L’initiation de Véronique ! 5
Mon frère fut un bon initiateur durant quelques mois. Il m’apprit les diverses méthodes de contraception (bien qu’au collège et au lycée nous avons participé à des séances d’information) mais surtout il m’indiquait comment faire l’amour (les principales positions pour avoir du plaisir) et les pratiques sexuelles possibles ; sa copine Stéphanie était une bonne maîtresse et il la recevait tous les mercredis durant l’absence de nos parents.
Mon corps réclamait presque chaque jour sa part de caresses et de jouissance et je ne m’en privais pas. Il me tardait de découvrir la pénétration et ses sensations. C’est le jour de mes dix-huit ans que je fis la connaissance de mon prince charmant : Henri me poursuivait de ses assiduités depuis la rentrée mais je ne m’en retournais pas préférant la compagnie de mes copines avec lesquelles nous parlions de tout et de rien mais souvent de nos activités sensuelles et sexuelles. Laure ma préférée m’a avoué qu’elle couchait régulièrement avec Gérard et que c’était formidable de baiser. Elle me fit aussi la remarque qu’Henri lui avait avoué qu’il en pinçait pour moi. Je me décidai alors à lui donner sa chance. J’acceptais donc son invitation au cinéma le jour de mon anniversaire, un samedi soir. Assis dans le noir il me caressa le bras en m’avouant sa passion secrète. Il osa me donner un bisou dans le cou qui me fit frémir de joie.
La glace était rompue… Il me complimenta sur ma gentillesse, ma beauté, ma féminité, mes yeux, mes seins, qu’il essaya de peloter légèrement par-dessus mon corsage. Je buvais ses paroles douces à entendre car il avait une voix suave et chaleureuse. Je le laissais faire. Il s’enhardit à poser une main sur ma cuisse et à glisser lentement de bas en haut et de haut en bas. Il s’insinua sous ma jupe et instinctivement je serrais les cuisses. Il n’essaya pas d’aller plus loin mais continua de frotter ma cuisse sur le collant ce qui m’électrisait. J’étais bien. Nous approchons de la fin du film et je sentais mon désir monter. Il se rapprocha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je répondis à son baiser en desserrant les lèvres et en le laissant toucher ma langue de la sienne. Son souffle chaud me fut plaisant et j’appuyais ma bouche pour qu’il continue plus profondément, ce qu’il comprit. Son long baiser me fit alors jouir si intensément que j’en ai éprouvé un frémissement qu’il ressentit.
« C’est bon me chuchota-t-il ? »
« Oh oui ! C’est mon premier baiser passionné et tu m’as fait jouir ! »
« Je peux constater ? »
« Oui ! Mais soit discret… »
Il remonta sa main sous ma jupe vers ma chatte trempée. Même au travers des collants il put ressentir l’humidité qui s’était écoulée de mon sexe chaud et moite.
« Et moi tu me laisses sur ma faim ? » m’interrogea-t-il alors.
Je posais une main sur son pantalon entre ses cuisses et je touchai une bosse énorme qui en disait long sur son désir et sur les dimensions de son engin. Je le frottais un peu au travers de son pantalon. Il soupira, se contracta fermement, et se détendit. Je sentis des contractions au travers du tissu : il éjaculait dans son slip.
« Merci me souffla-t-il à l’oreille, tu es adorable »
« Viens chez moi mercredi après-midi, je suis seule ? Nous pourrons nous découvrir, mais prends, tes précautions. Je ne prends pas encore la pilule ! »
« D’accord ma chérie ».
Le film s’acheva sur ces mots et j’étais heureuse. J’avais un ami (amant pas encore) que je ne demandais qu’à apprécier et à connaître. Mais cela commencera mercredi prochain. Il me raccompagna jusque chez moi en m’embrassant à tous les coins de rue tout en me pelotant. Comme c’était bon d’avoir une épaule pour reposer sa tête et des lèvres pour accueillir ses baisers. Il m’en fit un long dernier avant que je ne rentre et qu’il ne s’éloigne.
Maman ne me fit aucun commentaire ce soir-là et nous parlâmes de choses et d’autres durant la soirée. Ma nuit fut remplie de rêves érotiques, d’images de bites juteuses et de chattes mouillées. Ce ne fut que baisers et caresses.
À mon réveil ma culotte était mouillée et mes doigts sentaient le sexe…Maman fut alors ma confidente du jour. Je lui annonçai que j’avais un amoureux et que j’avais besoin de la pilule. Elle me remercia de ma confiance et me dit que nous ferions le nécessaire durant la semaine. Elle me donna alors deux des préservatifs que papa utilisait en m’en expliquant l’usage (ce que je savais mais je ne lui ai pas dit). Je faisais mon entrée dans le monde des adultes responsables et n’allais pas m’en priver. Mais cela est pour la suite.
L’initiation de Véronique ! 6
Ma première fois !
Vous imaginerez aisément l’état dans lequel je me suis trouvée durant les quelques heures qui ont séparé mon premier flirt de mon rendez-vous. J’avais hâte d’être mercredi après-midi. Les cours m’ont paru interminables et j’avais beaucoup de mal à me concentrer sur mon travail. Les nuits étaient emplies de rêves érotiques en compagnie de mon prince charmant qui me faisait découvrir l’ivresse de l’amour sous toutes ses formes. Bref, le mercredi arriva. Je passai la matinée à me préparer afin d’accueillir Henri comme il se devait. Mon frère m’avait annoncé qu’il avait un déplacement de foot. J’étais donc seule et ravie de l’aubaine. À treize heures trente comme convenu, je n’attendis pas le coup de sonnette pour lui ouvrir la porte et mes bras.
Ce fut le point de départ d’un après-midi torride. À peine enlacée et embrassée, je me sentis fondre. Je mouillais déjà sans avoir été touchée. J’entraînai Henri dans ma chambre. Un long strip-tease mutuel commença alors. Chacun ôta une pièce de vêtement de l’autre avant de lui prodiguer ou caresse ou baiser en alternance. Lorsqu’il dégrafa mon soutien-gorge, il me complimenta sur la beauté de mes seins en forme de poire. Il en profita pour les frôler d’abord puis les malaxer ensuite avant de gober les pointes durcies ce qui me fit frémir. Sa langue m’était douce sur ma peau parfumée de mes nichons puis de mon ventre… Ses mains étaient partout en même temps tant il était avide de me découvrir. Ma nuque, mes cheveux, mon dos, mes bras. Ah ! La douce sensation que procure une caresse au creux du coude ! Il effleura délicatement ma colonne vertébrale jusqu’à l’élastique de mon string blanc. Il en suivit le dessin autour de mes hanches, puis de mes fesses et il osa glisser le doigt sur le tissu pour frôler ma fente.
« Tu mouilles déjà ma chérie ! C’est donc si bon ? »
« Oh oui ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Je t’en prie… »
« Avec plaisir ! C’est si agréable de te toucher depuis le temps que j’attendais ce moment ».
« Je t’aime Henri ! »
« Moi aussi Véronique, je t’adore ! »
Ces mots furent suivis d’un fougueux baiser durant lequel Henri fit glisser mon string le long de mes jambes. En me baissant pour l’ôter, je pus voir une énorme bosse qui faisait gonfler son pantalon. Je défis la boucle de sa ceinture, descendis la fermeture lentement, baissai le pantalon… Dans son caleçon j’aperçus un joli sexe tout raide. Il baissa alors lui-même le dernier rempart qui le protégeait de mes regards. Je découvris un joli pénis tout rose surmonté d’un gland bien rouge, luisant de désir, une goutte perlant à l’entrée. Je posai mes lèvres sur le bout et déposai un petit bisou tout en absorbant la goutte de jouissance. C’était le troisième sexe masculin que je voyais et je salivais d’envie. Henri me dit :
« Caresse-moi car je ne vais pas tenir longtemps, je suis trop excité… »
Comme me l’avait montre mon frère, j’entourai sa bite de mes doigts et le branlais lentement. Il se cambra en arrière et, saisissant son mouchoir Henri déchargea son foutre en abondance dans le tissu pendant que je tenais toujours son engin dans la main afin de percevoir les contractions.
« Comme c’est bon de se faire caresser par une main féminine. Tu es la première femme à me toucher et à voir ma queue ».
Je me relevai et l’embrassai longuement. Lentement il me fit basculer sur le lit et nous nous retrouvâmes allongés l’un près de l’autre. C’est alors lui qui me caressa les jambes, les cuisses et, glissant les mains vers mes pieds il s’installa entre mes cuisses. Sa bouche se posa sur ma vulve duveteuse et de sa langue mouillée il commença à lécher mes lèvres intimes puis de deux doigts il fit rouler mon clitoris ce qui déclencha en moi des sensations incroyables, plus violentes que celles que je me donnais le soir. Un homme me faisait jouir !… Il se mit alors tête bêche toujours en me léchant la chatte. Je repris sa bite en main et le masturbais lentement alternant léchage et suçotements ce qui provoqua l’effet attendu : une nouvelle érection.
« As-tu apporté ce qu’il faut ? »
« Oui, prends-les dans ma poche du pantalon ! »
Je sortis une boîte de préservatifs, en préparais un et le déroulais posément sur sa verge raidie de désir. Heureusement que mon frère m’avait expliqué la pose… Je poursuivis mon exploration par ses couilles gonflées, peu poilues, mais d’une belle grosseur. Délicatement il remonta vers ma bouche et lorsqu’il m’embrassa une nouvelle fois, il glissa une main sur mon ventre, m’écarta les lèvres vulvaires et je perçus son gland à l’entrée de ma grotte d’amour.
« Vas-y doucement, c’est la première fois. Je suis vierge et j’ai peur d’avoir mal ».
« Ne crains rien, me répondit Henri. Pour moi aussi c’est la première fois. Je ne voudrais pas rater cette expérience ».
J’écartais les cuisses et ramenais mes talons vers mes fesses pour lui faciliter la tâche. Il força à peine… J’étais tellement lubrifiée que sa colonne de chair s’enfonça millimètre par millimètre sans aucune difficulté. Soudain je perçus une légère douleur.
« Arrête-toi un instant s’il te plaît ! »
Il obéit et ne bougea plus. Je savourais ce moment unique : j’allais perdre mon pucelage.
« Vas-y maintenant ».
Un coup de reins plus fort et… Dans un râle de jouissance, je perdis ce fameux pucelage. J’étais femme…
« Bouge lentement, j’ai un peu mal ».
Il s’exécuta. Ses va-et-vient se firent de plus en plus profonds puis soudain il accéléra, soupira, souffla de plus en plus fort. De mon côté je sentais ses coups de boutoirs au tréfonds de mon vagin ce qui me fit le resserrer autour de son sexe. Il dut apprécier particulièrement car dans un râle long et langoureux il explosa dans une série de contractions et il expulsa son sperme avec une telle force que je ressentis les jets sur le fond du vagin.
« Ah ! Que c’est bon ! Serre tes cuisses maintenant ». Les cuisses fermées je percevais toujours ses contractions qui n’en finissaient pas.
« Merci Véronique ! Tu as été formidable ».
« Et toi aussi Henri. J’ai à peine souffert grâce à ta délicatesse ».
Il se retira, s’écarta et ôta le préservatif plein de sa jouissance. Un peu de sang le tachait.
« Regarde la quantité ! Ce n’est pas étonnant depuis que je t’attendais. C’est meilleur que de se branler tout seul dans son lit ».
« Et pour moi aussi, j’ai bien plus joui que quand je me caresse seule ».
Allongés nus l’un près de l’autre nous nous sommes encore et encore embrassés, caressés, nos mains se cherchaient, se trouvaient ou s’égaraient partout sur nos corps. Comblés mais non repus nous avions envie de recommencer. Nos sexes se cherchèrent, nos mains les couvrirent, une nouvelle érection débutait pour Henri. Je l’entretiens jusqu’au maximum et il posa une nouvelle capote avant que je me retourne en levrette pour lui présenter ma chatte ouverte et bien huilée. Il s’introduisit une nouvelle fois et me pistonna alors lentement, longtemps, profondément. Je lui caressais les boules d’une main, flattant ses cuisses jusqu’à ce qu’il décharge sa semence au bout d’une bonne demi-heure.
Enfin soulagés nos sens se calmèrent et nous discutâmes encore un long moment envisageant notre avenir commun, parlant mariage, enfants, projets… Bref nous étions heureux de nous être trouvés. C’est alors que nous entendîmes la porte d’entrée s’ouvrir ! Mon frère rentrait de son foot, il était 18 heures. Mes parents n’allaient pas tarder. Henri se rhabilla rapidement. J’en fis autant, juste avant que Renaud ne vienne frapper à ma porte.
« Tu es là petite sœur ? »
« Oui, j’arrive ».
Je sortis de la chambre la première et présentais alors Henri à mon frère. Mais ils se connaissaient déjà… Henri me quitta sur un dernier baiser et, sur le pas de la porte il me dit :
« À demain mon amour ! »
« À demain mon chéri ! »
Renaud me sourit d’un air narquois :
« Alors petite sœur tu as franchi le pas ? Tu es une grande maintenant ? »
« Oui et je suis très heureuse ».
L’initiation de Véronique ! 7
Mes premiers pas !
Le soir même maman m’a informé avoir un rendez-vous chez le gynécologue pour le samedi matin. Je lui ai alors confié que j’avais sauté le pas et que je n’étais plus vierge. J’avais invité Henri cet après-midi et nous avions fait notre première expérience avec préservatif. Je ne devais pas décevoir sa confiance. Elle me remercia de ma franchise.
L’examen gynécologique n’ayant rien décelé d’anormal, après le questionnement usuel, la gynécologue me délivra une ordonnance pour la pilule et m’expliqua les principes de la contraception. Je devais retenir ses conseils afin de profiter pleinement de mon corps. Maman m’attendait dans le hall et je lui relatais la consultation.
Je ne pensais qu’à mon amoureux et à son corps velouté bien que musclé.
Vivement ce soir !
Henri me fit faire de grands progrès dans ma vie sexuelle et j’en étais particulièrement ravie car je découvrais que mon corps avait besoin de ces activités et qu’il réagissait à toutes les formes de plaisir. C’est ainsi qu’il me fit découvrir la fellation et la sodomie. Je ne connaissais que les termes vulgaires de pipe et enculage et je ne m’imaginais pas du tout les sensations que l’ont pouvais retirer de ces actes lorsqu’ils sont pratiqués avec tendresse, délicatesse et douceur.
Un mercredi après-midi donc, comme chaque semaine, Henri vint me ‘’rendre visite’’. Dès que nous fûmes installés sur mon lit, je le découvris en pleine forme :
« Je ne me suis pas branlé depuis une semaine pour me garder d’attaque aujourd’hui ! » m’annonça-t-il sérieusement en arborant un sexe dressé qui me paraissait de plus en plus long et gros chaque semaine. « Tu vas passer un après-midi extraordinaire ! »
« Et à quoi dois-je m’attendre aujourd’hui particulièrement ? »
« Tu le verras bien », sourit-il d’un petit air narquois. « Je te sors le grand jeu ! »
Il commença par allumer mon lecteur de CD et introduisit un disque de musique douce qu’il venait d’acheter. C’était une musique d’ambiance plutôt érotique. Il me déshabilla lentement, ce qui ne fut pas long devant le peu que je portais en cette chaude journée de juin. J’en fis de même pour lui, son tee-shirt et son jean furent vite ôtés. En string et slip nous commençâmes par nous caresser et nous sucer mutuellement et alternativement comme dans un jeu : je te suce les lèvres, tu me suces les tétons, tu me caresses les bras, je te caresse les cuisses…
Lorsque je lui effleurais le pénis, le gland sortait du slip et je l’embouchais rapidement.
« Eh ! Fit-il, tu me dépasses ! C’est moi qui devais mener la fête! »
Je baissai son slip et commençais ma première fellation.
« Où as-tu appris cela, m’interrogea-t-il ? Tu n’es pas aussi ignorante que tu as bien voulu me le faire croire ! »
« Ne t’inquiète pas : j’ai regardé une cassette X que papa a louée au vidéoclub. Elle m’a donné plein d’idées que j’ai envie d’essayer. Y vois-tu un inconvénient ? »
« Pas du tout mon amour, bien au contraire ! Mon corps t’appartient quand il s’agit de plaisir ! »
Je le suçai, le branlai, le caressai, soupesai ses couilles poilues, passai la main entre ses cuisses, titillai son anus dans une suite rapide de mouvements des mains comme si j’en avais eu une dizaine. Henri était aux anges sous cette déferlante de sensations qu’il était sur le point de m’enseigner et que je lui prodiguais sans qu’il s’y fût attendu.
Pour moi aussi c’était un vrai bonheur de sentir palpiter un corps d’homme sous mes frôlements érotiques.
C’est alors que mon chéri susurra :
« Prends-moi dans ta bouche je sens que je viens… »
« Mais je n’ai jamais goûté ton sperme ! Est-ce bon ? »
« Ne t’inquiète pas, le sperme ne contient rien de nocif! »
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que de longues rasades de semence m’inondèrent la gorge. J’ai eu quelques difficultés à avaler l’abondante quantité de foutre qu’il éjacula mais j’y parvins et ne trouvai pas cette substance si désagréable.
Je gardais son dard tendu en bouche et léchais consciencieusement les dernières gouttes qui s’échappaient encore de son méat.
« Quelle première ! Tu es une bonne suceuse ! Tu iras loin dans cet art ! »
« Ne te moque pas de moi ! J’ai fait de mon mieux pour te faire plaisir ! Y suis-je parvenue ? »
« Bien sûr et au-delà de toute espérance ! Je suis vidé ! »
« Oh ! Non ! Pas déjà ! J’ai envie de jouir moi aussi! »
« Ne panique pas. Nous allons y arriver ! »
Sur ces mots il se glissa sur moi, atteignit mon sexe et commença par me lécher, j’étais trempée de désir et il me fit un cunnilingus de première classe.
« Comme c’est bon ! Continue ! »
Quand sa langue survola mon clitoris érigé sortant de son capuchon je ne pus me retenir de gémir.
« Oui ! Lentement ! Masturbe-moi avec tes doigts ! »
Il s’exécuta et me branla avec douceur comme s’il savait si bien le faire jusqu’à ce qu’un cri long et voluptueux ne s’échappe involontairement.
« Dis donc Véronique, heureusement que nous sommes seuls ici ! Quelle jouissance ! »
« Merci mon chéri ! »
Durant cette action mon homme adoré avait repris la vigueur qu’il avait en arrivant ce que je constatais en le prenant en main. Je le masturbais quelques instants, et me penchais vers lui pour le sucer à nouveau lorsqu’il me dit :
« Non ! Mets-toi plutôt à quatre pattes ! »
Je lui obéis car c’est ma position préférée quoique un peu humiliante. Dans le miroir de la penderie je le vis sortir un tube…
« C’est du lubrifiant ! Ne crains rien ! C’est pour que ça glisse mieux ! »
Et, surprise, il commença à m’enduire le petit trou. Puis il entreprit de me malaxer la rondelle d’un doigt qu’il enfourna à peine. Il remit du lubrifiant et poussa deux doigts dans mon sphincter qui commença à se dilater. Il fit alors un mouvement de va-et-vient de plus en plus profond, ajoutant quelques gouttes d’huile jusqu’à ce que ça glissât parfaitement.
Il stoppa un instant le temps de dérouler un préservatif rose sur sa queue et posa alors son sexe tout raide à l’entrée de l’anus. Peu à peu il força le passage. Quand le gland fut introduit, je lui demandais d’arrêter quelques secondes afin que je déguste ce moment.
« Ce n’est pas trop douloureux ? »
« Non, c’est supportable ! »
« Vas-y maintenant ! »
Un coup de reins plus fort et son pénis graissé s’introduisirent longuement. Il entreprit une série de va-et-vient tout en me caressant mes seins et les fesses. Je glissais un doigt sur ma fente agaçant de ce fait mon clitoris gorgé de sang. Je gémis bruyamment pendant qu’il haletait sur mon dos.
C’est alors qu’il accéléra ses mouvements avant de s’immobiliser et de s’affaler sur moi son sexe enfoncé entièrement dans mes entrailles. Et je ressentis les fortes contractions de son membre expulsant son sperme, m’inondant le rectum de sa jouissance…
Comme ce fut d’agréables instants que j’aurais aimé prolonger. Il se retira lentement comme pour savourer les quelques instants de joie qu’il avait perçue aussi. Il me montra la capote remplie du fruit de son extase.
« Merci ma tendre Véronique. Vois comme j’ai encore bien joui ! J’espère que tu as pris beaucoup de plaisir toi aussi ! »
« Oh oui mon Henri ! Ce fut super ! »
Nous entreprîmes de nous rhabiller avant d’aller boire un verre de boisson fraîche.
« Alors les amoureux, vous n’avez pas été discrets !… »
Mon frère sortait de sa chambre suivie par sa copine Stéphanie !
Nous restâmes ébahis puis nous nous, mimes à rire tous les quatre. Il fallait bien que nous fissions nos premières armes !
À suivre !!!
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