Leçon de batterie torride : rythme et passion déchaînés

Je frappai à la porte. Une femme séduisante, la quarantaine éclatante, ouvrit en débardeur et jupe en jean mi-cuisse. Je ne pus m’empêcher de sourire et de la détailler de haut en bas.

« Salut, je suis Édouard. Vous devez être Julie ? »

« Oui, le batteur ! » répondit-elle avec un sourire. « Entre. Un café ? »

« Avec plaisir », dis-je tandis qu’elle m’entraînait vers la cuisine. Deux choses me frappèrent : son déhanchement rythmé et une énorme bouteille de Baileys près de la machine à café.

Elle me tendit une tasse, et je sentis que le café était corsé. Parfait.

« Allons-y », lança-t-elle, me guidant à travers la maison jusqu’à une petite pièce insonorisée. Elle contenait une batterie Yamaha compacte, une chaîne stéréo, deux chaises, un bureau et un canapé.

« Wow, Julie, quel super espace ! C’est incroyable. »

« Merci, c’est mon refuge », dit-elle. « On commence ? »

Julie m’avait briefé sur son expérience. Elle avait joué un peu, mais le travail l’avait accaparée, et elle n’avait pas pratiqué depuis six mois. Elle voulait s’y remettre.

« OK, Julie, assieds-toi et joue-moi un groove simple. Ce que tu veux, à n’importe quel tempo. »

Je la regardai contourner son tabouret et s’installer, saisissant ses baguettes. J’étais près de la grosse caisse, et lorsqu’elle posa ses pieds sur les pédales, sa jupe remonta, révélant une culotte en dentelle noire.

Ma bouche s’assécha légèrement. Elle entama un groove simple à environ 90 bpm, avec un bon contrôle et un rythme solide. C’était plaisant, et je me surpris à bouger les hanches.

Elle ressentait le rythme, un bon signe. Moi aussi. À chaque coup de grosse caisse, sa jambe droite se soulevait, m’offrant une vue parfaite sous sa jupe. Je me demandais ce qu’il y avait sous sa culotte et si elle savait l’effet qu’elle me faisait.

« Cool, Julie, arrête là. Très bien. Et tes rudiments ? Tu veux me les montrer ? »

Elle soupira, et je compris son sentiment. Comme moi, elle détestait les rudiments. Je les avais toujours haïs, mais une fois maîtrisés, ils sont tellement utiles.

Elle commença par des simples, passa aux doubles, diddles et triplets. Hmm, son expression trahissait son inconfort.

Je l’observai un moment. Une femme très attirante, avec de belles jambes et une poitrine généreuse. Sans soutien-gorge, ses tétons durcis semblaient pointer sous l’effort de la batterie.

En discutant de l’importance des rudiments, je ne voyais que ses jambes s’écarter légèrement, puis se refermer, s’ouvrir, se fermer, sans cesse. Une chaleur envahit mon entrejambe, mon esprit s’emballant. Je l’imaginais, Julie, dans divers états de nudité, sur le bureau, sur le canapé.

« Ça va ? » lança-t-elle.

« Oh, oui, désolé. Je pensais à quelque chose que tu pourrais essayer. Une petite correction technique sur ta posture. Je vais te montrer. »

Je passai derrière elle et posai mes mains sur ses épaules, les tirant légèrement en arrière. Son parfum m’enveloppa, et je laissai échapper un soupir. Elle sentait divinement bon.

« Essaie de te tenir plus droite, Julie, et de regarder vers l’avant, au-dessus de la grosse caisse. Tu es un peu tendue aux épaules, alors relâche-toi et rejoue. »

Elle reprit son groove, plus détendue, un sourire aux lèvres, visiblement plus à l’aise.

Soudain, elle s’arrêta, gr ­­grimace, saisissant son épaule.

« Ça va ? »

« J’ai une petite douleur là, que je n’arrive pas à atteindre. Tu peux ? »

Je posai mes mains sur ses épaules et massai doucement. Elle soupira et rejeta légèrement la tête en arrière.

Soudain, elle saisit mes mains et les plaça sur ses seins, les guidant. Je ne résistai pas, me penchai et embrassai son cou tout en pressant ses seins.

Ils étaient parfaits sous mes mains, qu’elle maintenait en place, caressant et pressant tandis que j’embrassais sa peau. Son parfum était enivrant, ses soupirs accompagnaient mes lèvres.

Je remontai mes mains et fis glisser les bretelles de son débardeur, dévoilant ses seins et ses tétons durcis. Elle repoussa son haut, et je pris ses seins à pleines mains, taquinant ses tétons avec mes doigts.

Sa tête en arrière, je l’embrassai sur la bouche, doucement, nos langues se rencontrant tandis que je jouais avec ses tétons.

Je sentis son tabouret pivoter, ses jambes s’ouvrant et se refermant, révélant à nouveau sa culotte. Mon sexe durcissait dans mon short alors que nous nous embrassions.

Je me redressai, la fis pivoter sur son tabouret, plongeai dans ses yeux et l’embrassai à nouveau, plus fort, avec urgence.

Mes lèvres glissèrent vers son cou, puis vers son sein droit. De légers baisers couvraient sa peau. Elle tenait ma tête entre ses mains.

Son téton était là. Je l’embrassai, le léchai, le rendant humide et dur. Elle gémissait tandis que ma langue l’enlaçait. Je le suçais doucement, le léchais, le titillais, pendant que mes mains descendaient le long de ses flancs, vers ses hanches et sa cuisse.

Son effet sur moi était intense. Mon sexe était dur et humide.

J’adorais ses seins. Tellement.

Puis je descendis, embrassant chaque parcelle de peau, jusqu’à ses cuisses. Sa vulve, couverte de sa culotte, était juste devant mes yeux.

Je l’embrassai là, puis fis glisser mon pouce sur sa culotte, de haut en bas. Elle gémit au-dessus de moi, caressant ses propres seins et tétons.

Mes mains repoussèrent sa jupe, et elle souleva ses fesses, me permettant de saisir sa culotte et de la faire glisser jusqu’à sa cheville.

Je levai les yeux et souris avant de poser ma bouche sur la sienne. Son odeur était enivrante. Son goût, délicieux.

Ma langue glissa sur ses lèvres humides, les écartant légèrement avant de s’arrêter à son entrée. Elle vibra rapidement, légèrement. Sa main sur ma tête m’attira plus près.

Ma langue s’enfonça lentement, plus profondément à chaque mouvement. Les hanches de Julie s’avançaient à ma rencontre, ses cuisses m’enserrant.

Je retirai ma langue et léchai lentement vers le haut, écartant ses lèvres, atteignant son clitoris gonflé. Elle gémit lorsque ma langue le toucha, ses cuisses s’ouvrant plus largement.

Tellement belle, tellement chaude.

Je repris à son entrée et léchai lentement jusqu’à son clitoris.

Encore, Julie.

De longs coups de langue lents, de son entrée à son clitoris.

Ses hanches réagissaient, pressant contre ma langue.

Mon sexe était si dur, tendu contre mon short. Je défis ma ceinture, l’ouvris pour me soulager, et plaçai mon majeur à son entrée.

Je suçai son clitoris et glissai mon doigt en elle.

« Oh, putain », gémit-elle au-dessus de moi.

Je gémis dans sa vulve, recourbant mon doigt pour toucher son point G, continuant à lécher son clitoris, le titillant tandis que mon doigt dansait en elle.

Nous trouvâmes un rythme, un tempo parfait. Ses hanches, ma langue, mon doigt, synchronisés.

Je sentis sa vulve se resserrer, ses mouvements s’accélérant. Une main sur ma tête, l’autre pressant son sein, roulant ses tétons.

Le tempo s’accéléra. La respiration de Julie devint plus profonde, plus lourde.

« Oh, putain, putain », gémit-elle alors que nous passions en surrégime.

Je sentis qu’elle était proche de jouir lorsqu’elle tendit la main vers mon sexe, le saisissant, le caressant.

« Oh, mon Dieu », criai-je, tout en continuant à la lécher et la doigter.

« Je vais jouir, Édouard », gémit-elle. « Mets-le en moi pendant que je jouis. »

Ma langue s’emballa sur son clitoris. Mes doigts suivirent le rythme, la poussant plus loin.

Alors qu’elle commençait à jouir, elle saisit mes fesses et m’attira dans sa vulve étroite, gémissant tandis que je m’enfonçais profondément, fort.

« Oh, oui, mon Dieu », gémit-elle, jouissant sur mon sexe, le serrant fort.

Je tombai sur elle, la tenant, frottant, l’aidant à atteindre le sommet, l’embrassant.

Alors que son orgasme s’apaisait, je murmurai à son oreille.

« Wow, Julie, incroyable, mais maintenant, je vais te prendre. »