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Le voyeur du parc

Après une dure journée de travail, dès les beaux jours, mon mari Philippe et moi Brigitte, nous aimons aller nous détendre, nous promener, n’importe où, du moment qu’on change d’air, surtout oublier le stress de la journée. Souvent, nous ne rentrons pas à la maison, nous allons directement au bon endroit. De ce fait, il m’arrive même de choisir au matin (avant d’aller au boulot) ma tenue de fin d’après-midi en fonction du lieu à visiter. Quitte à devoir me changer dans les toilettes, juste avant de pointer en fin de journée et de monter dans la voiture !

Aujourd’hui, nous sommes allés dans un grand parc public doublé d’un petit bois et d’une série de lacs entremêlés. Il fait bon, autant en profiter ! Main dans la main comme si nous étions des jeunes mariés, nous parcourons les allées, croisant des joggeurs, des cyclistes, des promeneurs, bref, des personnes qui ont sûrement besoin de grand air comme nous.

Après un premier petit tour, nous préférons nous éloigner de tout ce petit monde pour chercher un endroit tranquille, un petit coin d’herbe, sans personne aux alentours, pour profiter du calme, mais surtout pour pouvoir nous câliner tranquillement.

Nous trouvons notre bonheur, sous un arbre, la température est douce. Nous nous allongeons, c’est le paradis, ma tête posée sur la poitrine de mon homme, je ferme les yeux, je ne pense plus à rien. Sa main caresse doucement mes cheveux… Nos regards qui se croisent, nos lèvres qui se rapprochent, un premier petit bisou, puis un autre plus…

Appuyé, nos doigts qui se cherchent, un moment à nous, rien qu’à nous. Nos baisers deviennent nettement plus brûlants et voraces !

Partie dans mon élan, je déboutonne sa chemise, j’embrasse son torse, je mordille ses tétons. Puis, jetant un coup d’œil aux alentours, je descends plus bas, caressant son sexe à travers le tissu de son pantalon. Je le sens grossir sous mes doigts, ce qui me fait jubiler ! Ça me donne alors l’audace de le sortir, le prendre dans ma bouche, de le lécher, de le déguster…

Je sens que cela lui plaît à la façon dont il se tortille, mais peu après, mon homme se retire de ma bouche et il se reboutonne prestement :

— Dis donc, grosse cochonne, tu ne peux pas attendre d’être à la maison ?

— Avoue que cela te plaisait, non ?

— Je ne dis pas le contraire, mais quelqu’un peut passer !

— Et alors ? C’est ça qui est excitant !

Mon mari ne répond pas tout de suite, marquant un temps d’arrêt, puis il finit par lâcher :

— Tu es intenable, insortable, une petite obsédée !

— Oui mon amour, la preuve !

Je lui prends la main, je la passe en dessous de ma jupe, pour poser sur ma chatte :

— Regarde ! Je suis toute trempée !

— Mais ! ? Tu… Tu n’as pas de culotte ! ?

— Ben non…

— Tu as été au boulot comme ça ! ?

— Ben oui, mais ce n’est pas grave…

Il me regarde avec des gros yeux ronds :

— Tu fais ça souvent ?

— Meuh non, c’est la première fois.

— Ah hem, j’ai du mal à te croire…

— Comme tu veux ! Mais arrête ton questionnaire et caresse-moi la…

… Chatte, j’ai très envie !

— Oh non alors ! Tu serais trop contente ! Lève-toi, on va continuer notre promenade.

Boudeuse, je m’exécute en tentant toutefois de poser une main sur sa braguette, main qu’il chasse aussitôt. Tandis que je me relève, il en profite pour me mettre une petite tape sur les fesses. Furtivement, je regarde autour de moi, puis je soulève ma jupe :

— Oui, oui ! Donne-moi une fessée, mon amour ! Vas-y, je suis une très vilaine fille qui n’a pas mis de culotte ! Allez, donne-moi une fessée !

Surpris, mon homme met un certain temps avant de réagir :

— Ce n’est pas vrai, mais tu es déchaînée aujourd’hui ! Allez, remets ta jupe en place correctement, et crois-moi, quand on rentrera, tu l’auras ta fessée, et même deux !

— Maintenant ! C’est maintenant que je la veux ! Maintenant !

— D’accord, alors on rentre !

— Ah non !

— Bon, on va marcher un peu, en espérant que ça te calme, et si ça ne suffit pas, le premier cours d’eau que je vois, je te jette dedans ! Là, je suis sûr que ça te calmera !

— C’est ce que tu crois, parce que, quand j’ai envie, j’ai envie !

— Allez viens, Miss Chatte-En-Chaleur.

Nous avançons tranquillement. Sentant une présence, je tourne la tête, et là, je découvre dans un bosquet un jeune homme qui nous regarde. Jeune, peut-être pas, mais il m’a semblé être jeune. Tout de suite, je me dis qu’il a dû voir le spectacle. Peut-être pas, car nous étions un peu loin, il a simplement vu que j’avais levé ma jupe et c’est tout. Et…

Puis comme on dit, « un cul vu, n’est pas perdu »

Tout le long du chemin, j’asticote mon bigot de mari, je le pelote, je lui pince les fesses, je passe même carrément ma main dans son pantalon. Mais dès que je vois quelqu’un au loin, j’arrête, histoire de lui faire voir que je sais quand même de me tenir, puis l’alerte passée, je recommence de plus belle, une fois qu’il n’y a plus personne. Je vois bien qu’il essaye de se contenir, qu’il fait des gros efforts, mais la bosse dans son pantalon m’indique clairement qu’il aime ça ! Amusée par cette situation, je souris, lui demandant effrontément :

— Tu vas savoir résister jusqu’à la maison ?

— Bien sûr, j’ai un très grand contrôle sur moi-même, et laisse-moi te faire remarquer qu’en général, quand un couple se promène dans un parc ou un bois comme nous le faisons, c’est souvent l’homme qui prend l’initiative de peloter sa partenaire et pas l’inverse.

— Tu sais que tu retardes d’un siècle ou deux ? Et quand l’homme ne fait rien et que la femme a une énorme envie, qu’est-ce qui se passe ?

Il me regarde en souriant :

— Elle se contrôle comme moi, en ce moment, pour ne pas passer pour une obsédée.

— Tant pis ! Car moi, je suis une obsédée, une obsédée de ton petit cul bien ferme, de ta bite bien juteuse, et j’aime ça ! Allez, fais-moi voir que tu es un gros salaud comme la plupart des hommes, et viens me prendre dans les buissons, là, tout de suite !

Et je chantonne aussitôt :

Celui qui me sert (hélas) de mari…

Soupire bruyamment :

— Oh là ! Il fallait que je tombe sur l’une des rares femmes folles de fesses !

— Et moi, il fallait que je tombe sur l’un des rares hommes qui n’osent même pas profiter de leur bonne étoile ! Tu parles d’un mari ! Pff !

Mon homme hausse le ton :

— Attends, attends ! Il me semble bien qu’à la maison, je ne te refuse rien, il me semble !

— Oui, à la maison, mais c’est fade ! C’est nettement plus excitant, là, dehors !

— Oh là ! Mais quelle femme, mais quelle femme ! Tu ne peux pas rester tranquille cinq minutes et profiter simplement de notre balade ?

Mais je ne prête plus l’oreille aux récriminations de mon homme, car à nouveau, je sens une présence. En effet, sur ma droite, je découvre la même tête que tout à l’heure. C’est furtif, car il s’est aussitôt caché, mais c’est bien le même homme. Donc, nous avons droit à un voyeur qui nous suit. Qu’a-t-il vu ? Que je pelote mon mari ? Que je lui pince les fesses ? Que je mets même carrément ma main dans son pantalon ?

Doucement, une idée germe dans ma tête :

— Quand je pense que des tas d’hommes aimeraient bien prendre ta place !

— Ben tiens !

— Et si on se déniche un coin tranquille, tu me fais mon affaire ?

— Tu as de ces façons de voir les choses, c’est… C’est effrayant !

— Oui ou non ?

Il soupire bruyamment, se gratte la tête. Je m’impatiente :

— Oui ou merde ?

— Si je prenais la « merde », tu dirais quoi ?

— Je ne sais pas s’il y aurait des mots assez forts pour…

Exprimer clairement et précisément le fond exact de ma pensée, mon cher mari !

— Hum hum… Je vois… C’est vrai qu’un petit coin tranquille, ça ne serait pas une mauvaise idée…

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour glaner un peu de plaisir ! Nous nous enfonçons dans la partie boisée du parc. De temps à autre, je jette un petit coup d’œil en arrière ; oui, notre voyeur nous suit. Après quelques recherches, nous trouvons notre bonheur, un coin de verdure bien encadré de buissons et éloigné des chemins. Alors que je m’assieds sur l’herbe, je découvre sous un buisson un préservatif, puis deux, et puis encore un autre, un peu plus loin. J’arrête de compter, sinon le romantisme de l’endroit va décliner. Quelque chose me dit que le coin est fréquenté.

Toujours est-il que ma prude de mari devient un peu plus entreprenante, il était temps ! Quand il est à l’abri des regards, il se transforme en petit pervers, mais sous le regard des autres, c’est Sainte Ni touche ! C’est trop triste ! Néanmoins, je ne vais pas bouder mon plaisir sous ses baisers enfiévrés et ses mains baladeuses…

Nos lèvres se séparent, j’ai dans l’idée de continuer, là, où j’en étais tout à l’heure. Je le repousse afin qu’il s’allonge dans l’herbe. Je descends plus bas, caressant son sexe à travers le tissu de son pantalon. Je le sens grossir sous mes doigts, ce qui me fait jubiler ! J’adore savourer ce pouvoir que j’ai sur le cinquième membre des mâles ! Ça me donne alors l’audace de le sortir, le prendre dans ma…

Bouche, de le lécher, de le déguster…

Je sens que cela lui plaît à la façon dont il se tortille ! Et moi, j’adore sa sucette de chair bien raide et frémissante ! Oui, j’aime être une grosse dévergondée à mes heures… Et autres épithètes comme gourgandine, perverse ou même salope…

Soudain, j’entends comme un petit bruit devant moi. Sans lâcher la queue que j’ai en bouche, je lève un peu le nez pour découvrir furtivement un visage qui commence à m’être familier. Mon jeunot veut jouer les voyeurs ? Pas de problème, je vais te lui en donner, moi, du spectacle !

Déployant tout mon art en la matière, je confectionne une longue et suave sucette à mon homme. Je sais qu’il adore ça, et moi aussi. De plus, mon voyeur semble apprécier ce que je suis en train de faire subir à cette belle queue bien dressée ! Je parie qu’il voudrait que je lui fasse la même chose ! Eh bien, non, c’est mon mari qui en profite !

Quoique… Je me demande : si mon jeunot osait sortir de sa cachette, bite à l’air, qu’est-ce que je ferais ? Je pousserais des hauts cris ? Je le sucerais quand même ? Bonne question ! À bien y réfléchir, c’est une histoire de contexte et de feeling… En général, je dirai non, il n’y a qu’un seul homme avec qui je fais des grosses cochonneries. Mais je reconnais que parfois, une petite digression, ça fait du bien…

En attendant qu’il se passe peut-être quelque chose, je lèche, je suce, je tète, je suçote ce bâton de chair qui est à mon entière disposition, tandis que…

Mon mari me caresse les cheveux, jouant avec quelques mèches. Je l’entends qui soupire d’aise, sa tige frémissante dans ma bouche m’indique clairement qu’elle se contient comme elle peut, histoire de faire durer le plaisir.

Durant tout ce temps, mon voyeur n’en perd pas une, et vu certains frémissements, je parierai qu’il est en train de se branler. Tu peux, mon coco, tu peux ! Et la suite va te faire cracher tout ton jus !

J’ôte de ma bouche la queue de mon mari pour lui annoncer :

— Je veux aller sur toi !

— À ton service !

Je me relève, je remonte ma jupe, présentant mon cul nu au bosquet où est caché mon voyeur, et sans trop de préambules, je m’assieds sur la bite bien raide de mon homme. Son engin entre en moi avec facilité, largement aidé par une chatte détrempée, parce que moi, dans le sexe, je ne fais pas semblant, contrairement à certaines !

C’est alors que commence une folle cavalcade, moi fichée, empalée sur cette belle queue qui me fait tant de bien ! Avide, mon mari capture mes seins, les faisant rapidement jaillir à l’air libre, les caressant, les pétrissant, les malaxant, tandis que je m’agite comme une vulgaire fille de joie autour de son joystick, autour de son pieu bien ancré en moi, bon gros pieux autour duquel je pivote, je virevolte, je m’agite, je tressaille. Dieu que c’est bon ! Trop bon !

Tu nous as suivis, petit voyeur ? Tu vas en avoir plein les mirettes !

C’est carrément un rodéo que je m’offre, bien embrochée sur mon homme. Je M’agite à lui déraciner la bite, à l’arracher de sa base pour l’avoir rien qu’à moi, rien qu’en moi, au fond de moi, afin qu’elle m’envahisse totalement ! Je vois bien, entre mes yeux mi-clos, que mon mari a du mal à se contenir, que sa queue est malmenée, mais je veux du plaisir, je veux mon plaisir, je veux qu’il éclate en mille morceaux, qu’il me transperce, qu’il m’irradie, qu’il explose, me dispersant partout !

Oh oui, un bon plaisir bien bestial qui m’expédie au septième ciel, au huitième, au neuvième !

— OOOOOH oui ! Ah que c’est bon ! Bon !

C’est alors qu’une vaste vague me submerge, des petits cris rauques sortent de ma bouche avide d’air, je me sens remplie par plein de sperme chaud et gluant. Mon homme et moi, nous décollons, nous dérivons, les sens hagards, nos corps tressaillant !

Puis un voile noir s’abat sur moi ; vaincue, repue, je m’affale sur le torse de mon donneur de plaisir.

Le calme, le repos, la quiétude…

Avachie sur le côté, mon cul toujours bien en évidence et dirigé vers un certain bosquet, je suçote la bite flasque et gluante qui vient de me donner tant de plaisir. Tandis que je m’active mollement, je sens distinctement le sperme qui s’échappe de ma chatte, …

Maculant ainsi ma cuisse de ses longues traînées luisantes.

En parlant de traînée, c’est un peu à ce que je viens de jouer devant un spectateur unique… Mais peu importe, j’en ai bien profité ! Et mon voyeur aussi, je suppose. Je pense qu’il s’est éclipsé quand j’ai eu fini de nettoyer la queue poisseuse de mon mari. Non, il n’a pas osé de dire ou nous faire un petit coucou. Dommage, ça m’aurait amusée !

Un peu plus tard, main dans la main, mon homme et moi regagnons lentement la voiture, toujours baignés par le soleil et une douce brise. Alors que nous sortons du parc, mon mari se penche sur moi pour me murmurer :

— Y a pas à dire, te donner en spectacle, ça te stimule un bon coup ! D’ailleurs, toi-même, tu es un bon coup !

J’ouvre de grands yeux étonnés, mais vu son air, je sais que je n’arriverai pas à en savoir plus, tout au moins maintenant. Néanmoins, je m’offre le luxe de lui demander :

— On pourra venir souvent se balader dans ce parc ? Si tu vois ce que je veux dire ?

— Pas de problème… Tu pourras même te balader avec une pancarte dans le dos : Voyeurs bienvenus.

Décidément, mon homme sait souffler le chaud et le froid, mais cette idée n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde !

Brigitte

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