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Bi - Gay - Lesbien Histoire de Sexe Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

L’éducation sexuelle de Véronique Première partie

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Avant propos :
Une série d’histoires entièrement inventée, seuls les prénoms sont réels, tous autres comme les lieux, les actions, âges sont imaginaires. Prenez-les pour ce qu’ils sont, de la littérature érotique, sans aucune prétention autre que de vous divertir et de vous donner éventuellement du plaisir.

L’initiation de Véronique ! 1

En cette année 1985, j’avais 14 ans. J’étais innocente de tout ce qui concerne le sexe et les pratiques sexuelles. À l’école nous en parlions bien un peu entre copines mais pour constater que… Nous ne savions rien. Aussi nous cherchions à nous renseigner par tous les moyens et surtout auprès des plus grands. Nos frères et sœurs étaient souvent sollicités et nous donnaient parfois des indications précieuses. J’étais donc une adolescente de 14 ans.

En classe de quatrième du collège d’une petite ville du Doubs, j’étais plutôt bonne élève et j’aimais particulièrement les sciences et la biologie. J’envisageais de devenir pharmacienne, ce qui m’obligerait à faire au moins six ans d’études après le bac. Mais c’était encore loin.
Un dimanche après midi de mai, après un bon repas en famille, maman était allongée dans le canapé et regardait son film préféré, mon cousin âgé de 18 ans, était montée se reposer dans la chambre d’amis. Papa, quant à lui, comme à son accoutumée, était allé faire une petite sieste dans sa chambre après une semaine bien remplie. Mon frère, Renaud, âgé de 16 ans à l’époque, avait disparu dans le jardin ou l’atelier pour bricoler après son VTT. Seule, je gagnai ma chambre pour y réviser mes leçons et terminer mes devoirs calmement. Pour ce faire je devais passer par le couloir devant ma chambre d’amis.
La porte était restée entrouverte ; je m’avançai sans bruit sur la moquette. Par l’ouverture je vis alors le bas du corps de mon cousin, il était allongé nu, me tournant un peu le dos, les jambes légèrement écartées. Une main s’agitait rythmiquement entre ses cuisses, montant et descendant tantôt lentement tantôt plus vite. L’autre main était glissée entre ses jambes passant entre ses cuisses et il malaxait voluptueusement une masse rouge violacée poilue. Je n’avais jamais vu mon cousin nu, je ne comprenais pas ce qu’il faisait mais il y prenait apparemment beaucoup de plaisir car il gémissait faiblement.
Je ne parvenais pas à détourner mon regard, alors j’ai continué à faire la voyeuse. Brusquement je le vis saisir un mouchoir, s’allonger sur le dos et, stupeur, une longue tige rouge d’une vingtaine de centimètres se dressait en bas de son ventre, émergeant d’une touffe de poils et surmontée d’une grosse boule rose. C’était le premier sexe d’homme que je voyais et en bel état ! Sa main droite enserrait son sexe et il la faisait monter et descendre le long de la tige. Une peau recouvrait et découvrait alternativement le bout rouge. Calmement il étala le mouchoir sur son bas-ventre et continua ses va-et-vient quelques secondes encore avant de maintenir fermement son pénis la peau tirée vers le bas. Je vis alors jaillir un jet de liquide blanchâtre qui retomba sur le mouchoir. Il fit alors aller et venir sa main en cadence durant neuf à dix secondes et à chaque fois sortait un jet de moins en moins abondant. Puis semblant calmé et serein, mon cousin s’essuya le bout du pénis avec le mouchoir et allongea les jambes. Son sexe diminua de volume et s’allongea sur son bas-ventre comme reposé…

Craignant d’être surprise je gagnai ma chambre discrètement et me mis au travail, le casque sur les oreilles pour écouter mes musiques préférées.
Mais je ne me parvenais pas à me concentrer sur mes cours, je revoyais cette main caresser un sexe et des flots blancs en sortir. Je ne l’ai su que quelques jours plus tard, je venais de voir un homme se masturber et c’était ma première leçon d’éducation sexuelle.

paragraphe 4 rose

L’initiation de Véronique ! 2

Décidément il était écrit que je devais apprendre beaucoup cette année-là…
En effet, le jeudi suivant, jeudi de l’Ascension et nous n’avions pas classe. Mes parents ne travaillaient pas non plus. Comme à son habitude mon père faisait la sieste, ma mère vaquait à sa couture et mon frère Renaud de deux ans mon aîné, s’était éclipsée à l’atelier ou au jardin bricoler à son vélo.

Après avoir révisé mes leçons, le soleil étant de la partie, je sortis sur la pelouse et m’allongeai dans le transat. Je me laissais envahir par une bienfaisante chaleur qui m’engourdissait le corps. Je revis subitement le sexe dressé de mon cousin cracher son jus blanc qui s’étalait dur le mouchoir. Cette vision fugace me fit soudain prendre conscience de la chaleur qui envahissait mes seins naissants et mon abdomen. Je glissais une main entre les cuisses et serrais très fort mes cuisses pour emprisonner mes doigts sur mon sexe. Rien…
Je desserrais mes muscles légèrement et fis glisser ma paume sur mon short, un léger spasme me traversa le bas-ventre (J’ignorais alors les termes exacts de mont de Vénus) ce qui m’incita à poursuivre cette caresse. Pendant plusieurs minutes je frottais de bas en haut et de haut en bas en appuyant parfois plus parfois moins. Un frisson me parcourut alors et je me sentis bien. Mais je ne pouvais pas continuer en cet endroit au risque d’être surprise car inconsciemment je savais que c’était un plaisir secret individuel… Je me levai et me dirigeai vers l’abri de jardin où j’espérais être plus tranquille. Poussant la porte je me trouvais face à mon frère aussi surpris que moi. Il avait le short baissé sur les genoux et il se tenait le sexe d’une main et de l’autre main il soupesait une boule rose poilue. Appuyé contre la table de travail il s’arrêta la bouche ouverte…

« Que fais-tu, m’entendis-je demander ? Je ne te savais pas ici »

Nullement décontenancé par ma question il me dit posément :

« Je me branle. Tu sais, tous les garçons le font car c’est très agréable. Viens près de moi, je vais te montrer ».

Je m’approchai de lui un peu réticente.

« Viens tu ne risque rien ! »

Il me prit la main droite et me la posa sur son sexe dressé.

L’éducation sexuelle de Véronique Première partie
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« Entoure ma bite de tes doigts, sans serrer, et promène-les en montant et descendant ».

Je m’exécutai et caressai sa tige lentement par des mouvements de va-et-vient qu’il m’imposait en enserrant mon poignet.

« Comme ça ? » fis-je en augmentant un peu la pression.

« Oui ! C’est bon ! Continue ! »

L’extrémité de son sexe se recouvrait et se découvrait cachant ou montrant une boule en forme de prune percée d’une fente. Soudain, alors que je ne m’y attendais pas, une contraction puis un long jet de sperme, jaillit de son engin et atterrit à un mètre devant lui, suivie d’autres contractions et d’autres jets de moins en moins violents suivirent le même trajet. Mon frère prit un mouchoir et s’essuya le bout.

« Excuse-moi je n’ai pas eu le temps de te prévenir ! C’est ce que l’on appelle une éjaculation et le liquide blanc qui est sorti c’est du sperme. C’est ce liquide qui permet de faire des bébés quand un homme le dépose dans le vagin d’une femme en lui faisant l’amour ».

« Comment ça ? C’est dégoûtant ! »

« Non ! C’est la nature ! Et quand on est trop jeune pour faire l’amour on se masturbe pour calmer les tensions ou l’excitation sexuelle. C’est ce que je faisais quand tu es entrée. Tu sais c’est très agréable ce que l’on ressent ».

« Tu veux que je te dise un secret ? Dimanche, quand notre cousin faisait la sieste, j’ai vu qu’il faisait cela aussi et qu’il avait une bite énorme qui a craché plein de… sperme ».

« Tu vois que je ne suis pas le seul ».

« Tu le fais souvent ? »

« Aussi souvent que j’en éprouve le besoin, mais cela doit rester entre nous. Chacun fait ce qu’il veut. Et toi ? As-tu déjà essayé de te caresser ? Les filles aussi peuvent se masturber ».

« J’essaierai », lui répondis-je, lui cachant ma tentative de tout à l’heure, et je te raconterai.

Sur ces derniers mots, je vis que son sexe s’était recroquevillé. Je le laissais se rhabiller pendant que je regagnais mon transat. Je fermais les yeux et revis le film de cette seconde masturbation masculine. Que de plaisir doit procurer le sexe ! Pensais-je… Et je m’assoupis une queue virtuelle dans chaque main. Le soir je me suis également endormie une main sur ma vulve et des bites dressées plein les yeux.

L’initiation de Véronique ! 3

Quelques semaines plus tard commençaient les vacances d’été. Mes parents n’ayant leurs congés qu’en août nous allions rester Renaud et moi, seuls en juillet pour garder la maison. Ce n’était pas pour nous déplaire car nous pouvions alors inviter nos copains et copines pour nous tenir compagnie. L’un des premiers jours, je tardais à me lever. Je profitais de la fraîcheur du matin dans la pénombre de ma chambre et je paressai, nue, voluptueusement étalée sur mon lit. C’est alors que la question de mon frère me revint en mémoire :

« Et toi, tu ne te masturbes pas ? »

Instinctivement je descendis ma main droite et la posai sur mon sexe duveteux ? J’appuyais la paume sur ma vulve et commençai à appuyer et relâcher alternativement. Au bout de quelques minutes de ces pressions une douce chaleur m’envahit. Je glissai un doigt dans ma fente et frottai de haut en bas et de bas en haut. Je ne ressentis pas grand-chose tout d’abord. Je persistais cependant à réaliser ce mouvement lentement puis plus fort, en tournant dans un sens puis dans l’autre. Bref en essayant toutes sortes de chatouillis.
À un certain moment je ressentis un vague sursaut de mon corps lorsque je frôlais le haut de mon sexe. J’insistais à cet endroit et ressentis alors nettement une onde de plaisir m’envahir de la vulve jusqu’à gagner mon corps entièrement. C’est à cet instant que ma porte s’ouvrit et que mon frère apparut dans l’embrasure.

« Alors petite sœur, on ne se lève pas ? Il est midi ! »

Surpris la bouche bée, il me découvrit sur le lit la main en bonne position.

« Ah ! Je comprends ce retard ! Continue ! C’est agréable au moins ? »

« Bien sûr ! Tu veux rester et m’aider ? »

« Avec joie »

Il s’installa à mes côtés et se mit à me caresser le corps lentement de la tête aux pieds, tout y passa : les oreilles, la nuque, les cheveux, les épaules, les bras, les seins bien sûr encore naissants, le ventre, les jambes, et le sexe qu’il titilla tant et tant qu’il s’humidifia avec abondance. Il aventura alors un doigt à l’entrée du vagin et il poussa un peu puis le fit aller et venir en le faisant tourner de droite à gauche et inversement.

« Ça te plaît ? »

« Oh oui ! Continue ».

Il poursuivit durant quelques minutes jusqu’à ce qu’une secousse violente me cambre avant que je ne me rabatte sur le lit.

« Eh bien, petite sœur, quel orgasme ! C’est la première fois ? »

« Oui, chuchotai-je, que c’est drôle mais que c’est bon ! »

« Il faudra recommencer pour entretenir ton plaisir ».

« Laisse-moi maintenant ! Merci ! »

Il quitta la chambre à regret avec une grosseur significative sans le short. Je savais ce qu’il allait faire depuis qu’il m’avait montré tout le plaisir qu’il tirait de cette activité. Dans l’après-midi Renaud revint près de moi et d’un air entendu il me glissa :

« Alors petite sœur c’était bon ? »

« Merveilleux lui répondis-je. Je le ferais encore et encore à chaque fois que j’en aurais envie ».

« Invite-moi si tu veux comme je t’ai montré pour moi ».

« Avec joie si tu as d’autres choses aussi sublimes à m’apprendre ! »

Et c’est ainsi que mon frère devint mon initiateur durant quelques mois, le temps de faire mon début d’apprentissage.

L’initiation de Véronique ! 4

Durant quelques mois mon frère ne m’apprit plus rien de nouveau. Cependant dès que je le pouvais mon corps me rappelait à l’ordre et il fallait que j’assouvisse mes pulsions devenues irrésistibles. J’essayais de me masturber de différentes façons et à chaque fois un orgasme plus ou moins violent me laissait anéantie sur mon lit. Un matin cependant un évènement attendu depuis plusieurs années me surprit à mon réveil.
Maman m’avait informée de la nature de ces choses et j’attendais avec impatience ce grand moment où j’allais devenir une femme en puissance. Quelques jours avant mon seizième anniversaire je me réveillai donc avec une sensation d’humidité dans la culotte. En regardant de près je vis qu’elle était tachée de sang. Je m’empressais de me lever et d’annoncer cette grande nouvelle à maman. Soulagée, elle m’apprit alors à protéger mes vêtements et m’informa de ce que j’étais maintenant une jeune femme et que je pouvais donner naissance à un enfant si j’avais des rapports sexuels. Elle me conseilla de me méfier des garçons et de lui demander une contraception si un jour j’avais un petit copain.
Comme je n’en avais pas, je lui ai dit que ce n’était pas la peine maintenant.

« Tu verras ça vient vite à ton âge ! Et il est préférable d’éviter les accidents de parcours ! »

Il est vrai que j’avais déjà entendu parler de grossesse chez des jeunes filles de treize ou quatorze ans mais je ne m’imaginais pas dans la peau d’une mère ? Un mercredi après midi mon frère fit venir une copine, Stéphanie, qu’il connaissait depuis quelques semaines (il me l’avait présentée un soir au retour du lycée). Ils s’enfermèrent dans sa chambre. Je les entendis discuter un moment tout en me plongeant dans mon travail scolaire puis des bruits anormaux se firent entendre au travers de la cloison séparant nos chambres. Des gémissements, des sortes de râles, des petits cris, des rires, des soupirs. Tout cela m’indiquait qu’ils étaient en train de faire l’amour.

Je glissais la main dans mon string et me masturbais en les écoutant. Un cri plus fort marqua la fin de la séance par la jouissance de Stéphanie.
Comme ce doit être agréable de faire l’amour, pensais-je. Un peu plus tard je les entendis sortit en chuchotant. Dans la soirée, Renaud vint me faire ses confidences en me demandant de garder le secret. J’acceptais moyennant un petit arrangement ; il devait m’apprendre les bases du plaisir et de la contraception. Il devint ainsi mon confident et moi la sienne. La première leçon qu’il me donna fut la pose du préservatif. Je n’en avais jamais vu. Il m’expliqua que ce sac en latex permettait de faire l’amour sans risque en empêchant le sperme de pénétrer dans le vagin à condition de le poser correctement et de ne pas le déchirer.
Comme il m’avait montré la masturbation il n’hésita pas à me faire une démonstration pratique la semaine suivante. Sortant son sexe en érection il me montra un petit sachet d’où il sortit une chose qu’il me mit dans la main.

« Tiens c’est une capote, elle est lubrifiée pour faciliter l’introduction du pénis dans le vagin. Le réservoir c’est pour recueillir le sperme. Pour la mettre tu abaisses le prépuce (c’est la peau qui recouvre le gland) quand la bite est dure. Tu poses le préservatif sur le gland en pinçant le réservoir pour chasser l’air et tu déroules le caoutchouc sur la bite… »

Joignant le geste et la parole il me prit la main et me fit dérouler le préservatif. J’en profitais pour le branler car je savais qu’il aimait cela. Et moi aussi… Au bout de quelques mouvements lents, excité qu’il était, un flot de sperme remplit la capote. Je vis alors que c’était étanche et j’étais maintenant informée sur son usage. J’avais retenu la leçon.

« Il faut retirer le préservatif tout de suite après l’éjaculation, avant que le sexe ramollisse sinon le sperme peut couler et mettre enceinte la femme. Tu le jettes à la poubelle ensuite… »

« Tu dois aussi savoir que tu es vierge. C’est-à-dire qu’à l’entrée de ton vagin il y a une petite membrane qui ferme un peu l’accès. Lorsque tu feras l’amour pour la première fois, il faudra que le garçon force un peu le passage avec sa verge. Tu auras un peu mal, avec un peu de sang, mais la douleur passe très vite et le saignement ne dure pas. Tu seras alors dépucelée et l’accès au vagin sera libre. Réserve cela à un garçon que tu aimeras très fort car c’est une preuve d’amour que de donner son pucelage ».

« Merci Renaud ! J’essaierai de me souvenirs de tes conseils ».

Ce fut la première leçon d’amour pratique, que m’ont donné mon frère et la seule, car j’ai eu depuis différents partenaires…

À suivre !!!

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