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L’enseignante devient la putain des migrants Deuxième partie

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CHAP 2

Axelle découvre la multiplication

Quelques jours ont passé, Axelle est entièrement hypnotisée par la grosse queue de l’Africain. Elle aime tellement l’avoir en elle qu’elle se retrouve bientôt complètement soumise à Aymar qui en profite. Elle vit maintenant intensément sa liaison avec Aymar qui la domine totalement, il l’a transformée en esclave sexuelle. Son aspect physique a été modifié.

En entrant à l’improviste dans la salle de bain alors qu’elle prend sa douche, Jean aperçoit à travers la porte de la douche translucide que sa femme s’est rasé le pubis. La fente de son sexe apparaît comme celui d’une petite fille et cela est particulièrement érotique.

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Ensuite, elle s’est fait couper les cheveux qui sont à présent très courts, cela la rajeunit et lui donne l’allure d’une belle lycéenne. Jean a découvert également par hasard en ouvrant sa commode de la lingerie nouvelle.

D’autre part, sa femme découche régulièrement, et particulièrement le week-end. Elle prend une petite valise et elle part en lui disant que je ne dois pas l’attendre le soir. Elle met une tenue très indécente par exemple des jupes très courtes et un décolleté vertigineux. Quand elle revient, elle montre des cernes sous les yeux. Elle part prendre une douche, Jean imagine les actes qu’elle a dû subir.

Quand Jean reste seul, il imagine sa femme dans les bras d’un autre, il ne sait plus quoi penser, cela le trouble et en même temps l’excite. Jean est pris de violentes érections que seules des masturbations peuvent calmer. Sa femme se refuse à lui désormais, il en est réduit donc à se satisfaire comme un adolescent.

Lorsque Jean reste seul, il s’interroge, il craint le pire pour l’avenir personnel de sa femme. Il aimerait savoir ce qu’elle vit avec son amant. En effet, elle ne lui raconte plus rien et lorsqu’il l’interroge, elle refuse de lui donner des informations.

N’y tenant plus, Jean décide de rencontrer Aymar afin de savoir ce qui se passe. Jean a réussi à obtenir son téléphone en consultant le portable d’Axelle. Il a accepté, après quelques hésitations, à le rencontrer chez lui, dans sa cité. Jean a insisté sur le fait qu’il n’y aura aucune violence ni aucun reproche de sa part, car sa femme a le droit de vivre sa vie comme elle l’entend.

C’est ainsi qu’il est reçu par ce jeune africain dans le petit trois pièces de son frère. C’est un logement social dans une citée à la périphérie de la ville.

En le rencontrant, bien que n’étant pas particulièrement sensible au charme des hommes, Jean comprend que ce jeune homme dégage un charisme évident et que son autorité est naturelle. Il lui explique qu’il a très vite compris que sa femme perd toute volonté avec lui :

— Je ne vais même pas me gêner, j’en profite ! Lui a-t-il déclaré.

Jean l’interroge alors, avec précaution, ce qu’il a déjà obtenu d’elle et ce qu’il a l’intention de faire à l’avenir.

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— Elle accepte tout, c’est une vraie salope, elle n’a plus aucun tabou !

Jean lui demande quelques détails et il lui raconte tout. Leur liaison est très torride et Axelle réclame des rapports fréquents, des rapports où elle aime être injuriée, humiliée.

Il l’a sodomisée dès le début alors qu’elle refusait ce rapport avec Jean, elle avait accepté sans protester. Axelle a découvert qu’elle adore le goût du sperme, et Aymar ne se prive pas de lui faire boire le sien directement à la source !

Aymar la baiser comme la chienne qu’elle est : Missionnaire, levrette, sodomie, 69. Tout y passe.

Après avoir joui dans tous ses orifices, lui satisfait, il laisse Axelle étendue sur le lit, épuisée, les trous pleins de sperme.

Aymar raconte à Jean le dernier événement qu’a connu sa femme Axelle dans cet appartement :

Ils sont nus sur le canapé et ils s’embrassent langoureusement, mêlant leurs langues. Aymar se met à caresser la belle paire de seins d’Axelle puis agace ses tétons ensuite les lèche.

Axelle est rapidement dans tous ses états. Sa chatte est trempée et appelle la bite d’Aymar.

— J’ai envie de toi ? Souffle Axelle.

— Suce ma queue, ma belle ! Lui intime Aymar

Axelle se penche et gobe aussi sec la hampe érigée en son honneur, débutant une fellation endiablée. Après la pipe magistrale administrée par Axelle, Aymar lui rend la pareille en lui bouffant la moule, ce qu’elle apprécie, si on en croit les gémissements de plus en plus sonores d’Axelle.

Les deux amants ne voient pas le temps passer cependant un éclat de voix qui les ramène à la réalité.

— Eh ben putain ! On vous entend dans tout l’immeuble rien qu’à l’oreille !

C’est Karim qui rentre chez lui. Mais il n’est pas venu seul. Abdel, Sofiane et Amine l’accompagnent.

Axelle se redressa vivement, croise ses bras sur sa poitrine et ferme les cuisses.

— Relax, bébé ! C’est mon frère avec ses potes. Ils vont pas te manger !

— Pas tout de suite ? Reprends Karim en rigolant.

Furieuse de voir son après-midi crapuleuse partir en fumée, Axelle attrape son corsage et couvre ses seins en lançant des regards furibonds à Aymar.

Celui-ci lui embrasse la main en lui susurrant :

— T’énerve pas, bébé. Ils sont cool.

Les quatre nouveaux venus ne perdent pas de temps, enlèvent leurs vêtements, laissant largement le temps à Axelle de reluquer leur anatomie intime.

(Ma parole) Pense-t-elle (Mais ils sont tous montés comme des ânes !)

Les quatre jeunes hommes affichent tous en effet des pénis circoncis impressionnants. Leurs copines, s’ils en ont, doivent se régaler !

Aymar met une main sur un de ses seins. Constatant qu’elle se laisse faire, il entreprend d’écarter le corsage pour faire admirer à son frère la superbe poitrine bien ferme d’Axelle, sous les yeux très intéressés de ses copains.

— Dis donc faut pas te gêner ! L’invectiva mollement Axelle.

— Tu veux que ton frère et ses copains me sautent ou quoi ? Je ne suis pas une pute !

— Je souhaite qu’ils te connaissent et qu’ils se rendent compte quelle belle salope tu fais.

Axelle pâlit quand Aymar lui dit cela, elle reste sans voix, elle ne bouge pas, il voit ses lèvres trembler un peu.

— Pourquoi désires-tu cela ? Lui dit-elle. Tu en réclames encore plus, tu souhaites que tout le monde sache que je suis ta maîtresse ?

— Oui, je le désire, aussi tu vas obéir !

— Il n’en est pas question, lui dit-elle.

— Écoute bien ! Ici on est chez mon frère, et tu fais ce que je te dis !

Réponds Aymar avant de l’embrasser goulûment.

Axelle répond à ce baiser langoureux et sent presque immédiatement une chaleur dans son bas ventre.

Aymar étend tendrement Axelle sur le canapé et commence à caresser tout son corps tout en continuant à mêler sa langue à celle de la femme.

La pudeur d’Axelle ne résiste pas longtemps à ce traitement :

— Prends-moi ? Lui murmure-t-elle à l’oreille.

Aymar ne se le fait pas dire deux fois, il la pénètre sur le champ en missionnaire.

Axelle est aux anges, complètement remplie par la grosse bite de son amant.

Elle en a presque oublié que les quatre jeunes hommes ne perdent pas une miette du spectacle et commencent, eux aussi, à avoir une trique d’enfer.

Aymar a accéléré le rythme de sa pénétration et donne de profonds coups de boutoir dans la grotte d’amour d’Axelle, ce qui la fait gémir de plus en plus fort.

Alors que la femme est en bonne voie pour un orgasme, Aymar se retire :

— Tourne-toi, je veux te prendre en levrette.

Axelle se met à quatre pattes et tend ses fesses vers le sexe triomphalement érigé de son amant, qui replonge aussitôt dans le puits d’amour de sa soumise.

Il susurre à l’oreille de sa femelle.

— Tu dois rendre fous les cousins, il faudrait que tu t’occupes d’eux ?

— T’es vraiment un salaud, mais c’est vrai qu’ils ont de belles bites. Je veux bien en sucer un pendant que tu me baises.

— Eh mon frère ! Tu peux te faire sucer si tu le désires !

Les quatre types se lèvent tous ensemble comme des ressorts. Ils réclament tous se faire sucer ! C’est Karim qui a la primeur, car c’est le grand frère d’Aymar.

Il présente sa bite devant la bouche de la femelle de son frère qui l’engloutit immédiatement.

— Putain ! C’est plus qu’une bouche qu’elle a, c’est carrément une seconde chatte ! Qu’est-ce qu’on est bien dedans ! Siffle-t-il

Les trois autres commencent à s’astiquer en regardant le spectacle.

Au bout de quelques minutes, Aymar et Karim sentent l’orgasme d’Axelle arriver. Tant mieux parce que, eux aussi, sont à la limite. Tous les trois jouissent quasiment en même temps. Aymar remplit la grotte d’Axelle tandis que Karim souille sa bouche. Un petit filet de sperme s’échappa de ses lèvres fermées sur l’engin de Karim.

Les trois spectateurs sont intenables :

— À nous maintenant !

— Minute les gars ? Laissez-la reprendre des forces, sinon ce sera comme si vous baisiez un morceau de bois ! Interviens Aymar.

Au bout d’un moment, elle est revenue à elle et Aymar l’interroge :

— Alors salope, tu ne veux pas te faire tirer par mes cousins ?

— Non ! proteste Axelle.

— Mais tu peux pas les laisser comme ça ! Regarde-les ils sont tendus comme des arcs !

Répond son amant.

Puis Aymar se lève, empoigne Axelle par les cheveux, il la tire hors du canapé vers le porte d’entrée.

Karim a déjà la main sur la poignée de la porte. Axelle a compris qu’ils vont le foutre dehors nue.

— Arrête, Aymar, arrête, je ferai ce que tu veux !

— Tu vas coucher, putain !

Aymar se penche sur le corps de cette femme et lui déclare alors :

— Répète, salope, ce que tu acceptes de faire.

— Arrête Aymar, je suis ta femelle, fais ce que tu réclames de moi, mais arrête de tirer mes cheveux, je serai ta putain, j’accepte qui tu veux, tu es mon maître, Aymar, je t’aime.

Elle s’excite et la vue des bites turgescentes de ces trois cousins la rend folle. Elle va les avoir, dans la bouche, dans la grotte, dans le cul, partout !

Aymar et Karim partent vers la salle de bain pour se nettoyer et parler d’Axelle.

Axelle se relève, cul nu, s’approche d’eux et saisit les bites d’Amine et de Sofiane pour les branler. Abdel, lui, se place derrière Axelle et commence à se branler entre ses fesses tout en l’embrassant dans le cou.

La femme n’y tient bientôt plus et souffle :

— OH ! OUI ! Baisez-moi !

Abdel s’allonge sur le canapé ouvert façon couchage et fait s’empaler Axelle sur sa bite, ce qui fait s’échapper à la femelle un gémissement de satisfaction.

Sofiane ne perd pas de temps et commence à lubrifier l’anus de la soumise avec sa salive, avant de s’y enfoncer doucement jusqu’à la garde. Amine présente sa bite à sucer, ce qu’Axelle fait sans problème….

Aymar et Karim observent la scène depuis la porte du salon et ne retiennent pas leurs commentaires :

— Regarde-moi cette salope ? Elle en veut ! s’exclama Karim.

— Ouais, c’est vraiment une sacrée trouvaille, cette blanche. Répond son frère Aymar.

— Il faudrait que tu continues à la dévergonder. Je suis sûr qu’elle aimerait dans les caves du quartier !

Aymar, pensif, observe Axelle se faire défoncer sans ménagement par les trois cousins dans tous les orifices. Et les gémissements de plus en plus rapprochés étouffés par la grosse bite d’Amine dans sa bouche ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle en retire.

Les trois cousins sont visiblement ravis de baiser cette superbe gauloise, au vu des grands coups de bite qu’ils lui assènent.

Après quelques instants, on entend Axelle pousser un long râle de plaisir qui trahit un orgasme fulgurant, tandis que ses trois baiseurs jouissent chacun leur tour dans l’orifice où ils sont introduits.

Leur coup tiré, ils vont rejoindre Karim et Bilal dans la cuisine, laissant Axelle étendue sur la carpette, pleine de sueur et de sperme, reprendre ses esprits.

Aymar rejoint sa femelle soumise :

— Alors tu vois que ça t’a plu de te faire baiser par mes cousins ? C’est bien mieux à plusieurs !

— Ils m’ont tuée…. Mais qu’est-ce c’était bon ! Et j’ai presque hâte de remettre ça !

Aymar a fini son récit, il voit que Jean est éberlué par ce qu’il vient de lui raconter.

— Le mieux, vois-tu, c’est que je vienne habiter chez vous, car j’ai besoin d’elle comme elle a besoin de moi. Nous serons plus importunés par mon frère et les cousins.

À suivre

Sam Botte

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