Depuis qu’il avait rencontré Émilie, Marc n’avait jamais douté de son attirance pour elle. Sa silhouette, loin des standards imposés par la société, était pour lui une œuvre d’art vivante, une étude de l’excès voluptueux. Chaque bourrelet, chaque courbe généreuse était une invitation à l’exploration, une promesse de plaisirs moelleux.
Ce soir-là, la maison était silencieuse, juste le murmure de la nuit pour accompagner leur intimité. Émilie portait une robe qui épousait ses formes comme une seconde peau, révélant à Marc ce qu’il aimait tant : son ventre arrondi, ses hanches larges, ce cul imposant qui semblait défier la gravité.
Marc s’approcha, ses mains glissant sur la robe, sentant la chaleur de son corps à travers le tissu. “Tu es magnifique,” murmura-t-il, ses doigts s’attardant sur les rondeurs de ses hanches. Il aimait la sensation de sa chair sous ses mains, cette sensation de confort et de luxure.
Il la fit tourner lentement, admirant chaque détail. Ses seins étaient comme des fruits mûrs, lourds et invitants, et il ne put s’empêcher de les palper, sentant les mamelons durcir sous ses caresses. “Je veux te baiser, là, maintenant, parce que tu es parfaite comme tu es,” dit-il, sa voix lourde de désir.
Émilie sourit, cette assurance dans ses yeux qu’elle n’avait eue qu’avec lui. Elle savait combien il adorait son corps, comme il vénérait chaque partie d’elle que d’autres auraient pu juger. Elle commença à se déshabiller, chaque mouvement une danse provocante, dévoilant peu à peu ce que Marc désirait tant.
Quand elle fut nue devant lui, il s’agenouilla, ses lèvres et sa langue parcourant ses cuisses épaisses, montant vers ce ventre qu’il aimait tant embrasser. Il léchait, mordillait, adorait chaque bourrelet, chaque pli de peau, chaque centimètre de cette chair généreuse. “Tu es mon fantasme,” il souffla contre sa peau, ses mains caressant ses fesses, les écartant pour voir ce trou qu’il désirait tant explorer.
Marc se releva, son érection visible à travers son pantalon, et il la retourna, la poussant doucement pour qu’elle se penche en avant, offrant cette vue sublime de son gros cul. Il fit glisser son pantalon, libérant sa bite dure, prête à s’enfouir dans cette chair moelleuse. “Je veux te prendre, te remplir, t’adorer de l’intérieur,” dit-il, sa voix rauque de besoin.
Il caressa son cul, appréciant le poids de chaque fesse, avant de cracher sur sa bite pour la lubrifier. Lentement, il commença à entrer en elle par-derrière, sentant sa chatte l’accueillir, l’engloutir dans sa chaleur humide. “Oh, putain, Émilie, tu es si bonne,” grogna-t-il, chaque coup de reins un hommage à ses courbes.
Il adorait comment son cul rebondissait à chaque pénétration, la façon dont ses chairs se mouvaient avec lui, l’acceptant, l’enveloppant. “Tu me rends fou,” il lui dit, accélérant le rythme, ses mains fermement accrochées à ses hanches pour mieux la posséder.
Émilie gémissait, ses propres mains cherchant quelque chose à quoi s’accrocher, le plaisir montant en elle comme une vague irrésistible. Elle aimait comment il la prenait, comment il la célébrait, chaque coup de reins un rappel de son désir pour elle.
Marc continuait, ses poussées devenant plus profondes, plus intenses, sentant les parois de sa chatte se serrer autour de lui. “Tu es ma déesse,” il haleta, sentant son orgasme monter, cette jouissance qu’il ne trouvait qu’en elle, dans cette union de corps et d’âmes où chaque courbe était adorée.
Il changea de position, la faisant s’allonger sur le lit, ses jambes écartées, son ventre et ses seins se soulevant au rythme de sa respiration. Il entra en elle à nouveau, cette fois face à face, ses yeux dans les siens, chaque mouvement un acte d’amour et de dévotion. Il embrassait ses seins, mordillait ses mamelons, ses mains explorant chaque partie de son corps comme s’il le découvrait pour la première fois.
“Je veux te faire jouir, te sentir trembler sous moi,” dit-il, augmentant la cadence, ses doigts trouvant maintenant son clitoris pour l’ajouter à la danse. Émilie, sous l’assaut de ses sensations, se cambra, ses cris de plaisir se mêlant aux grognements de Marc, jusqu’à ce que l’orgasme les emporte tous les deux, dans une explosion de plaisir partagé.
Ils restèrent ainsi, liés par la sueur et la satisfaction, Marc caressant doucement son corps, chaque touche un rappel de son amour pour elle, pour chaque centimètre de sa chair. “Je t’aime, Émilie, chaque partie de toi,” murmura-t-il, et dans cet instant, elle se sentit véritablement adorée, non pas malgré ses courbes, mais à cause d’elles.
Ce n’était pas juste du sexe; c’était une célébration, un éloge aux courbes, à ce que la société pouvait juger, mais que Marc vénérait. Pour lui, Émilie était la perfection incarnée, et il le prouvait chaque fois qu’il la touchait, chaque fois qu’il la possédait, chaque fois qu’il l’aimait avec sa bite, ses mains, son cœur.
Ainsi, dans l’intimité de leur chambre, ils trouvèrent tous les deux une forme de libération, une affirmation de leur désir, de leur amour, dans un monde qui n’appréciait souvent que la minceur. Mais pour Marc, il n’y avait rien de plus beau, de plus excitant, que de baiser sa femme parce qu’elle était grosse, parce qu’elle était elle, dans toute sa splendeur pulpeuse.
Lucie
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