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CHAP 3
Aymar prend le pouvoir
C’est ainsi qu’Aymar s’est installé dans l’appartement du couple, il couche avec Axelle dans la chambre conjugale. Jean s’est installé dans la chambre d’amis. Le soir, la nuit, il les entend souvent faire l’amour et cela l’excite…
Aymar l’autorise cependant à prendre sa femme régulièrement, sous ses yeux, pour se vider les couilles, pour l’hygiène, déclare-t-il.
Un soir en rentrant du travail, Jean retrouve avachit sur le canapé, sa femme nue le corps souillé et meurtri. Aymar dans la cuisine boit une bière. Voyant le regard interrogateur de Jean, il dit à Axelle de lui raconter sa journée.
Tout lui raconter ? Cela risque d’être long à lui raconter. Je vais le faire pour elle.
Voyons, aujourd’hui Axelle n’a pas de cours à donner à l’association. Aymar lui a juste dit ce matin, qu’il faut profiter de sa journée de liberté. Il part faire une petite course et revient vite.
A son retour, Axelle est surprise de voir qu’ils sont quatre ?
Aymar, deux copains appelés Omar et Stéphane, et Vanessa, une superbe et grande blonde dont la présence a tout de suite rendu Axelle jalouse :
— Tu devais revenir seul ?
— Oui, par contre je fais ce que je veux. Non ?
— Oui, oui.
— On dit oui maître.
Il lui a cruellement pincé les seins pour la rappeler à ses devoirs. Elle est bien l’esclave d’Aymar. C’est vrai qu’il la fait jouir comme personne depuis leur rencontre. En dix ans de mariage, elle n’avait jamais trompé son mari par contre, là elle s’était sentie fondre devant ses grands yeux noirs, elle se sent toujours plus à lui.
— Oui maître.
Il lui palpe sa belle poitrine en propriétaire :
— Vous vous en servirez aussi, indique-t-il à ses amis, amusés.
— Sers nous à boire. Mais avant enlève ta robe.
Axelle se dévêt, ne gardant qu’un superbe corset noir qui fait ressortir sa poitrine, ses bas et des chaussures noires aux talons vertigineux qui soulignaient sa croupe.
— Superbe !
Se risque Omar en promenant ses mains sur les fesses d’Axelle et en effleurant son sexe épilé.
— Oui, cependant pas touche tant que je ne le dirai pas, rappelle Aymar. Elle va d’abord nous servir à boire. Hein Axelle, tu seras une soubrette docile.
— Oui maître.
— Bien, champagne chienne.
Axelle se met à faire le service tout en regardant plus longuement les invités. Omar n’est pas très grand, la vingtaine, sûr de lui et de son humour. Stéphane est plus imposant, un grand Noir pas très bavard et qui semble n’être là que pour le moment où il la prendra enfin.
Et Vanessa qui la regarde, ironique. Axelle se demande si c’est une nouvelle maîtresse d’Aymar. Auquel cas où elle aimerait lui abattre la bouteille sur la tête…
Mais Aymar ne lui laisse pas le temps :
— Vous connaissez la spécialité d’Axelle ?
— Non.
— Elle va nous le dire. Hein Axelle ?
Elle a honte, honte d’être là à montrer ses seins en faisant le service. Même si elle a bu un bon verre de vodka et s’est excitée en l’attendant, elle est à la limite de tout laisser tomber. Aymar révèle :
— Elle fait des pipes divines. Hein Axelle. Montre-leur. Sortez vos bites.
Il ne faut bien sûr pas leur demander deux fois. Omar sort un sexe de taille classique pendant que Stéphane sortir un monstre aussi long que large. Quant à Aymar, Axelle ne peut s’empêcher d’être excitée en regardant son superbe sexe, une taille parfaite.
— Commence par Omar, Ordonne son amant.
Axelle est ravie maintenant de sucer ces trois mâles. Elle est agenouillée devant le large canapé sûr lequel Aymar leur a dit de s’installer. Omar n’est pas si excité, elle a vite fait de le dégeler.
Mais c’est Stéphane qui l’impressionne. Déjà érigé, son sexe semble l’attendre, le gland décalotté, indécent, énorme. Lorsqu’elle s’en rapproche à la demande d’Aymar, elle a d’abord un moment de recul, elle le hume avant de le prendre en bouche autant qu’elle le peut.
Stéphane en profite pour lui malaxer les seins quand elle entend Vanessa se rapprocher d’elle pour appuyer sur sa tête
— Prends le bien en bouche, chienne. Vous verrez comme elle mouille !
Axelle se sent complètement passive avec cette main qui lui fait descendre et monter la tête sur le sexe de Stéphane.
Au bout d’un temps qui parais lui échapper, les minutes commencent à lui sembler longues tant sa bouche est distendue. Heureusement son amant dit que c’est son tour. Vanessa se déplace respectueusement laissant Axelle se précipiter sur le sexe de son amant.
Enfin. Elle le prend en bouche, le renifle de haut en bas, s’attarde sur le bas, remonte doucement, pour mieux l’emboucher.
— Quelle salope hein ! S’exclame Aymar.
Les autres semblent pétrifiés devant le spectacle, la façon dont à la fois Aymar affirme sa propriété et Axelle son amour infini.
Puis il en a marre :
— Allons dans la chambre. Oui voilà, mets-toi sur le lit en levrette. On va te prendre chacun notre tour. Tu ne verras pas qui pendant que tu lécheras Vanessa.
Axelle s’installe dans la chambre conjugale. Sur le côté, l’armoire a des glaces, par contre il lui a mis un bandeau sur les yeux. Elle est offerte totalement.
Bientôt, Vanessa lui prend la tête pour qu’elle la lèche.
Son sexe est délicieux, il est rasé. Elle aime aussi les femmes, mais rien ne vaut le sexe qu’elle attend, frémissante. Les mains qui vont prendre sa croupe, peut être lui tirer les cheveux.
— Toi d’abord.
Axelle a à peine le temps d’entendre Aymar fixer l’ordre de passage qu’un sexe s’enfonce en elle. D’un coup. Elle hurle. A la taille, c’est Omar. Il sait s’y prendre, il la besogne avec talent sans pour autant lui empêcher de lécher une Vanessa qui semble apprécier :
— Oui vas-y, lèche salope, la salope.
Axelle a plaisir à attendre Aymar répliquer :
— Cette chienne croit qu’Axelle est à son service. Tout à l’heure, elle aussi devra y passer. Et tout de suite A toi Stéphane.
Là on changeait de registre. Axelle se sent instantanément remplie comme elle ne l’a jamais été. Une sensation indescriptible, qui ne lui fait quand même atteindre les étoiles qu’elle réservait à son amant.
— Tu aimes ça, dit la salope ?
— Oui, j’aime ça.
— Dit, j’aime ta bite !
— J’aime ta bite.
— Bien.
Stéphane part dans un délire en la prenant à une vitesse indescriptible qui la fait hurler. Stéphane excité peut enfin jouir. Mais elle a à peine le temps de reprendre ses esprits qu’Aymar est en elle. Devant ses yeux, Vanessa est partie et le sexe d’Omar a remplacé la fente baveuse de la fille.
— Jouis salope, je te le permets.
Axelle n’attendait que l’autorisation d’Aymar, elle part dans un grand feulement rauque au moment où il lui inflige quelques délicieuses tapes sur les fesses.
Quelques minutes plus tard, elle se rend compte qu’ils sont repartis dans le salon la laissant vivre sa jouissance. Quand elle veut se lever, elle se rend compte qu’ils lui ont mis un collier et l’ont attaché aux pieds du lit. Les mains dans le dos sont également attachées.
Vanessa est derrière elle avec un martinet.
— Prends ça chienne, mets-toi bien en levrette oui, mieux cambrée que ça, oui.
Et les coups pleuvent, pas trop fort.
— Ramène-la.
Vanessa la détache et la ramène à quatre pattes dans le salon. Le couloir est long, Axelle a le temps d’admirer la plastique de Vanessa maintenant qu’elle lui a enlevé son bandeau. Elle est grande, quasi comme elle, de longs cheveux, mais plutôt plate. Plus jeune aussi. Très belle indiscutablement.
— Regardez ces deux chiennes, souligne Aymar à leur arrivée. On va les accoupler. A quatre pattes toutes les deux oui. Fesses à fesses.
Aymar prend un long double plug qu’il introduit dans les deux sexes.
— Baisez-vous, allez. Et sucez-les.
Stéphane et Omar prennent position de chaque côté pendant que les deux femmes se baisent, chacune semblant vouloir mieux pénétrer l’autre. A ce petit jeu, Axelle semble l’emporter et c’est Vanessa qui jouit dans un grand cri.
— Bien, à présent, embrassez-vous.
Elles se retrouvent ensemble et commencent à s’embrasser, se caresser, oubliant petit à petit les regards allumés des trois hommes. Elles roulent sur l’épais tapis. Leurs doigts s’activent, leurs langues se mélangent. Le temps semble arrêté quand Aymar leur intime l’ordre de se mettre à quatre pattes côte à côte.
— Voilà, présentez vos culs. Je ne sais pas qui je vais prendre. Dites-moi.
Presque instantanément elles s’écrient : MOI.
— Bon pour choisir je vais prendre celle qui me donnera son petit trou.
Axelle ne craint plus cette intromission que son amant lui fait de plus en plus. Mais quand il ajoute :
— Avec Stéphane, elle frémit.
Se faire prendre pour Aymar au prix d’un enculage par le monstrueux sexe de Stéphane ? Elle ne réfléchit pas longtemps avant de dire OK.
Vanessa dit qu’elle préfère regarder.
A cet instant, Axelle a le sentiment qu’Aymar la regarde avec fierté :
— Bien, je vais te préparer, dit-il en sortant un tube de gel.
Puis un godemiché qu’il lui enfourne dans le sexe :
— Après je te prendrai par là, ce sera une double.
Elle se sent comme une esclave au moment du sacrifice quand elle sent les immenses mains de Stéphane lui agripper les fesses.
Elle met sa tête par terre, les bras devant comme pour prier. Elle sent le sexe qui approche. Ensuite, il commence à s’introduire. La douleur est terrible. Elle a envie de dire non mais elle n’ose pas. Puis tout d’un coup le géant entre entièrement, la clouant au sol où elle tombe. Il s’active en dépit de ses pleurs.
Après s’arrête. Un ordre fuse
— Retourne-la.
Toujours fiché dans son cul, Stéphane la transporte sur le canapé où il s’assoie, lui écartant les cuisses. Aymar arrive, la verge dressée, il la prend enfin. Elle sent les deux hommes s’activer en elle. Une sensation unique, enfin la jouissance.
Puis Aymar l’emmène dans la chambre pour lui faire enfin l’amour. Elle aime son Aymar et fera n’importe quoi pour lui. De l’autre côté elle entend Vanessa se faire aussi prendre par les deux autres par contre elle sait qu’elle a la meilleure part.
Jean est de plus en plus étonné par le comportement de sa femme. Elle est devenue une salope, elle s’est entièrement soumise à son amant. Le plus incroyable c’est au lieu d’être dégoûté de sa femme, il est de plus en plus excité par son avilissement à Aymar. A la fin de son récit, Axelle se dirige vers la salle de bain. Aymar l’interpelle :
— Tu en oublies salope ! Raconte lui aussi ton après midi.
Sam Botte
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