C’est ma femelle, ma salope, ma pute !!!
Après quelque va-et-vient, mes muqueuses se détendent lentement s’habituant à l’impressionnant diamètre. Roger commence à me besogner, il se met à aller et venir progressivement. Au bout d’un moment il glisse deux doigts dans ma grotte, il me caresse au rythme de ses enculages puissants. Il fait coulisser son membre en moi. Je commence à apprécier cette sodomie très particulière, son calibre a élargi mon anneau, il déclenche des vagues de plaisir en moi. Peu être pas aussi fort que tout à l’heure quand ils me prenaient tous les deux et que je sentais leurs sexes se frotter sous l’action de leur coup de piston l’un contre l’autre contre la muqueuse séparant mes deux orifices.
Je m’avoue vaincue, sous une incroyable jouissance, j’inonde ses doigts et sa main de mon jus d’amour. – OOOH !! Oui, je pars…, encore…, oui…, encore…, plus fort, défonce-moi ! …
Mais Roger quitte mon jardin secret pour mon puits d’amour. Il entame un va-et-vient frénétique, au bout de dix minutes de ce traitement, les trois quarts de son engin sont acceptés par mon puits d’amour.
Oh !!! Que c’est bon, maintenant c’est moi qui aspire le monstre de chair. Je le veux en entier dans mon ventre, de moi-même j’accélère la cadence. Je crois qu’il me perce le ventre, à coup de croupe puissante, le bout du sexe de Roger a dû ouvrir le col de mon utérus ce qui augmente la profondeur de mon puits d’amour.
Je n’y tiens plus, ça y est je sens ses couilles taper sur son clitoris, plus un millimètre n’est disponible dans mon puits d’amour. Maintenant à chaque coup de reins les couilles de mon amant s’écrasent sur son clitoris ce qui me provoque un énorme orgasme.
Pendant ce temps Marcel prend des photos et filme avec son appareil. Il me déclare alors :
– Ah on dirait que tu as pris goût à notre histoire.
Roger saisit alors une canette de bière vide et l’enfonce dans mon anus, déjà bien distendu par sa précédente sodomie. Il alterne ensuite les coups de boutoir et l’utilisation de la bouteille comme godemiché.
Je pousse des cris de jouissance de plus en plus fort, emplissant la pièce du son de ma voix. Ce traitement dure une vingtaine de minutes, alors que je pousse alors des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de mon sexe, se répandant sur mes cuisses et par terre.
Roger me pilonne de plus belle il me rejoint dans l’orgasme m’inondant d’un flot de sperme. Quand il sort son sexe de mon puits d’amour, un bruit se fait entendre et un flot de sperme jaillit. Je m’écroule par terre, terrassée par la jouissance, je m’écroule sur le tapis bras replier, seins écrasés et le cul en l’air
moi l’honnête mère de famille l’épouse modèle, je viens de me faire bien baiser et sodomiser pour la première fois par un presque inconnu et son ami.
— Après t’avoir vue à l’œuvre à la piscine, j’étais sûr que tu étais un bon coup ! Mais pas ce point-là ! Je crois que je tiens une bonne salope !!
— Tu m’as dit que si j’obéissais, tu me laisserais partir tranquille ??
— Je ne savais pas à quel point comme tu es bonne et docile !! Jeanne a raison, tu vas devenir ma salope maintenant et je vais faire de toi une chienne.
Dit-il en fixant mes mamelons qui se dressent fièrement, les pointes encore gonflées.
http://mes mamelons— Tient regarde que j’ai raison qu’il me dit en me tendant son portable allumé, il m’a filmé pendant que Roger me sodomisait, on entend bien mes cris de plaisir.
— Ton mari n’en saura rien si tu es coopérative comme aujourd’hui.
— Mais dis-moi !! Tient regarde de toi avec la bouteille dans le cul pendant que mon Roger te baise, tu y a pris du plaisir, si j’en crois tes gémissements.
Je suis là a genou sur le tapis regardant l’écran du portable, j’ai le cul en feu, avec leur chaleur dans mon ventre, je serre mes cuisses pour retenir le jus qui sort de mes deux trous, quand je pense a leur performance de me prendre deux fois de suite, j’en tremble de plaisir avec encore le goût de son gland dans ma bouche ce n’est pas si horrible que ça.
– C’est pas fini nous avons toute la journée, puisque tu aimes les grosses bites, j’ai appeler des copains ça te fera du bien.
Marcel m’indique l’emplacement de la salle de bain, j’en profite pour m’éclipser.
Je suis entrain de me passer un gant de toilette entre les cuisses que le carillon de l’entrée ce fait entendre. j’entends des voix d’hommes.
— Bonjour ! Marcel, tu nous as appelés pour éduquer une vorace ! Nous voilà !!
— Entrez !! Dit Marcel, je recharge mes batteries, car elle m’a vidé la chienne.
— Madame va s’occuper de vous, Nicole vient, tes invités sont là !!!
La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture
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