L’aventure du vol New York Paris
Pour une fois, je viens de subtiliser le clavier à Brigitte pour vous raconter, l’aventure qui m’est arrivée lors du dernier voyage d’affaires aux USA. Une histoire de sexe qui devrait vous plaire !
Je voyageais en Classe affaires et j’étais assis à côté d’un couple d’environ 40 ans. La femme occupait le siège à côté ; je l’avais remarquée au moment d’embarquer, car elle était jolie et sexy avec sa mini-jupe.
Le vol se passait bien, nous avions bu plusieurs verres de Champagne et échangé quelques phrases banales, quand la nuit tomba brutalement. Les hôtesses avaient éteint les lumières et seuls les écrans diffusaient leurs images blafardes. Tous les passagers avaient sorti les couvertures dont ils se recouvraient pour pouvoir dormir au chaud.
Le mari de ma voisine, semblait très fatigué s’était rapidement endormi et sa femme couchée en chien de fusil, avait mis la tête sur sa poitrine pour tenter elle aussi de se reposer.
J’étais moi-même dans une position similaire, sous ma couverture. La proximité avec cette femme, nos positions, et le ronflement rassurant du mari, commençait à faire monter en moi une excitation. Des ondes de désir naissaient dans mon ventre. Je ne pu me retenir d’envoyer une main en éclaireur vers ma voisine. J’avançais lentement et prudemment de peur de provoquer une réaction hostile de sa part. Mes doigts butèrent enfin contre la toile de sa jupe. Je m’immobilisais afin de ressentir sa réaction.
Rien. Je bougeais imperceptiblement, alternant pressions subtiles et frôlements légers. J’étais pourtant convaincu qu’elle était éveillée. J’accentuais la pression, essayait des séries de trois pour lui montrer que ce n’était en rien l’effet du hasard, quand je sentis tout à coup qu’elle envoyait doucement ses reins vers moi. Cet imperceptible mouvement avait amplifié les battements de mon cœur qui pulsait dans mes veines des vagues de sang et de plaisir qui déferlaient sur mon sexe et me coupaient le souffle. J’imaginais qu’il en était de même pour elle et je sus que je ne pouvais plus m’arrêter.
Mes doigts reprirent leurs caresses pendant que ma main migrait doucement vers le bas de sa jupe. En atteignant l’ourlet, je m’arrêtais, repris d’inquiétude, mais un regard sur son mari qui ronflait toujours, et un nouveau mouvement de ma voisine qui remontait sa couverture au maximum me rassuraient. J’envoyais un doigt vers la chair nue que j’atteignais fébrilement. Nouvel arrêt. Pas de réaction. Je glissais doucement sur le galbe de la cuisse pour trouver l’entrejambe ou je m’arrêtais de nouveau guetter les réactions de ma partenaire.
Je bougeais le bout de mes doigts pour lui faire comprendre que je voulais poursuivre ma progression et je sentis tout à coup le compas de ses cuisses s’ouvrir lentement pour m’accueillir. Je suivais la faille qui s’élargissait et me guidait vers le cratère brulant et humide de son sexe. Je sentais les lèvres gonflées à travers le fin tissu de son string. Je les caressais avec délice, poussant jusqu’aux fesses douces et fermes. Elle poussait ses reins vers mes doigts qu’elle emprisonnait de ses cuisses. Je respirai profondément avec le ventre pour tenter de trouver un peu de calme et de lucidité, puis reprenait mes caresses en entrant toujours plus loin sous la fragile barrière de tissu.
Elle mouillait incroyablement et je sentais le liquide couler sur sa peau à travers mes doigts. Je fis glisser son string sur ses jambes. Elle m’aida à le retirer et je le mis dans ma poche. Je plongeais mes doigts dans sa fente offerte et palpai son clitoris gonflé de plaisir. En même temps mon pouce investissait son anus et après une petite résistance, il s’enfonçait d’un coup. Ma main possédait ses deux orifices en même temps et je la fouillai de mouvements circulaires et de va-et-vient ardents qui se synchronisaient avec les mouvements avides de ses reins. Je saisis son bras gauche et dirigeais sa main vers mon sexe. Elle me serra très fort. Je dégageais ma queue. Elle tirait sur ma peau pour dégager mon gland qu’elle malaxa entre son pouce et l’index. Je ne pensais plus qu’à une chose m’enfoncer et jouir dans sa fente. Je saisis doucement ses hanches et me rapprochais en l’attirant à moi. Je pénétrais facilement sa chatte trempée. J’étais au bord de l’éclatement. Je serrais désespérément mon périnée pour éviter de jouir, puis repris ma pénétration que je menais à fond ? Je sentais mes couilles contre ses fesses et ses muscles intimes me masser la verge. Je la pilonnai discrètement tout en gardant un œil sur le mari et le couloir pour prévenir l’approche d’une hôtesse. Après quelques minutes, des contractions incontrôlées de sa chatte me firent comprendre qu’elle avait un orgasme, et j’éclatais à mon tour, l’inondant de mon sperme à grandes giclées. Jamais je n’avais atteint ce niveau de jouissance.
Nous reprîmes lentement nos esprits et elle me demanda son string qu’elle rangea dans son sac à main. Elle se leva, enjamba son mari qui ouvrit un instant les yeux. Je vais aux toilettes, lui dit-elle. Quand elle revint, il s’était rendormi. Elle me regarda les yeux brillants de plaisir assouvi et m’imaginai-je, peut-être de reconnaissance et remis sa tête sur la poitrine de son mari… Depuis je ne peux prendre un avion sans repenser à cette expérience inoubliable.
Comme il est de tradition, chez nous dans notre couple, j’ai raconté toute mes aventures et en particulier celle du vol New York Paris à Brigitte, qui après m’avoir raconté les siennes, Brigitte voulait refaire la scène à l’identique dans la même position dans la même tenue avec les couvertures en prenant le canapé du salon comme siège.
Peut-être qu’un jour elle viendra avec moi et peut être qu’elle se fera prendre par son voisin.
Philippe !
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