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Le piège de Jeanne transforme Nicole en chienne en chaleur Chapitre 6

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A mon réveil, je suis dans mon lit conjugal, c’est avec des courbatures que je me dirige vers la salle de bain, après une bonne douche , le ménage et les courses m’attendent .

J’espère que Marcel ne diffusera pas ce qu’il a filmé sinon je suis perdue

Dans l’après-midi après les courses alimentaires, je cherche en ville une petite pharmacie discrète

Je la trouve dans une petite rue avec une pharmacienne au comptoir,  nous sommes seules

je lui raconte ce que m’a fait mon amant en passant par le petite porte de mes reins et la gène que j’éprouve en ne voulant pas que mon mari le sache , compatissante elle me vend une crème apaisante avec une anesthésiante pour la récidive .

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Nous  bavardons pendant un bon moment sur les amants un peu trop envahissants, je  ressort un peu réconforter sur les hommes et leurs agissement égoïstes .

Quand Jacques rentre je ne suis pas couché, je suis gênée, voit il que j’ai fait l’amour avec d’autres en prenant du plaisir, je suis mal à l’aise .

Le dimanche se passe bien ,les enfants nous rendent visite,ils ne doutent de rien .

Pendant la semaine lorsque je croise Marcel au travail il me sourit en sortant son portable de sa poche. Son attitude me mets dans l’embarras, j’ai l’impression que tous le monde me regarde .

Après une semaine d’angoisse pour rien je me prépare pour rejoindre au rendez vous fixé par Marcel.

Je mets un chemisier sans sou-tif comme il  a exigé,une jupe ample avec une poche.

Sous la jupe un string noir qui s’ouvre des deux cotés. Je prend la route vers la grange de Marcel en fumant une cigarette qui n’arrive pas à calmer mon angoisse, il se sert du chantage pour me soumettre à ses désirs sexuels dans quelle limite. Je ne le sais pas ?

Je rentre dans la grange, Marcel ferme les portes, je descends de voiture et le suis docilement jusque dans une pièce qui ressemble a une chambre de bonne avec un lit cage, le drap est propre .Un sac est sur le pied du lit

– Tu as bien obéi, on dirait.
-Avant toute chose, que ce soit bien claire. Je te laisse faire ce que tu veux aujourd’hui…….Mais après….. ?
Alors que je lui parle, Marcel s’approche de moi, pose sa main sur ma cuisse et remonte en relevant ma robe jusqu’à ma culotte qu’il écarte pour atteindre mon clitoris qu’il roule entre ses doigts, il devient tout dur, puis ouvre ma chatte humide dans laquelle il se met à farfouiller en me regardant dans les yeux.
– Qu’est-ce que tu disais  ? Je n’ai pas bien compris  !
-Je disais, je disais que je voulais…HUUUM !
– Tu ne disais rien du tout !Tu n’as pas encore compris que tu as besoin d’être dominée c’est dans ta nature. A partir de maintenant, c’est moi qui dirige, je suis ton maître. Et si je te dis que je veux ta langue dans mon trou du cul, t’as intérêt à obéir et me la fourrer dans l’anus.

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– C’est compris ?
Il me pince le clito de plus en plus fort en attendant ma réponse qui ne tarde pas à venir dans un cri.
– Oui…AIIIE !
-Oui qui ?
– AAAAHH !- Oui maître !

– Désormais tu seras toujours nue sous tes robes, même quand je ne serais pas avec toi .
Marcel me regarde droit dans les yeux pour mieux m’humilier. Mais malgré la honte qui m’envahit, je ressens un profond désir. Brusquement, il sort sa  main de ma vulve et porte ses doigts gluants de mon liquide intime à mon nez. Il éclate de rire en me voyant rouge de honte.
– Qu’est-ce que ça sent, chienne ?
– Je… Je ne sais pas, maître… ???
– Ça sent la chienne en chaleur… Comme si tu ne le savais pas ! Nettoie mes doigts ! »
Docile, je me mets à lécher comme une petite chienne les doigts de Marcel qui tout à coup me les enfonce dans ma bouche. Il savoure mon humiliation.
-Tu sais, je crois qu’on pourrait foutre autre chose dans cette belle bouche, non ?
Je continue à sucer ses doigt comme on suce une bite. Je salive avec des bruits de succion, il ouvre mon chemisier, sourit de voir mes seins libres, il me le retire .

Il caresse  mes seins puis penche sa tête bouche ouverte et embouche un des deux .

Je sens de douces sensations monter dans mon corps au fur et à mesure que Marcel aspire et grignote mes seins. Mes mamelons se contractent faisant pointer mes tétons . Je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Je sens ses doigts sur le bout de mes seins, ils malaxent les tétons, les pincent doucement. C’est une caresse qui me fait mouiller instantanément. Des picotements familiers envahissent le bas de mon ventre.

-Elle est charmante ! Alors tu vas être nôtre chienne maintenant ?

Jeanne vient de faire son apparition dans la pièce, je cache mes seins par pur réflexe .

Elle s’approche passe derrière moi pour faire descendre ma jupe sur mes pieds . Elle ouvre sa robe , elle est nue en dessous puis la jette sur le pied du lit .

-Allez Marcel , déshabille toi comme ça elle n’aura pas honte, nous serons tous a poil .

– Alors salope, tu vas être notre chienne, notre pute, notre esclave ! Alors tu va déguster ma chérie.
Et elle me crache sur le visage
– Lèche !!! Ouvre la bouche tire la langue
Je m’exécute. Mon cœur bat plus vite, je frissonne. Je vais être la soumise, l’esclave leur chienne.
Jeanne me crache dans la bouche sur ma langue. Puis Marcel en fait autant .
Je suis agenouillée au milieu de la pièce mains sur la nuque. Le visage plein de salive.

Jeanne  c’est absentée pour aller chercher quelques jouets ! Elle revient les mains encombrées. Elle s’agenouille devant moi.
– Alors ma chérie, prête à une petite séance ou tu va être notre chienne ? Questionne mon amie.
– Oui je lui ai promis d’être votre chienne. Dis-je
Elle me regarde avec un air courroucé et me gifle. Ma tête suis le mouvement elle m’a frappé fort . Je la toise du regard.
Elle agrippe mes tétons et les tire vers le haut.
– AARHH ça fait mal !!
Elle tourne les pointes comme pour me les arracher. C’est l’impression que j’ai. La douleur me vrille les pointes. Contre toute attente je sens mon sexe se contracter sous l’effet d’un plaisir trouble que je ressent. Mon clito se tend.
– Regarde cette pute !! Je lui étire les tétons elle aime çà !!!

– Ah tu aimes çà !! tu va voir !!
Moi j’aime çà ?? Je ne sais pas à quoi je me suis exposer en acceptant de me soumettre . Jeanne prend vraiment du plaisir dans ma douleur . On dirait qu’elle va avoir un orgasme juste parce qu’elle me fait mal.
– Allez Marcel attache là cette chienne !
Il me passe un collier en cuir autour du cou, puis des menottes en cuir qui s’attachent au collier. Mes mains sont liées à l’arrière de mon cou. Je suis offerte. Elle m’observe avec envie.  Il me plante sa queue dans ma bouche. Il pousse jusqu’au fond de ma gorge. Je suis secouées par des spasmes, sur le point de vomir parfois. Mais une chaleur s’empare de mon corps c’est de l’excitation .
– Regarde donc comme elle bande !! Regarde son clito tout sorti.
Jeanne se frotte la chatte d’une main le buste penché en avant, le ventre creusé et le pubis projeté vers l’avant. Elle est en rut . Elle s’agenouille devant moi  tandis que Marcel me défonce la bouche. Je bave la salive coule en long filaments épais. Elle lèche cette salive. Dans ses mains elle à des pinces reliées par une chaîne. Elle ouvre une pince saisi mon téton droit, pose la pince la laisse se refermer sur mon téton tendu.

Aie !! Dieu !! quelle douleur !! La pince écrase ma chair. La douleur s’irradie depuis la pointe de mon sein jusque dans mon ventre. Mon cœur s’arrête. J’essaie d’aspirer l’air, mais Marcel me plante sa queue au fond de ma gorge. Mes oreilles bourdonnent. C’est violent, je suis en train de perdre pied. Je veux la retirée. Mes mains liées ne me permettent pas cela. Elle passe sa main entre mes cuisses, enfonce ses doigts dans mon sexe qui se met à palpiter. Sa paume frotte mon clito tendu. Malgré moi je pousse mon ventre en avant. J’espère qu’elle va me pénétrer plus loin .. Au lieu de cela elle retire sa main et attrape mon autre téton et y place la seconde pince qui me tire un hurlement, car Marcel a laissé ma bouche inoccupée.
Maintenant mes tétons emprisonnés dans les pinces me font souffrir. Jeanne me passe sa main sur ma joue, remonte vers mon front et empoigne mes cheveux. Elle me tire la tête en arrière. En même temps ses doigts tirent sur la chaîne. Elle étire mes bouts de seins à l’extrême. Je cries de douleur.

Marcel me regarde en se masturbant. Il est excité sa queues est rouge ,le gland gonflé. Il luit de ma salive.
Les vagues de douleur irradient depuis mes tétons écrasés dans tout mon être. Je découvre un plaisir étrange qui transforme la pire des douleurs en excitations.
Elle passe a nouveau sa main entre mes cuisses.
– Mais tu mouilles ma chérie, tu dégouline. Regarde !
Sortant ses doigts de mon sexe elle monte ses doigts à la hauteur de mon visage. Ils sont maculés de jus laiteux qu’elle étale sur ma bouche. Je lèche mes lèvres, je découvre le goût de ma grotte.
– Oh !! Ton clito ma belle est de plus en plus gros regarde çà.
Elle me montre une pince semblable à celle de mes seins. En un éclair je sais ce qu’elle va en faire. Je fais non de la tête. Je tente de me relever.
– Tient là !! Ordonne Jeanne.
Il m’agrippe les coudes et me maintient en place. Elle se penche, je sens ses doigts décalotter mon clito le faisant saillir encore plus de son capuchon. Et je sens avec horreur les mâchoires se refermer sur la chair tendre. La pression forte, puis la morsure bestiale pour finir par un écrasement total de mon bouton. Je hurle, me débat je veux arrêter tout
– Non, non enlève ça!! Ça fait trop mal , c’est trop dur !!
Inflexible Jeanne me caresse les joues.
– Résiste chérie, résiste, ça va passer tu sens comme ça fait du bien maintenant.
Je suis secouée par des spasmes, je navigue entre la douleur la plus totale et les prémices de l’orgasme. Ma tête tourne, je veux que çà arrête. Des larmes coulent à flot des mes yeux. Les yeux de Jeanne sont rivés sur les miens, elle boit ma douleur. Je sens sa chatte se frotter contre ma cuisse. Son bouton aussi est dur. Elle laisse une trace humide sur ma peau . Le bout de ses seins se frottent aux pinces de mes tétons.
La douleur reflue, se mue en plaisir je suis en sueur, ma peau est humide de sueur.
La pince a chaque mouvement, a chaque oscillation me tire une cri. Elle donne à Marcel un martinet avec de longues lanières . Elle aussi en à un.  Elle abat les lanières sur mes seins , le choc!! Le tressaillement des pinces et de la chaîne me font crier. Marcel me donne un coup sur le dos entre les épaules. Puis me frappe les fesses.

Et il recommence. Les coups résonnent dans la pièce, mes cris également. Ma peau me brûle, chaque coup fait monter la température. Jeanne me lacère les seins des marques naissent. Mais ma peau ne rougit qu’à peine. Ma tête tourne, mes oreilles bourdonnent. Je sens ma chatte palpiter s’ouvrir se fermer au rythme des coups et des ondulations de mes hanches. La pince qui broie mon clito fait naître des ondes de plaisir. Jeanne et moi on ne se quitte pas des yeux. Elle aussi est dans un état second. Elle a de petits spasmes , de petits frissons. Ses yeux papillonnent. Elle me frappe, mais son autre main s’agite entre ses cuisses. Soudain elle se met à gémir, elle semble se tasser , ses genoux ployés elle s’enfile quatre doigts dans le sexe Elle se branle comme une possédée. Ses muscles sont tétanisés son ventre creusé son pubis lancé en avant.  Je crie je hurle sous les coups.

C’est un signal pour Jeanne. Elle lâche la lanière et s’empare de la chaîne de mes pinces. Je suis raidie dans l’attente.. Oh !! un orgasme est proche nous allons jouir toutes les deux de concert. Elle me regarde intensément je ferme les yeux en signe d’acceptation. Alors qu’elle jouis secouée de tremblements elle arrache les pinces de mes tétons. Je hurle , la tête rejetée en arrière. Les pinces ont ripé. La douleur est intenable. Mais elle se transformer en une vague de jouissance . Je jouis mon sexe palpite crachote des flots de mouille, de nectar crémeux.
Elle jouis et inonde mon visage de jets puissants elle est une fontaine et me noie de son plaisir, en vidant sa vessie. C’est le même affolement de mon côté. Je suis en train de m’effondrer en avant. Marcel me tire en arrière me met sur le dos. Sa main cherche vivement entre mes cuisses. Je hurle, je suis à bout ,mes mains sont engourdies, mes lèvres, mes joues sont comme envahies par des fourmis.. Enfin Marcel attrape la pince sur mon clito l’ouvre et la retire prestement. Nouvel orgasme fulgurant, puissant il me terrasse totalement la douleur intense de mon clitoris me laisse hébétée. J’ai également perdu tout contrôle et je me suis éclaboussée les cuisses. Je suis agenouillée dans une flaque.

Jeanne reprend ses esprits.
– Détache là cette salope !! Elle doit avoir envie d’en prendre plein le cul. Dit-elle
Prestement me voilà déliée. Mais je suis toujours maintenant demandeuse. Jeanne pointe du doigt le lit .

-Met toi en levrette, la dessus chienne !! Me dit elle.

Dans l’ état second ou je me trouve je me mets à quatre pattes sur le lit.
– On va te baiser comme tu le mérite. Prépare là avec les godes.
Rapidement Marcel commence à m’enfiler un gros gode annelé dans le sexe. Je me laisse faire, avec délice ma peau est  brûlante et sensible après les coups de martinet. Je me sens ouverte, béante.

Il est brutal, il est en rut. De temps en temps il vient se faire sucer. Je coule comme une fontaine, des tâches laiteuses maculent le lit. Jeanne à enfilé son gode ceinture énorme, gros comme une boite de coca et au moins trente cinq centimètres de long avec un gland renflé.
– Alors ma chérie… Tu le veux où ? Ta chatte trempée ou ton cul qui baille ? Demande Jeanne.
Elle se place derrière moi, son gode entre mes cuisses elle passe son gland entre mes grandes lèvres et sur mon clito .  Hum ! C’est bon………

Elle enfonce son gode dans mon anus sans prévenir, une brûlure atroce accompagne la pénétration
– AIIIIIIIEEEEEEEE !  J’ai mal, retire Moi ça!!
– Allez, ne fais pas ta mijaurée,  un dicton dit : Quand la tête est passée, les épaules passent .

-Dans une minute tu m’en diras des nouvelles
– Tu vois ? Je vais t’en enfoncer encore un peu ….Putain, ça rentre comme dans du beurre.
– Mords dans le matelas, je te mets tout ….
Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu’à ce tison ardent qui brutalise mon étroitesse. Nous restons un moment immobile, je sens mon anneau céder peu à peu, et la douleur commence à laisser place au plaisir.

– C’est vrai la douleur s’en va ……… Çà fait bizarre par là ….

Toute douleur disparut, je reprends mon souffle et d’un coup elle m’encule jusqu’à la garde, il ressort et m’encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.
Ma rondelle se dilate et l’engloutit, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins. Je ne suis pas encore une habituée de la sodomie
j’ai l’anus complètement éclaté et le plaisir se remet à s’insinuer en moi sourdement, ma tête ballotte de droite à gauche sous les coups de reins de mon amante, je ne vis plus que pour et par le sexe raide qui me fore les reins, je me mords les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subis est bon, je me cambre le plus possible, j’ai relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m’arrange l’anus, de ma bouche ne sort plus que des AAAAHHH , OOOOHHH en continu.

Elle s’enfonce au plus profond de mon rectum,
Marcel m’a enfilé un gode dans la chatte cette fois et Jeanne me défonce le cul avec le gode. Je suis tellement excitée que je sens que par moment un jet coule de ma chatte. Sollicitée par le godemiché et le vibromasseur ma vessie ne peut que se relâcher. Je recueille du bout des doigts ce mixe de mouille, de crème et d’urine et je lèche mes doigts .
Imperceptiblement le glisse vers un orgasme, ma vue semble se brouiller, ma tête résonne le sang bat à mes oreilles..
Puis il plante sa queue dans ma bouche en grognant… Il éjacule sur ma langue , je déglutis son sperme, je me retiens de tout relâcher au moment on l’orgasme me fait mourir de cette petite mort si agréable. Je sens mon sexe totalement ouvert laisser couler sa cyprine, mon urine goutte, ma bouche est pleine de sperme. Quel pied !!!
Alors je me retourne sur le lit, Jeanne me regarde, pose ses lèvres sur les miennes et ouvre la bouche . Je lui crache tout le sperme qui est dans la mienne sur sa langue, puis je retombe lourdement sur le lit les yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance, elle se retire de mes entrailles.
Après plusieurs minutes, je refais surface.

La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture

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