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Les aventures coquines et libertines de Christelle 14

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Allons à la plage ! 

Après une journée et une nuit aussi riche et mouvementée qu’hier, je me réveille tard dans la matinée. Fabienne qui s’était endormie auprès de moi, enfin je crois, qu’elle n’est plus là quand j’ouvre un œil difficilement. Alors que j’émerge peu à peu, je m’aperçois que je me suis endormie revêtue de ma robe de la veille. Trop crevée après avoir pris tant de plaisir, je me suis endormie comme j’étais. Je pose les pieds par terre et puise dans ma volonté pour me sortir du lit et me lever. Ma robe est restée retroussée autour de mes hanches et forme une courte corolle qui stoppe au milieu des fesses. J’admire cela dans le miroir, amusée de l’image que j’offre ainsi. Je m’aperçois que mon postérieur est resté souillé de la semence de Gatien. Trop prise par la folie sexuelle de la nuit, j’ai omis ce détail avant de m’endormir. J’ai honte d’être aussi crade.

Ma robe se retrouve rapidement à mes pieds et je me précipite à la salle de bains. Encore vaseuse, j’en oublie que je ne suis pas chez moi et me dirige à poil dans le couloir. Au bout de celui-ci, je vois Cédric, le fils de Fabienne, en train de finir de monter les marches. Bizarrement sa présence ne déclenche aucune gêne, je m’étonne seulement intérieurement de le voir encore ici car je pensais qu’il devrait déjà être à son boulot. Je lui tourne le dos et poursuis vers la salle d’eau comme si je n’avais pas conscience de sa présence. Savoir que je suis en train de lui montrer mon cul ne m’émeut pas, après tout qu’il en profite. J’espère seulement qu’il est à son goût. Pendant ma toilette, je vois que mes fesses ont quelques marques légères, vestiges du supplice infligé par Fabienne, ce seul souvenir suffit à m’électriser le ventre. Je me claque moi-même le cul comme pour me punir de ces pulsions de garce insatiable mais j’affiche un large sourire qui montre à quel point cet état me convient très bien.

J’enfile une robe légère et je retrouve en bas Fabienne en train de s’affairer dans la cuisine, Cédric est là aussi.

« Tu es là Cédric ? Je te croyais au boulot ? »

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«  Ils m’ont demandé de changer mes horaires, de rester plus tard le soir, alors je commence en fin de matinée cette semaine ».

« Ah, bien, comme Gatien alors ! Mais lui, il est toujours au lit »

Je souris à cette remarque, me disant que lui aussi avait eu une nuit palpitante (lire l’épisode précédent).

« Christelle, tu te souviens que nous devons aller à la plage ce matin avec Florence et peut-être Hubert, s’il peut nous rejoindre ».

« Oui, je me rappelle que l’on en a parlé hier » (J’évite de rentrer dans les détails plus croustillants devant Cédric).

« Il faut que je l’appelle, je vais lui dire qu’on passe la prendre comme elle est sur la route et voir à quelle heure elle veut y aller ».

Fabienne disparaît à la recherche de son téléphone me laissant seule avec Cédric dans la cuisine. Je poursuis mon petit déjeuner en bonne compagnie, finissant de m’extraire de ma nuit. Une ou deux minutes passent et j’entends la voix de Fabienne qui se rapproche, le téléphone à la main.

« D’accord, moi aussi j’en profiterai pour faire des courses, on ne restera pas trop longtemps ».

« … »

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« Heu, oui je t’écoute » En même temps Fabienne me jette un œil, comme si la conversation portait sur moi.

«  … »

« Oui, on peut dire ça comme ça, même si on n’est pas vraiment… »

Fabienne s’éloigne de la cuisine, visiblement pour que sa conversation ne tombe pas dans toutes les oreilles.

Je m’approche du salon où elle s’est réfugiée, loin des oreilles de Cédric j’imagine, intriguée.

«  OUI c’est ça, on n’est pas vraiment en couple et je suis très partageuse ne t’inquiète pas »

« … »

« Tout à fait comme tu dis, elle aime bien plaire. Fabienne finit en riant, elle adore même je dirais »

Me voyant, elle écourte la conversation et me dit :

«  Nous passons la prendre mais il faudra partir de bonne heure car elle veut faire des courses. Elle nous invite aussi pour ce soir pour finir l’après-midi. Prépare-toi pour la plage, on essaye de partir d’ici moins d’une demi-heure »

«  OK, j’y vais à tout de suite »

« Dis donc, ils sont déjà bien tendus tes tétons ce matin »

Comme pour mieux s’en rendre compte, elle m’attrape un bout à travers le tissu de la robe.

« Tu sais bien que j’ai de gros bouts »

« Oui, et j’adore ça », répond-elle en me martyrisant un peu plus le mamelon et en me chuchotant à l’oreille.

Dans ma chambre, sachant Cédric dans les parages, je ne résiste pas à l’envie de laisser ma porte grande ouverte. Je retire ma petite robe et pars à la recherche d’un maillot de bain, nue comme un ver. J’entends un pas rapide qui monte les marches, suivi de pas dans le couloir, Cédric doit aller vers la salle de bains. Du coin de l’œil je surveille l’encadrement de la porte, sans surprise je vois sa silhouette passer devant, s’arrêter. Je feins d’ignorer sa présence et poursuis ma recherche de maillot dans le tiroir de la commode qui est dans le prolongement de la porte. Ma main droite monte négligemment à ma poitrine, la caresse dans un geste tout aussi anodin alors que l’autre fouille le tiroir. Il est toujours là, profitant de ma nudité. Je me tourne vers lui mais la tête baissée sur ce que j’ai enfin choisi, il reste une ou deux secondes de plus mais effrayé, disparaît. Le bruit de pas reprend et j’entends se fermer la porte de la salle de bains. Je l’imagine maintenant devant la douche, les yeux remplis de moi, de ma poitrine arrogante, de mon cul rebondi, de sexe surmonté de ma petite toison proprement taillée en triangle. Il va se branler en passant à moi, l’idée m’excite au plus haut point, je suis vraiment dingue. La voix de Fabienne me tire de mon fantasme.

« On y va ? Tu es prête ? »

« Euh… Oui j’arrive, une minute ! »

J’enfile mon maillot, un beau une pièce qui remonte haut sur les hanches, laissant mon dos à nu et dont le haut enveloppe ma poitrine pour se nouer autour de mon cou. Je revêts rapidement ma petite robe et jette des sous-vêtements dans mon sac où se trouvent pêle-mêle une grande serviette et divers produits solaires et autres fatras.

En chemin Fabienne m’explique que Florence habite à côté de sa belle-sœur Isabelle et de son frère, un terrain familial avait servi à la construction des deux maisons. Vu le prix du terrain dans la région, c’était un beau cadeau du papa. La maison de Florence est très classique, du moins très provençale dans sa forme et présente un très beau jardin où, bien sûr, trône une piscine. Je n’ai guère le temps de détailler plus car Florence est déjà là à nous attendre. Elle m’embrasse et m’enlace comme si nous étions de vieilles amies. Sur la route nous avons largement le temps de papoter car il y a plus d’une heure de trajet.

« Cette plage des Salins de Giraud est super bien, tu verras Christelle mais il faut aller la chercher, me dit Florence.

« Pas grave, on est en vacances, on a tout notre temps, dis-je »

« En plus, je connais un coin bien, au calme. Déjà que la plage est super grande, on est vraiment loin les uns des autres. On sera tranquilles toutes les trois »

« C’est vrai que le long de la Côte d’Azur ça ne doit pas être fréquent de grandes plages ? Dis-je pour confirmer que cette plage mérite le temps nécessaire pour y aller »

« Il n’y a vraiment que dans ce coin-là », me confirme Fabienne.

« Désolée d’écourter en plus la journée avec mes courses à faire, s’excuse Florence, mais on aura quand même le temps d’en profiter ».

« Je n’en doute pas », confirme Fabienne avec un large sourire.

Finalement, comme on est entre bonnes copines, le trajet passe très vite et nous arrivons enfin. La plage est aussi immense que me l’avaient décrite les filles, il faut même marcher un petit moment avant d’atteindre et voir la mer. Les baigneurs sont éparpillés de-ci de-là, assez loin les uns des autres. Florence qui semble connaître les lieux à la perfection, se dirige d’un pas assuré et nous pose à une cinquantaine de mètres de la mer derrière une dune. Nos voisins les plus proches sont un groupe de jeunes à vingt-cinq, trente mètres plus loin sur le sommet d’une autre dune. Ils nous regardent nous installer peut-être parce que nous sommes les seules femmes à portée de vue. Florence plante énergiquement un petit parasol et nous nous étendons sur nos serviettes, moi dans mon magnifique maillot une pièce. Alors que je finis de nouer les brettelles autour de mon cou, Fabienne m’avertit :

« Tu as amené ta crème solaire, Christelle ? Avec la peau blanche que tu as, tu sais que tu es super sensible au soleil. La dernière fois que nous sommes allées à la plage, elle avait oublié un bout et elle était zébrée de grosses lignes rouges ».

«  Oui, j’ai amené une grosse bouteille dans mon sac »

«  Florence, tu devrais l’aider à passer sa crème pour éviter qu’elle se transforme en lampion tout rouge. Je le ferais bien mais je ne suis pas sûre de me contrôler à laisser mes mains glisser de trop sur Christelle », finis Fabienne en riant.

« Si ça peut éviter un accident, Christelle ? »

« Oui, avec plaisir, je ne sais pas comment je m’arrange mais j’oublie toujours un endroit ».

Disant cela, je ne relève pas la dernière réflexion de Fabienne mais cela enlève tout doute sur notre relation. Je farfouille dans mon sac et sous mes habits de rechange, je trouve une grosse bouteille d’huile solaire. Florence s’en saisit et je lui offre mon dos.

Elle fait couler en abondance l’huile dans ses mains. Je suis allongée sur le ventre lorsque ses doigts glissent sur mes épaules. Comme s’ils n’étaient pas assez gras, elle projette des giclées d’huile sur mon dos régulièrement. Ses mains massent plus qu’elles ne passent de l’huile sur mes épaules, les mouvements sont lents, méticuleux, les doigts s’enfoncent dans le gras de ma chair, ils butent régulièrement sur la bretelle du maillot. Trop visiblement car sans me demander mon avis, elle détache la lanière qui se retrouve défaite à côté de ma tête. Elle semble avoir atteint son but car ses mains glissent maintenant sur le milieu de mon dos. Comme mon maillot est très ouvert et descend très bas sur mes fesses, je ne tarde pas à sentir sa présence sur mes reins.

Le passage d’huile continue à ressembler plus à un massage en profondeur. Ses mains surfent sur ma peau huilée de haut en bas, de bas en haut et, de temps à autre, s’égarent pour effleurer la naissance de mes seins sur les bords de mon thorax. Les sensations que me donne cette séance sont de plus en plus fortes, très agréables et commencent à m’échauffer passablement les sens. Florence descend encore plus bas et s’occupe de mes cuisses, de l’intérieur vers l’extérieur, m’aspergeant toujours autant d’huile, la bouteille va vite y passer à ce rythme. Ses mains commencent à s’approcher de mes fesses rebondies, les effleurent une fois, puis une deuxième, s’en emparent finalement. D’abord que sur la petite partie qui dépasse du maillot, puis ses mains glissent dessous en élargissant les gestes et ceci de façon de plus en plus ample. Tant et si bien, l’échancrure du maillot sur mes hanches aidant, que mes fesses charnues avalent le maillot de bain pour mieux se laisser dorer. Certainement par soucis de m’éviter un coup de soleil mal placé, Florence se déchaîne dessus à grands coups d’huile. Les malaxent, les pétrit comme pour mieux faire pénétrer le produit solaire, les écarte fortement à l’occasion ce qui fait encore un peu plus rentrer le maillot de bain entre mes deux globes aussi fermes que ronds.

Je me rends compte alors que, la bouche ouverte, les yeux clos, je commence à pousser des petits « Mmhhh ». Mes faibles gémissements ne coupent pas Florence dans son désir de bien faire, bien au contraire ses doigts triturent encore plus mon cul désormais bien à nu. J’ouvre les, yeux curieux de voir la tête qu’elle peut faire, elle aussi est là, bouche ouverte, sa poitrine se soulève à un rythme rapide, sa respiration est forte, je devine ses yeux rivés sur son travail malgré ses lunettes de soleil. Mon regard dérive et tombe sur le groupe de jeunes un peu plus loin, celui qui nous regardait arriver tout à l’heure.

Deux garçons du groupe ont le regard braqué dans notre direction, l’application que met Florence à me passer l’huile solaire ne leur a pas échappé. Ceci me fait pousser un « Mmhhh » un peu plus fort alors que Florence, une fois de plus, m’écarte les fesses énergiquement en me passant le produit. Me donner en spectacle ne peut, une fois de plus, que renforcer mon excitation. Florence abandonne régulièrement mes fesses pour s’attarder sur mes cuisses. Dès qu’elle passe à l’intérieur, inconsciemment, je les écarte un peu comme pour l’inviter à mieux atteindre mon entrejambe. Ce qu’elle ne fait pas, seul un bout de doigt vient effleurer ma vulve à travers le tissu du maillot. Fabienne aussi jette un coup d’œil régulier vers le groupe de jeunes. Je commence à bien connaître la nouvelle Fabienne et son visage me dit à quel point elle prend du plaisir à me laisser en pâture à Florence et encore plus sous le regard de ce jeune public. D’ailleurs Fabienne intervient :

« Il serait peut-être bien de passer au côté face tant qu’il reste du produit solaire. Christelle ? »

« Oui… » dis-je faiblement.

Les mains de Florence abandonnent mon postérieur, certainement à grand regret car elle avait de plus en plus de mal à le quitter. Je me tourne mollement sur le dos, mes fesses à nu rentrent au contact de ma serviette mais je ne fais rien pour extraire le maillot profondément enfoncé. Comme attiré par un aimant mes yeux se portent vers les jeunes, soucieuses de savoir si je suis toujours leur centre d’intérêt, ce qui est le cas. Florence s’attaque de nouveau à mes épaules et au haut de ma poitrine. Fabienne la laisse œuvrer quelques minutes puis le regard posé vers le groupe de jeunes, dit :

« N’oublie pas sa poitrine, ça serait dommage de laisser s’abîmer une beauté pareille. Comme c’est dommage de laisser une telle splendeur derrière un maillot de bain, qu’en penses-tu Florence ? »

«  C’est vrai que Christelle a la plus belle paire de seins que j’ai jamais vue. On a du mal à croire qu’ils sont 100% naturels »

« Ils le sont, dis-je un peu vexer de croire qu’elle pourrait avoir un doute. Pas une goutte de silicone »

«  J’en mettrais bien dans les miens en demandant au chirurgien de prendre les tiens pour modèle, avoue Florence, ils sont vraiment parfaits ».

Comme pour prouver ses dires, elle glisse ses mains sous mon maillot que plus rien ne retient puisqu’elle m’a déjà détaché les brettelles. D’abord ses doigts huilés se contentent de me masser les seins à l’abri sous le maillot puis elle le tire brusquement vers le bas en disant :

« Fabienne a raison, quand on a des seins pareils, on devrait être fière de les montrer et puis cela sera plus facile pour passer l’huile ».

Ma tête se porte de nouveau vers les jeunes, l’un donne un coup de coude à son voisin, un troisième les a rejoints. Le reste du groupe ne semble pas s’intéresser à nous, à moi ; il est vrai qu’il y a trois filles couchées sur le sable qui ont peu de chance de me voir et c’est bien dommage, le reste est dans l’eau probablement.

Florence a retroussé mon maillot jusqu’à la taille, découvrant mon ventre blanc et légèrement arrondi, le tissu me serre les hanches et fait boudiner ma chair en formant deux petites bosses. Elle me recouvre d’huile comme si j’étais une volaille à passer au four. Contente de m’avoir exhibée, elle contemple ma poitrine en se passant la langue sur les lèvres et dit.

« Tu as vraiment de superbes seins ! »

Ses mains reviennent à la charge, s’emparant de ma poitrine par-dessous, elles remontent et finissent par mes bouts qu’elles pincent et tirent vers le haut. Elle les lâche enfin, mais pour mieux revenir dessus, en allant du haut vers le bas. Pour se donner bonne contenance, elle m’inonde une fois de plus et empoigne mes lolos avec ses deux mains. Sa face est bien rouge, mais rien à voir avec le soleil, sa bouche est grande ouverte et elle respire à grand bruit. Je recommence à lâcher de faible gémissement que j’essaye de retenir mais sous de telles caresses, c’est quasi impossible. Je regarde une fois encore vers nos voisins de plage, les trois gars se sont un peu rapprochés. Du moins il me semble car ils sont assis plus bas sur la dune, bien sûr leurs têtes tournées vers nous. Une nouvelle pression et tiraillement sur mes tétons plus violents que les précédents me font lâcher un cri aigu. Ceci fait que mes yeux se posent sur les mains de Florence qui presse ma poitrine de toute part, mes mamelons sont énormes, tendus et gonflés. Ils ont au moins doublé de volume si ce n’est pas plus, si c’est plus.

« Voilà, je pense que tu ne prendras pas de coup de soleil sur ta si belle poitrine », dit Florence en prenant un peu de recul, un sourire en coin sur visage.

« La voilà bien protégée mais n’oublie pas le reste, commente Fabienne »

« Oui ne t’inquiète pas »

Florence s’attaque à mon ventre, comme pour le reste de mon corps ses mains glissent sur sa surface arrondie, descendent sur mes hanches, de façon espiègle, sur les côtés, me pincent les bourrelets. Ses doigts repoussent le maillot de plus en plus bas sur mon pubis, mais pas assez car elles le roulent pour qu’il n’arrive plus qu’à la limite de mon bas-ventre. Je la laisse faire car tout cela m’a mise en transe et je n’ai déjà plus de limites. Je sens ses doigts glisser sous le maillot et rentrer en contact avec ma toison plusieurs fois. Je regarde toujours aussi souvent vers nos admirateurs, ce qui m’excite en plus bien évidemment. Florence descend sur mes cuisses, elle s’attarde surtout à l’intérieur. Je vois que la bouteille pourtant neuve et immense est à moitié vide. Ces mains forcent le passage entre mes cuisses encore resserrées, elle insiste, si bien que je les écarte. Elle se jette vers l’espace libéré, les mains toujours empreintes d’huile longent l’intérieur de mes cuisses de bas en haut, meurent à la limite de l’aine. Comme tout à l’heure, elle effleure le tissu recouvrant mon sexe une multitude de fois.

La tension est intolérable. Par réflexe, dès que ses mains s’approchent de mon entrejambe, j’écarte les cuisses tellement j’ai envie de ce contact. Elle le fait une fois, sa main s’applique avec conviction sur mon sexe – un doigt pour être honnête – alors que le reste continue à me masser la cuisse. Un cri aigu sort de ma bouche une fois de plus et un nouveau quand elle recommence quelques secondes plus tard. Je me rends compte alors que j’ai les jambes bien écartées et légèrement repliées, ce jeu me rend dingue. Mes trois voyeurs sont toujours fidèles au poste, encore plus proches peut-être, il me semble voir une grosse bosse sous leurs maillots respectifs. Je maudis ces grands shorts de bain qui cachent tout, mais rien que de les imaginer tendus sous leur grand machin suffit à amplifier mon excitation.

« Passes-en bien partout Florence, ça serait dommage qu’elle prenne un coup de soleil mal placé. Elle est si sensible de là. Pas vrai Christelle ? »

« Mmhhh, je ne peux dire que ça »

Je cramponne mes mains à la serviette pour m’empêcher de saisir ma poitrine à pleine main, je meurs d’envie de me la caresser. Florence a bien compris le message, une main tire mon maillot sur le côté alors que l’autre s’immisce dessous, traîne sur la partie rasée de mon pubis et va au contact de mon triangle d’amour bien taillé en pointe. Puis elle écarte fortement le maillot découvrant ma vulve, qui doit être béante, mes petites lèvres gonflées débordantes, ouvertes et détrempées par mon jus. Je ne me connais que trop bien maintenant pour ne pas savoir à quoi doit ressembler mon sexe dans ces moments-là. Florence envoie une longue giclée dessus avec la bouteille, sa main vient enfin au contact de mon sexe en feu.

« Aaahhh ! »

Cette fois mon cri est sorti sans retenue, je n’ai pas pu faire autrement. Ses doigts surfent sur mes lèvres dans la longueur, à chaque passage le majeur s’enfonce un peu dans ma chatte lubrifiée et titille mon clito pour finir. J’ai repris un peu de self-control et je retiens mes gémissements pour ne pas attirer plus l’attention, mes trois admirateurs suffisent à mon plaisir.

Fabienne aussi prend son pied, à sa manière, à me voir fondre sous les massages de Florence. Elle aussi a les yeux grands ouverts et sa langue passe frénétiquement sur ses lèvres, je connais ses signes maintenant. Son regard se porte aussi souvent que le mien vers nos voisins, ça aussi ça lui plaît de m’exhiber, de m’offrir à d’autres. Elle est de plus en plus vicieuse, celle-là.

« Vas-y, frotte-lui bien, cette salope est capable de prendre du plaisir rien que de prendre un coup de soleil sur son minou », lance Fabienne en rigolant.

« Oh… qu’est-ce qu’elle dit Fabienne, tu serais vraiment comme ça ? »

« Je m’étonne moi-même tous les jours, dis-je en ayant du mal à articuler »

« Tu pourrais être aussi cochonne que ça ? Je crois que oui finalement et… J’adore ça ! »

Elle finit sa phrase en enfonçant le majeur profondément en moi, nouveau cri de ma part, mes mains doivent être blanches tellement je me crispe sur la serviette. Je sens son doigt pénétrer profondément et jouer au jeu de, j’y vais, je ressors. Son autre main a lâché le maillot et continue à m’enduire l’autre cuisse comme si de rien n’était. Je ne sais pas si les jeunes gars là-bas sont conscients de ce que Florence me fait ? J’imagine que oui… Chaque fois que son doigt ressort, il vient mourir sur mon clitoris, le titillant ce qui me fait gémir de plus en plus. Florence lance en rigolant :

« Je crois que j’ai plus besoin de mettre de l’huile, Christelle en fabrique des litres entre ses cuisses, j’en en plein la main »

« Tu vois que j’avais raison, c’est une grosse cochonne, pouffe Fabienne »

« Je ne sais pas si je ferais mieux qu’elle si on devait me passer de l’huile à moi aussi, avoue Florence ».

« Faire mieux que Christelle ? Je demande à voir ! »

À ce moment-là, un brouhaha commence à parvenir à mes oreilles, s’amplifie pour devenir un mélange de conversation de cris d’enfant en tout genre. La main de Florence se retire de son emplacement si douillet et mon attention se porte en direction du bruit. Une véritable tribu passe par le haut de la dune derrière nous, plusieurs couples avec une ribambelle d’enfants de tous âges. Ça ressemble fort à une sortie familiale, entre frères et sœurs ou cousins. La horde nous entoure au passage et va poser son camp à quelques mètres de nous, plus proche de la mer. Rapidement les gamins s’éparpillent aussi bien dans l’eau que sur la plage pour jouer, plus ou moins suivis par les mamans selon l’âge du rejeton. D’autres préparent le campement, car c’est bien de cela qu’il s’agit entre les multiples glacières et énormes parasols, le tout si proche de nous que Florence a interrompu son aide si précieuse. Fabienne soupire.

«  Y a toute la plage et faut qu’ils viennent nous coller, ceux-là »

« Oui, va falloir attendre pour voir comment je supporte le produit solaire dit Florence déconfite, je te range ton produit solaire ».

Florence replace la bouteille dans mon grand sac, je trouve qu’elle met bien du temps d’ailleurs.

Devant la multitude de tous âges qui nous entoure, j’ajuste un peu ma tenue en remontant mon maillot roulé si bas sur mes hanches et mon ventre. Comme je me suis assise pour replacer tout ça, quelques maris jettent un coup d’œil attentif dans ma direction, la générosité de ma poitrine ne leur a pas échappé on dirait. Je fais mine de vouloir remettre mon maillot dans son intégralité mais Fabienne me tape sur le bras avec le magazine qu’elle tient dans la main.

« On a dit que c’était un crime de cacher de si beaux nénés sur une plage ».

« Comme tu veux, tu sais bien que je ne peux rien te refuser, dis-je avec un sourire plein de sous-entendus ».

Je me rallonge, la poitrine à nu pour le plaisir de tous. Même si mes jeunes admirateurs, apparemment déçus de la tournure des événements, sont repartis à côté de leurs copines. Je reste cependant sous la surveillance attentive de certains messieurs qui, allongés à proximité, n’ont visiblement rien de mieux à faire. Je profite de l’accalmie retrouvée pour me mettre à quatre pattes et replacer ma serviette qui a souffert de la séance de toute à l’heure. Séance qui me laisse sur un énorme sentiment de frustration, j’étais au bord de l’orgasme quand Florence a interrompu brutalement son œuvre. J’ai maintenant les sens en feu et le bas-ventre en ébullition, rien ne pourra me faire passer ça si ce n’est aller au bout du plaisir à un moment donné.

Trop absorbée par ce sentiment, j’ai complètement oublié que Florence avait fait pénétrer mon maillot profondément dans les fesses et à quatre pattes sur la serviette cela ne passe pas inaperçu. Ces messieurs, tous bons pères de famille, ne ratent pas le point de vue. Qu’ils me matent donc le cul, j’en suis presque aussi fière que de ma poitrine. Pour leur faire plaisir, à genoux, j’attrape mes deux globes à pleines mains que je secoue pour en faire tomber d’hypothétiques grains de sable. Je sens ma croupe rebondie branler sous l’action, pour finir je lance plusieurs claques sur mes fesses. Satisfaite de mon show, je m’étends de nouveau, bien sûr cela n’est pas fait pour m’aider à retrouver ma sérénité mais je vous ai déjà dit que c’était trop tard.

C’est seulement pour aller nous baigner que Fabienne « m’autorise » à enfiler mon maillot complètement, je laisse cependant mes fesses toujours autant déborder et nous nous amusons dans l’eau. Nous courrons en bordure, nous nous arrosons, plongeons dans les vagues comme des gamines. Toutes mes courses en bord de mer font secouer ma poitrine que le maillot a bien du mal à contenir, plusieurs fois un sein s’échappe en partie, sur le côté. Ceci n’est pas fait pour réduire l’attention que certains me portent, trop visiblement car les femmes de ces messieurs me lancent des regards noirs avec des bouches crispées, dommage qu’elles ne prennent pas plaisir au spectacle elles aussi.

Le temps du départ est arrivé, Florence nous indique une douche à proximité sur la plage pour nous rincer avant de quitter les lieux. Nous sommes complètement trempées et un changement de tenue s’impose pour repartir.

«  Il faut que je m’arrête faire quelques courses à Carrefour en repartant, tu te souviens Fabienne ».

«  Oui Florence, j’ai moi aussi quelques courses à faire »

« Oh mince ! C’est tout plein d’huile ! »

C’est le cri que je viens de pousser en sortant les affaires de rechange du sac. La bouteille de produit solaire mal ou pas fermée a coulé et imbibé tous mes vêtements. Les sortant du sac un à un et les exhibant à leurs yeux, je dis :

« Je ne peux pas mettre ça, c’est plein d’huile solaire, regardent ma robe et le reste, il y en a partout ».

« C’est ma faute, j’ai dû mal la refermer, dit Florence »

« Faut bien que tu mettes quelque chose si on doit passer au magasin »

« Oui, je sais bien Fabienne, mais là… Et mon maillot est détrempé, dis-je un peu perdue »

Attends, j’ai toujours plus d’affaires que nécessaire dans mon sac, dit Florence, je dois bien avoir des affaires pour toi… »

Elle farfouille quelques secondes.

« Voilà, je savais bien »

Elle me sort sous le nez un petit short et un top bustier sans bretelle. Comme elle est bien plus menue que moi, j’examine les habits que j’ai pris dans les mains avec perplexité. Comprenant mon doute elle ajoute :

« C’est élastique. Ça va aller, tu vas voir »

« Allez Christelle, je suis sûre que ça va t’aller comme un gant, approche que je te tienne la serviette pour que tu te changes »

« Si tu le dis »

Fabienne referme la longue serviette sur moi, j’enlève mon maillot mouillé et le laisse glisser sur mes pieds. J’examine de plus près les habits de Florence. Le short est plus proche d’un cuissard de sport qu’autre chose, blanc, le tissu est fin et effectivement fait de matière élastique. Mais cela me semble bien petit malgré tout. Je me dandine sous la serviette pour le passer, arrivée à mon postérieur mon fessier cambré et dodu à un mal fou à bien vouloir se glisser dedans. La serviette qui m’entoure dégringole alors et j’entends Fabienne s’exclamer :

« Oh ! Elle m’a glissé ! »

Fabienne a braillé si fort que nos voisins les plus proches tournent la tête vers nous. Ces messieurs ne sont pas près de regarder ailleurs car je suis là, mon short bloqué au milieu des fesses, mon minou en partie à l’air, en train de tirer comme une forcenée pour finir de m’habiller. Finalement le tissu se distend suffisamment et le short prend sa place.

Je m’attends presque à entendre des applaudissements tellement je semble être le centre d’attraction et l’effort que je viens d’accomplir me paraît grandiose. Mais non, j’ai juste droit à quelques regards lubriques ou noirs selon les personnes. Un peu gênée tout de même, je ne prends pas le temps de voir comment le short me va et je m’occupe du top. Il est de couleur fuchsia, me semble petit, lui aussi. Fabienne a abandonné toute idée de me cacher sous la serviette, mais il est vrai que je n’ai que la poitrine à l’air et nous sommes sur une plage après tout. Je suis obligée de l’enfiler à même la peau car tous mes sous-vêtements, eux aussi, baignent dans l’huile. J’ai du mal à lui faire passer ma poitrine, mais moins que pour le short tout de même. Me voilà habillée, je me sens boudinée de partout mais vêtue. Les filles ont rassemblé nos affaires et me regardent avec un sourire ravi.

« Tu vois, tu es parfaite, ça te va très bien, pas vrai Florence ? »

« Oui à la perfection, tu es beaucoup plus… Enfin ça te va mieux qu’à moi, finit en rigolant Florence »

« Tant mieux, j’avais peur de ne pas rentrer dedans mais avec un peu de volonté, on arrive à tout. Mais je sens que ça serre pas mal, non ? »

« Voyons, tourne-toi un peu, non c’est parfait, allez allons-y ! »

Sa phrase finie, Fabienne me claque le croupion au passage, ce qui me permet de voir que mes fesses dépassent largement du petit short, elles l’ont même déjà avalé. Je tire dessus pour le faire ressortir mais cela le descend sur ma taille un peu plus. Pour le haut, ce n’est guère mieux, mes seins débordent de toute part, faisant des bourrelets où l’élasticité du tissu m’enserre la poitrine. L’amorce de mes seins est largement visible et malgré cela, le top s’arrête juste sous mon nombril. Bien sûr comme le tissu est des plus moulants, mes mamelons épais piquent et tendent le textile. Les filles ont pris de l’avance et je trottine pour les rejoindre, immédiatement je sens mes fesses avaler le short et s’échapper par-dessous.

Nous rentrons dans la voiture et je laisse les deux places de devants et m’installe sur la banquette arrière. En chemin, nous discutons des plaisirs de la matinée et Fabienne dit :

« Tu vois, je t’avais dit qu’avec Christelle c’était difficile de passer inaperçu ! »

«  C’est vrai, je crois que notre départ va laisser un vide sur la plage, confirme Florence en se retournant vers moi un grand sourire aux lèvres ».

« Vous êtes gonflés toutes les deux, vous y êtes quand même pour quelque chose »

« De toute façon je te connais, tu aurais sûrement fait de ton mieux pour te faire remarquer ! Me répond Fabienne en me regardant via le rétroviseur, et puis je n’ai pas l’impression que cela t’ait déplu ».

« Non, j’en ai eu les preuves plein les mains, pouffe Florence »

« Oui, j’admets mais c’est trop facile de me prendre par mes points faibles »

« Oh ! Je crois que sur la plage y en a un paquet qui aurait bien aimé te prendre par tous des points faibles », éclate Fabienne les larmes aux yeux.

Cette réflexion fait éclater tout le monde de rire, moi la première et ne fait que renforcer ma frustration de n’avoir pas pu aller au bout de mon plaisir. Le reste de la conversation reste sur la même longueur d’onde et les filles commentent les réactions d’un tel ou d’une telle. Tant et si bien que le temps passe vite et nous voilà presque arrivées.

L’enseigne de la grande surface apparaît sur la droite, parking à moitié rempli, nous devrions aller assez vite pour faire nos courses.

Quelques minutes après nous déambulons dans les travées, les talons de mes sandales claquent aussi fort qu’ils sont hauts sur le carrelage. Ceci attire l’attention des autres clients et ma tenue n’est pas faite pour leur donner envie de regarder ailleurs. Je passe mon temps à extirper le short de l’intérieur de mon postérieur, il suffit de quelques pas pour retourner à la case départ et voir mes fesses en déborder. Ce n’est guère mieux pour le haut qui glisse inexorablement vers le bas dès que je bouge un peu les bras pour me servir. La situation amuse beaucoup Florence, et Fabienne par la même occasion. L’accident dans mon sac ressemble de plus en plus à un coup monté. Excitée, Fabienne me claque régulièrement le cul dès que l’occasion se présente, voir mon popotin en déborder l’inspire.

Nous sommes aux rayons des boissons lorsque j’entends derrière moi :

« Hey, mate la meuf, là ! »

«  Putain, la salope ! »

Je jette un œil pour voir qui cause ainsi et je vois deux jeunes, la casquette vissée sur la tête, chacun un casque sur les oreilles. C’est certainement pour cela qu’ils parlent si fort du reste, la musique doit hurler dans leurs oreilles et ils ne se rendent pas compte qu’ils parlent si haut.

« Tu as vu le cul qu’elle se paye, cette pute ! »

« Ouais, attends… »

Attends ? Mais quoi donc ? Je jette un nouveau coup d’œil discrètement pour le voir se saisir de son téléphone portable qui, je le comprends vite, tient lieu d’appareil de photos. Cela inspire son copain qui sort le sien lui aussi.

« Christelle, tu peux m’attraper des bouteilles d’eau en bas ? Non, l’autre marque, au fond »

Fabienne me demande d’aller récupérer les seules bouteilles de Badois qui restent au fin fond de l’étagère du bas. Je suis obligée de me plier en deux pour aller les extraire de là-dessous, mon short ne rate pas une si belle occasion de s’enfoncer une fois encore au plus profond.

De nouvelles réflexions bien grasses fusent derrière moi, mes adorateurs de la casquette de travers s’en donnent à cœur joie, l’appareil de téléphone à la main, ils immortalisent l’instant.

À voir la mine réjouit de Fabienne et Florence, rien ne leur a échappé. Je m’imagine être bientôt la reine d’un blog, ou autre truc internet, où mes deux lascars lubriques se feront une joie de partager leur butin avec leurs potes. Tout ce petit jeu ravive en moi le diable qui sommeille dans mon bas-ventre, je sens mes seins se gonfler un peu plus, ce qui n’est pas fait pour arranger la situation précaire où ils sont. Lorsque je dépose les bouteilles au fond du chariot, une fois de plus la main de Fabienne me claque les fesses en me disant :

« Prends aussi de l’eau plate, la Vittel, là-bas »

Le son de sa voix et son geste montrent à quel point elle est excitée, je ne pense d’ailleurs même plus à réajuster pour la énième fois mon short alors que je replonge à la pêche aux bouteilles. Mes deux globes débordent de quasiment la moitié de ce qui sert à couvrir mes fesses, mais je laisse mes fesses ainsi.

Les deux jeunes ne nous quittent plus, ils visitent par un heureux hasard les mêmes rayons que nous. Le téléphone à la main, ils me mitraillent à la moindre occasion et Fabienne se charge d’en donner à profusion.

«  Christelle, tu peux prendre du riz, au moins deux paquets, ceux du haut »

Après m’avoir fait visiter le bas, voilà que je dois m’étirer pour l’étagère la plus haute. Bien sûr, mon bustier qui tient par miracle et me comprime la poitrine en profite pour s’échapper par le bas. Sous l’œil pervers de Fabienne, je laisse faire et je prends mon temps pour me saisir des boîtes. Bien sûr, je ne choisis pas la bonne marque et, sous les ordres de Fabienne, je reste plus que nécessaire les bras tendus. Le bustier arrive au ras de mes aréoles quand j’ai enfin la bonne marque, mes seins débordent par-dessus formant une sorte de grosse paire de fesse sur ma poitrine. Mes mamelons plus durs que jamais empêchent probablement le tissu de glisser plus bas. C’est alors que Florence s’approche de moi et dit :

« Oh mais on dirait que tu as une tâche là devant ? »

« Où ? »

« Florence attrape alors le top sur mon ventre comme si elle voulait gratter le tissu, mais elle tire si violemment que mes seins explosent par-dessus le textile. Mes mamelons comprimés se détendent et montrent toute leur énormité et raideur aux yeux de tous les présents. Mes seins gonflés à bloc finissent de repousser le tissu et apparaissent dans toute leur beauté. J’ai encore les mains pleines de mes boîtes, Florence se recule masquant difficilement son rire en disant :

« Oh, pardon ! »

Le temps de me libérer les mains, je me rhabille comme je peux. Fabienne prononce difficilement, tellement elle est elle aussi sous l’emprise du fou rire.

« On t’a dit que tu avais une belle poitrine mais faut quand même pas exhiber ça n’importe où, maintenant. C’est tout Christelle ça, elle ne sait pas faire dans la modération »

« Vous êtes drôles vous, c’est juste ce top qui est un peu étroit, dis-je pour ma défense ».

« Mais non, il te va parfaitement, pas vrai Florence ? »

« Oui d’ailleurs je t’offre l’ensemble, tu es trop sublime dedans »

Bien sûr, les amateurs photographe n’ont rien perdu de la scène et quand je jette un œil pour voir l’effet que j’ai fait, je les vois en train de se monter l’écran de leurs téléphones respectifs.

« Putain, mate les melons qu’elle se paye, cette pute ! »

«  Elle est grave bonne, cette salope ! »

Ces commentaires toujours aussi élogieux ne sont pas faits pour me calmer, mon excitation et au plus haut, mon bas-ventre est en feu. Fabienne me glisse à l’oreille.

« Fais gaffe, tu es en train de mouiller comme une grosse cochonne ! »

Je ne peux que le constater en regardant mon entrejambe, une tache sombre est en train de s’épanouir sur mon sexe. Piteuse, je cherche à masquer ma honte derrière le paquet que j’ai en main mais cette situation m’excite plus encore, c’est plus fort que moi.

Heureusement, nous arrivons au terme de nos achats et nous filons vers la caisse. Je suis tellement sous l’emprise de mon excitation que je ne passe plus mon temps à rectifier ma tenue, aussi je ne compte plus les paires d’yeux qui dévorent mon popotin mis en valeur par mon déhanchement. Mon bustier, lui, couvre toujours le minimum vital. Le chariot plein, Florence dis :

« Je dois passer à l’accueil, j’ai un truc à récupérer, si c’est bien revenu ».

«  Je t’accompagne, je dois voir aussi quelque chose pour mon fils »

« J’avance vers la voiture, dis-je, ça nous fera gagner du temps »

Je me retrouve rapidement dehors poussant un chariot particulièrement pesant et j’arrive à la voiture. Le coffre ouvert, j’extirpe un gros pack d’eau d’une main et un sac, lui aussi bien rempli. Mais je présume de mes forces, le plastique des bouteilles se déchire et elles roulent toutes au sol. Voulant les rattraper de l’autre main, je lâche le sac qui lui aussi répand son contenu. Je jure un bon coup et pliée en deux, je commence à rassembler bouteilles et autres éparpillés et qui pour beaucoup ont roulé un peu partout.

« On va vous aider, Madame! »

Surprise, je me retourne et vois les deux compères du magasin, ils ont toujours leurs téléphones à la main et sont plantés derrière moi.

« Euh, merci, c’est gentil »

Je me penche derechef pour saisir ce qui traîne. Placée près du coffre de la voiture, je sens un contact sur mon postérieur tendu vers le ciel. Un des deux gars, prétextant de déposer des choses dans le coffre, me colle de près et laisse sa main un peu trop traîner du côté de mes fesses au passage. Loin de montrer mon indignation, je me penche sous la voiture pour y récupérer une boîte de conserve. Y voyant probablement une invitation, une nouvelle pression sur mon cul se fait encore plus insistante, j’y réponds le plus bêtement du monde par le sourire de la plus parfaite idiote quand je me relève.

L’autre a toujours son « téléphone photo » à la main et me donne plus l’impression de s’en servir que de m’aider. Je dépose à mon tour le fatras de course qui encombre mes bras dans le coffre, mais je dois repousser et ranger une partie déjà placée là en vrac. Penchée en grande partie sous le hayon, je m’échine à repousser vers le fond un pack de bouteilles, diable que ce coffre est profond. Celui qui a toujours son portable à la main se place à mes côtés pour poser quelques affaires, à son tour ses mains en profitent pour s’égarer sur ma poitrine qui pend comme deux gros melons alors que je suis toujours là, bras tendu, en train de ranger le fond du coffre.

«  Ça aussi, je mets au fond ? »

« Euh… Oui si tu veux, s’il te plaît »

« Bien, c’est vous qui voyez ! »

Une fois encore une main en profite pour se glisser sous ma poitrine, un doigt se tend pour mieux l’effleurer. Toujours aussi impassible, du moins en façade car mon entrejambe s’humidifie dangereusement, je m’attarde dans la position même si cela ne s’impose plus. Devant une telle absence de réaction, le jeune salopard ne tarde pas à récidiver. Poussant je ne sais quoi sous mon poitrail, le retour de sa main se fait des plus baladeuse car je sens des doigts suivre la courbe de mes seins, si pesamment que le tissu en glisse un peu plus. Je me relève alors prestement soudain consciente que je me laisse trop aller à mes vices, je suis même en train de faire n’importe quoi mais c’est plus fort que moi. Mes bouts tendent le textile plus que jamais, je préfère ne pas regarder mon entrejambe, trop peur ou trop sûre d’y voir une large auréole sombre et humide au niveau de mon sexe.

Je redresse la tête dans l’espoir qu’une bonne goulée d’air m’aidera à reprendre mes esprits. J’ai toujours une main en appui sur le bas du coffre, quand je vois dans le reflet de la vitre du hayon l’autre jeune dans mon dos, plutôt au niveau de mon postérieur, en train de mimer à raison de grands coups de reins, une saillie sur ma personne. La sensation et si forte que j’ai l’impression de sentir son sexe glisser entre mes jambes, tenter de crever le tissu du short pour mieux me prendre. Je ferme les yeux pour échapper à ces idées perverses et je me recule afin d’offrir une vue moins provocante. Je rentre alors en contact avec lui, qui est toujours en train de jouer du bassin, je me retourne flageolante sur mes jambes.

«  Pardon, je ne vous avais pas vus »

« Pas grave ! »

C’est à ce moment-là que quelque chose roule sous mon pied, une autre boîte conserve certainement, j’en perds l’équilibre, parts en arrière et je m’affale dans le coffre de la voiture.

Perdue l’espace de quelques secondes, je me retrouve les jambes en l’air, reposant sur le bord de la voiture, les fesses plantées dans le fond du coffre. En face, mes deux aides sont plantés devant moi, les yeux scotchés sur mon entrejambe. Je comprends vite pourquoi, j’ai les jambes bien écartées, le short humide moule à la perfection ma vulve bien gonflée, ma fente profondément creusée par le tissu trempé de mon jus. J’aurai le short peint sur le corps que le spectacle ne serait pas différent.

« Ça va Christelle ? qu’est-ce que tu fais ? »

«  Euh… Oui Fabienne, j’ai glissé et je suis tombée dans le coffre »

Devant le regard interrogateur de Florence et Fabienne qui viennent d’arriver je poursuis :

« J’avais tout fait tomber et ils m’ont aidée à ramasser, merci bien, c’était gentil de m’aider ».

Sous le regard mi-soupçonneux, mi-amusé des deux filles, mes deux lascars remettent leurs casques sur les oreilles :

«  De rien, m’dam’! »

Ils s’éloignent en se montrant leurs portables et alors que nous finissons de remplir le coffre, j’entends, (les filles aussi certainement) :

«  Il n’y aurait pas eu les deux autres, on se la faisait cette salope ! »

« Ouais, tu as vu sa chatte à cette pute, elle attendait que ça de se faire mettre ».

Le reste se perd derrière le bruit d’une voiture qui passe. Honteuse, je ferme le coffre quand Fabienne dit :

« On est arrivé à temps on dirait, Florence ? »

« Ah ? Tu crois ? Pourquoi elle dit ça ? » répond Florence en me regardant et prenant un air faussement étonné.

«  Je ne sais pas, de l’humour à la Fabienne, dis-je toujours aussi honteuse de mon comportement ».

Sur ce pieux mensonge je m’enfonce dans la voiture. Sur le reste du parcours, Fabienne poursuit ses allusions graveleuses, mimant une certaine indignation et disant que je n’étais pas sortable. Prenant à partie Florence, elle dit qu’elle ne sait plus quoi faire de moi sur le ton de la plaisanterie. Florence rentre dans son jeu et parle de moi comme si j’étais une gamine trop délurée et vicieuse. Fabienne finit par dire :

« Pourtant, ce n’est pas faute de la punir ! Mais j’ai l’impression qu’elle adore ça ! Pas vrai Christelle ? »

« Arrête, Florence va finir par croire que c’est vrai, dis-je toujours aussi honteuse de moi et d’avoir montré si vite le diable qui couve dans mon bas-ventre à Florence ».

Nous arrivons enfin, il était temps. Les paroles de Fabienne et toutes ses allusions n’ont fait qu’entretenir mon état. La maison de Florence et Hubert est tout aussi belle que celle de sa sœur. Florence explique qu’elles avaient hérité du terrain de leur papa et fait construire quasiment en même temps. Une belle piscine trône derrière la maison ainsi qu’une grande terrasse ombragée. La découverte des lieux permet de changer le sujet de conversation, ce qui laisse ma libido souffler un peu. Nous nous installons sur la terrasse et profitons des derniers rayons de soleil. Florence nous laisse quelques minutes pour mieux revenir les bras chargés de bouteilles, verres et autres trucs qui font grossir. L’intimité des lieux et les événements au supermarché m’ont fait oublier ma tenue, du moins je ne pense plus à l’ajuster. Le bustier s’est bien retroussé sur mon ventre et laisse voir toute sa rondeur, la partie haute ne tenant toujours que par miracle, quant au short cela fait longtemps que mes fesses en ont gobé la moitié. Florence nous sert l’apéro à profusion, j’ai soif et je bois rapidement plusieurs verres d’un punch aussi bon que traître. Nous discutons un long moment et nos rires deviennent de plus en plus fréquents au fur et à mesure que le broc se vide. Florence nous dit qu’Hubert ne devrait plus tarder puis elle s’éclipse, revient avec le pichet à nouveau rempli. Voilà plus d’une heure que nous sommes là assises à prendre l’apéro et nous commençons à être bien pompettes quand Florence dit :

« Fabienne, tu dois être jalouse que j’aie prêté des habits à Christelle, faut que je t’en prête aussi ».

« Je rentrerai jamais dedans, s’exclame Fabienne les yeux rougis par l’alcool »

« Si, si, faut le faire aussi, hein Christelle ? Florence finit par un rire aviné »

« Ouais, dis-je, mais elle va t’éclater ta garde-robe »

« Tu n’as qu’à dire que je suis une grosse vache. Amène ! Je suis sûre que je peux être aussi sexy que cette garce, dit Fabienne prenant un air faussement en colère ».

Florence se lève d’un pas mal assuré, l’alcool l’ayant aussi fortement atteinte et alors que nous continuons avec Fabienne à parier sur ses chances, elle réapparaît. J’ai d’abord l’impression qu’elle ne revient qu’avec un collant car je ne vois que de la résille, ou une texture typique des bas et collant.

« Voilà pour toi ! Florence déplie une combinaison résille qui couvre tout, des pieds aux épaules »

« Je crois que tu as perdu Christelle », dit Fabienne en prenant rapidement la combinaison.

« Ce n’est pas du jeu, ce n’est pas un habit ! »

« Si, c’est sexy en plus, dit Florence »

« OK, mais tu ne l’as pas encore mise »

Prenant cela comme une dernière provocation, Fabienne fait glisser sa robe vers le sol. Elle ne porte dessous qu’un mince string dont l’élastique disparaît dans le repli de ses hanches. Ses lourdes mamelles sont libres de tout soutien et pendent comme deux énormes poires quand elle se penche pour enfiler la combinaison. Finalement, je dois m’avouer battue, ses rondeurs pourtant bien plus importantes que les miennes, étirent la résille mais elle parvient à enfiler la combinaison. Sa poitrine abondante écarte les mailles qui laissent passer ses mamelons turgescents, pour le reste, tout est distendu mais à l’intérieur et rien de craque.

« Tu es super sexy, dis Florence, je suis sûre que toi aussi tu aurais un succès fou à Carrouf ! »

« Ah tu vois ! Tu as perdu ! Tu mérites une bonne punition pour la peine, comment ils disaient les jeunes, tout à l’heure ? Ah oui, montre-moi ton cul de pute, que je te corrige »

« OK, je l’ai bien mérité, j’ai perdu »

Fabienne aux yeux brûlants aussi bien d’alcool que d’excitation, sa nouvelle tenue lui donne des ailes, ou plutôt de fortes envies.

De bonne grâce je tourne le dos et je me penche sur le fauteuil en dandinant du croupion pour bien montrer que je m’avoue battue. Une claque sonore tombe rapidement, me faisant même repousser le fauteuil sur lequel je m’appuie, une suivante donne le même résultat. Le plaisir pris lui aussi me vrille le ventre et me fait monter la chaleur aux joues. Je dois lâcher un petit cri significatif à la troisième car Fabienne dit :

« J’arrête, car elle est capable de jouir comme ça, je la connais bien ! »

Ce qui ne l’empêche pas d’en donner une quatrième qui me fait pousser un autre couinement encore plus profond. C’est en me redressant que je vois qu’il y a un grand hamac suspendu entre deux arbres derrière moi.

« Oh ! Ce n’est pas vrai, un hamac. Je rêve de me couler là-dedans depuis longtemps. »

« Il est assez abîmé, faut qu’on le change, dit Florence, mais tu peux l’essayer si tu veux ».

« J’y vais, j’ai trop envie de voir ce que ça fait »

Il est fait de grosses mailles, comme un filet de pêche, très large. Quand je m’enfonce dedans, je vois qu’il est aussi très profond, les bords me dépassent largement, une fois couchée dedans.

« C’est où qu’il est abîmé ? » dis-je.

«  Un peu partout les mailles ont lâché, ça fait des gros trous, regarde de chaque côté de tes genoux par exemple ».

« Oui, je vois ça maintenant »

En effet de gros trous de chaque côté, un peu en arrière des genoux et sur les côtés se sont élargis sous mon poids. Je ne sais pas pourquoi mais je passe mes jambes dans chacun des trous, tant et si bien que finalement c’est jusqu’aux cuisses que mes jambes passent à travers et je dis.

« Tu as raison, il y a de sacrés trous ! »

« Ça, c’est le truc qu’il ne fallait pas faire »

Florence se lève aussi rapidement que son alcoolémie le lui permet, me rejoint, referme le haut du hamac sur moi et fait tourner le tout autour de sa fixation. Je ne sais combien de tour mais je me retrouve saucissonnée dans les mailles, complètement prisonnière, impossible de bouger. De plus, j’ai la face vers le sol et mes jambes pendent en dehors du hamac de chaque côté, dans le vide, légèrement repliées et écartées par la pression du filet. Les deux filles sont pliées de rires en me regardant :

«  On dirait un poulet avec ses deux grosses cuisses, bafouille Florence ! »

« Plutôt une dinde, non ? Attends ! »

Fabienne s’approche et disparaît de mon champ de vision, je sens ses mains se poser sur mes cuisses et les écarter encore plus. Ce qui les fait encore plus ressortir des mailles du filet et s’écarter aussi. Je reste ainsi bloquée, sous les rires des deux.

« Voilà une belle dinde prête à se faire embrocher ! »

« C’est malin, dis-je, allez aidez-moi à sortir, puis ça me serre la poitrine, j’ai du mal à respirer. »

« Pour ça, on peut t’aider, dit Florence »

Elle s’empare d’une paire de ciseau amenée pour l’apéritif, se glisse sous moi et coupe. Probablement des mailles du filet, car sa tête masque son travail, mais je ressens un gros relâchement sous mes seins. Quand elle se retire, je vois qu’elle a coupé quelques fils, juste ce qu’il faut pour que mes lolos s’échappent à travers et pendent comme deux ballons. Sous l’effet, mon bustier a glissé et ce sont mes seins à nus qui explosent sous moi. Ils paraissent encore plus impressionnants que d’habitude car le hamac me tire les épaules en arrière et me plie le corps comme une banane.

« Waouh ! Regarde la paire que ça lui fait, s’exclame Florence, il me faut absolument la même ! »

« Cette garce trouve toujours une bonne excuse pour nous narguer avec sa poitrine et nous montrer à quel point les nôtres sont moins excitantes ».

« Arrêtez vos idioties et sortez-moi de là-dedans », dis-je.

Pour mieux faire comprendre mon désagrément, je m’agite dans ma prison de ficelles, mes lolos n’en bringuebalent que de plus belle sous moi. Cela a un effet sur Florence, mais loin d’être celui escompté. Elle s’approche de moi, un nouveau verre rempli à la main, en boit une longue gorgée et me lance.

« Putain, tu as vraiment des nichons super excitants, j’adore tes gros bouts, j’en ai jamais vu d’aussi énormes »

Comme s’il était utile de me prouver ses dires, elle passe sous moi, m’attrape un sein à pleine main et sa bouche se jette voracement sur mon mamelon. Je pousse un cri aigu sous l’effet de cette agression, qui se transforme rapidement en gémissement sous ses coups de succions, dents, langue répétée.

« On dirait qu’elle aime ! Clame Fabienne qui est en train de finir de vider la bouteille »

Elle la regarde d’ailleurs un moment, penchée au-dessus de son verre, avant de se rendre compte qu’il n’y a plus rien à en tirer. Elle avale d’un trait le gin et se lève d’un pas peu assuré et dit :

«  Attends, y en a un qui est jaloux »

Elle s’agenouille à son tour sous moi et s’empare de mon autre sein pour lui faire subir le même traitement. Sous cette force conjuguée, mes gémissements deviennent plus fort et je lâche régulièrement des « oh oui… », mais elles n’ont aucun besoin d’encouragement pour poursuivre. J’ai l’impression d’être la louve de Rome en train d’allaiter ses deux fils. La sensation est d’autant plus forte que je suis complètement entravée, c’est nouveau pour moi. Je me rends compte que cela me fait découvrir de nouveaux plaisirs, me sentir prisonnière et à la merci de mes deux amoureuses. Je suis tout au plaisir de sentir mes seins se faire triturer et sucer lorsque j’entends une voix.

« Eh bien ! Vous n’avez pas l’air de vous ennuyer ! »

Je reconnais après un long instant, aussi bien perturbée par ma légère ivresse que par les caresses, la voix de Hubert. Je l’avais complètement oublié celui-là. Son apparition interrompt mes deux copines, elles passent leur tête à côté du hamac, Fabienne lance d’une voix embrouillée :

« On a attrapé une belle dinde, on est en train de la préparer avant de l’embrocher ».

«  Mais n’y aura pas besoin de la mettre au four, elle est déjà bien assez chaude comme ça, glousse Florence ».

« Ouais, elle a passé toute la journée à s’échauffer, cette grosse cochonne, croit bon de préciser Fabienne ».

Disant cela, elle s’extirpe de sous le hamac, la situation est telle qu’elle ne se rend même pas compte du spectacle qu’elle offre à son presque beau-frère. Ce qui ne semble pas le déranger le moins du monde car d’une voix des plus calme, il poursuit :

« Vrai ? Va falloir me raconter ça, mais voyons voir l’état de la bête »

Toujours aussi prisonnière, je ne peux rien voir mais je sens peu après une main me tâter le croupion, elle glisse du short sur la partie à nu de ma fesse, la deuxième fait de même sur l’autre. Maintenant les deux mains empoignent mon postérieur, écartent mes fesses, les triturent, faisant encore plus glisser le short à l’intérieur. Mon cul semble gonflé à l’hélium tellement il ressort, de par ma position.

«  Alors mon chéri, c’est bon ? Tu ne rêves plus qu’à ça depuis hier »

« Ouais ! Quel cul ! »

«  Les seins sont pas mal non plus, et Florence se rejette dessus, malaxant, suçant, mordillant mon mamelon.

Je lâche encore un couinement aigu, Fabienne ajoute entre deux rires :

« Tu vois, elle est presque prête »

« Voyons voir ça »

Une main va de mon cul jusqu’à mon entrejambe qui gonfle le fin tissu du short, un doigt glisse en appuyant le long de mes lèvres et commence un va-et-vient.

« Vous lui avez trempé le cul dans l’eau à votre dinde, c’est complètement trempé par là ».

« Je crois plutôt qu’elle fait beaucoup de jus »

Je ne sais qui dit ça car j’ai les yeux clos, toute à mon plaisir, de ma bouche sort un gémissement continu dont seul le niveau varie. Cette double caresse et la privation de mes mouvements me font basculer totalement sous l’emprise du plaisir charnel. Le doigt sur mon sexe se fait de plus en plus insistant, si bien qu’il enfonce dans mon trou désormais béant le short qui le couvre encore. Je crie encore un ton au-dessus lorsque ma chatte avale tout le tissu. Mais je sens que mes seins ont été abandonnés, j’ouvre à demi les yeux pour voir que Fabienne et Florence sont là, sous moi, en train de s’embrasser goulûment.

Fabienne n’a pas perdu de temps car sa main s’est déjà glissée sous la bretelle du top de Florence. Celle-ci tombe d’ailleurs de l’épaule laissant tout le plaisir à Fabienne de découvrir une partie de la poitrine. Une poitrine bien menue d’ailleurs, je comprends les allusions de Florence. Son bout forme un renflement bien droit qui domine un petit sein gros comme un pamplemousse. Fabienne, tout en continuant de fouiller de sa langue la bouche de Florence, finit d’arracher l’autre bretelle mettant ainsi à nu tout le buste.

Visiblement elle n’attendait que ça, car elle se jette alors sur ses petites mamelles. Certainement sous le coup de la sensation, Florence se laisse tomber sur le dos, prenant la tête de Fabienne dans ses mains. La bouche ouverte, elle me regarde, les yeux mis clos, elle savoure son plaisir.

Je sens soudain quelque chose me pénétrer, c’est lorsque je sens ses coups de bassin sur mes fesses que comprends qu’Hubert est passé à l’action. D’une main il tire le short sur le côté pour mieux s’introduire en moi. Ce premier assaut me fait pousser une longue plainte, si forte que cela fait lever la tête de Fabienne, toujours une main autour du sein de Florence elle dit :

« Je crois que notre grosse cochonne est en train de prendre son pied »

« Je croyais que c’était une dinde »

« Ça doit être un croisement entre les deux, de nos jours avec la génétique, on fait n’importe quoi.

Je n’ai que faire de leur discussion car Hubert a entrepris un va-et-vient, le son de ses hanches frappant mon postérieur rythme sa pénétration. Ses deux mains sont désormais accrochées à ma taille, son membre raidi suffit à tenir le short de côté. Rapidement une vague de plaisirs plus forte que les autres me submergent, suivit d’une autre encore plus forte, puis d’une autre. Après toute une journée d’excitation, il suffit de quelques secondes de cet assaut en règle de mon intimité pour que l’orgasme explose en moi.

Je le hurle à tous, la gueule ouverte dans un cri interminable. Interminable car mon orgasme semble sans fin, mes seins se balancent à n’en plus finir sous moi tellement Hubert martèle mon cul à grands coups de bassin. Cela donne de nouvelles envies à mes deux comparses qui se jettent derechef sur mes seins, je ne peux pas dire que cela décuple mon orgasme car je dois être au bout. Je sens les mains de Hubert se raidir, il sort de moi, je l’entends rugir, peu après un liquide chaud se répand sur mes fesses, il vient de jouir sur mon cul. Décidément c’est une habitude des hommes, mon popotin les inspire toujours autant.

Ce qui ne l’empêche pas de replonger en moi, sa vigueur a en partie disparu mais cela me permet quand même tirer encore quelques bouts de jouissance. D’autant plus que les deux filles s’acharnent toujours sur ma poitrine. Hubert dit alors :

« J’aimerais moi aussi en profiter, de ces superbes seins »

« Tu as déjà son cul, c’est déjà beaucoup, lui répond Florence »

« Tu sais comme je suis, il m’en faut toujours plus »

Sur ces bons mots, Hubert attrape mes jambes et me fait faire un demi-tour dans le hamac. Si bien que je suis maintenant la face vers le ciel, mes jambes pendent toujours autant de chaque côté offrant un large accès à mon entrejambe. Je suis toujours entravée, je ne peux même pas dire si je le suis moins ou plus qu’avant. Peu importe, Hubert est loin d’avoir retrouvé toute sa raideur mais il plonge de nouveau en moi, une main jouant toujours sur l’élasticité du short pour libérer l’accès à ma chatte. Une nouvelle partie commence, Hubert joue du bassin aussi fort qu’il le peut. Ses yeux sont collés à ma poitrine qui tressaute, mes tétons dressés, à chacun de ses coups de reins. Je n’ai plus la jouissance d’avant mais je prends malgré tout du plaisir et je continue à geindre en lançant des petits cris.

Fabienne et Florence ont disparu de mon champ de vision, je les imagine enlacées en train de se faire mille choses excitantes. D’ailleurs j’entends maintenant un couinement que je connais bien, Fabienne est dans de bonnes mains, semble-t-il. Hubert continue à me chevaucher, on dirait qu’il ne se lasse pas de voir ma poitrine trembler sous ses assauts, ses yeux ne la quittent pas. Son membre a repris une deuxième jeunesse, accentuant mon plaisir par là même. Ce que confirment les râles qui sortent de ma bouche.

Il est en sueur, la figure un peu congestionnée, la bouche ouverte à la recherche d’air, sa respiration est d’ailleurs bruyante. Sa raideur est maintenant comme aux beaux jours et il n’a plus besoin de maintenir ce sacré short qui ne m’a jamais quittée. Ses mains se sont glissées sous mes genoux et il me tient les jambes par là, levées et bien écartées. Un nouvel orgasme pointe son nez, plus long à venir que le précédent mais qui grossit peu à peu. Je suis bouche ouverte, les yeux rivés sur le sexe qui rentre et ressort de moi.

Ça y est, je jouis de nouveau. Pas aussi fortement que le précédent mais je crie mon plaisir avec conviction. Je suis en phase avec mon amant car je le sens se crisper peu après. Il se retire précipitamment de moi et saisit son sexe qu’il pointe vers moi. Un ou deux coups de main plus tard, sa semence inonde ma poitrine.

Je suis épuisée après avoir autant joui, Hubert aussi car il s’effondre dans un fauteuil. Les cris que pousse sa femme attirent son regard, on dirait que mes deux amies n’ont pas encore fini de se faire du bien.

« Oh ! Détachez-moi, moi aussi je veux en profiter ! »

À suivre….

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