Sensualité
Lorsque Damien se réveilla, sa mère dormait encore. Ils étaient restés dans la même position toute la nuit et le jeune homme savourait, avec délice, la douce chaleur du fessier maternel. Il laissa sa main se balader sur son corps, veillant à ne pas la réveiller. Il sourit en se remémorant ce qui s’était passé la veille. C’était tout simplement incroyable ! Coup d’œil rapide à sa montre : il était 6 h 20. Damien quitta discrètement le lit pour aller faire pipi.
Une large bosse déformait son caleçon. Lorsqu’il revint deux minutes plus tard, Damien prit le temps de regarder sa mère avec un amour et un désir fou. Elle était vraiment la plus belle de toutes.
Il soulevait doucement la couette pour la rejoindre quand Brigitte se tourna doucement vers lui, le visage plein d’amour.
« Bonjour mon ange !
– Bonjour ma petite femme ! »
Ils s’embrassèrent tendrement et Damien se blottit contre elle. Il la prit dans ses bras, la tête plongée dans ses cheveux. Leurs doigts se croisèrent et ils restèrent ainsi plusieurs secondes, silencieux. Brigitte se dégagea alors, doucement et dit :
«Mon bébé, je vais aller prendre une douche en vitesse et nous irons découvrir la ville !
– Oui maman, ça marche ! »
Elle se leva, puis lui jeta un regard terriblement coquin avant d’entrer dans la salle de bains. Damien se tourna ne pas pour la voir se dénuder à travers la vitre, même s’il en mourait d’envie. Son sexe s’était encore durci.
Il entendit sa mère ouvrir l’eau et la recouper l’instant d’après.
« Damien, mon chéri ?
– Oui, mon amour ?
– Tu sais, j’ai réfléchi, on gagnerait peut-être du temps à se doucher à deux… ! »
Le jeune homme se figea, incrédule. Avait-il bien compris ? Son cœur battait vite.
«Viens, mon bébé ! »
Il se dirigea vers la porte de la salle de bains, une délicieuse sensation de bonheur au ventre. Sa mère lui ouvrit et Damien s’arrêta net. Brigitte portait uniquement son soutien-gorge et sa culotte bleue. Ses yeux se fixèrent sur la petite tache d’humidité au niveau de celle-ci.
Brigitte dit en riant :
«Mon fils, tu n’as pas honte de me mater ? »
Damien releva la tête avec un large sourire. Il s’approcha de sa mère, posant les mains sur sa taille. Sa peau était chaude. Brigitte plongea son regard dans le sien. Il l’attira contre lui et elle sentit son pénis en érection venir presser contre son sexe. Elle respirait vite. Damien passa ses mains derrière son cou et la serra fort contre lui.
«Je t’aime, ma petite femme… !
– Je t’aime, mon homme à moi… ! »
Il recula légèrement pour la regarder, se disant encore une fois qu’elle était la plus belle des femmes du monde. Il posa ses lèvres contre les siennes et ils s’embrassèrent amoureusement. Ses mains descendirent alors plus bas, juste au-dessus de la croupe maternelle. Ils restèrent ainsi sans bouger et sans parler, ondulant seulement du bassin avec une infinie lenteur. Brigitte sentait son sexe devenir de plus en plus moite, à mesure que le pénis de son fils le compressait doucement. Des petits picotements l’envahirent lorsque Damien laissa glisser ses mains plus bas, lui massant tendrement les fesses. Imperceptiblement, ils bougeaient de plus en plus vite et Brigitte avait furieusement envie d’arracher sa culotte.
Damien, lui, se concentrait déjà pour ne pas jouir. La femme de sa vie lui faisait un bien incroyable.
Soudain, Brigitte retira son bassin et dit, la voix troublée :
« On ferait mieux d’aller dans l’eau !
– Oui mon amour ! »
Brigitte aimait qu’il l’appelât ainsi et elle ne put s’empêcher d’embrasser son fils encore une fois.
Damien se demanda alors s’il devait retirer son caleçon avant de rentrer dans la douche. Il n’osait pas, même si une énorme bosse déformait le tissu largement mouillé par son excitation.
Il y avait une large baignoire et une douche. C’est dans cette dernière, plus étroite, que Brigitte entra. Elle se tourna vers son fils, lui faisant signe devenir.
« Ce n’est pas très grand mais ça sera plus pratique que la baignoire ! »
Sa voix sensuelle, chargée de promesses, acheva de troubler Damien.
Il la rejoignit sans retirer son caleçon puis il ferma la cabine. Brigitte lui prit les mains et lui fit un nouveau baiser. Elle se tourna alors dos à lui et ouvrit l’eau.
La douche étant exiguë, il se retrouva collé contre sa mère. Celle-ci entreprit d’accrocher le pommeau de la douche en hauteur. Pas assez grande, elle galéra quelques secondes, frottant davantage ses fesses contre Damien.
« Trésor, c’est un peu haut, tu veux bien t’en occuper ?
– Bien sûr mon amour »
Damien passa ses mains autour de la taille de sa petite femme et il se saisit du pommeau. Il dut s’avancer un peu pour l’accrocher et se faisant, il plaqua encore plus fort son érection contre les fesses de sa mère.
Brigitte avait un large sourire aux lèvres. Sa culotte était totalement trempée et l’eau n’y était encore pour rien.
« Tu sais mon amour, on peut enlever nos dessous. Je te vois nu depuis ton premier jour !»
Damien hésita quelques secondes. Il bandait vraiment fort mais qu’importe finalement, sa mère avait raison. Ne l’avait-elle pas porté pendant neuf mois ? N’avait-elle pas toujours tout fait pour lui ? Il ne se fit pas prier davantage pour retirer son caleçon, libérant ainsi son sexe.
Brigitte sentait son cœur battre rapidement, c’était de la pure folie mais elle était incapable d’arrêter le cours des événements. « Cela devait arriver » se dit-elle en enlevant à son tour sa culotte. Elle sentit le sexe épais de son fils venir buter contre le haut de ses fesses. Sa vulve était terriblement humide et son petit bouton d’amour lui envoyait de délicieuses ondes de plaisir sans même qu’elle ne le touche.
Brigitte ouvrit l’eau plus fort, la réglant sur une température légèrement tiède. Elle avait assez chaud comme ça.
Damien laissa alors ses mains parcourir le corps de cette femme qu’il désirait plus que tout, glissant le long des hanches puis remonter délicatement vers l’intérieur des cuisses de la main droite tandis qu’il déposait la gauche sur le sein maternel. Son téton était déjà dur. La tension en Brigitte devenait de plus en plus intenable, elle n’avait plus qu’une envie : se donner entièrement à l’homme qu’elle aimait le plus.
« Je te veux pour toujours maman »
Ses mots l’électrisèrent et quand son fils commença à l’embrasser dans le cou, elle crut jouir sur-le-champ.
Son bassin bougeait sans qu’elle ne le contrôle, massant ainsi de son cul parfaitement ferme et rebondi le sexe de son fils. Tandis qu’une main approchait sournoisement de sa vulve, l’autre continuait à lui envoyer un plaisir délicieux en lui caressant les seins.
Quelques jours avant de partir pour Venise, elle avait fait une demande particulière à son esthéticienne. D’abord surprise puis soupçonneuse, cette dernière lui avait finalement épilé le sexe sans trop poser de question, ne laissant qu’un parfait petit rectangle de poils. Quand il effleura les grandes lèvres de sa mère, Damien sentit qu’il risquait d’éjaculer à tout moment. Sa peau était tellement douce, tellement agréable à toucher.
« Ah… »
En entendant le souffle rauque de sa mère, il parcourut un ultime centimètre et sa main se retrouva contre un véritable puits de désir en fusion. C’était vraiment humide et bien plus chaud que l’eau. Il fit de toutes petites caresses, sentant avec émerveillement le bouton d’amour sous ses doigts.
« Oh mon Damien, oh mon homme »
Le feulement ravi que lâcha Brigitte faillit définitivement le faire exploser. Il accéléra ses caresses, n’osant glisser encore de doigt dans le sexe maternel mais bien décider à offrir à sa petite femme le maximum de plaisir. Son pénis c’était quant à lui retrouver entre ses fesses, parfaitement comprimées entre deux masses chaudes. Il sentait à chaque ondulation son sexe passer contre l’anus de sa mère. C’était plus qu’un rêve qu’il vivait, c’était simplement magique.
Brigitte se retint d’abord puis en en quelques secondes, ses gémissements résonnèrent dans la cabine tandis que Damien sentait l’inévitable éjaculation monter. Il accéléra encore le rythme puis sa mère poussa un ultime gémissement, contractant ses fesses dans le même temps. Ainsi véritablement drainé par les deux globes de chairs, Damien se répandit en plusieurs jets, inondant le sillon interfessier maternel.
« Mon homme ! Tu me rends folle de plaisir !
– Maman, si tu savais comment moi je suis fou de toi ! »
Il la serra fort contre lui et l’espace d’un court instant, son sexe encore dur frôla celui de sa mère. Le contact, bien que très furtif, les troubla. Ils restèrent ainsi collés pendant de longues minutes sous le jet agréable de l’eau.
« Allez, on va vite finir de se laver parce que je sens que ça coule entre mes fesses ! »
Ils rirent tous les deux.
A Suivre
Brigitte
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