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Le piège de Jeanne transforme Nicole en chienne en chaleur Chapitre 8

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Jacques est rentré de son déplacement en Espagne, mais il m’annonce que pour le pont de l’Ascension il sera encore en déplacement en Tunisie pour un gros industriel .

Je vais être à la merci de Marcel pendant cinq jours, que va t ‘il encore me faire subir ?

Ce mercredi soir après le travail sachant que mon mari est absent Marcel m’a dit de venir chez lui .

Dés mon arrivée Marcel m’entraîne dans sa chambre et m’accroche le collier a chien autour de mon cou , puis me dit de rester là , j’attends dans la chambre, assise sur le lit .

Après une demi heure d’attente la sonnette de l’entrée me fait sursauter . Je tend l’oreille pour entendre deux homme qui discute avec une certaine excitation dans la voie .

Le piège de Jeanne transforme Nicole en chienne en chaleur Chapitre 8
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Marcel entre suivi d’un homme. Je tressaille à sa vue.

C’est l’ouvrier qui a réparé le mur devant sa maison le mois dernier, celui là même qui me regardait avec envie quand je portais une robe par grand vent.

Il vient s’asseoir à mes cotés et Marcel me caresse les cheveux .
– Je t’offre ma chienne comme convenu, tu va voir elle est chaude et docile .

Je suis contre l’homme le cœur battant. Il prend ma main et la met sur sa braguette. Nous nous effeuillons fébrilement en nous embrassant devant le regard de Marcel. L’homme a sortit sa bite qui me semble énorme ! Je n’ai jamais rien vu de tel et je frémis à l’idée qu’elle va me pénétrer .

Je me met à la branler doucement, mais Marcel s’impatiente .
– Allez , suce le !
Je pris l’énormité dans ma bouche et commence à sucer maladroitement, l’homme caresse mes fesses et un doigt s’introduit profondément dans mon sexe . Il me laisse sucer longtemps puis a nouveau un ordre fuse :
– Allez baise la .
Il ne se fait pas prier et m’empale sans ménagement. Je n’ai jamais rien ressenti de tel ! Jamais ma grotte va pouvoir avaler une telle chose ! Mais l’homme donne un coup de reins et s’enfonce jusqu’à la garde !

J’ai un spasme terrible. Il me saisi alors la taille et me baise brutalement !

Je ne sais qui de la douleur, du plaisir ou de la honte est le plus fort !
– Allez baise la cette salope ! prends la comme une chienne !
Je sens que je vais pleurer, mais l’homme met tant de vigueur que je ne tarde pas a jouir !

J’ai un orgasme terrible ! Abandonnant toute honte, je me laisse pilonner sans retenue, chaque coup au fond de ma chatte résonne dans tout mon corps, j’ouvre mes cuisses toutes grandes , j’accompagne ses coups de reins , avec des mouvements de mes hanches faisant chaque fois claquer ses couilles sur mon anus
– Oui !!! vas y ! baise moi ! HOOO !!  Oui c’est bon !!!
– Tu aime sa grosse queue hein !! chienne? vas y  ! défonce la cette chienne !
Marcel s’approche de moi
– Je t’ai posé une question ! tu aime sa grosse queue ?

– Oui , je l’aime.
– Alors dis le moi .
– J’aime sa grosse queue.
– Encore.
– J’aime sa grosse queue.
– Il te défonce bien la chatte ?
– Oui ! il me défonce bien.
– Tu veux qu’il te défonce encore ?
– Oui ! OUUIIII……..
– Alors demande le lui.
– Oui ! défonce moi encore.

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L’homme accélère encore en grognant.
– AAHH Oui ! Je la déchire bien là ! Putain qu’elle est bonne ta chienne !
– Oui , elle est bonne , elle est bien chaude .
– AAAHH Oui , elle est brûlante et bien serrée  !!!
– Allez régale toi , défonce là encore , elle aime ça !!

Il me baise ainsi pendant plus d’une heure, me tournant et me retournant dans tous les sens, me claquant violemment les fesses, mordant mes seins, il me fourre de tant à autre sa queue dans la bouche puis revient me marteler le sexe.

J’ai a nouveau deux orgasmes qui me laissent pratiquement inconsciente. J’entends  leurs voix .
– C’est une bonne salope hein ? Tu reviendra  la baiser une autre fois .
– Oui, c’est une bonne chienne, on voit qu’elle aime ça  .
Puis j’entends la porte claquer .

Je reste là , pantelante de jouissance et morte de honte , baisée par un inconnu dans cette chambre !

Je suis invitée ce jeudi soir chez Jeanne et Jean par Marcel .

Au volant de ma voiture, je me dirige vers la maison de Jean. Marcel m’a demandé de porter la même robe que mercredi soir ainsi que des bas avec un porte-jarretelles en me laissant entendre que je vais vivre une nouvelle soirée inoubliable. Il m’a aussi dit qu’il ne serait pas prudent de prendre le volant  après la soirée.  En roulant, je repense à la soirée de vendredi et ma main glisse entre les pans de ma robe pour venir caresser mon sexe qui commence à s’humidifier. Je n’a pas jugé utile de porter des sous-vêtements sachant que Marcel exige que je n’en porte plus . Je n’aurait jamais cru que j’en arriver là, mais il faut bien me l’avouer, je suis désormais assoiffée de sexe comme une chienne en chaleur.

J’arrive enfin à destination et gare ma voiture devant la maison avant de sonner à la porte. C’est Jean qui vient m’ouvrir et ce dernier m’embrasse pour m’accueillir. Il me prend par la main et m’entraîne vers le salon où attend Jeanne. Cette dernière se lève de son fauteuil et comprenant qu’ une surprise vient d’arriver, m’embrasse en osant poser ses lèvres pour la première fois à la commissure de mes lèvres, juste au bord des siennes. Un seau à champagne et trois coupes sont posés sur la table du salon et Jean me propose de prendre place sur le canapé avant qu’il fasse le service. Jeanne s’est assise dans son fauteuil et prend volontiers la coupe que lui tend son mari. Jean me présente une coupe avant de prendre place près de moi un verre à la main. Nous discutons de choses et d’autres, mais après le deuxième verre mes idées ne sont plus tout à fait claires.

La discussion est de plus en plus grivoise, je me laisse griser par cette ambiance particulière. Jean me ressert une autre coupe et en s’asseyant près de moi, il demande à sa femme de venir près d’eux prétextant que ce serait plus intime. Jeanne se déplace et vient s’asseoir près de moi en collant sa

sa cuisse à la mienne. La conversation se poursuit sur le chantage de Marcel et de ma soumission . Je croise et décroise les jambes en sirotant son champagne sans m’apercevoir que mes mouvements ont eu pour effet d’écarter les pans de ma robe découvrant ainsi le haut de ses cuisses. Jean pose une main sur la chair ainsi dénudée. Sentant cette main chaude sur ma peau, Je tourne mon  visage, il se penche vers moi pour m’embrasser tendrement sans me laisser le temps de réfléchir.

Détendue par l’ambiance, je lui rend son baiser avec passion lorsque j’ai un mouvement de recul en sentant une main se poser sur mon autre cuisse. Il me regarde droit dans les yeux en me disant :
– Embrasses-la, elle en meurt d’envie !
– Je ne peux pas faire ça !
– Rappelles-toi,ce que t’as dit Marcel et tu lui as promis d’être obéissante en toute circonstance !

Repensant aux conditions du chantage, je tourne mon visage vers Jeanne et la laisse poser ses lèvres sur les miennes. Je n’oppose aucune résistance lorsque je sens la langue de Jeanne franchir la barrière de mes lèvres , je vais même à sa rencontre pour unir nos langues dans un baiser langoureux. C’est la première fois que j’embrasse une femme devant son mari.

Il écarte mes cuisses et guide la main de sa femme vers mon sexe dépourvue de culotte . A ce contact, je soupire dans la bouche de ma dominatrice alors qu’elle me caresse le clitoris d’un doigt.  Il glisse une main dans mon décolleté pour me caresser les seins, constatant que je suis nue sous sa robe. Il approche son visage , Jeanne tend ses lèvres vers les siennes.Jean s’écarte  de nous et se contente de caresser mes seins .

Jeanne reprend ma bouche alors qu’elle vient de glisser un doigt dans ma vulve trempée , j’exprime mon approbation en soupirant dans sa bouche . Encouragée par ma réaction elle enfonce un deuxième doigt dans ma grotte et commence à me pistonner lentement. Sous la caresse, je rejette la tête en arrière et dit dans un soupire :
– Oh, oui ! c’est bon ….  !!!
– Maintenant tu es ma chienne ! Je suis ta maîtresse . Tu me sera toujours soumise , n’es ce pas ?
– MMMHH . Oui…. Je suis vôtre chienne… MMMH . Maîtresse Jeanne !!
– Oui, c’est ça tu es nôtre chienne que nous allons saillir .
Jean se lève du canapé et nous ordonne de retirer nos robes. Obéissantes, nous nous levons et nous laissons tomber nos robes à nos pieds.Nous sommes maintenant face à face à un mètre l’une de l’autre dans la même tenue : bas et porte-jarretelles juchées sur des escarpins à talons . Jean se régale du tableau dit :
– Approchez-vous et caressez-vous le corps !
C’est Jeanne qui fait le premier pas , elle tend les bras pour m’attirer à elle. Maintenant nos corps se touchent , comme attirées, nos bouches partent s’unissent avant un rappel à l’ordre :
– Non ! Ne vous embrassez pas ! Chérie, pose tes mains sur ses fesses et caresses les !
– Toi, caresses les seins de Jeanne !
Nous exécutons scrupuleusement ses ordres .
– Chérie, écartes les cuisses !

– Et, toi ! la chienne tu vas passer la tienne entre ses jambes et lui frotter la chatte avec ta cuisse dit il en s’approchant de moi.
Je me colle à Jeanne et ne voulant pas être en reste j’ouvre mes cuisses. A présent, nous avons chacune une cuisse posée sur le sexe de l’autre et nous nous contorsionnons pour nous caresser .
– Chérie, approches tes lèvres des siennes !
– Doucement, pas trop près ! Écartes légèrement tes lèvres !
– Toi, sors ta langue et lèche lui les lèvres !
Très excitées par le petit jeu de Jean, nous nous exécutons docilement en continuant de nous frotter mutuellement le sexe.
– Chérie, ta chienne va maintenant entrer sa langue dans ta bouche et t’embrasser comme une pute tu vas te laisser faire, car toi, tu es ma femme adorée !
Nous nous embrassons à pleine bouche . Ce petit jeu nous excite tellement que nous soupirons de bonheur en nous frottant mutuellement le sexe de nos cuisses. Il nous regarde en se déshabillant , il ordonne après quelques instants :
– Met-toi à genoux et vient me sucer !
Jeanne saisit la queue de son mari et dépose un baiser sur le bout de son gland. Elle prend ma main et la pose sur sa bite ,elle s’écarte pour me laisser prendre le beau membre en bouche. Je fait aller et venir mes lèvres sur la queue toute raide alors qu’elle lui malaxe doucement les couilles. Je lui avale littéralement la queue en l’enfonçant au plus loin dans ma gorge. Une main de Jeanne glisse entre ses cuisses  et d’un doigt elle vient caresser son anus. Il semble apprécier cette caresse, car il gémit en descendant ses fesses vers le doigt inquisiteur. Jeanne prend ma main et porte mon majeur à sa bouche pour le sucer et l’enduire de salive. Elle retire sa main de l’entrecuisse de son mari pour saisir la mienne et l’amener au même endroit. De ses doigts elle guide le majeur de ma main vers l’anus de son mari et le pousse doucement pour qu’il pénètre en lui.

Je n’ai jamais imaginé ce genre de caresse , je regarde Jeanne d’un air interrogatif tout en suçant son mari. Elle m’encourage du regard en glissant un doigt dans ma grotte et je poursuit ma pénétration jusqu’à faire disparaître complètement son majeur dans l’anus de Jean qui gémit en me regardant . Jeanne s’allonge sur le tapis, place sa tête entre mes cuisses et attire sa chatte sur sa bouche. Elle pose sa langue sur mon clitoris bien tendu et le titille avant de parcourir toute ma fente bien lubrifiée. Cette caresse m’affole les sens , je frotte mon sexe sur le visage de ma maîtresse en activant sa bouche de plus en plus vite sur la queue de Jean. La langue de Jeanne s’est déplacée vers mon petit trou et ses assauts tendent à dilater mon anus de chienne en chaleur.

Je fait coulisser mon majeur entre les fesses de Jean et très excitée par ses gémissements, j’écarte mes fesses de ma main libre pour faciliter la pénétration de Jeanne qui vient de poser un doigt sur ma corolle. Moi qui ai toujours redoutée cette caresse je me laisse aller et va même au devant de ce doigt en poussant mes fesses en arrière. Le doigt entre lentement dans mon anus et au bout de quelques instants il coulisse librement dans l’orifice bien dilaté.

Je stoppe ma fellation pour crier .

AAARRHH. Oui . MMMHH c’est  bon.  !!!!
– je vais te faire aimer ça ! Tu vas devenir sa vraie chienne en chaleur avec moi !
– Ma chérie  vas chercher le jouet que je t’ai offert, je pense qu’il va te servir !
Elle retire son doigt de mon cul et se lève pour prendre un god-ceinture ainsi qu’un tube de lubrifiant qu’elle a dissimulé derrière le coussin de son fauteuil.

Jean m’entraîne vers le tapis du salon et après s’être allongé sur le dos, il m’attire à lui. Je pose un genou de chaque coté de son bassin et descend lentement mes hanches pour m’empaler sur sa queue épaisse . Il qui me prend les épaules pour que je  vienne poser mes seins sur son torse. Ainsi, mes fesses sont bien offertes à Jeanne qui se présente derrière moi. D’un doigt elle enduit de lubrifiant la porte de mes entrailles et le fait coulisser lentement m’arrachant un profond soupir.

Je sens les douces mains de Jeanne qui ouvrent mes fesses.

Puis un truc froid contre mon anus.

C’est Jean à présent qui tient largement ouvertes mes fesses.

Le truc froid pousse contre mon anus.
– C’est bien  comme cela….. Pousse maintenant…Va y encule la cette chienne !!
La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre la porte de mes entrailles. Je comprends ce qui entre dans mon intimité, mais c’est épais, très épais. Ma corolle se dilate douloureusement.  Les larmes inondent mes yeux tandis que je serre les dents.
Le pilon a ouvert brusquement mon muscle anal, m’arrachant un petit cri de douleur. La femme derrière moi ne me pistonne pas, mais se contente de pousser pour m’enfoncer l’engin le plus loin possible.
J’ai brusquement cru que mon ventre aller explosé sous la pénétration de ce monstre froid .

Je hurle. Jeanne agite ses hanches d’avant en arrière et fait pénétrer de plus en plus profond le gode jusqu’à le faire entrer complètement. Elle se colle à mon dos.
– Il y longtemps que je rêvais de t’enculer encore.

Elle ne bouge pas. Son bassin bien collé contre mes fesses tendus. Moi j’attends que la douleur s’estompe en cambrant bien mes reins….
– C’est incroyable ce que tu as dans ton cul……… Le gode a la même taille qu’une petite bouteille de Perrier

– Maintenant je vais te sodomiser comme ma chienne
Elle a commencé à me limer et je vois mille étoiles dans mes yeux. J’ai mal, et envie de jouir. Mon visage frotte contre le torse de Jean. La bite de plastique coulisse de plus en plus vite et Jeanne trouve le bon rythme pour me dévaster les intestins.
Elle halète et donne des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois que le bout du gode me tape au  fond ça me fait sursauter .

– Ça te quel effet de te faire enculer par une femme?…. Tu sens comme t’es dilatée ?

-Tu as vingt cinq centimètres dans le cul…. Après ça tu auras du mal à t’asseoir ma chère Nicole Les pointes de ses seins contre mon dos. Ses jambes fines contre les miennes…. Son souffle dans mes cheveux…. Et sa vitalité à me défoncer l’anus….
Je sens maintenant les deux queues en moi et je me pâme :
– Oh oui, c’est bon ! Oui prenez moi, je suis votre  chienne….. !
– C’est bon de te prendre comme une pute, dit Jeanne dans un souffle.
– Tu aimes te faire défoncer les deux trous, dit Jean.
– OOOOH Oui ! Vous me défoncez comme une pute !
– Tu sais que ton mari baise Jeanne ? dit Jean
– Pourquoi tu lui as dit, proteste Jeanne.
– Parce que ta chienne doit savoir pourquoi elle en est arrive là !
Je me redresse sur la queue de Jean et tourne la tête vers Jeanne qui prend ma bouche de ses lèvres et m’enfonce sa langue au fond de la gorge. Nous échangeons un baiser passionné.
– AAAH !! prenez-moi, défoncez-moi ! Je suis une chienne en chaleur ! faites de moi ce que vous voulez !!
– Oui et bientôt tu seras la femelle de mes chiens, dit Jeanne en m’enculant à fond.
Prise dans ma jouissance je n’ai pas compris le sens de ses paroles.

Les deux bites s’agitent dans mon ventre , je part dans une jouissance que je n’ai jamais connu jusqu’alors , Jeanne me malaxe les seins en pinçant mes tétons. N’y tenant plus, Jean se vide les couilles au fond de ma grotte , je suis devenue leur jouet sexuel. Je m’effondre sur Jean les deux queues toujours en moi. Au bout de quelques minutes, il rompt le silence :
– Ce soir nous passons notre première nuit ensemble.
– Très bien mon chéri , dit Jeanne en me prenant par la main pour m’entraîner vers l’étage. Elle m’entraîne dans la salle de bain pour prendre une douche et nettoyer son jouet qui me paraît énorme maintenant que je le vois de près , c’est ça qu’elle a rentrée dans mon cul .

Je dois avoir l’anus grand ouvert ? Je passe ma main entre mes fesses .

-Ne t’inquiète pas ! Il c’est déjà refermer ton cul . Il est prêt a en recevoir d’autre .  Me dit elle

-Jean a dit que tu couche avec mon Jacques, depuis quand ? Il a dit aussi que je suis ta chienne ?

-Oui Jacques m’a sautée deux ou trois fois, pendant que nous étions réunis dans plusieurs fêtes quelconque chez des amis commun  .

Jacques n’arrêtait pas de parler de toi comme une sainte qui ne le tromperait jamais . Alors que moi je n’hésite pas a couché avec tout les autres, il m’a dit aussi qu’il ne t’avait jamais sodomiser . J’ai donc décidée de faire de toi un objet sexuel qui se fera sodomiser par tout le monde et même plus . Sachant que Marcel  est un obsédé du sexe, je lui est demandé entre deux câlins de faire de toi une chienne toujours en chaleur. Je n’ai pas eu de mal a te droguer avec le punch , mais ce n’était pas Gilles qui devait te compromettre, mais Marcel. J’ai quand même pus prendre des photos de ton débordement .

C’est quand je suis arrivée en retard chez Laure et que je t’ai surprise avec Frédéric en plein ébat , que j’ai filmée, là j’ai su que j’avais tout les éléments pour t’asservir. La suite c’est Marcel qui s’en ai charger . Nous pensions pas que la petit drogue dans le punch réveillerait en toi de façon durable des envies de sexe . Pour l’instant ton mari n’est pas au courant que tu baise avec tous ceux que nous t’obligeons a satisfaire . Il n’en saura rien tant que tu fera tout ce que l’on te dit de faire .

– Allons manger ! Il te faut des forces pour la nuit qui fait que commencer. Pas le peine de s’habiller nous sommes entre nous .                                                                                                                   Pendant le repas Jean remplit mon verre dès qu’il est a moitié vide , je me grise toute seule de cette situation de soumise . Jean vient ce placer derrière moi pendant que Jeanne me parle de soumission

– Tient voilà ton collier puisque tu est une chienne . Dit il en me passant un large collier en cuir autour du cou                                                                                                                                         A l’humiliation d’être rabaissé au niveau d’une bête se rajoute l’angoisse de ne pas savoir ce qu’ils vont me faire subir cette nuit .

Jeanne se lève , me prend la main pour m’amener sur le tapis du salon .

-Tu es une chienne que je vais mettre en chaleur, vient embrasser ta maîtresse .

Je préfère les hommes bien sûr, mais sa douceur féminine est très agréable et sensuelle. Mais avec elle, c’est encore mieux, bien plus excitant, car nous sommes déjà amies et je suis sa soumise.
Ses paroles me troublent. Je me colle contre elle, écrasant ses seins contre les miens. Cette douce sensation me plaît particulièrement.
Nos bouches s’ouvrent et nos langues se rencontrent pour  sceller ma soumission a ma nouvelle maîtresse . Doucement je fléchis les jambes, descends doucement jusqu’à ce que ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe. Quand mes lèvres touchent son clitoris trempé, elle jette le ventre en avant pour que je boive son miel qui coule doucement.

Sa jouissance est rapide et les cris qu’elle pousse me font comprendre qu’elle en veut encore.
Tout ne fait que commencer entre nous deux , j’aime cette soumission .
Elle me relève sans me quitter des yeux, elle me lèche la  bouche, puis elle appelle .

-Brutus !!

C’est un chien qui vient immédiatement me renifler les fesses.

– Mon dieu !!! OH non !!

Pas besoin de lui expliquer très longuement. Je suis intimement persuadée qu’il a l’habitude et sait ce qu’on attend de lui, car de suite son museau entre mes cuisses cherche ma fente.
Je suis trempée, tremblante par l’excitation qui me prend le corps.

-Met toi a quatre pattes ! M’ordonne Jeanne

 

Sans mot dire, je me mets à quatre pattes comme pour une levrette, puis les reins relevés, les fesses écartées, je lui présente mon sexe affamé et gluant.
Brutus lui aussi semble nerveux, il gémit, me sent puis me lèche. Hum quel délice !

Je tends davantage ma croupe à Brutus. Un frisson me parcoure tout le corps lorsque sa langue râpeuse touche mon petit bouton. Sa langue me pénètre légèrement, puis elle remonte entre mes lèvres pour s’échouer sur mon anus. Les secondes passent, ma cyprine s’écoule de plus en plus abondement, je deviens bouillante et ce qui doit arriver arrive, je jouis. Et je ne l’ai pas senti venir.  Comme s’il savait, le chien me monte sur le dos et tout va très vite, je sens que je vais à présent me faire prendre comme une chienne en chaleur. L’idée d’être livrée à un animal devrait me faire horreur et pourtant les coups de langue m’ont chauffées de plus en plus. J’ai perdu la tête. Jamais on ne m’a léchée avec cette fougue, cette force, cette gratuité.

Excité comme il est, il donne dans sa précipitation des coups de reins dans le vide. Je sens la pointe de son sexe cogner mes fesses et les premières giclées de sperme couler le long de mes cuisses.

Malgré mon appréhension, j’ai le réflexe d’ouvrir les jambes et d’arquer le dos, m’offrant ainsi involontairement à la saillie.

– Aide le Jeanne. Il ne trouve pas l’entrée.

Elle profite que je tourne la tête, elle saisit Brutus et le guide sur mon jardin d’amour,  je pousse un cri de surprise

-NONNNN  Jeanne ! Tout, mais pas ça ! NON !

Je sens ma chatte s’ouvrir. Aidé par mon attitude soumise. Il se penche lourdement sur mon dos, ajustant sa position pour obtenir un effet maximal.

La tête posée sur mes avant-bras, je regarde entre mes jambes et je vois la main de Jeanne attraper le bout du sexe de mon futur amant et le présenter devant mes lèvres gonflées .                       – Je…Je vous en prie ! Au contact chaud de mon intimité, d’une poussée magistrale il entre d’un seul coup toute la longueur de sa hampe en se cambrant, en soulevant la croupe, il m’arrache un cri de douleur, de surprise.

– OOH ! Non ! Pas ça ! AARGH !!
-Te voilà une vrai chienne comment tu trouve ça ?
– C’est bon hein ! Il va falloir que tu t’habitue. Tu as vu avec quelle force il t’a enfilée ?

Bien logé dans mon vagin, mon amant entame des va-et-vient frénétiques. Je sens sa barre de chair rentrer en moi, là je suis bien emplie, je sens sa longue et grosse bite chaude pomper dans mon ventre. Mon amant lâche de belles giclées de foutre canin qui tapissent copieusement l’intérieur de mon puits d’amour. Après cinq minutes de ce traitement, il prend appui sur ses membres inférieurs et d’un formidable coup de rein il enfonce son nœud qui venait depuis le début frappé l’entrée de mon puits d’amour qui ne voulait pas le laissé passer. Il s’enfonce encore plus profond en moi en m’arrachant un cri de surprise, le bout de sa bite investit assez profondément mon utérus puis subitement je sens son nœud se mettre à gonfler. Mon amant me remplit au plus profond de moi-même en se projetant de plus en plus loin, c’est douloureux et bon. À chaque coup de rein, il pousse encore plus loin poussant la pointe de son sexe dans ma grotte en feu, son extrémité frappe avec une telle force mon utérus, que j’ai l’impression qu’il le traverse. La pression dans mon ventre est terrible, je jouis devant Jean et Jeanne comme une folle prononçant des encouragements à mon partenaire qui me tringle.

Se détendre avant tout, je dois me détendre pour profiter pleinement de cette délicieuse saillie.
À présent son sexe pousse plus avant, pénètre davantage, comme je ne l’ai jamais été, pleine de sa chair brûlante. Sa boule presse délicieusement les muqueuses sensibles de mon intimité. Je sens à présent mon corps frissonner, trembler, comme pris de spasmes incontrôlables. Je gémis, râle, je couine mon plaisir. Jeanne est excitée par le spectacle qui lui est offert. Elle se caresse, se doigte aussi vite qu’elle le peut, subjuguée par le tandem contre nature que nous formons.
Elle se glisse sous mon ventre. Elle me gratifie de douces caresses sur les flancs puis entre les jambes, pince au passage mon clito gonflé à éclater.

Il me retient, le museau contre ma nuque. Il déverse en moi à grands jets une semence épaisse au fond de mon vagin. Je le sens grossir encore, s’allonger me remplir intégralement le ventre. Une seconde jouissance m’envahit, suivi d’une multitude de spasmes me parcourent alors que sa liqueur chaude remplit ma grotte. Je veux être sa femelle tout le temps, porter ses chiots, être sa soumise à chaque fois qu’il en aurait envie, devenir une vraie chienne, prête à répondre à ses désirs. Je suis prise, collée à lui. Je sais que Jeanne apprécie de me voir dans cette position de chienne soumise a son mâle .

Est-ce l’odeur de Jeanne en chaleur et le fait de me saillir simultanément qui le rend aussi vigoureux ou alors simplement il prend goût à me monter. Le fait est, il me baise royalement comme jamais je ne l’ai été.
Les doigts de Jeanne font en ce moment merveille. Je ne contrôle plus rien. Je ferme les yeux, me concentre sur mon plaisir immense, imminent, imparable : je vais jouir, c’est fort. Je sens la déferlante qui grossit… inexorablement.
– ARHHHH, AHH, OUIIII !!!C’est BONNNN.
Mon cri déchire le silence qui n’était jusqu’alors rythmé que par les halètements de mon amant. Je sens un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendent le long de ma colonne vertébrale et remontent de mon bas ventre en de longs papillons frissonnants.
Mon amant continu de me baiser, en donnant de temps à autre quelques petits coups de reins afin de bien assurer la prise dans mon ventre. Dans ma semi-inconscience, je regarde sa semence suinter de mon sexe et s’écouler sur le sol.
Jeanne se penche sous moi, plaque sa bouche contre ma chatte toujours prise. Par dessous, je la regarde laper, avaler le sperme qui dégouline de ma chatte distendue. C’est sublime, elle sait y faire ma maîtresse. Je suis à présent persuadée que ce n’est pas la première fois qu’elle lèche une femme.
Ce faisant, par la positon qu’elle a été obligée de prendre pour se glisser sous mon ventre, elle m’offre ainsi une vue imprenable sur sa toison pubienne, fort bien entretenue. Son sexe est ouvert, ses poils gluants de mouille, elle aime visiblement me soumettre a son chien .

Sa langue titille mon bouton, suçant, léchant aussi les lèvres et sans doute la queue de Brutus, toujours plantée en moi. De loin, je sens arriver une nouvelle déferlante de plaisir, les premières vibrations me le disent.
Le sexe fiché en moi excite les parois de mon vagin. Les caresses buccales de mon experte maîtresse ainsi que les odeurs musquées de sa vulve dans laquelle je viens de plonger ma langue avide m’amènent sans coup férir à l’apogée de la jouissance.
La précédente vague avait été sublime, mais celle-là s’annonce dantesque.
Mon amant toujours imperturbable m’inonde de son jus . Jeanne se délecte du trop-plein coulant de long de ma fente et moi je sens que je perds tout contrôle, mon bassin s’agitant frénétiquement à la rencontre du baiseur. Je le veux encore plus en moi, plus loin.
Sa pointe est fichée au plus profond de mon puits d’amour , son bout tapisse mon utérus de jets de sperme et sa boule écartèle mes lèvres. Mes seins sont tendus comme jamais, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n’est plus qu’une zone érogène.
Je dévore la chatte de Jeanne qui me le rend bien. Elle geint comme une possédée. La situation lui a échappé à elle aussi. Les contractions dans mon anus et dans mon ventre précédent l’arrivée proche d’un nouvel orgasme.
Comme une malade, je souffle, halète, gémis, grogne et crie enfin ma jouissance. Pour la première fois, je jouis grâce à un chien en présence d’une autre femme ! C’est contre nature, mais c’est merveilleux. Tout mon être n’est que tremblements, spasmes, frissons de plaisir. Ma jouissance est si forte, que la queue de mon amant est éjectée, laissant échapper par ma grotte béante, une giclée de sperme sur le visage de Jeanne.
Je n’a jamais vu pareille abondance. Ses cheveux maculés, la bouche gluante d’un mélange de salive, sperme, mouille, elle fixe l’énorme queue qui pend devant ses yeux et continue à déverser les dernières giclées sur sa bouche affamée

Épuisée, je tombe inanimée sur le sol, parcourue par des décharges résiduelles, c’est à peine si je vois Jean se précipiter sur Brutus ,pour amener la bite de mon amant devant moi .
– Prends-la dans ta bouche ! Avale-la, suce-la !
Je me relève et sans dégoût il attrape l’énorme bite entre ses mains et me l’embouche, lui laissant lâcher les dernières gouttes de semence sur ma langue.
La taille de l’engin est toujours aussi impressionnante !
Je pompe comme si c’était le sexe d’un homme, léchant, glissant sa langue autour de la boule énorme. Je suis heureuse. Je viens en moins de deux heures d’embrasser, de lécher, de me faire lécher et de me faire baiser par un chien . Maintenant sans aucune gêne, sans aucun dégoût, je le pompe avec avidité.
– Alors! Tu as aimé ? Pour la première fois que tu fais la chienne , tu te débrouille bien ?
– C’était divin ! Je ne sais pas quoi vous dire d’autre .

– Je me suis demandé si tu ne t’étais pas déjà servi d’un chien .Me dit Jean
– Je vous jure que c’est la première fois !! Vous m’avez rendue complètement dingue ! J’ai le ventre en feu maintenant,mais je ne regrette pas .

– Nous avons d’autres amants comme Brutus , a te faire connaître .

– Reste a quatre-pattes comme une chienne que tu es devenue , tu a des hommes a satisfaire !!

 

La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture

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