Vacances au Sénégal
Voilà, je reprends la main pour vous narrer la suite de cette journée de débauche.
Axelle tombe dans cette forme de somnolence réparatrice. Aymar l’a laissée ainsi sur le lit et part dans le salon. Nicole dort jusqu’à deux heure de l’après-midi et lorsqu’elle se lève, elle titube jusqu’à la salle de bain et fait couler l’eau de la douche pour s’écrouler au fond de celle ci. Elle reste ainsi laissant l’eau chaude couler sur elle pendant plus d’une heure et se lave lentement et péniblement. L’eau à peine coupée elle cherche une grande serviette et s’enroule dedans.
Elle arrive au salon au même moment que la sonnette d’entrée retentit.
— Va ouvrir ! Ordonne Aymar. Je suis occupé et si c’est le facteur propose-lui une bonne pipe !
Axelle ne lui répond pas et va ouvrir !
— OOOH ! Fit-elle
Puis, un silence s’installe et dure de longue seconde. Aymar se lève et va voir à la porte d’entrée.
Le spectacle n’est pas croyable. Abdel, est debout devant Axelle à genoux et se fait sucer sur le palier. Derrière lui se tient un autre type qu’il ne connaît pas.
— Salut Aymar ! Dit Abdel. J’ai amené un pote qui veut absolument connaître ta si bonne pute ! Tu permets ?
— Bien sûr ? Entrer !
En tenant la tête d’Axelle par les cheveux et sans sortir son sexe de la bouche d’Axelle, les deux hommes entrent jusqu’au salon. Aymar ramasse la serviette de bain que sa femelle a laissé dans le hall et revient au salon pour voir le copain d’Abdel, sortir un sexe qui n’a rien à envier à celui de Stéphane.
Il frotte son gland sur le sexe d’Axelle, toujours pliée en deux et suçant le sexe d’Abdel. Elle essaye bien de repousser Abdel mais, son copain lui attrape les bras et prend, dans une main, les deux fins poignets d’Axelle, se sert de ce moyen pour la tirer sur son sexe.
Aymar voit le sexe de ce type entrer facilement dans le vagin de sa soumise et directement commence des va et vient brutaux. Ces brusques chocs amplifient la pipe qu’elle fait à Abdel
faisant entrer le sexe d’Abdel bien profondément dans la gorge martyrisée de la soumise.
Aymar s’assoie dans un fauteuil et regarde les deux hommes baiser sa pute avec un plaisir pervers. Le spectacle dure plus ou moins vingt minutes pendant lesquelles les deux hommes échangent leur place, par contre éjaculent tous deux dans la bouche de Nicole qui avale sans réticence une quantité phénoménale de sperme.
— Tient -là au chaud, j’ai des potes qui vont arriver et je leur ai donné ton adresse pour qu’ils puissent baiser ta pute.
Karim regarde, sa femelle qui reprendre son souffle et constate dans son regard qu’elle vient de jouir de ses premiers clients.
On sonne encore et Aymar ordonne à Axelle d’aller ouvrir. Elle titube jusqu’à la porte nue, dégoulinante de sperme, elle va ouvrir aux copains d’Abdel.
Elle revient au salon accompagné de trois nouveaux hommes qui la regardent avec envie.
— Bonjour, Messieurs, Ma pute est à votre entière disposition !
— Waouh ! Mec ! Toi, au moins t’es un vrai mac.
Ils se déshabillent pendant qu’Abdel et son copain se rhabillent. À peine Abdel et son copain partis Aymar voit que son Axelle de sa propre initiative empoigne un des sexes présent et l’engloutit dans sa bouche façon vorace.
Les trois hommes nus et leur sexe raide s’occupent d’Axelle pendant plus d’une heure, alternant double sodomie et double fellation. Comme s’ils en ont reçu instructions, les trois hommes la pilonnent de toutes leurs forces mais, éjaculent aussi dans sa bouche. Aymar peut voir son Axelle avaler ce nectar avec gourmandise.
Aymar pense qu’il y est enfin arrivé ! En effet, Axelle participe activement à se faire baiser par les trois inconnus.
Elle a plusieurs orgasmes pendant cette heure et lorsque les trois hommes sont rassasié de son corps, ils l’abandonnent à même le sol, se rhabillent.
— Merci, Aymar d’avoir offert ta pute à nos bites, on reviendra, c’est sûr !
— Vous êtes les bienvenus quand vos couilles sont pleines, elle restera à votre disposition ! Dit-il.
— OK ! Compte sur nous pour revenir !
À peine ils ont quitté l’appartement que Karim se précipite sur Axelle et l’embroche par l’anus. Une dizaine de va et vient profond et violents suffisent à le faire éjaculer, puis il retire sa queue et met à sa place un gros plug anal.
— Garde ce jouet dans ton cul ainsi que mon sperme à l’intérieur de toi jusqu’à demain matin !
— Oui mon chéri, j’ai compris ce que tu attendais de moi et je suis heureuse d’avoir fait ce que j’ai fait aujourd’hui. Merci mon amour de m’avoir ouvert les yeux. Dit-elle en se léchant les lèvres comme pour récupérer le sperme qu’elle n’a pas pu avaler.
— Tu es heureuse ??
— Oh ! Oui, je ferais tout pour toi, parce que je t’aime plus fort.
Le lendemain au réveil Aymar tient ce langage à Axelle.
— J’espère que tu es bien reposée. J’ai eu une idée cette nuit :
— Nous partons en vacances au pays avec moi ?
Alors là Axelle est soufflée. Il lui propose de partir en vacances ensemble ! Comme un couple ! Ou alors ça cache autre chose….
Elle tache d’en savoir plus :
— Ça va j’ai bien dormi. C’est quoi ces vacances ?
— Je te propose une semaine dans un cinq étoiles au pied de la plage.
— Attends ! Ça cache quoi ?
— Rien du tout. On va au pays une semaine, je te présenterais à ma famille ! On va aussi s’éclate sexuellement toute une semaine !
Axelle reprend :
— S’éclater sexuellement ? Tu trouves pas qu’on s’éclate assez comme ça ici ?
— Oui, par contre, ici on nous connaît ! Là-bas personne nous connaîtra ! On fera ce qu’on voudra !
L’idée fait son chemin dans la tête d’Axelle. Après tout, ce n’était pas une mauvaise idée. Un pays étranger, une semaine de baise intensive sans crainte du qu’en-dira-t-on local….
— Que nous deux alors ? Mais ! Il y a mes cours à l’association ? Interroge Axelle.
— Ah oui ! Demain on ira voir un collègue médecin, il te prescrira un arrêt de travail de dix jours pour maladie. Répond Aymar.
— Alors d’accord ! Quand part-on ?
— Dans trois jours. Direction Dakar. Offre flash.
En se levant, elle se demande comment elle va faire avaler ça à son mari.
C’est Aymar qui le soir même, annonce à Jean qu’il va pays dans sa famille avec Axelle.
Étonnamment, cela passe comme une lettre à la poste.
Axelle s’attelle immédiatement à la préparation de ses bagages. En plus de son bikini blanc, elle en achète un autre, rose celui-là, tout aussi sexy. Elle ne prend que des robes légères, des strings et des soutien-gorge push-up pour accentuer son décolleté déjà bien alléchant.
Trois jours plus tard, un taxi les dépose à l’aéroport. Aymar est fier d’avoir à son bras Axelle. Car pour lui plaire, elle a enfilé une mini robe noire moulante qui ne cache rien de ses formes splendides.
Celui-ci lui montre qu’il n’y est pas insensible en l’embrassant passionnément.
Une fois dans l’avion, Axelle se décide à vider son sac :
— Il faut que je te parle !
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Voilà ! On va tous les deux au Sénégal, comme un couple, ou personne ne me connaît.
— Oui. Et alors ?
— Alors voilà. J’aime obéir totalement à un homme qui me soumet à toutes ses perversions. Tout ce qu’il m’ordonnera, je le ferais, même les trucs les plus dingues !
Aymar n’en croit pas ses oreilles :
— En gros, tu veux être pour toujours mon esclave sexuelle.
— OH ! Oui ! C’est ça ! Souffle Axelle.
Un sourire jusqu’aux oreilles, Aymar réplique :
— OK ! Je te préviens que je suis très pervers ! Parce que j’adore autant te baiser que de regarder te faire baiser, ou même de savoir que tu es en train de te faire baiser !
— Ça me va très bien mon chéri, c’est toi que j’aime plus que tout. Répond Axelle dans un sourire d’amour et de soumission.
Une heure plus tard, l’avion atterrit à l’aéroport de Dakar. Dès les contrôles passés, Aymar souffle à l’oreille de sa soumise :
— Là-bas ! Les chiottes ! Viens !
Il prit la main d’Axelle et l’emmène aux toilettes hommes. Dans une cabine, il remonte sa robe sur les hanches, arrache littéralement le string de sa femelle, la plaque dos au mur avant de la pénétrer et de la besogner comme un forcené.
L’excitation de l’attente pendant le voyage a décuplé leur envie. Ils ne tardent pas à jouir tous les deux. Ils se rajustent puis se dirigent vers la station de taxi. Pour une somme modique, celui-ci les emmène jusqu’à leur hôtel.
Il vient une idée à Aymar : Il a remarqué que le chauffeur a discrètement reluqué la plastique de sa femelle et ne s’est pas privé d’admirer ses jambes quand elle est montée dans le taxi. Il lui chuchote.
— Écarte tes cuisses, fais voir au chauffeur que t’as pas de string !
Axelle, sans réfléchir, obéit. Le chauffeur, en regardant dans son rétroviseur et découvre le spectacle, a failli avoir une attaque. Il a alors bien du mal à garder son regard sur sa route, attiré qu’il est par le magnifique spectacle offert sur sa banquette arrière.
Aymar jubile intérieurement. Il décide de pousser l’avantage :
— Caresse-toi la chatte. Chauffe le !
Axelle se met alors à se caresser le clitoris et les lèvres avec deux doigts. Cela lui donne évidemment vite chaud et elle commence à soupirer d’aise. Le chauffeur de taxi a les yeux qui lui sortent des orbites, sa bite lui fait mal tellement elle est à l’étroit dans son pantalon.
Le chauffeur de taxi finit par articuler :
— Vous êtes très belle, madame ?
— Ça te dirait d’en profiter ? Qu’Aymar lui répond.
— Si vous êtes d’accord ! Reprend le chauffeur, après un temps d’hésitation.
— Contre la course gratuite, c’est OK ? Propose Aymar.
Pour réponse, le taxi quitte la route principale et se gare dans un petit coin entouré de roseaux, hors de vue. Aymar dit à Axelle :
— Allé ! Vas-y.
Elle sort de la voiture, suivie de près par le chauffeur, qui sans attendre, la bascule sur le capot, enfile un préservatif et pénètre la femme, la baisant comme un forcené. Visiblement, le fantasme du chauffeur se tapant sa cliente est universel !
Cinq minutes plus tard, l’affaire est dans le sac, le chauffeur jouit dans sa capote dans un long râle de contentement.
Axelle rajuste le bas de sa robe et remonte dans la voiture. Le taxi regagne la route principale et file vers l’hôtel. Il dépose Aymar et Axelle devant l’hôtel, sans faire payer comme convenu, mais en donnant sa carte à Aymar. Mêmes conditions pour le retour, lui glisse le taxi.
La journée se poursuit comme pour des touristes lambdas, prise de possession de la chambre, explications sur le fonctionnement de l’hôtel, puis mise en maillot et direction farniente sur un transat à la plage.
— Tu as vu ? Tous les employés de l’hôtel ont reniflé ton cul !
— Oui j’ai remarqué ! Et alors ?
Demanda-t-elle faussement candide. Aymar répond par un sourire énigmatique ?
Le soir venu, après le souper, Aymar dit à Axelle :
— Habille-toi, on sort !
Sans demander d’explications, elle enfile une robe et suit son maquereau d’amant.
L’hôtel se trouve au bord de la ville. On arrive vite dans un quartier très animé, où touristes et locaux sont mélangés pour faire la fête dans les bars et les boites de nuit.
Le couple s’installe dans un bar musical passant de la musique de tous horizons.
Tous deux profitent de l’ambiance qui la soirée avançant, devient de plus en plus chaude. Il pousse Axelle à se lancer sur la piste de danse, lui, un peu fatigué par le voyage, se contente de regarder.
La femme danse au milieu de la piste, aux côtés de quatre africains plus intéressés par son déhanché que par la qualité de la musique. Axelle le voit et le fait remarquer à son amant pendant une pause.
— Chauffe-les et laisse-toi faire ! Lui dit-il dans les yeux.
Les danses reprennent et les Sénégalais collent de plus en plus Axelle, jusqu’à, dans un mouvement de foule, disparaître de la vue d’Aymar.
Lorsque la piste est à nouveau visible, plus personne !
Aymar se leva et se met à chercher sa femelle ou un des quatre types, personne au bar, personne dans la salle, personne aux toilettes ?
Les quatre africains ont entraîné Axelle dehors, en passant par une porte de service qui donne sur une impasse déserte.
Là, les quatre types commencent à peloter la touriste qui résiste mollement en rigolant. Leurs mains s’insinuent sous sa robe, caressent ses seins, des doigts indiscrets titillent sa grotte par-dessus son string, mais commencent à chercher à passer par-dessous.
L’un d’eux s’enhardit et pose ses lèvres sur celles d’Axelle, insinuant sa langue dans sa bouche. Elle lui rend son baiser dans un petit couinement.
Les trois autres devisent en swahili pour ne pas être compris d’Axelle :
— Quelle pute ! T’as vu comme elle se laisse faire ? Elle a pas l’air saoule pourtant !
— Tant mieux pour nous ! On va se la baiser comme il faut ! Continuons de la chauffer et bientôt elle nous suppliera de la sauter !
Quatre paires de mains profitent maintenant de la belle plastique de la femme. Celui qui l’embrasse faisait sauter un à un les boutons de sa robe, qui s’attache par-devant, avant de dégager ses beaux seins laissés libres. Les autres palpent ses fesses, ou insinuent leurs doigts vers sa grotte d’amour ou son petit trou.
Axelle, haletante sous les vagues de plaisir que lui procure ce tripotage en règle, perd complètement pied. La robe finit par être totalement ouverte, offrant le spectacle d’une Axelle dépoitraillée, en string, adossée au mur d’une impasse, avec quatre types se pressant autour d’elle.
Un lui roule toujours un patin d’enfer tout en caressant ses seins, tirant parfois sur les pointes ; un autre a écarté son string, fourrant deux doigts dans sa moule trempée et faisant des va-et-vient comme si c’était sa bite ; les deux derniers sont placés chacun sur un côté, ont sorti leurs queues et guidé la main d’Axelle vers leur dard turgescent pour se faire branler.
Aymar trouve le petit groupe à ce moment. Il est subjugué par le spectacle. Quand il a dit à Marion de se laisser faire, il ne pensait pas qu’elle lui obéirait à ce point !
Le jeune homme décide de rester caché dans un coin pour mater la scène.
Les quatre hommes ne restent pas inactifs, celui qui lui doigte la moule sort sa queue, et d’un mouvement habile remplace ses doigts par sa bite, la fichant tout au fond du puits d’amour d’Axelle et entame un lent et profond coït.
Axelle peut à peine exprimer sa surprise et son ravissement, la bouche toujours occupée par la langue d’un autre de ses tourmenteurs.
— Putain, je la lui mets à fond ! Ce qu’elle est bonne ! S’exclame celui qui la pénètre.
— Vas-y, après, c’est notre tour ! Dit l’un de ceux qui se font branler.
Trop excité par cette possession, le baiseur a tôt fait de décharger son foutre dans le vagin de la femme soumise.
Le moment est propice au changement de partenaire, sans même demander son avis à Axelle, qui de toute façon affiche une totale soumission, un de ceux qui se faisait branler introduit sa bite tendue dans sa moule poisseuse du sperme de son premier baiseur.
Il entame un va-et-vient de forcené qui secoue Axelle comme une marionnette, avant lui aussi de souiller la grotte de la femme de son foutre.
Le troisième, n’y tient plus, il fait alors mettre Axelle à quatre pattes à même le sol, il introduit sa queue en elle sans autre forme de procès. Gêné par le string, il le déchire d’un coup sec. Elle ne retient plus ses cris de jouissance. Pour la faire taire, le dernier se place devant elle, la prend par les cheveux et lui fait gober son membre.
On n’entend plus alors que le floc floc des coups de bite de l’un dans la moule d’Axelle, et les cris étouffés de la soumise, bâillonnée par la bite d’un autre. Les deux autres, qui ont repris de la vigueur, se branlent devant le spectacle.
Les deux baiseurs d’Axelle finissent par jouir quasi en même temps dans les deux orifices qu’ils occupent.
Épuisée, vaincue par la jouissance, elle s’allonge à même le sol pour récupérer. Ceux qui se branlent, trop excités par le spectacle, éjaculent sur son ventre et ses seins.
Les quatre complices se rhabillent et quittent l’impasse en riant entre eux sans même adresser un regard à Axelle, devenue inutile.
Aymar sort alors de sa cachette pour contempler sa femelle, allongée sur le dos à même le sol crasseux d’une impasse, la robe ouverte, le string déchiré gisant à côté d’elle, la moule coulante de sperme, les seins souillés de foutre.
Aymar approche avec appréhension. Il hallucine lorsqu’il voit Axelle chercher avec sa langue les quelques gouttes de sperme aux commissures de ses lèvres pour les avaler avec une visible délectation.
— Je te cherchais partout. Qu’est-ce qui s’est passé ? Demande Aymar hypocritement.
— Les quatre types de la boîte m’ont emmenée ici, ils m’ont pelotée et ils m’ont baisée comme une pute. C’était bon !
Aymar ce dit qu’il a transformé l’enseignante de français en une véritable pute assoiffée de sexe, elle va être le régal de ses oncles et cousins dans son village ; puis il donne ensuite le signal du retour à l’hôtel où Axelle se douche, avant de recevoir dans son derrière les hommages empressés de son Maître, excité par la perversité dont elle a fait preuve.
Sam Botte
Magnifique histoire bien cochonne… et j’adore la photo que vous avez utilisée. C’est moi Coco la salope pour blacks qui immortalise votre scénario !
je suis toute mouillée à l’idée d’être exhibée.
J’aimerai vous partager d’aUtres photos de moi pour être encore plus exposée…
Regardez ici un exemple de mes photos exposée sur un site porno : ## Contenu modéré ##
Contactez-moi si vous avez envie de recevoir plus de 30 galeries et 1500 photos de mi !
cocofrenchblonde@gmail.com