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L’enseignante devient la putain des migrants Sixième partie

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CHAP 6

La transformation d’Axelle.

Aymar appelle Omar, qui lui a laissé son numéro de portable, pour lui demander l’adresse d’un tatoueur discret en ville. Ils s’y rendent. Ils s’arrêtent devant un petit magasin de tatouage engoncé dans une rue latérale. Alors qu’ils pénètrent tous dans le local, ils voient qu’Omar est là à les attendre.

Omar serre la main d’Aymar et échange une étreinte fraternelle tout en regardant sa compagne.

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— Ainsi, elle va aussi se faire tatouer ?

— OUI ! Elle est d’accord.

— Pendant que tu es là tu devrais aussi lui faire percer la langue, les seins et la chatte ?

Aymar se tourne vers Axelle ?

— Oui ! C’est une bonne idée ! On va faire ça.

Omar se tourne vers le tatoueur.

— En plus du tatouage d’esclave, tu vas lui percer les mamelons, chaque petite lèvre de sa chatte et son oreille gauche.

Axelle a soudain une boule à l’estomac. Dans le passé, son mari Jean l’avait taquinée afin qu’elle se fasse percer le nombril pour montrer son ventre ferme à la plage. Mais elle avait toujours refusé considérant que cela abîmerait son corps.

Elle n’avait jamais montré à son mari que cette suggestion la consternait, car elle l’aimait et voulait lui faire sentir qu’elle était prête à lui plaire. Mais elle avait toujours considéré qu’un piercing sur son corps ferait d’elle une salope.

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Axelle se tourne vers son amant les larmes dans les yeux et dit :

— Mon chéri, je réclame bien le tatouage mais je ne souhaite pas que mon corps soit profané par des piercings. Mon mari me l’a déjà demandé par le passé et je lui ai dit que je ne voulais pas.

Dans un mouvement rapide, Aymar soulève sa robe et la replie au-dessus de ses fesses. Puis il se met à la fesser brutalement avec ses grandes mains. Il continue à battre son cul jusqu’au moment où de grandes plaques rouges s’étalent du haut des fesses au sommet de chaque cuisse.

Après une quarantaine de coups sur son cul, Axelle supplie :

— Mon… Maître, je suis désolée. Mais il n’est pas juste de faire percer mon corps. Mais je ferai de mon mieux pour satisfaire tes besoins.

— Je serais coopérative cependant, j’ai peur.

Omar qui a assisté à la scène demande.

— Alors Aymar, que veux-tu qu’il fasse ?

— Je désire qu’il soit évident que ma femelle est passée d’enseignante bourgeoise à pute soumise. Elle doit afficher des piercings qui doivent non seulement l’embellir et aussi montrer sa servitude.

— Il te faut combien de temps pour tatouer et percer convenablement cette femme ?                                  Demande Omar au tatoueur.

— Je crois qu’une heure sera suffisante. Je ne veux pas la brusquer et je veux travailler avec le moins de douleur possible. Je pense qu’elle se sentira mieux si elle sait que je procède lentement et que je permets aux analgésiques d’agir correctement.

Omar s’adresse à Aymar et lui dit :

— Vient boire un verre, on va parler de ton avenir de Maître. Nous serons de retour avant une heure et demie. Il va prendre soin de ton esclave, il ne lui laissera pas oublier qu’elle est ta soumise.

Les deux hommes sortent.

Le tatoueur se dirige vers la porte pour la verrouiller puis il met le panneau Fermé. Il se tourne vers Axelle et lui fait signe de passer dans la pièce à côté. Il fixe le cul sexy de la femme en la suivant.

Dans la pièce où il travaille, trône ce qui ressemble à une vieille chaise de barbier. Tout autour, il y a quelques armoires et tables avec des aiguilles de tatouage ainsi que des outils de perçage, des anneaux et des clous d’argent.

Axelle frissonne en jetant un coup d’œil tout autour. Elle est à la fois effrayée et excitée. Les murs sont couverts de dessins à tatouer.

— A poil chienne !

Le tatoueur jette ces mots tout en s’asseyant sur la chaise de barbier. Il regarde la femme enlever sa robe pour la mettre sur une petite chaise. Le string suit.

Axelle pense qu’avec un piercing sur la langue, les hommes seront heureux qu’elle les suce. Depuis longtemps qu’elle voulait une boule sur la langue, donc elle est très excitée à cette idée.

 Il lui ordonne de s’asseoir sur la chaise de barbier et incline celle-ci.

Après ces mots, le tatoueur attache les chevilles d’Axelle aux étriers. Maintenant, elle est couchée nue devant le tatoueur. Rapidement, sans qu’elle comprenne ce qui se passe, il lui attache les poignets aux accoudoirs du fauteuil.

Il attrape une table de métal roulante contenant quelques instruments sur une serviette blanche et propre. Il va se laver les mains à l’eau et au savon avant d’enfiler une paire de gants en latex.

Le perçage de la langue ne prend qu’un instant et même si c’est un peu douloureux, Axelle est heureuse de l’avoir fait. Le tatoueur lui dit qu’il lui donnera un bain de bouche spécial à utiliser quatre fois par jour en faisant tourner la boule sur sa langue afin qu’elle cicatrise.

Le tatouage se passe très bien juste une légère douleur sur le pubis.

En même temps, Axelle sent le bout du doigt du tatoueur se promener sur toute la longueur de sa fente vaginale. Elle est embarrassée et choquée. Elle peut sentir l’humidité dans sa grotte.

Le tatoueur se met à genoux entre les jambes tendues et liées de la soumise pour avoir une meilleure vue. Étant plus proche, il est en mesure de détecter l’odeur d’un arôme très érotique et il ne peut résister.

Il se baisse et son nez et ses lèvres descendent sur le sexe de la femme. Il commence à lécher les petites lèvres et enfouit son nez contre le clitoris d’Axelle. Puis il insère sa langue aussi loin qu’il le peut pour goûter le fluide de l’enseignante.

Quand il retire sa bouche, elle gémit de déception, car la langue a un effet apaisant. Elle essaie de soulever ses hanches pour rechercher le contact, ainsi il se tient entre ses jambes avec un sourire diabolique sur le visage.

Ensuite, Axelle regarde le tatoueur ouvrir une bouteille bleue et commencer à en verser un peu dans sa main. Il se frotte les mains pour bien étendre le produit, puis il commence à frotter sa région pubienne et en continuant le long des petites lèvres de la moule. Au début, cette lotion est apaisante, puis une sensation de lente brûlure apparaît dans la zone où a été appliqué le produit.

Après ça il prend l’antiseptique qu’il a l’habitude d’utiliser. Après avoir habilement tamponné la partie supérieure de l’oreille gauche, il accorde une attention particulière aux mamelons de l’Axelle. L’homme sait que l’air froid frappant les tétons exposés les fait durcir. Il sait aussi, en se basant sur la façon dont elle respire, que sa lotion a l’effet escompté.

Il continue à stériliser chaque mamelon d’Axelle puis il essuie avec de la gaze. Lorsque cela est fait, il pulvérise un léger brouillard d’anesthésiant pour soulager la douleur pendant le perçage initial. Ensuite, avec une aiguille parfaitement stérile, il injecte une petite quantité d’analgésique dans chaque mamelon durci de la femme.

Il explique à la soumise :

— Ces petites injections vont étourdir tes mamelons pendant que je pratique. Ensuite, après que j’aurais percé tu auras sûrement une petite douleur, ça ne devrait pas durer plus d’une journée.

L’homme pose des pinces hémostatiques sur chaque mamelon en sachant qu’elle ne les sent pas, par contre la pression va forcer chaque mamelon à complètement durcir. Puis, il attrape les deux bijoux qui vont orner les seins de l’esclave.

Il choisit une petite barre dorée pour chaque sein. Une fois qu’il a inséré l’extrémité ouverte de la tige dans le mamelon, il appose de façon permanente avec une colle spéciale le petit bout rond. Une fois durcie, la colle ne permet pas que l’on puisse enlever le bout rond de la tige autrement qu’en coupant celle-ci, ce qui de toute façon serait douloureux étant donné la taille des mamelons de la suppliciée et la longueur de la tige.

Il enlève la pince hémostatique du mamelon gauche de la soumise et immédiatement, il le perce dans le milieu avec une aiguille. Il enfile la tige du bijou qui force le mamelon à rester debout. Il n’y a que très peu de sang qu’il essuie facilement.

Il applique un peu de colle sur l’extrémité ouverte et l’insère dans le petit bout rond. Il tient les deux extrémités entre ses doigts pendant les trente secondes nécessaires au séchage. Puis, il pulvérise le téton avec un antiseptique et un anesthésiant pour que la douleur de la perforation soit réduite au maximum.

Ensuite il s’occupe du mamelon droit et répète exactement le même processus. Il prend son temps pour que les piercings soient dans la même position afin que sous un chemisier transparent, les mamelons pointent à la même hauteur.

Une fois qu’il a fini, il prend un miroir et le tient de telle façon qu’Axelle puisse voir son travail. Elle est choquée par la taille des bijoux. Elle avait espéré que les piercings seraient plus petits pour que l’on ne les voit. Mais ces tiges d’or font dresser ses tétons.

Elle sent le tatoueur qui tord légèrement l’extrémité pour qu’ils ne tapent pas les mamelons. Celui-ci sait que la peau guérira rapidement en se refermant sur l’incision faite par l’aiguille.

Alors que l’anesthésiant perd de son effet, elle peut ressentir un peu d’inconfort dans ses seins. Mais cela n’a rien à voir avec la douleur qu’elle anticipait depuis que son Maître a décrit les piercings qu’il veut. En regardant ses mamelons, les larmes lui montent aux yeux.

Elle pense à la réaction de son mari quand il les verra pour la première fois. Mais comme ils ne reviennent que dans une semaine, elle ne doit pas s’inquiéter à ce sujet. Surtout qu’elle est encore attachée à une table d’examen et elle est sur le point d’avoir les lèvres de sa chatte percées par un inconnu.

Avant de commencer par la chatte d’Axelle, il décide de percer l’oreille gauche comme l’a dit Omar Celui-ci a choisi une boucle d’oreille un peu voyante avec trois perles rouges. Omar a expliqué à son ami que cela signifie que l’enseignante est sa salope et qu’à chaque fois qu’elle se regarde dans le miroir, elle verra la boucle et se rappellera le contrôle qu’il a sur elle.

Il appuie sur un levier afin que la tête de la soumise ne soit plus inclinée. L’artisan approche un tabouret et s’assoit dessus afin d’être au niveau de l’oreille de sa cliente.

Tandis qu’il s’assoit, il regarde le corps de l’esclave et examine le travail qu’il a fait sur les seins. Il est heureux de voir les deux tétons fièrement dressés. Les deux tiges dorées semblent être exactement à la même position sur les deux mamelons.

L’homme applique de l’antiseptique sur la partie supérieure de l’oreille gauche de la femme. Il se demande pourquoi l’oreille gauche. Mais par expérience, il a appris à ne pas remettre en question les motivations ou raisons d’Omar sur le traitement des esclaves.

C’est la première fois qu’il voit jeune homme prend dans ses filets une femme qui n’a pas son âge. Le tatoueur est étonné de la facilité avec laquelle il a pris le contrôle de cette femme sexy. Il commence à penser que même si Aymar avait forcé cette bourgeoise au début, elle a des gênes de salope soumise depuis longtemps.

L’artisan perce rapidement l’oreille de la femme et insère la boucle d’oreille avec les trois petites perles rouges. Il n’y a pratiquement pas de sang dans cette région de l’oreille, car elle est composée essentiellement de cartilage recouvert de peau. Il nettoie bien, il veille que la boucle soit bien scellée. Il la fait tourner pour s’assurer que le trou percé n’est pas trop petit pour ce type de boucle.

Satisfait de son travail d’expert sur l’oreille, il retourne admirer ses perçages sur les mamelons de l’esclave. Il est étonné de voir que les tétons sont encore érigés après dix minutes. L’insertion des deux petites barres d’or ont eu l’effet escompté de garder en érection permanente les mamelons.

Ensuite, il leva les jambes de la femme afin de les mettre dans des étriers comme chez le gynéco.

Il nettoie et pulvérise un produit qui a un effet anesthésiant. Elle n’a qu’une sensation de pincement lorsqu’il perce sa peau et met une bague sur le capuchon au-dessus de son clitoris. Puis il fait de même sur chacune des lèvres de sa moule à trois reprises sur chacune d’elle.

Il prend une pommade antiseptique et l’étale sur les anneaux d’argent. Il lui dit d’utiliser cet onguent plusieurs fois par jour sans oublier de faire tourner les anneaux chaque fois.

Il aide Axelle à se lever et se diriger vers un grand miroir en lui demandant si elle aime ses nouveaux bijoux. Elle tire la langue pour bien voir la boule au centre. Elle est surprise que sa langue n’ait pas gonflée.

Ensuite elle baisse les yeux et écarte les lèvres de sa chatte. Les anneaux sont au milieu de chaque lèvre et il est évident que Jean son mari les verrait dès son retour.

Ensuite elle écarte les jambes et tire sur les lèvres de sa moule afin de bien voir les anneaux d’or. Ils brillent. Elle se trouve très sexy et elle dit sincèrement :

— Je les aime, je vous remercie.

Avant qu’Axelle se rhabille, Omar et son amant rentre dans le salon de tatouage par une porte dérobée. Aymar regarde sa soumise et s’adresse au tatoueur.

— Tu as réalisé un magnifique travail, très stylé et sans bavures.

— Maintenant tu es ma chienne pour toujours. Dit Aymar a son esclave

— Oui mon Maître, demande-moi ce que tu veux ! Je suis a toi… Lui répond Axelle

A suivre

Sam Botte

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