CHAP 5
Omar la prend en main
Le lendemain matin, c’est bronzette à la piscine de l’hôtel. Axelle, dans son bikini blanc tranchant avec sa peau bronzée, attire tous les regards, des touristes comme des employés.
Ceux-ci n’arrêtent pas de venir leur proposer des rafraîchissements, des cocktails, des serviettes : tous les prétextes sont bons pour s’approcher au plus près d’Axelle, sous l’œil goguenard de son amant que le petit manège amuse.
— T’as vu ça ? Ils arrêtent pas ! Lui dit Marion.
— Ouais ! Et s’ils savent qu’hier soir tu t’es fait baiser par quatre Sénégalais et que t’as bu leur jus d’une traite, ils seront encore plus clash !
L’après midi, Aymar a l’idée d’aller faire un tour dans le bazar. Elle enfile une petite robe bleue à fleurs boutonnée sur le devant, s’arrêtant à mi-cuisses.
Malgré la chaleur, le bazar est encore très animé en ce milieu d’après midi. Les commerçants rivalisent d’ingéniosité pour attirer le client ou la cliente dans leur échoppe.
Dans une échoppe de bijoux fantaisie, pendant qu’Axelle se choisit quelques colliers et bracelets, Aymar discute un peu avec le patron, qui n’arrête pas de reluquer sa belle cliente. Il faut dire que lorsqu’ils sont entrés, Aymar a ordonné à sa femelle de faire l’innocente salope pour avoir un prix.
Du coup elle se penche exagérément pour regarder les bijoux, laissant voir le bas de ses fesses et son string !
— Elle est belle ta femme ! Dit le commerçant à Aymar en reluquant sans vergogne le fessier rebondi de la femelle.
— Non seulement elle est belle, par contre c’est aussi mon esclave ! Lui répondit-il.
Estomaqué, le commerçant se ressaisit vite et reprit :
— Il n’y a que toi qui la baises ou tu la fais baiser aussi ?
— Je la fais baiser aussi, mais il faut que ça en vaille la peine !
Les deux hommes devisent dix bonnes minutes pendant qu’elle choisit deux jolis bracelets pour elle et un collier fantaisie pour sa mère.
Le commerçant refuse qu’elle paye :
— Votre visite a suffi à illuminer ma journée ! Lui expliqua-t-il un grand sourire jusqu’aux oreilles.
Axelle a remarqué le rictus de satisfaction de son Maître depuis qu’ils sont sortis de l’échoppe. La discussion a sûrement tourné autour d’elle, et elle se doute qu’elle va payer les bijoux avec son cul. Mais quand et de quelle façon ?
De retour à l’hôtel, son Maître amant explique à sa soumise le déroulement de la soirée :
— On est invités dans une coloniale avec des notables de la ville. C’est un genre de soirée un peu spéciale, le genre libertin !
En écoutant ça, elle a rassuré, mais sa chatte inonde son string tellement elle mouille !
Le soir venu, le souper rapidement expédié dans une ambiance électrique, Axelle se prépare : la robe noire moulante qu’elle avait mise pour venir avec un string. Des talons hauts trouvés à la boutique de l’hôtel complètent la panoplie.
Elle se maquille comme si elle sortait en boite, c’est-à-dire bien sexy.
Le taxi les déposa dans le vieux Dakar devant une porte cochère d’une maison qui ne paye pas de mine, mais une fois entrés, c’est un véritable palais des mille et une nuits qui s’offre à leurs yeux : faïences aux murs, bassin au milieu d’un patio immense.
Les convives sont une petite vingtaine, seulement deux femmes, européennes, elles aussi, une brune et une blonde début trentaine.
Eh bien, si c’est une soirée cul, ça va être notre fête à toutes les trois ! Ce dit Axelle.
Aymar serre la main au commerçant chez qui ils sont allés quelques heures plus tôt. Voilà de quoi ils parlaient !
— Heureux de vous revoir. Dit le commerçant avec un sourire carnassier pendant qu’il reluque Axelle — J’espère que vous allez vous amuser ! Il n’y a que des amis ici et discrétion assurée ! Je ne me suis pas présenté : Mohammed.
Axelle prend un verre tendu par un serveur et regarde autour d’elle ? Les deux autres femmes se laissent caresser les fesses et embrasser dans le cou sans aucune gêne par n’importe quel convive qui passe par là. Des habituées visiblement !
Aymar lui glisse à l’oreille :
— Tu as vu les autres nanas ? Fais comme elles, laisse toi faire ! »
Le commerçant s’approche d’Axelle et tout en lui parlant de tout et de rien, passe subrepticement une main sur ses fesses. Elle a un frisson, elle laisse faire.
Un autre invité arrive derrière elle et sans même se présenter, se colle dans son dos, calant un sexe déjà bandé dans son pantalon entre ses fesses.
— Bonjour madame. Vous avez un cul superbe ! Lui dit il.
— Merci. Je vois qu’il vous fait de l’effet ! Répondit Marion.
— Moi, c’est Omar. Répond l’homme.
Le commerçant, de son côté, ne perd pas de temps et commence à soupeser les seins d’Axelle à travers sa robe :
— Quelles belles mamelles ! On doit être bien dedans !
— Ça dépend ! Il faut un beau calibre pour bien les apprécier ! Ose Axelle.
Les deux hommes rient de bon cœur et reprennent :
— Si tu veux, on peut aller dans une des chambres te montrer nos arguments !
Aymar, qui n’a pas suivi la conversation, hoche la tête en guise d’acceptation et se joins au trio.
Arrivés dans la chambre, elle entame un strip-tease digne des meilleures danseuses sous l’œil lubrique des trois hommes qui se déshabillent prestement pour profiter de cette beauté.
Omar prend les devants en guidant la soumise vers le lit où il s’allonge à ses côtés et l’embrasse tendrement.
Électrisée par la situation, elle répond à son baiser passionnément et laisse traîner sa main à l’entrejambe d’Omar, où elle découvre un beau sexe épais au garde à vous en son honneur.
Sans hésitation, elle abandonne la bouche d’Omar et gobe sa bite pour entamer une fellation dont elle a le secret.
Mohammed s’installe au bord du lit et entreprend de lécher la moule baveuse déjà luisante de mouille de la femme offerte.
Aymar ne perd pas une miette du spectacle et attend l’occasion d’entrer dans la danse en s’astiquant tant pour garder la forme que pour se calmer un peu.
Au bout de quelques minutes, Omar arrête la fellation de Marion :
— Je sens que je vais venir si tu continues, je veux encore profiter de ton superbe corps.
Il fait venir Axelle sur lui pour qu’elle s’empale sur son membre, ce qui fait pousser à la femme un soupir de satisfaction lors de l’introduction. Omar profite de la vision féerique des seins d’Axelle s’agitant devant lui, avant de les prendre à pleines mains pour les lécher.
Mohammed, privé de chatte, décide de se consoler en présentant sa bite devant la bouche de la soumise. Une belle bite, épaisse et relativement longue.
— Suce, ma belle ! Lui dit Mohammed qui, sans attendre la réponse, enfonce sa branche entre les lèvres de la femelle et d’imprimer lui même le mouvement.
Aymar décide qu’il est temps d’avoir sa part et vient se positionner devant l’anus de sa soumise, il adore la sodomiser, il trouve même cet orifice plus confortable que les autres.
Comblée par tous les orifices, elle est ravagée par les vagues de plaisir données par ces trois bites qui s’agitent en elle. Au bout de presque vingt minutes, Omar sent son orgasme arriver, bientôt imité par les deux autres hommes. Tous les trois remplissent Axelle de leur sperme. Mohammed ne devait pas avoir baisé depuis longtemps puisqu’il lâche une quantité plus que respectable de sperme dans la bouche de la crucifiée, qui a le plus grand mal à tout avaler.
Elle finit par s’affaler sur le lit, épuisée, remplie et comblée.
— Venez messieurs, laissons notre princesse se reposer. Allons nous désaltérer.
Les trois hommes descendent dans le patio nu, mais ils ne dépareillent pas.
Tout le monde est à poil, les deux autres femmes sont en train de se faire partouzer sans ménagement par trois à quatre types, chacune sur des canapés disposés dans un coin du patio.
— Tu as là une magnifique salope. Dit Omar à Aymar.
— Oui, j’ai réussi à la dévergonder, elle m’étonne tous les jours ainsi que son mari !
— Si ça a été aussi rapide, c’est qu’elle avait ça dans le sang, il suffisait juste de le faire éclater au grand jour !
— Elle est mon esclave sexuelle pour tout le séjour, mais elle le restera après…
— Ne t’inquiète pas, elle s’est trop éclatée, tu pourras continuer à en faire ce que tu voudras même après être rentré ! Regarde ces deux femmes, tu crois que ce sont des call-girls ? Détrompe-toi, ce sont des Françaises, la brune est avocate, la blonde est magistrate. Elles sont venues en vacances entre copines il y a deux ans. Deux de nos rabatteurs les ont draguées, baisées et quand ils les ont eus bien en mains, les ont emmenés à une soirée comme celle-ci. Elles ont eu comme une révélation ! D’ailleurs, Regarde !
Omar s’approche de la blonde qui est en train de se faire prendre en double pénétration. Il demande au type qui est sur elle de s’enlever, ce qui lui permit de relever la femme, qui continue à s’empaler sur l’autre type comme si de rien n’était. Il indique son pubis à Aymar, juste au-dessus de celui-ci se trouve un mot tatoué en swahili. Aymar n’a aucun mal à traduire : Esclave.
Omar voit le trouble d’Aymar :
— Tu as bien lu mon frère : Esclave. L’autre femme a le même. Cela veut dire qu’elles sont soumises à la bite noire, aux conquérants de leurs orifices ! Ce sont elles qui ont désiré aller au bout de l’esclavage ! J’ai le plaisir d’être leur maître. N’est-ce pas Mathilde ?
Mathilde, c’est le nom de la femme blonde, vient de finir d’éponger ses deux baiseurs. Sa poitrine et le contour de sa bouche sont couverts de sperme.
— Oui ! Tu peux faire ce que tu veux de mon corps. Qu’elle répond.
— En France, seules quelques personnes de confiance savent que c’est une esclave. Elle doit répondre à toutes les sollicitations et aussi exaucer leurs caprices. Avant de venir, elle a eu dans son bureau de juge un délinquant qui connaissait son petit secret. Elle a dû le sucer et signer sa mise en liberté pendant qu’il la sodomisait sur son bureau !
Excité par la situation, Aymar monte dans la chambre où se trouve Axelle pour la baiser. Il la trouve aux prises avec deux invités qui la prennent l’un en levrette, l’autre lui baisant la bouche comme si c’était une chatte. Axelle, docile, encaisse les coups de bite et grogne de plaisir.
— Je crois qu’elle est prête ! Tu pourras en faire ton esclave perpétuelle ! Lui glisse Omar qui l’a suivi.
Après que ses baiseurs ont rempli la soumise, Aymar l’emmène en bas pour se rafraîchir et discuter. Il lui parle de Mathilde et de Karine, la brune, de leur particularité, dont elles parlent sans complexe
— Nous pouvons aller au bout de nos fantasmes. Même des plus extrêmes. La dernière fois, une nuit où j’étais avocate de permanence, un flic qui connaît ma condition m’a jetée en pâture dans une cellule remplie de petits loubards. Ils m’ont tringlée toute la nuit. Le flic m’a libérée au petit matin, je puais le sperme, j’étais éreintée, mais je m’étais régalée ! Lui dit Karine.
Axelle écoute cette confession, partagée entre surprise et excitation. Elle se surprend à mouiller abondamment. La soirée s’achève plus tranquillement avec repas en buffet, puis retour à l’hôtel.
Le lendemain matin, Axelle se réveille en premier et s’attache à réveiller son amant de la plus douce des manières, par une fellation.
Son Maître n’est pas longtemps insensible à ce traitement et s’éveille avec le spectacle merveilleux de ce canon faisant aller et venir sa bouche sur sa tige érigée.
Axelle recrache subitement la bite de son amant et commence à la branler.
— Tu sais Mon chéri, j’ai réfléchi à propos d’hier soir.
— Ah ! Et alors ?
— Je veux aussi être ton esclave. Ça m’excite trop, le sentiment, les situations, me laisser porter, tout ! Je réclame faire comme Mathilde et Karine ! Et aussi, le Même tatouage !
— Même le tatouage ? Attention, après on ne revient pas en arrière ! Lui affirme son amant.
— Je sais, mais je t’aime plus que tout et j’ai trop envie d’être ton esclave.
Même dans ses rêves les plus fous, Aymar n’y avait pas songé, cette belle femme mariée qui devient son esclave sexuelle !
Sam Botte
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