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L’éducation sexuelle de Véronique Troisième partie Fin

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L’initiation de Véronique ! 8

La crémaillère…

Henri et moi avons obtenu notre baccalauréat avec mention bien pourtant sans l’option ‘’activités sexuelles’’ et c’est bien dommage car nous avons fait tous deux de grands progrès dans la connaissance de nos corps et des possibilités d’expression corporelle et d’explosion sexuelle. Ce fut donc à la grande joie de nos parents à qui nous nous présentâmes l’un l’autre le jour de la proclamation des résultats quand ils nous ont vus nous embrasser.

Nous avons décidé de nous inscrire tous les deux à l’université des sciences en biologie. Mais il fallait quitter nos parents et trouver à nous loger. Nous avons suggéré de nous installer ensemble afin d’économiser un loyer. Nos parents ont accepté sous la condition de ramener des résultats satisfaisants. Ce que nous avons évidemment promis pour éviter d’être séparés.

Nous avons donc emménagé dans un studio près de l’université, studio que nous avons décoré avec soin pour en faire notre nid d’amour et de plaisir. Après quelques semaines Maryline une copine et Jonathan son ami nous ont taquinés car nous ne les avions pas encore invités à prendre la crémaillère.

paragraphe 4 rose

Nous avons décidé de fêter ça un vendredi soir car il n’y avait pas de cours le samedi. Le repas fut vite composé : buffet froid, crudité, fruits, gâteaux et glace. Un peu de vin blanc et rosé accompagna le tout. Jonathan avait apporté une bouteille de champagne. Après la première coupe Maryline fut un peu ‘’chaude’’. Elle demanda la permission de se mettre à l’aise à Jonathan qui accepta à la condition que moi aussi je fisse pareil.

Maryline et moi restâmes alors en soutien-gorge et string blanc pour moi, rose pour Maryline. Les collants ont vite été enlevés. Devant notre tenue nos hommes ont applaudi et ont eux aussi abandonné le peu de vêtement gênant pour se présenter en caleçons. Une musique d’ambiance nous a entraînés dans des slows lascifs et langoureux. Henri m’a serré contre lui pendant que Jonathan embrassait Maryline. Puis les mains entrèrent en action nullement entravées dans leurs progressions par les bouts de tissus. Nos seins se sont gonflés d’excitation, les pointes érigeaient dans les fines dentelles de nos mini-soutifs. Henri ouvrit la séance lorsqu’il me dégrafa pour explorer ma poitrine de sa langue devenue experte. Je gémis de joie.

De son côté Jonathan qui avait pressé son pubis contre le ventre de sa copine ne pouvait plus dissimuler la bosse qui déformait son caleçon. Il tentait de se dissimuler en passant une main entre son corps et celui de Maryline pour atteindre la fente qui teintait d’humidité le string rose. La soirée devenait chaude et électrique. Un changement de disque nous permit de souffler un peu, de boire une nouvelle coupe assise sur le canapé, le rouge aux joues et les sexes en ébullition.

« Allons sur le lit proposa Henri !…

Je n’en revins pas de son audace, proposer cela devant moi. Mais je me souvins un jour lui avoir dit que je fantasmais sur une partouze.

« Pourquoi pas, répliquais-je vivement ».

« Qu’en dis-tu Maryline demanda Jonathan ? »

« Si tu es d’accord moi aussi ».

« Avec préservatifs pour tous ! » annonça Henri sortant des boîtes de capotes qu’il avait prévues, le coquin !

L’éducation sexuelle de Véronique Troisième partie Fin
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Nous nous délestâmes des derniers remparts de tissu et entamâmes une série de galipettes dont les ressorts du lit se souviennent encore.

Chacun commença avec ça chacune. Henri et moi débutâmes par une pipe magistrale afin de donner grande forme à un appendice pourtant déjà bien gorgé de sang mais pas encore assez dur à mon gré. Je le branlais alternant coups de langue et coups de main jusqu’à ce qu’il me retournât et me pénétrât en levrette, exposant mes fesses à nos amis.

De son côté, Jonathan montrait une énorme queue, plus grosse et plus longue que celle de Henri et que Maryline avait du mal à emboucher pendant qu’il lui fourrageait la toison dorée. Elle gémissait de plaisir sous ses doigts qu’il portait parfois à sa bouche pour les goûter ou a son nez pour les humer.

« Oh ! Quel parfum, fit-il ! »

« C’est bon ? » demandais-je à Maryline.

« Excellent ! Je mouille comme une fontaine ! »

Entendant cela Jonathan se positionna devant sa chatte et lui posant les deux jambes sur ses épaules s’enfonça en elle vigoureusement. Il la pistonna quelques minutes puis ils s’allongèrent tous deux sur le côté et poursuivirent leur coït commencé jusqu’à ce qu’un râle intense jaillisse de la bouche de Maryline.

« Aaaaaaaahhhhh ! Ouuuuuuuuuuiiiiii ! Appuie plus fort ! »

Jonathan se déversa en longues rasades dans le vagin détrempé de sa copine et continuant ses va-et-vient le sperme déborda sur les lèvres intimes de Maryline qui gémissait de plus belle.

« Je n’ai encore jamais joui de la sorte ! » dit alors Jonathan. « Quel pied ! »

« Et moi donc ! » affirma Maryline.

Pendant ce temps Henri m’avait assise sur ses cuisses en position de Andromaque et je montais et descendais en cadence lente sur son pieu fièrement dressé. Soudain il me maintint fermement sur lui, son dard bien à fond et il explosa à son tour expulsant une abondante dose de foutre qui se répandit sur son ventre lorsque je me retirais. Son sexe trempait dans son jus.

« Quelle baise ! » soupira-t-il. « Je suis vidé ! »

Quelques instants de relaxation durant lesquels nous fîmes un brin de toilette chacun notre tour et nous changeâmes de partenaire.
Je me mis à malaxer le gros pénis de Jonathan afin de lui faire reprendre sa forme maximale qu’il ne tarda pas à atteindre sous l’effet de mes doigts qui l’effleuraient de leur douceur sensuelle et de mes lèvres que je glissais de haut en bas et de bas en haut de sa longe hampe. Jonathan me caressait les cheveux ce qui m’électrisait, je frissonnais des pieds à la tête quand il me frôlait la nuque. Il me gratouilla au creux des bras et au creux des genoux, ce que j’adore et sa bite durcissait et s’allongeait encore et encore.
‘’Quel engin’’

Maryline mettait tout son cœur à redonner vigueur à Henri qui lui pétrissait les seins et mordillait ses tétons qui s’allongeaient. D’une main il titillait sa fente humide et luisante, pressant ses grandes lèvres, les faisant rouler entre ses doigts comme une cigarette ou d’un crayon. Jetant un coup d’oeil à ce sexe féminin, je vis un gros bouton rose sortir sous la pression. Henri le perdu de ses doigts et il s’empressa de le capter entre ses lèvres. Un bruit de succions se fit entendre qui fit gémir Maryline. La pine de mon ami, dressée et à son maximum ne demandait qu’à remplir son office et son orifice. Il se saisit d’une capote et la déroula posément avant de s’enfoncer dans le vagin dilaté de Maryline et de commencer une série de mouvements lents. Il prenait son temps savourant le moment. C’était la deuxième femme qu’il prenait, et en plus sous mes yeux.

« Tu n’es pas jalouse me questionna-t-il ? »

« Bien sûr que non puisque je suis avec toi ! »

Jonathan me tendit un préservatif rose et me demanda de le lui enfiler. J’essayais mais maladroitement vu la grosseur de son engin. Il m’aida alors, puis je lui malaxais les testicules qui étaient à la mesure de son désir. N’y tenant plus il me coucha sur le dos, m’écarta les jambes au maximum et posa lentement son gland violacé à l’entrée de ma chatte humidifiée.
Malgré l’écartèlement il ne parvint pas à entrer.

« Mets du gel d’abord, lui demandais-je ».

Ce qu’il fit tant sur son gland que sur toute sa hauteur ainsi qu’à l’entrée de ma grotte d’amour.
Nous reprîmes notre position et la pénétration réussit. Il bougeait à peine, je ressentais les veines de sa verge contre les parois de mon vagin, les palpitations me réjouissaient. D’avoir un tel engin dans mes entrailles me faisait mouiller davantage.
Je lui demandais de se coucher sur le dos et je m’agenouillai face à lui pour engloutir son gros dard dodu du plus lentement que je pouvais. Je savourais cette lente progression et le repris plusieurs fois afin de sentir monter ma jouissance. D’un coup j’explosai dans un orgasme d’une telle intensité que je sais si je hurlais ou si c’était inconscient. Je haletais en accélérant les va-et-vient. J’avais le plaisir à fleur de peau et ne savais pas l’assouvir. Il m’en fallait encore plus. C’est alors qu’Henri dans un mouvement plus ample que les autres se vida longuement, le corps arc-bouté, dans le vagin de Maryline qui se contracta de bonheur.
Voyant et entendant cela, Jonathan me prit alors par les hanches et me fit monter et descendre lui-même sur son mat de chair vivante et il se masturba avec mon corps, usant de mon vagin comme de sa main jusqu’à ce que ses muscles se contractent puis projettent sa semence au fond de la capote. Mon vagin ne perdit pas une seule de ses contractions et j’explosais à mon tour expulsant un jet de liqueur intime féminine.

Regardant l’heure (déjà une heure du matin) nous ne pouvions laisser repartir nos amis. Je leur proposais de passer la nuit à quatre dans le même lit. Au point où nous en étions…

L’initiation de Véronique ! 9

Une journée bien remplie !

Vous pensez bien qu’après ce qui venait de se dérouler sur notre lit nous n’étions plus tout à fait les mêmes. La nuit débuta calmement. J’avais rejoint mon chéri Henri et lui tenais la bite au creux de la main pendant qu’il avait la sienne sur ma chatte chaude et juteuse.
Jonathan avait empoigné un téton de sa chère Maryline et lui glissait la queue dans la raie de ses fesses. C’est sur ce tableau idyllique que nous éteignîmes les lumières. Nous dormîmes profondément, bras et jambes mêlés, ne sachant pas trop qui tenait quoi et à qui appartenait telle main baladeuse ? Bref c’était du pur mélangisme.

Vers dix heures je bougeai légèrement à la recherche d’un drap disparu dans la lutte et je saisis un objet dur et chaud, c’était le pénis dressé de Jonathan. Il avait une sacrée trique matinale que je ne pouvais décemment pas laisser perdre. C’eut été gâcher une telle prestance. Je me positionnai à genoux et gobai son engin, je l’avalai de tout son long en glissant ma langue copieusement mouillée de salive sur sa hampe qui frétillait. Il s’éveilla mais eut la délicatesse de ne pas bouger quand il me vit. Il accompagna ma succion par des caresses sur ma nuque et mes cheveux jusqu’à son explosion.
Mon Henri chéri se réveilla à son tour, surpris de me voir déjà au travail.

« Je viens de prendre un copieux petit déjeuner », lui dis-je. « Mais je vois que toi aussi tu es en pleine forme… »

Et aussitôt je replongeais sur cette autre offrande tendue vers moi. Je la mouillais du sperme chaud que Jonathan m’avait déversé au fond de la gorge et suçais avidement quand Maryline m’interrompit :

« Tu pourrais me laisser un peu de crème pour mon petit déjeuner ! »

« Avec joie ! Il y en a pour tout le monde ! »

La journée commençait bien.

Puis nous nous rendîmes vers la salle de bains pour nous débarrasser des affres de la nuit. Jonathan et Maryline se frottèrent mutuellement le dos et le reste ce qui déclencha une nouvelle érection qu’il fut obligé d’assouvir. Saisissant sa copine par les hanches il la fit se retourner et se mettre en appui sur le rebord de la baignoire. Elle semblait avoir l’habitude de la position…
Elle écarta ses globes fessiers des deux mains et se prépara à recevoir la pine de Jonathan dans son vagin savonneux. Mais il se trompa de trou et l’encula d’un coup rapide tellement il était mouillé. Il pilonna les entrailles de Maryline avec vigueur malgré les grimaces qu’elle faisait. Subitement elle se cambra et poussa ses fesses vers le pubis de son homme. Il comprit le message et ralentit le rythme. Maryline hurla sa jouissance quand il déchargea ses couilles. Lorsqu’il débanda il sortit sa queue de l’anus dilaté qui recracha une partie du foutre.

« Quelle douche ! » fit-il.

« Quel réveil ! » répondit-elle.

Et ils s’embrassèrent tendrement sous l’eau qui continuait de couler.

De mon côté j’enlaçais mon homme et mes agaceries firent leur petit effet. Je me saisis de l’objet de mes convoitises et commençais par le branler lentement. Quand il fut dans toute sa majesté je lui dis :

« Tu m’en fais autant puisque tu n’as pas perdu une seconde du spectacle précédent… »

« Tu veux vraiment, alors que tu as toujours refusé ? »

« Il faut un début à tout… Et puis tu es un peu moins gros que Jonathan. Tu devrais rentrer plus facilement » ?

Nous nous savonnâmes grassement et je me mis en position. Henri hésita, me fourragea d’un doigt puis de deux avant de les remplacer par sa bite impatiente. Sous les yeux de nos amis il me fit subir le même traitement qui se révéla de même efficacité. Je serrais mes fesses sur ce pieu de chair qui me labourait. Quelles sensations ! Je me mis à gémir puis à haleter lorsque Henri se vida en moi. J’étais enfin dépucelée de ce côté-là et avec un vif plaisir.

Après cette mise en bouches, nous décidâmes d’aller manger un peu car il était trop tard pour cuisiner, nous n’en avions pas non plus très envie. La brasserie du coin nous accueillit et le repas se déroula comme la matinée avait débuté : nous nous repassâmes le film de la nuit et de la matinée nous complimentant sur nos performances, nos prestations, nos dons mutuels et nos appâts respectifs. Bref nous ne vîmes pas le temps passer ni le petit vin rosé du patron qui nous avait encore rendus plus guillerets. Brusquement Maryline annonça de sa chaude voix :

« Zut ! J’ai oublié de mettre ma culotte ! »

Et Jonathan, toujours aussi curieux de plonger la main entre les cuisses de sa chérie.

« Mais c’est vrai ! Oh ! La cochonne ! »

« Et toi Véronique, en as-tu mis une au moins ? »

« Mais Henri tu sais très bien que je n’en porte jamais quand je sors avec toi ! » osais-je répliquer.

Heureusement que nous étions éloignés des autres consommateurs car Henri me souleva la jupe pour constater de visu et non pas manuellement.
J’avais mis un string tellement mini qu’il ne vit pas et constata avec ravissement l’absence de tissu.

« Mais que c’est mignon tout ça ! Il est temps d’aller en profiter !…

Nous réglâmes la note et regagnâmes nos pénates tout émoustillés. En chemin nous avons évoqué ce que nous allions pouvoir faire de nouveau avec nos corps avides d’émotions érotiques et de plus en plus extravagantes.

L’initiation de Véronique ! 10

Le retour à mon studio fut rapide afin que les formes et l’ambiance ne retombent pas. Ce ne fut pas le cas et nos jeux reprirent immédiatement la porte refermée. Les rideaux n’avaient pas été ouverts de sorte que nous ne craignons pas les regards des voisins d’en face.

Aussitôt les vêtements éparpillés sur le sol, Henri s’aperçut alors que j’avais gardé mon string rose.

« Tu m’as bien eu ! Tu mérites un gage pour m’avoir trompé ! »

Aussitôt les trois acolytes se livrèrent à un court conciliabule afin de décider de ma punition. Ce fut rapidement fait :

« Tu te mets en levrette et nous te léchons tous les trois la chatte jusqu’à ce que tu jouisses ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ce n’était pas pour me déplaire car Henri me suce habituellement divinement bien. Les faits se sont confirmés bien vite. Henri me lécha en premier ; mouillant mes lèvres et mon bouton d’amour de sa salive.
Durant ce temps Maryline avait trouvé un pot de miel et m’enduisit la fente et l’anus de ce nectar qu’elle entreprit de nettoyer jusqu’au dernier grain. Comme c’était agréable de se faire bouffer la chatte de telle manière.
Jonathan avait sorti une bombe de crème Chantilly qu’il étala à son tour copieusement sur mes poils pubiens, mes lèvres vulvaires et ma rondelle. Il se glissa sur le dos et commença une longue toilette de chat. J’étais devenue luisante de propreté et mon clitoris avait doublé de volume sous les nombreux coups de langues reçus.
J’explosais violemment dans un orgasme sensationnel expulsant un flot de cyprine qui ruissela sur mes cuisses tremblantes de plaisir.

« Merci, ce fut formidable ! »

« À ton tour Henri d’avoir un gage puisque tu n’avais pas vu que j’avais un string ».

Après concertation il fut décidé de lui bander les yeux et de le sucer aussi tous les trois. Henri était réticent car ce n’était pas sa tasse de thé que de se taper des mecs. Il commencerait le premier en silence afin que Jonathan ne le sache pas. Ainsi fut fait. Jonathan entama la première pipe de sa vie et il s’y prenait bien le bougre. Henri présentait une belle érection.
Je barbouillais ce sexe dressé de crème et m’appliquais à le laver malaxant en même temps les couilles charnues et poilues qui palpitaient sous ce dard.
Maryline prit la relève après avoir mangé un bonbon à la menthe glaciale. Le pénis de Henri se cabra alors sous la sensation froide et un jet de foutre s’éleva à une vingtaine de centimètres de son gland avant de retomber sur son ventre. Maryline fut surprise mais reprit les choses en bouche et avala les jets suivants sans en rien perdre. Elle fit la toilette de mon chéri et affirma :

« Quel excellent dessert ! »

« Qui m’a sucé si bien ? » demanda alors Henri en ôtant son bandeau.

« Tous les trois, chacun notre tour ! »

« Bande de cochons ! » Plaisanta-t-il.

« Mais ce n’est pas terminé : à ton tour Maryline ! Tu n’avais pas mis de culotte, toi ! Ce n’est pas bien d’exciter ainsi les hommes ! Comme gage nous allons te baiser chacun notre tour ! » décréta Henri.

Et il prépara les préservatifs et le gode qu’il m’avait offert pour l’anniversaire de notre dépucelage mutuel.

Il déroula la capote sur son sexe redressé pendant que Maryline s’allongeait se préparant à recevoir nos offrandes. Il s’introduisit en elle avec douceur et commença à la pistonner en augmentant progressivement l’ampleur de ses mouvements. Les lèvres de mon amie rougissaient et gonflaient sous l’excitation. Henri grognait de plaisir. Nous regardions sa queue se mouvoir l’aise dans ce jeune vagin.
Se retirant prestement il me dit de le remplacer : j’avais garni le gode d’une capote et le fis aller et venir dans le vagin dilaté de Maryline qui se cambrait faisant saillir son clitoris dont le gland rose s’allongeait hors de sa vulve. Je déposai un peu de salive pour le lubrifier et le caressais tendrement. Après quelques minutes de ce traitement, je laissai la place à Jonathan dont le sexe avait atteint le volume maximum que nous avions contemplé la veille. Il se cala entre les cuisses de sa copine, installa ses jambes sur ses épaules et la baisa ardemment, vaillamment durant cinq à six minutes avant d’expulser sa semence au fond du préservatif lors d’une série de contractions et de gémissements.

« Ah ! Quelle baise ! Sensationnel ! Annonça-t-il en se retirant et nous montrant le résultat dans le condom. Quelle quantité ! Je suis vidé ! »

« Mais c’est pourtant à ton tour maintenant, tu n’as pas encore eu de gage ! »

Une courte délibération et il fut condamné :

« Nous te faisons tout ce qui nous passe par la tête jusqu’à ce que tu bandes à nouveau à l’exclusion de la violence ! »

« D’accord ! J’espère que ce sera agréable ! »

Maryline eut l’honneur de débuter : elle le fit s’allonger sur le lit et commença à le titiller partout de ses seins : elle frôla ses yeux, sa bouche (il tenta de les gober), ses cheveux, sa poitrine, son ventre, son sexe qui avait déjà tant donné refusait de se dresser ! Elle passa sa vulve sur ses lèvres et il en profita pour la lécher… Elle lui offrit son anus à mouiller. Bref toute la gamme sans succès.
Puis ce fut le tour d’Henri qui lui caressa le moindre carré de peau avant d’effleurer sa queue au repos, de la prendre en main (le coquin) et de tenter d’abord avec douceur puis avec ardeur. Rien n’y fit !
Enfin j’entrais dans la danse : je m’assis sur sa poitrine en lui tournant le dos. Jonathan me caressa le dos puis tenta de me saisir les seins mais je descendis un peu et agaçais son pénis de mes doigts puis de ma langue. Il frétilla légèrement. Alors je le lui frottais contre ma vulve et mon clitoris. Ma mouille et ma chaleur firent alors son effet, son engin commença une lente courbe ascendante, prit une bonne longueur avant de grossir et de se redresser d’un coup. J’en profitais alors pleinement avant d’en être privée, je me redressai et me laissai retomber rapidement sur son pieu et me masturbais sur cette masse chaude et palpitante. J’avais envie d’une bite bien grosse pour me faire jouir. Un orgasme fulgurant me traversa alors, je me retirai car je n’avais pas posé de capote et je le continuais à la main. Il explosa encore une fois dans mes doigts, mais sa semence ne jaillit pas, elle s’écoula longuement pendant que sa queue se contractait rythmiquement.

« Eh bien vous m’avez encore eu ! Mais c’était bon ! »

« C’est en dommage que l’on ne pende la crémaillère tous les jours ! » dis-je. On en apprend de belle en matière sexuelle ! »

C’est ainsi que Véronique fit son apprentissage sexuel qui allait se charger de lui apprendre la vie sous toutes ses formes.

Quelques mois après Véronique et Henri se marièrent et ils eurent deux enfants un garçon Jonathan et une fille Maryline, en souvenirs de leurs amis qu’ils avaient perdus de vue.

Fin de cette histoire entièrement rédigée par Véronique elle-même sur la demande de Marie-Claude sa belle-sœur.

Véronique !

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