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Les aventures coquines et libertines de Christelle 15

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Ma nouvelle collègue !

Voilà plus quinze jours que je travaille dans cette agence immobilière, le travail n’est pas formidable en soi mais je suis quand même heureuse de mon sort. Mon mari m’a trouvé ce boulot par connaissance quand je lui ai dit que j’en avais marre de rester à la maison. Les enfants sont grands maintenant et voilà longtemps qu’ils n’ont plus besoin de moi. Ce n’était pas facile de me trouver un job après une si longue inactivité et heureusement que Damien, mon mari, connaissait le patron de cette agence. Mais comme souvent il fallait aussi tomber au bon moment, ils cherchaient une personne pour faire l’accueil et le secrétariat suite à une réorganisation et un départ. Aussi me voilà en place, moi Muriel, mon premier boulot depuis plus de 15 ans, cette réflexion me fait sourire.

Pour l’instant tout se passe à la perfection, l’aspect secrétariat et le contact avec le public me plaisent. Il est vrai qu’il n’y a pas non plus une foule de personnes qui passent tous les jours. Cependant, comme je suis en première ligne avec les clients, je m’applique à avoir une tenue assez habillée. Le patron ne m’a rien dit de spécial mais j’ai pensé que cela était préférable.

Ma garde-robe est riche en tailleurs de toutes sortes aussi je n’ai aucun mal à trouver mon bonheur. Bien que mon mari me trouve un air trop strict, voire sévère, quand je pars au boulot j’ai gardé la même ligne de conduite pour l’instant. C’est peut-être aussi ma chevelure bien noire et mes lunettes cerclées de noir elles aussi qui me donnent cet air « sévère », le tout renforcé par des tailleurs toujours très (trop ?) classiques. Peu importe, après tant d’années à la maison où je faisais finalement peu d’effort de toilettes malgré mes richesses, je prends du plaisir à me vêtir en « working girl ».

Ceci même si je ne suis qu’une vague hôtesse, secrétaire à tout faire de l’agence. Je me suis aperçue que j’aimais déambuler dans les rues, en allant ou partant du travail, en prenant un air important et sûr de moi comme si j’avais des dizaines d’affaires en cours. Ainsi vêtue de mon « uniforme » de working girl je me donne l’impression de diriger et d’avoir le monde à mes pieds. Je sais c’est idiot, je me la joue un peu mais après tant d’années à vivre dans l’ombre de son mari ou de ses enfants, avoir l’impression d’être quelqu’un d’important ou… Enfin je ne sais pas quoi exactement mais cela me plaît. J’ai bien le droit de rêver un peu après tout.

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La partie secrétariat ne me pose pas de problèmes. Habituée à m’occuper de la paperasse et de tout ce qui touche la famille et la maison, je ne suis finalement pas trop dépaysée et mon sens de l’organisation fait merveille. C’est juste les thèmes abordés qui diffèrent et quelques règles de fonctionnement à acquérir. Après un peu plus de deux semaines je maîtrise assez bien la situation même si j’en apprends un peu plus chaque jour bien sûr. Le patron semble content de moi, c’est le principal.

 

Les collègues sont sympas même si je ne les vois pas très longtemps finalement. Ils sont soit en visite soit en train de préparer de la paperasse avec des clients. Je n’aurai jamais imaginé qu’il y avait autant de papiers, documents dans ce type de travail, d’ailleurs c’est moi qui m’occupe de la tâche ingrate du rangement, classement et autres de toute cette paperasse. Je les connais peu encore bien sûr mais j’ai bien été accueillie. Je discute plus avec les autres filles, surtout deux, on a toujours plus d’affinité entre femmes. Tiens, voilà Christelle qui rentre, je ne peux m’empêcher d’examiner sa poitrine depuis les réflexions que j’ai entendues depuis mon arrivée.

« Bonjour, excuse-moi mais après les retours de vacances j’ai toujours du mal à recoller les morceaux, j’ai oublié ton prénom ? On m’a annoncé ton arrivée mais…

« Muriel, comme Robin »

« Robin ? Robin des bois ? »

« Non… Muriel Robin »

Elle me regarde avec un air qui montre qu’elle ne saisit pas puis soudain quelqu’un doit allumer la lumière dans sa tête car elle dit :

« Ah oui, l’actrice ou quelque chose comme ça »

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« Oui la comique… C’est ça. Et c’est Christelle, je ne me trompe pas ?

« C’est bien ça, tu as meilleure mémoire que moi ! »

Elle part dans un rire que je trouve un peu niais et qui lui soulève la poitrine. Je vois que mes autres collègues ne m’ont pas menti. Pendant les deux semaines passées, j’en ai entendu certains parlers de « miss décolletée » régulièrement et devant mes interrogations elles m’ont dit qu’elle était en vacances mais que je comprendrais quand je la verrais. En effet, Christelle arbore un chemisier bien ouvert sur une somptueuse poitrine. Nul besoin d’avoir des yeux aiguisés pour voir à quel point ses seins sont rebondis, la naissance forme deux ballons gonflés entre les pans du chemisier.

Mes yeux quittent le décolleté, je suis consciente que mon regard s’est attardé plus que la politesse ne le demande et je suis un peu confuse de mon comportement. Elle semble n’avoir rien remarqué et me sourit avec un air un peu innocent. C’est un peu méchant ce que je dis mais c’est la première impression que j’ai. Après le coup sur Muriel Robin, son rire, bref elle ne me semble pas des plus fines. Il me revient aussi en mémoire la conversation de vendredi passé avec Annie et Sonia, mes deux copines de l’agence. Selon elles, elle devait sa place plus à sa poitrine qu’à autre chose. J’avais été un peu choquée, pas habituée aux ragots sur des collègues, mais ce premier contact me rappelle ces conversations malgré moi.

Nous discutons encore cinq minutes puis elle me quitte en me lançant un « À tout à l’heure ». Je la suis du regard, c’est donc cela la fameuse Christelle. Je vois qu’elle est perchée sur des hauts talons qui lui font dandiner des fesses à n’en plus finir. Fesses que son pantalon moule suffisamment pour m’en donner une vision assez précise. La garce n’a pas seulement une paire de seins qui n’ont rien à envier aux stars siliconées, ils le sont peut-être d’ailleurs ? Mais aussi un sacré postérieur. Son fessier est cambré à souhait et dodu. Le pantalon qui n’est pas particulièrement serré semble avoir du mal à retenir son contenu, il est tendu moulant généreusement une belle paire de fesses. Attention, je ne dis pas qu’elle a un gros cul flasque, non, c’est tout le contraire, il est… Sexy. Oui, c’est ça, simplement sexy.

Elle doit avoir mon âge à peu de chose près, il faudra que je regarde par curiosité dans les dossiers du personnel dont j’ai la charge, mais elle dégage quelque chose malgré tout. D’ailleurs l’odeur de son parfum stagne encore autour de moi, très sucré et difficile à ne pas remarquer il est suffisamment puissant pour être encore autour de moi.

Je commence à comprendre de plus en plus celles qui disent qu’elle est là grâce à son physique bien qu’elle n’ait plus vingt ans. Bien sûr je suis bien incapable de pouvoir juger ses talents d’agent immobilier mais elle ne m’a pas paru très brillante pour ce premier contact. Cela dit c’est peut-être aussi un bon argument de vente.

Elle revient plusieurs fois dans la journée m’exhiber son décolleté sous le nez et se dandiner sous mes yeux autour des étagères pleines de classeurs et cartons. Il faut avouer qu’elle est souriante, elle me gratifie à chaque venue de son sourire que je trouve toujours aussi niais, elle est gentille on ne peut pas le lui enlever. Peut-être influencée par les mots peu aimables entendus sur son intellect, des jalousies entre bonnes femmes ? Et les diverses réflexions sur sa personne mais malgré moi mes yeux s’attardent sur elle. Je dois me surveiller pour ne pas me laisser aller à la suivre du regard et à la fixer. Cela dit elle ne s’aperçoit de rien et continue à me sourire bêtement à l’occasion.

Je l’observe de plus en plus et cela confirme mes premières impressions. Je ne parle pas seulement de l’intellect de madame, même si les premiers sentiments sur ce thème-là ont tendance à donner raison à mes nouvelles collègues. Mais sur le côté charnel qu’elle dégage. Pourtant son visage n’a rien d’extraordinaire même si elle peut être caractérisée de mignonne avec ses yeux noisette, ses cheveux entre le blond et le châtain clair légèrement ondulés qui tombent sur ses épaules, des lèvres assez épaisses soulignent une bouche plutôt grande. On devine quelques rondeurs de-ci de-là, un ventre arrondi tend la boutonnière de son pantalon et son chemisier, les hanches aussi forment un léger galbe en haut des cuisses. Il faut que j’arrête de la fixer ainsi, elle va finir par s’en apercevoir.

C’est seulement le soir chez moi dans mon lit, alors que mon homme roupille comme d’habitude, que je me rends compte que Christelle revient sans cesse à mon esprit et tourne en rond. Je me dis que ce sont les discussions avec les autres filles qui me font penser à elle.

Mais les jours suivants n’arrangent rien, Christelle continue à captiver mon attention dès qu’elle est près de moi. Mon regard est attiré par ses formes, en plus elle a le chic pour arriver à les mettre en valeur.

Hier encore elle est venue chercher une boîte en carton pleine d’archives derrière mon bureau. Elle a posé le carton par terre à côté de moi et s’est penchée dessus pour farfouiller dedans. Une fois de plus mon regard a plongé entre ses seins sans que j’en sois vraiment consciente. Elle portait un top avec un large V un peu bouffant mais bien sûr bien rempli par ses mamelles généreuses. Je ne sais pas ce qu’elle avait comme soutien-gorge mais la vue était telle que je pouvais voir la moitié de sa poitrine et une partie de ses aréoles, très sombres et très larges du reste. J’étais tellement éberluée par ce que je pouvais voir que je suis restée collée à son corsage tant qu’elle est restée penchée. C’est seulement quand elle s’est relevée que j’ai vu que je l’observais depuis un long moment. J’ai paniqué de peur qu’elle ne s’en rende compte et j’ai dit en prenant l’air le plus froid possible :

« Tu… Tu as trouvé, tu veux que je t’aide ? »

« Non, merci, c’est bon, j’ai mis le temps mais j’ai ce que je veux ».

Puis elle m’a gratifiée de son sourire de gourde habituel et elle est partie. J’ai eu peur mais cela n’a pas empêché mes yeux d’avoir du mal à s’arracher de sa silhouette. Alors qu’elle me quittait, sa poitrine ballottait au rythme de ses pas. Le tissu de son haut devait être particulièrement fin et son soutien-gorge aussi car je voyais parfaitement ses mamelons darder à travers. Mais une fois encore elle n’avait rien remarqué, je rigolais un peu nerveusement en moi-même en me disant « décidément cette fille est trop conne, elle ne voit rien ». J’aurais eu l’air de quoi si elle avait vu comment je la fixais sans raison ?

J’ai fini par aller voir par curiosité les documents se reportant au personnel et j’ai été surprise de voir qu’elle avait passé la quarantaine et qu’elle était donc un peu plus vieille que moi.

« La garce a encore de quoi attirer pour son âge ». Ce n’est pas que je me trouve moche à côté mais il faut avouer que mes seins n’ont rien d’aussi excitant et que mes fesses sont tout ce qu’il y a de plus quelconque. C’est peut-être pour ça que Damien s’occupe de moins en moins de moi, enfin j’ai cette impression. Surtout ces derniers temps alors que justement j’aurais envie de plus de câlins que d’habitude. À moins que ce soit parce que j’ai plus envie de sexe depuis quelques jours que je trouve qu’il ne répond pas à mes attentes, toujours fatigué ou absent pour son boulot.

Je ne sais pourquoi mais je suis maintenant avide de tous les ragots ou simples histoires que je peux entendre sur Christelle. Inconsciemment c’est moi qui lance la conversation sur elle ce matin au café, elle n’est pas là pour l’instant évidemment.

« Je ne sais pas ce que vous avez tant dans vos archives mais hier Christelle a encore passé un long moment à tout fouiller, elle avait encore un de ces décolletés soit dit en passant ».

« Pas étonnant qu’elle mette du temps avec la tête qu’elle a, dit Sonia avec un air dédaigneux ».

« Ou plutôt ce qu’elle n’a pas dans la tête », reprend Annie en riant.

« Hier je suis presque sûre de l’avoir entendue se caresser dans les toilettes, reprend Sonia ».

« Caresser ? Dis-je étonner et pas certaine d’avoir bien compris »

« Se masturber si tu préfères, me confirme Annie, ça ne serait pas la première fois qu’elle fait des trucs de « ouf ».

«  Ah bon ? Dis-je curieuse »

« Ouais hier j’ai été juste me laver les mains et je suis sûre d’avoir entendu des gémissements derrière la porte du WC ».

« Elle était peut-être constipée, dit Annie en rigolant »

«  Non ça n’avait pas vraiment le même bruit, finit Sonia, et puis c’était bien elle, je l’ai vue ressortir des toilettes peu après ».

« Et elle avait fait quoi d’autre de « bizarre » ? Dis-je toujours aussi curieuse.

« Un peu dans le même registre, une fois Roland l’a vue dans son bureau avec une robe tellement courte et moulante qu’on l’aurait dit à poil, un truc de pute, tu vois le genre, pour dire clairement ce que Roland n’a pas voulu dire, poursuit Annie » ( Lire « L’odieux chantage »).

« Oui c’est vrai, enchérit Sonia, j’ai une copine qui travaille dans le restau en face de l’agence et qui m’a dit l’avoir vue avec cette robe ce jour-là dans la vitrine en train de placer des annonces. Elle m’a dit que l’agence n’avait jamais autant eu de succès » (et elle finit en rigolant).

« Ouais elle a souvent des tenues plutôt sexy pour son âge et elle est toujours en train de nous coller son décolleté sous le nez mais dommage que j’aie raté celle-là. Elle a battu tous les records ce jour-là on dirait, dit Annie, et puis elle a des goûts bizarres, tu te rappelles les cours d’anglais ? »

« Oui c’est vrai, confirme Sonia, le patron avait trouvé malin de nous coller sa sœur pour nous donner des cours » (Lire « Une formation inattendue »).

« C’était un vrai dragon cette bonne femme, les mecs surtout ne pouvaient pas la supporter, dit Annie ».

« Ouais, moi non plus d’ailleurs, elle nous parlait comme si on avait 12 ans, nous dirigeait à la baguette pire que si c’était ma mère, et miss décolleté la trouvait très sympa. À croire qu’elle aime être menée à la cravache »

« Ouais comme elle est toujours célibataire, ça lui manque peut-être quelqu’un pour la mener à la baguette, ponctue Annie en pouffant une fois de plus ».

« Moi c’est mon homme que je mène à la baguette, corrige Sonia en prenant un air de défi, et toi Muriel ? Tu ne me donnes pas l’air de quelqu’un qui se laisse faire »

« Oui, j’avoue que tu as raison, j’ai mon caractère et c’est toujours moi qui ai le dernier mot. Comment tu crois que j’ai eu mon 4X4 ? »

Je me rends compte à la fin de la journée que je suis déçue de n’avoir pas vu quasiment Christelle, certainement car j’espérais avoir quelque chose de croustillant à raconter à mes deux nouvelles copines.

Le soir venu je me couche un peu plus tard, Damien dort déjà. La discussion avec mes deux collègues me revient en tête alors que je cherche le sommeil, Dieu sait pourquoi je suis nerveuse et je n’y arrive pas. J’imagine alors Christelle dans cette fameuse robe très sexy, d’après ce que j’ai compris, pensant que cela allait me faire rire intérieurement. Mais le résultat est tout autre, je sens une bouffée de chaleur me monter au visage, mon ventre se tendre et s’électriser, ma main se porte toute seule vers mon bas-ventre, glisse sous mon slip et trouve un sexe trempé. Mince ! Cette idiote ne m’amuse pas du tout en fait elle m’excite.

Je suis un moment abasourdie par cette sensation, moi qui pensais que mon intérêt pour elle n’était qu’une curiosité aiguisée par le commérage et une sorte de besoin malsain d’y participer. Ce n’est pas possible, je n’ai jamais connu ça ! Ma vie défile dans mon esprit dans l’espoir de trouver une explication, j’ai bien connu quelques jeux avec une autre fille étudiante, c’est vrai. Mais c’était il y a si longtemps et puis ce n’était que des jeux même si…

Ma main est restée sur mon sexe, la vision du décolleté de Christelle jaillit à mon esprit, Christelle dans cette robe sexy, son cul rebondi, son déhanchement quand elle marche perchée sur ses talons, ses lèvres charnues, son sourire de bécasse, l’odeur de son parfum. Mes doigts s’activent sur ma fente humide, je suis complètement obnubilée par ces pensées, plus les images défilent dans ma tête plus mon sexe s’ouvre, se couvre de sa liqueur et plus mes doigts glissent dessus, pénètrent et finalement je pousse un cri et je jouis plusieurs secondes, dizaines de secondes, je ne sais plus. Mon cri fait que mon autre main se jette sur ma bouche, mais je suis trop sous l’emprise du plaisir pour m’interrompre. Je me détends enfin, quand je me rends compte de ce que je viens de faire la première chose qui me saute à l’esprit est Damien. Immédiatement son ronflement me rassure, c’est bien la première fois que je le trouve sensationnel ce ronflement.

Je suis trempée de sueur, un étrange mélange de culpabilité et de bon souvenir du plaisir pris me prend les tripes. Je viens de jouir en pensant à une autre femme, moi une mère de famille tout ce qu’il y a de plus banal à presque 40 ans. Je n’en reviens pas mais je comprends mieux toutes ces obsessions et curiosités au sujet de Christelle. Le reste de la nuit est particulièrement agité et c’est seulement sur le matin que je m’endors enfin.

Heureusement nous sommes samedi et c’est le début de week-end, j’ai une tête à faire peur malgré une grasse matinée plus grasse que d’habitude. Damien est déjà debout mais je l’évite comme s’il pouvait savoir. La matinée se termine, je suis moins vaseuse qu’à mon réveil mais de plus en plus nerveuse. Le reste de la journée j’engueule ou je réponds sèchement plusieurs fois à Damien qui file la queue entre les jambes, au propre comme au figuré. J’éprouve de la satisfaction à le voir filer ainsi, après tout c’est de sa faute si j’ai eu ce besoin soudain. S’il s’occupait plus de moi mon esprit n’aurait pas cherché ailleurs une source de plaisir.

Le week-end se termine, les sorties du dimanche m’ont changé les idées et détendue. La nuit venue je me couche plus sereine, j’accepte plus ce que j’ai fait ce vendredi soir et puis zut, je n’ai fait de mal à personne, j’ai juste pris du plaisir. Plaisir que je n’avais pas ressenti depuis longtemps en plus, cette réflexion me donne soudain l’envie de recommencer mais je chasse cette idée aussi fort que je le peux. Ce n’est pas parce que j’ai fait un truc bizarre que je dois paniquer, tout va rentrer dans l’ordre. La fatigue me submerge et je m’endors.

Peut-être pour me rassurer et me donner bonne contenance, je m’applique particulièrement sur ma tenue pour ma reprise de boulot. Un tailleur bien coupé de couleur sombre avec une jupe s’arrêtant au genou, une veste bien cintrée sur une chemise blanche, la working girl est de nouveau en marche bien décidée à tout faire rentrer dans l’ordre.

C’est avec de l’appréhension que j’attends l’arrivée de Christelle, va-t-elle sentir à mon comportement que j’ai eu cette révélation, bien que décidée à n’en faire qu’une simple parenthèse d’une nuit ? Aussi lorsqu’elle apparaît dans le hall d’entrée je m’applique à la saluer froidement, je reste hautaine. Elle semble ne pas s’étonner de ma froideur et file dans le couloir. J’ai quand même tout loisir de détailler sa tenue du jour, j’ai beau essayer de l’ignorer c’est plus fort que moi.

Elle se déhanche toujours autant sur ses hauts talons, ses jambes sont gainées d’un legging d’aspect cuir, brillant, non en fait cela ressemble à une peau de serpent avec ses écailles. Elle porte par-dessus un haut à bretelles moulant bleu clair et assez long pour lui couvrir les fesses, une grosse ceinture lui coupe la taille. La garce a de belles jambes en plus, hautes, bien galbées aux mollets et les cuisses fermes. Je secoue la tête comme si je pouvais chasser cette réflexion qui va à l’encontre de mes intentions mais son parfum enivrant s’accroche à mon nez comme pour mieux me tourmenter.

La matinée se poursuit à la pause-café avec mes deux nouvelles copines. Malgré moi cette fois-ci la conversation revient sur Christelle.

« Annie, tu ne sais pas ? On en parlait la semaine passée, vendredi j’ai entendu Christelle demander au boss si sa sœur allait bientôt revenir et si on allait avoir des cours de nouveau. Quand je te dis qu’elle l’adore, l’autre dragon »

« Pfff, elle est dingue ou quoi, aller lui remettre ça en tête, ou bien tu as raison, elle aime se faire dresser comme un élève des années cinquante ».

Après notre pause, l’agence se vide, les filles partent en rendez-vous. Je n’ai pas vu partir Christelle mais peut-être pendant ma pause, j’en suis à la fois soulagée et déçue. Je suis concentrée sur des dossiers à classer et à finir de préparer quand elle apparaît. Disons plutôt que je l’entends arriver avec le bruit que font ses talons sur le carrelage. Les mains pleines de deux cartons d’archives, elle arrive en se dandinant comme à son habitude, sa poitrine est moulée par son haut qui est si ajusté que je peux voir tous les détails de son soutien-gorge qui forment de légers reliefs par-dessous ainsi que ses gros mamelons qui pointent comme d’habitude. Ses seins s’agitent au rythme de ses pas, les faisant apparaître encore plus affolant et imposant. Une profonde inspiration et j’arrive à m’arracher les yeux de ce spectacle.

Elle pose ses boîtes à côté de moi, en sort d’autres des étagères et je me retrouve entourée de boîtes et de classeurs posés sur le sol. Soudain le fax se met à cracher une feuille puis une deuxième, je me lève pour aller les chercher quand je bute sur les affaires de Christelle étalées par terre. Je manque de m’affaler sur le sol. Énervée plus par sa présence qui me perturbe toujours autant malgré ma détermination que par le bazar autour de moi, je crie :

« Christelle, ce n’est pas possible ce bordel, je ne peux pas mettre un pied autour de mon bureau ! »

Je reste un instant muette devant ma colère soudaine. Moi, ici depuis quelques semaines, je me permets de gueuler comme si j’étais la grande chef. Je m’attends à ce qu’elle se retourne et me demande pour qui je me prends mais non, elle bafouille des excuses :

« Excuse-moi, je suis bordélique, je te demande pardon »

La voir ainsi courber l’échine devant ma remarque pour un problème aussi futile me laisse silencieuse. Elle s’excuse encore disant qu’elle n’en a plus pour longtemps en prenant une chemise dans l’un des cartons, peut-être nerveuse, elle la répand par terre. Les feuilles volent de partout et tapissent le sol.

« Qu’est-ce que je peux être maladroite ! »

Elle se plie alors en deux à la pêche aux feuilles éparpillées. Elle m’offre alors une vue majestueuse sur son postérieur gainé de cette espèce de pseudo-peau de serpent, son haut ayant glissé sur la taille. Ce cul si rebondi, si parfait se tend vers moi, moi qui voulais tant échapper à son attrait, échapper à ces fesses parfaitement galbées. Son legging se tend, on a l’impression qu’il va éclater sous l’effort, lui moule parfaitement son fessier, me laissant admirer distinctement ses deux paires de fesses charnues. Cette salope fait tout pour me rendre folle.

Là, je ne sais pourquoi j’ai une soudaine envie, irrésistible, je n’y résiste d’ailleurs pas plus que quelques secondes, je lui balance une claque énorme sur son cul tendu. Le son résonne dans la pièce. Ma main revient aussi vite qu’elle est partie vers ma bouche, qui reste ouverte de stupéfaction, les yeux écarquillés, je me rends compte de l’énormité de mon geste. Je suis prête à me confondre en excuses mais contre toute attente Christelle est toujours courbée vers le sol, les fesses pointées vers le plafond. Sans se retourner, elle dit d’une petite voix.

« Pardon, Muriel, je ne ferai plus, excuse-moi je vais essayer de me corriger »

Elle se relève et se tourne vers moi et poursuit :

« Ne le dis pas au patron, il m’engueule tout le temps pour la pagaille que je mets ».

Je n’ai toujours pas dit un mot, trop surprise de la tournure des évènements. Là je me rends compte qu’elle est devant moi, la bouche entrouverte, haletante, sa poitrine se soulève à un rythme rapide. Sur celle-ci se dressent d’ailleurs des tétons que l’on devine énormes tellement ils tendent le tissu de son haut, ils ont au moins doublé de volume depuis son arrivée. Son visage a pris des couleurs et ses pommettes sont rouges, le sang bat ses tempes, ses yeux brillent bizarrement.

 

«  Promis, je vais m’améliorer, mais ne le dis pas au patron, hein ? »

« OK pour cette fois mais range-moi vite ce bordel »

C’est sorti tout seul, je n’ai pas eu à réfléchir à comment répondre devant tant de servilité. Le pire c’est que je prends un plaisir énorme à cette situation, je le sens dans tout mon être et plus particulièrement dans mon bas-ventre. Tout en moi aime ça, ma tête se redresse en arrière, mes yeux s’agrandissent, je prends une grosse respiration comme pour mieux apprécier cet instant. Si j’en juge à l’évolution de sa poitrine, à sa respiration, à ses yeux brillants, à la sueur qui perle sur son front, elle aussi ; même si cela peu paraître dément. C’est même extrêmement déconcertant, heureusement un client arrive et coupe court à notre situation si spéciale.

Une fois libre et Christelle repartie dans son bureau, je repense à tout cela. Je me rappelle les réflexions de Sonia sur cette fameuse prof d’anglais si autoritaire et que seule Christelle semblait apprécier. Cela est cohérent avec ce que je viens de vivre, elle y prenait du plaisir j’en aurais juré. Ce qui m’étonne le plus c’est que moi aussi, et même beaucoup. Rien que de penser à nouveau à cette emprise sur elle, ce corps charnel se courber devant moi, cette claque sur son cul provocant, je suis en transe et j’en serre les cuisses tellement je sens mon sexe prêt à partir en ébullition.

L’agence ne s’est guère remplie depuis ce drôle d’incident, la plupart des employés sont toujours dehors, Christelle est une des rares toujours là. D’ailleurs il me semble bien qu’elle ne devrait pas, je fouille l’agenda du personnel que je tiens à jour. Oui, c’est bien ce que je pensais, elle a un rendez-vous cet après-midi, cette gourde a dû oublier.

J’éprouve là encore du plaisir à lui donner des noms d’oiseaux, mon moi « mère au foyer » doit lui en vouloir atrocement des choses qu’elle me fait ressentir. Mais mon autre moi voit ici une nouvelle occasion d’aller la retrouver. Je me lève, ajuste mon tailleur pour paraître impeccable et je me dirige vers son bureau. Arrivée à la porte j’hésite la main levée prête à taper à la porte et puis non, j’entre. Elle est derrière son bureau, son visage se lève de son écran d’ordinateur à mon entrée. Il me semble que ses yeux s’illuminent à ma vue, je rêve peut-être. Je prends mon air le plus froid possible et je dis :

« Tu as un rendez à 15 h, tu es en retard »

« Oh, que je suis bête, je me suis trompée dans mon agenda, pardon »

« Décidément tu n’en loupes pas une ! »

Cela sort de ma bouche naturellement, je n’ai pas réfléchi une seconde.

« Oh pardon, je vais essayer de les appeler, ça ne m’arrivera plus »

« OK, je ne dis rien au patron pour cette fois mais fais attention à la prochaine ».

« Merci, oh merci, ne lui dis pas s’il te plaît »

Je la regarde avec un air sûr de moi et je quitte son bureau. Je suis toute tremblante d’excitation, mon corps est un brasier, je sens mon sexe dans un état qu’il n’a pas connu depuis longtemps. Je prends mon pied à lui parler aussi sèchement, c’est dingue. Christelle me donne tous les signes d’être dans le même état que tout à l’heure, à mon bureau.

Elle vient me voir quelques minutes plus tard, ses mamelons dardent toujours autant sous son haut et elle me dit d’une voix haletante :

« J’ai pu décaler à demain à 11 h »

« J’espère que les clients n’étaient pas trop mécontents »

« Si, un peu, dit-elle d’une voix hésitante »

« Bon, on fera avec… Pour cette fois, je note pour demain »

Annie arrive sur ces entrefaites, Christelle tourne les talons et retourne dans son bureau.

«  Eh bien ! Tu as les joues bien rouges, qu’est-ce qui t’arrive ? Me demande Annie.

« Rien, rien, j’ai juste un peu chaud »

«  C’est Christelle qui t’a mise dans cet état ? »

« Non, pourquoi ? » ne dis-je pas loin de la panique.

« Juste qu’elle était à ton bureau quand je suis arrivée »

«  Elle a oublié un rendez-vous »

«  Pfff quelle conne ! Ça lui arrive souvent, faut pas t’en faire, c’est sa faute pas la tienne »

« Oui bien sûr »

« Bon, j’ai des coups de fil à passer »

Annie disparaît me laissant seule face à ces nouvelles émotions et en tête les situations de la journée qui ont tout déclenché.

L’heure du départ venue je ne traîne pas et je fonce à la maison. Damien n’est pas là pour presque toute la semaine, je ne parle pas des enfants qui ne sont visibles que pour mettre les pieds sous la table et pas plus d’une demi-heure au mieux. Aussi le repas fini je file au lit avec l’ordinateur portable et j’ai tout le loisir de surfer sur Internet à la recherche des relations de domination, soumission et autres.

Les pages sur ce thème sont nombreuses. Outre les sites avec des photos explicites, je trouve un tas d’histoires, d’explications, de témoignages, des détails sur les pratiques (dont la fessée) qui me passionnent. Il y a aussi toute une panoplie sur le vocabulaire couramment utilisé. Je finis cette exploration l’entrejambe moite et avec une énorme envie de sexe. Il suffit que je me remémore quelques secondes seulement la scène de la claque sur le cul de Christelle pour que ma main se glisse entre mes cuisses. Là je n’ai aucun remords, aucune interrogation, je me masturbe abondamment, sauvagement. Mes doigts jouent sur mon sexe détrempé, écartent mes lèvres, frottent mon clitoris proéminent et je jouis. J’avais presque oublié à quel point cela pouvait être bon.

Le lendemain dans la salle de bains je suis décidée à jouer à fond mon rôle de dominatrice, c’est le terme qui convient d’après ce que j’ai pu lire. Je tire mes cheveux en un chignon, je passe du rouge sang sur mes lèvres, je maquille mes yeux un peu plus que d’habitude en forçant sur le noir et sur le ricil. Je conserve bien sûr mon tailleur et habille mes jambes de collants qui sont garnis de couture partant du talon et remontant le long de la jambe en son milieu. Je n’ai aucune idée de ce qu’il va se passer aujourd’hui mais je suis prête à tout.

Au café les filles remarquent mon changement :

« Tu dois aller voir ton banquier, tu as un air de quelqu’un qui ne va pas se laisser faire », me dit Sonia en riant.

»Ah bon ? C’est juste que j’ai tiré mes cheveux en arrière et… Ma fille m’a fait choisir un nouveau maquillage »

« Sympa ta fille de s’occuper de sa mère, elle a bon goût cela te va bien », commente Annie.

L’agence reste bien pleine tout le début de la matinée, je vois juste Christelle le matin à son arrivée. Elle me salue avec je trouve une sorte de profond respect, j’aime ça. Elle porte le même legging en simili peau de serpent que la veille mais son haut a changé. Elle porte une longue chemise, ou tunique, transparente qui permet de voir son soutien-gorge comme cela est la mode. Une large ceinture lui couvre les hanches et le ventre, le tout fermé par une grosse boucle de couleur or.

Il est 11 h et tout est bien plus calme que le matin, j’ai bien surveillé et je n’ai pas vu Christelle partir à son rendez-vous. J’attends encore un peu et je vais à son bureau, comme hier je rentre sans frapper. J’ai l’impression qu’elle m’attend même si elle me regarde avec un air surpris.

« Tu as vu l’heure ? » dis-je sèchement.

« L’heure ? »

«  Tu n’as rien oublié, petite gourde ? »

«  Oh ! Le rendez-vous ! »

« Oui c’est ça, le rendez-vous ! »

« Oh ! Pardon, excuse-moi, je suis si conne parfois »

« Oui, ça c’est sûr, je ne sais pas ce que je vais faire de toi maintenant ! »

« Oh, ne le dis pas au patron, je ferai ce que tu veux »

Elle s’est levée en disant cela, comme hier elle a la poitrine haletante, les joues rouges. Je vois en transparence sa poitrine se soulever dans son superbe soutien-gorge riche en dentelle ; malgré sa présence ses bouts de seins repoussent outrageusement le chemisier.

« Soit, mais tu mérites une punition dans un premier temps »

« Oui… »

«  Oui qui ? »

«  Oui, Muriel »

«  Bien ! Va chercher ta chaise de bureau… Mets le dossier contre ton ventre, voilà comme ça, maintenant penche-toi dessus que ta tête vide touche le siège ».

Elle m’obéit sans rechigner comme si elle était mon esclave docile. Elle est maintenant courbée en deux sur sa chaise, son cul dodu dressé vers moi. J’entends son souffle rauque, elle adore ça, c’est fou, comme expliqué sur Internet. J’ai l’impression que plus je lui parle mal, plus elle aime ça, moi aussi, j’adore. J’adore la voir obéir, j’adore la traiter de gourde et la voir trembler de plaisir après. Elle écarte un peu les jambes comme si elle avait l’habitude de cette position, quel cul elle a cette salope. Le mien est si plat, si nul à côté alors que le sien est si rebondi, son legging lui rentre un peu à l’intérieur, moulant son sexe, sa raie des fesses, on dirait que l’effet peau de serpent est peint dessus.

Je balance une grande claque sur ce fessier offert. Sans surprise juste un petit cri sort de sa bouche mais elle ne bouge pas, je recommence avec le même résultat. La troisième est plus forte et la fait geindre de plus belle. Mais cette fois ma main reste collée à sa fesse, je m’en saisis, la pétris en y plantant mes ongles toujours conservés un peu longs ce qui tend encore un peu plus le legging sur ses chairs rondes. Puis avec mon autre main je le saisis à la taille et le tire brutalement vers le bas, jusqu’aux chevilles. Je suis tellement excitée que j’en oublie complètement où je me trouve. Son cul à nu apparaît sous mes yeux, seulement très partiellement couvert par un string en satin bleu. Je ne résiste pas une seconde de plus et je claque encore deux fois ce cul offert à ma colère. Chaque fois ses gémissements se font plus lourds, plus longs. Une marque rouge zèbre son postérieur là où ma main a appliqué la punition. Le satin de son slip forme une tache bien sombre au niveau de son sexe, en y glissant mes doigts je comprends bien vite pourquoi.

« Mais ce n’est pas vrai, espèce de salope, je te punis pour tes conneries et toi tu mouilles de plaisir ! »

« Oh, pardon, Muriel ! »

« Tu prends ton pied à te foutre de la gueule de nos clients ? »

« Oh, pardon ! Je ne fais pas exprès, je t’assure… »

Je lui fais comprendre d’écarter les jambes en heurtant légèrement le pied pour mieux voir son sexe gonfler le tissu du string et lui assène deux claques de plus. En réponse je n’ai plus des gémissements mais des grognements de plaisir. La tache sombre sur son sexe s’élargit pour recouvrir complètement sa vulve gonflée, c’est une sacrée « mouilleuse ».

Je me rends compte enfin où je me trouve et je comprends que n’importe qui pourrait entrer dans ce bureau.

« Rhabille-toi, mais je n’en ai pas fini avec toi »

« Bien, Muriel »

Elle se redresse, la bouche grande ouverte elle respire à grand bruit. Son visage est rouge, ses yeux brillent, sa poitrine se soulève la faisant apparaître encore plus arrogante. Cette garce a vraiment tout ce que je n’ai pas. De face la tache sur son entrejambe est encore plus large, le tissu imbibé de son jus moule sa vulve.

«  Bien, c’est bientôt midi, nous allons aller manger ensemble mais on va faire quelques courses avant pour toi ».

« Bien, Muriel, tout ce que tu voudras »

 

Un Monoprix jouxte notre agence et la vue de sa vulve moulée par son string m’a donné une idée, ou devrais-je dire une envie plutôt. Nous entrons dans le magasin et après quelques recherches je trouve ce que je veux. Je lui tends un legging blanc dont le tissu est des plus fins et je lui dis :

« Enfile ça et je veux que tu me ramènes ton string dans la main »

«  Tu veux que j’enfile ce legging sans mon slip ? »

« Tu vois, t’arrives à être un peu moins gourde quand tu veux, allez dépêche-toi ! »

« Oui, Muriel »

Aussi dingue que cela puisse paraître je vois à son visage que cette situation lui plaît, tout en elle transpire l’excitation. Elle s’éclipse dans une cabine et en ressort quelques minutes après ses affaires à la main dont son string qui trône au-dessus de son legging « serpent ».

« Bien, je vois que tu as compris que tu avais intérêt à obéir »

« Oui, Muriel »

« Allons au restau, celui au bout de la rue fera l’affaire »

Nous passons à la caisse régler notre achat. La caissière fait une drôle de tête quand on lui explique que Christelle a gardé le vêtement sur elle.

Nous marchons quelques centaines de mètres et nous sommes au restaurant, j’y ai déjà mangé et je sais que c’est un peu le rendez-vous des gens qui bossent dans le coin et notamment du grand garage du bout de la rue ou des artisans de l’immeuble en construction.

Je demande à être sur une haute table pour deux où l’on est assis sur des grands tabourets de comptoir. Perchées dessus nous commandons le menu du jour. Nous ne sommes pas face à face mais plutôt côte à côte ce qui me permet aussi bien de voir Christelle dans son entier que la salle qui nous fait face.

« Tire plus ton chemisier… Encore plus, voilà »

Son chemisier est maintenant bien assez haut sur sa taille pour dévoiler son entrejambe à la salle. Nous sommes haut perchées sur nos tabourets, toute l’assemblée en profite. Comme je le pensais elle continue à mouiller et le legging imbibé lui colle à la chatte. Déjà à notre arrivée Christelle avait attiré quelques regards mais là il faut peu de temps pour que les tables garnies d’hommes avec le meilleur angle de vue commencent à la mater. Christelle fait celle qui ne se rend compte de rien mais je suis persuadée que cette salope le sait très bien et qu’elle prend son pied. Moi aussi du reste, rien que la vision de son entrejambe de plus en plus imbibé me fait mouiller moi aussi, mon excitation me pousse à aller plus loin.

« Tu es encore en train de mouiller comme une grosse salope, ce n’est pas vrai, je rêve ».

« Oh ! Pardon, Muriel, je n’y peux rien. C’est le stress peut-être »

« Mon œil ! En plus d’être la reine des gourdes tu es une sale vicieuse. Écarte plus tes jambes que tout le monde voie à quel point »

Joignant le geste à la parole je lui tire sur la jambe qui est de mon côté pour qu’elle écarte les cuisses. Ce qu’elle fait ostensiblement. Sa vulve n’en apparaît que plus gonflée et l’humidité qui y règne ne laisse planer aucun doute sur ses formes les plus intimes. Aux tables voisines plusieurs têtes se tournent de plus en plus régulièrement, des coups de coude avertissent celles qui n’ont pas encore remarqué le spectacle. La poitrine de Christelle montre toujours à quel point sa respiration est profonde, l’excitation la fait presque haleter.

Une envie d’aller aux toilettes et cette poitrine qui se gonfle à une fréquence si rapide me donnent encore une idée tordue.

« J’ai envie d’aller aux toilettes, accompagne-moi, tu dois avoir envie aussi »

Sans attendre sa réponse je me lève, je dis juste en passant à la serveuse où nous allons. Christelle me suit, toujours aussi obéissante. Nous faisons rapidement ce qu’il y a à faire dans un tel lieu mais je stoppe Christelle devant le miroir du lavabo.

« Attends un peu, autant de vice doit être puni au même titre que tes idioties à répétition, ça me paraît évident n’est-ce pas ? »

« Oui… Muriel… Je crois, si ça peut m’aider à m’améliorer »

« Tourne-toi face au miroir »

Elle me présente son dos, à travers le tissu de son chemisier je dégrafe son soutien-gorge. Sa poitrine se relâche à peine tellement elle est ferme, ce qui a le don t’attiser en plus ma jalousie et de m’énerver. Je dis sèchement :

« Allez, enlève-moi ça, tu vois bien ce que je veux ! »

« Oui, mais… Mon chemisier… »

« Quoi ton chemisier ? »

« Il est assez transparent et… »

«  Et alors quoi ? Allez enlève-moi ça qu’on aille manger, j’ai faim ! »

Elle s’exécute et comme si elle en avait l’habitude réussit à faire glisser ses bretelles le long de ses bras sans enlever sa grande chemise blanche. Quelques secondes plus tard toujours face au miroir elle extirpe son soutien-gorge de dessous et le tend à bout de bras :

« Voilà je l’ai enlevé »

« Bien, j’aime que tu m’obéisses sans discuter, c’est juste bon à m’énerver et à rendre ma punition plus sévère ».

Sa poitrine m’a toujours captivée, aussi bien par jalousie que par le plaisir que je prends de plus en plus à la regarder et là je suis comblée. À travers la blancheur transparente du textile, par le biais du miroir, je vois ses deux gros seins fièrement dressés se dessiner en ombre chinoise. Selon la lumière ses deux larges aréoles font deux gros disques sombres qui sautent aux yeux au premier regard. Ses mamelons libérés de toute protection dardent à travers le chemisier comme s’ils allaient passer à travers.

Mes mains n’y résistent pas et se glissent sous ses bras pour s’emparer de ses mamelles si accrocheuses. Sans surprise je trouve des chairs très fermes, et encore moins surprise par le petit cri que pousse Christelle. Il est un mélange entre un gémissement et un grognement. Je retire mes mains prestement, ce n’est ni le lieu ni le bon moment, pas encore.

« Tu es parfaite ainsi, j’espère que ça te servira de leçon. Attends, arrange-toi un peu là »

Sans attendre qu’elle comprenne ce que je veux dire, je saisis son legging que je tire vers le haut au risque de voir mes ongles passer à travers. Ce qui a pour effet de mouler encore un peu plus son cul cambré et son sexe.

Quand nous retraversons une partie du restaurant pour rejoindre notre table, inutile de dire que Christelle ne passe pas inaperçue. Malgré sa fermeté qui semble à toute épreuve, sa poitrine libre de tout soutien s’agite au rythme de ses pas. Bien sûr le reste finit par totalement accrocher tous les regards qui s’y posent.

Quand nous sommes assises, la serveuse nous pose sur la table le menu du jour non sans montrer son étonnement quand elle remarque la poitrine dénudée de Christelle. Ses yeux s’agrandissent, sa tête fait un léger mouvement de recul, elle regarde Christelle et puis moi-même mais toutes les deux nous restons le nez planté dans nos assiettes. Elle étouffe un petit rire puis s’en retourne en secouant la tête.

Quelques remarques bien grasses parviennent à mes oreilles en provenance de tables les plus proches. Christelle aussi les entend, j’en suis sûre, c’est peut-être pour ça qu’elle a l’air plus excitée que jamais. Je commence à comprendre comment fonctionne cet oiseau-là, toute forme d’exhibition est bonne à prendre pour elle. Elle s’en nourrit pour alimenter son plaisir comme une rivière ou un cours d’eau alimentent un fleuve. La lumière du jour laisse encore plus paraître ses seins en transparence, je ne me lasse pas de les contempler. Malgré son semblant de réticence dans les toilettes, cette salope ne fait rien pour les cacher. Au contraire, elle se tient bien droite et tire ses épaules en arrière dès que le geste semble naturel, pour bien gonfler sa poitrine, comme s’il y en avait besoin. La tache sombre entre ses jambes s’est agrandie et le legging la pénètre profondément dans son intimité.

Au moment du départ, cette gourde toujours aussi maladroite trouve le moyen de renverser son sac.

« Décidément, ne t’en manque pas une »

« Je suis si maladroite… »

Pliée en deux elle s’attarde quelques secondes pour ramasser le contenu de son sac éparpillé sur le carrelage. Ses seins pendent très distinctement comme deux grosses poires, d’autant qu’elle est à contre-jour de la baie vitrée. Les personnes qui ont le même point de vue que moi n’en ratent pas une miette. À voir le regard des autres cela ne doit pas être inintéressant non plus. Christelle leur tend sa croupe dodue sous leur nez. J’avance un peu pour l’attendre au milieu de ces tables-là. En effet le point de vue est bien aussi, je commence à le connaître même si je ne m’en lasse pas. Le cul parfait de cette garce semble peint en blanc tellement son legging lui colle à la peau, s’immisce entre ses deux fesses en faisant encore plus ressortir le galbe de celles-ci. Elle a le chic pour se faire remarquer même quand je ne lui demande rien. Christelle enfile enfin son petit blouson qui a bien du mal à couvrir sa poitrine et nous pouvons retourner à l’agence.

Une fois arrivée, je lui dis.

« Rappelle le gars avec qui tu avais rendez-vous ce matin, il est peut-être libre cet après-midi ».

« Oui je vais essayer »

Christelle pianote sur son portable, la conversation s’engage. Elle se confond en excuses pour sa bourde du matin puis propose une visite cet après-midi. Quelques secondes après, Christelle couvre le téléphone de sa main et me dit :

« Il me dit qu’il s’entraîne et fait du vélo mais qu’il doit passer bientôt devant l’appartement à visiter sur son parcours ».

« C’est ton client, c’est toi qui vois mais c’est l’occasion de rattraper rapidement tes idioties ».

Nouvelle conversation et elle donne un rendez-vous à 14 h. Je vois au dossier que le client est plutôt jeune, la visite est prévue pour un petit F2 avec une mezzanine, certainement un premier achat.

« C’est 13 h 15, je vais t’accompagner, tu es encore capable d’oublier. On part d’ici un quart d’heure.

« Mais qui va garder l’agence ? »

« Le patron est là cet après-midi, s’il n’y a rien de nouveau sur son agenda. Je vais lui dire que je veux assister à une visite pour voir comment cela se passe. Il m’en a déjà parlé, c’est l’occasion »

« Bien, Muriel, si tu veux »

À l’heure prévue nous partons toutes les deux dans sa voiture. La tenue de Christelle n’a pas changé, seul son court blouson masque les trésors qu’elle cache sous sa tunique. Elle ne m’a pas demandé à se revêtir, peut-être parce qu’elle connaissait déjà ma réponse ou plus vraisemblablement parce qu’elle aime être ainsi. En chemin je lui dis :

« Tu as intérêt à faire des gros efforts avec ce client. Tu sais pourquoi, je n’ai pas à t’expliquer »

« Oui, Muriel, je comprends »

« Obéi et tout se passera bien et restera entre nous. C’est bien ce que tu veux, n’est-ce pas ? »

« Oui, Muriel »

Nous arrivons les premières à l’appartement. C’est un F2 dans un vieil immeuble, les plafonds sont hauts, ce qui permet d’avoir une belle mezzanine dans la pièce principale. J’ai juste le temps de tourner un peu dans les pièces quand le téléphone de Christelle sonne. Notre sportif, cycliste, est arrivé. Christelle lui indique l’étage et il se présente quelques minutes après.

C’est bien un jeune homme, moins de 30 ans c’est sûr. Il est équipé des pieds à la tête de la tenue du parfait cycliste. Un maillot qui n’a rien à envier aux coureurs du Tour de France et le cuissard moulant qui va avec.

« Bonjour, je suis Christelle et voici ma… Collègue Muriel »

« Bonjour, Mesdames »

« Bonjour, dis-je. Alors pas trop fatigant votre entraînement à vélo ? »

« Non, juste une petite balade pour l’entretien »

« Excusez-moi pour ce matin, je ne sais pas où j’avais la tête mais j’ai complètement oublié ».

« Ce n’est pas très grave, du coup j’ai pu aller faire un tour »

« Le plus important c’est que vous soyez là maintenant. Commençons, on est déjà dans la pièce principale »

Le soleil tape en plein par les grandes fenêtres et il fait une douce chaleur. Alors que Christelle commence son baratin je dis :

« Il fait chaud ici, sous ce soleil, Christelle, tu devrais enlever ton blouson »

« Heu… Oui, tu as raison »

Elle s’exécute lentement, joue des épaules pour retirer le blouson ce qui gonfle un peu plus sa poitrine un court instant. Le regard de notre jeune cycliste s’éclaire, ses yeux s’écarquillent. La lumière étant encore plus dense qu’au restaurant, la nudité de Christelle n’en est que plus criante sous sa tunique. Christelle continue son discours comme si de rien n’était. Elle se déplace dans la pièce, ouvrant un placard, montrant un point de vue, chacun de ses mouvements faisant se trémousser ses seins. Notre client ne regarde plus guère l’appartement, ses yeux sont captivés par le show de Christelle. Une bosse bien visible commence à apparaître à son entrejambe, ce qui ne laisse planer aucun doute sur ce qu’il apprécie le plus de la visite.

Cette salope, poussée par l’excitation certainement, a ses bouts de seins qui pointent de plus en plus, poussant encore son indécence. Ce qui n’est pas fait pour la calmer visiblement. Ses aréoles aussi me semblent encore plus brunes et plus larges, à moins que cela ne soit la luminosité, mais deux larges ronds bien sombres marquent sa tunique. Le moindre contrejour laisse voir tous les détails de sa poitrine, et Dieu sait s’il y en a à voir. D’ailleurs cette garce doit faire exprès de passer son temps devant la porte-fenêtre, elle voit l’excitation de son client et ça la fout en transe. Enfin c’est l’impression que j’ai même si elle a l’air de faire son boulot mais ses yeux qui brillent, ses rougeurs sur la figure me rappellent trop les récentes expériences que nous avons eues ensemble.

«  Tu devrais peut-être montrer la mezzanine à monsieur, dis-je en faisant un signe de la tête pour la montrer ».

« Oui, c’est vrai que c’est un atout important de cet appartement »

 

Christelle commence à grimper les marches particulièrement raides de l’escalier qui mènent à celle-ci. En fait d’escalier on est plus proches d’une échelle.

« Venez, suivez-moi, elle n’est pas très grande mais parfaite pour installer un lit d’appoint, d’ailleurs vous verrez il y en a un ».

Bien qu’il soit à la vente, l’appartement n’est pas complètement vide. Quelques meubles sont encore présents.

Le jeune homme s’enfile à la suite de Christelle sur l’échelle. Alors qu’il est sous elle, Christelle stoppe au sommet et continue à vanter les avantages d’une mezzanine. Si bien que notre client a sa tête plantée au niveau de ses fesses dès qu’il lève les yeux pour l’écouter. Christelle a un pied sur une marche, ou plutôt un barreau et l’autre sur celui du dessus. Ceci lui écarte l’entrejambe et offre à quelques centimètres du nez de notre cycliste sa vulve imbibée et recouverte de son voilage blanc. Le gonflement sous le cuissard devient de plus en plus évident, il bande comme un taureau.

Christelle prend enfin pied sur la Mezzanine, rejointe peu après par notre jeune client. Je reste en bas mais garde un œil sur eux deux.

«  Fais une douce chaleur ici, c’est toujours comme ça dès qu’on monte avec les hauts plafonds ».

Disant cela Christelle dégrafe un ou deux boutons de sa tunique, élargissant son décolleté. La descente est plus rapide que la montée et les deux se retrouvent en bas. Elle vante maintenant les mérites de la petite cuisine, se penche pour ouvrir les tiroirs les plus bas. Son décolleté s’élargit à chaque occasion laissant pleinement voir ce que le manque de transparence de la tunique pouvait encore masquer. La grosseur sous le cuissard n’évolue plus, il a atteint le comble de son excitation et ses yeux n’ont plus aucun intérêt pour l’appartement. Je ne suis pas mieux, je suis moi aussi sur des braises et follement excitée par tout cela.

Au cours de sa démonstration Christelle se retrouve accroupie aux pieds de notre visiteur, ouvrant un tiroir. Je trouve là une belle occasion d’arriver aux termes de cette visite. Prenant la tête de Christelle, je la pousse vers le bassin de notre client et le gonflement qui s’y trouve.

« Je pense que monsieur attend un petit effort de ta part pour t’excuser de toutes les idioties que tu as faites et lui avoir fait perdre son temps, n’est-ce pas ? »

« Heu… C’est-à-dire que… Bafouille le cycliste »

La bouche de Christelle rentre en contact de la grosseur et commence à glisser le long du sexe tendu sous le cuissard. La prenant par la tête pour donner plus d’amplitude à son mouvement un peu trop timide à mon goût, je dis :

« Mieux que ça ! »

Christelle sort sa langue et amplifie son mouvement de haut en bas. Notre cycliste ne dit plus un mot, ses mains remplacent les miennes sur la tête de Christelle.

 

« Je pense que tu devrais libérer monsieur, il semble un peu à l’étroit là-dessous »

Elle me regarde un peu stupidement et saisit enfin mon allusion. Elle agrippe le cuissard et le tire vers le bas. J’avais entendu dire que ce genre de short se portait nu et j’en ai la confirmation quand le sexe raide d’excitation jaillit sous le nez de Christelle. Devant son hésitation, le jeune homme ramène sa tête sur son sexe. Christelle marque un temps d’arrêt et ouvre finalement grand sa bouche pour y introduire le membre raidi. Elle ne semble pas experte dans cet art si bien que son heureuse victime la saisit de nouveau par la tête pour lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Il ne faut que quelques allers-retours pour que des grognements s’échappent de la bouche du jeune homme. La bouche ouverte il continue à guider la tête de Christelle qui s’est mise à genoux.

Je me rends compte que le bruit lourd de respiration que j’entends est le mien, je suis moi aussi la bouche béante, les joues en feu, excitée comme une jeune mariée la nuit de ses noces. Je me suis assise sur une table et ma main s’est glissée sous ma jupe pour aller retrouver mon intimité. J’ai fait tout ça sans m’en rendre compte et bien que maintenant consciente de mon geste je continue mes caresses sur mon sexe en feu. Pour m’exciter encore plus je dis :

«  Voilà enfin un boulot que tu sais faire correctement ! Cette salope vous doit bien ça… Arnaud, je crois ?

« Mmhhh »

J’en conclus que je me suis bien souvenue du prénom. Insulter cette garce m’excite toujours autant, elle aussi j’en suis certaine maintenant, mes caresses redoublent sur mon sexe à travers le tissu de mon slip. Voyant le visage d’Arnaud se crisper de plus en plus, j’en conclus qu’il est plus que temps de lui offrir un peu plus. Je me lève, je ne m’aperçois même pas que ma jupe reste retroussée, une fois près de Christelle, je la tire en arrière par les épaules et je dis :

« Il est temps de passer au plat de résistance »

Le sexe plus raide et gorgé de sang que jamais quitte la bouche si douillette. Christelle se lève, les yeux mi-clos et brillant à la fois. Sa tunique est si largement déboutonnée que la moitié de ses seins est dehors. L’autre moitié est si gonflée et dressée qu’on a l’impression que le tissu va céder sous la contrainte. Tout en elle a des relents de chienne en chaleur, elle adore ça, ça crève les yeux.

« Viens par là, tu vas donner ce que tu as de meilleur »

Je la pousse vers un gros fauteuil aux pieds en bois travaillé. Le dossier est juste à la bonne hauteur, c’est-à-dire celle de son ventre. Je la colle au dossier et la pousse pour qu’elle bascule la tête la première vers le fond. Elle est maintenant courbée en deux, son fessier offert et tendu vers nous. Je suis trop excitée pour résister et je lance une claque magistrale sur ce cul, je recommence et encore une fois. Un profond gémissement revient chaque fois à mes oreilles ce qui me fait me lâcher un peu plus :

« Regarde comme cette garce aime ça »

 

Ma main descend vers son entrejambe où la tache d’humidité fait la taille d’une bonne main. Mes ongles agrippent le legging en plein milieu de cette large auréole et tirent dessus. Le tissu cède et se déchire, de l’autre main je tire pour agrandir le trou si bien que le cul de Christelle est désormais à nu en grande partie. Son sexe aussi apparaît, ouvert, luisant du jus qu’il sécrète depuis le début de la journée, ses lèvres sont gonflées et ressortent comme si on les tirait à l’extérieur avec un fil invisible. Prenant à pleine main une de ses fesses, perdant tout contrôle des réalités je dis :

« Regarde ce cul, Arnaud, elle est bonne qu’à ça, montrer son cul de salope (je finis mes mots par une nouvelle claque qui fait trembler ses fesses en tous sens). Vas-y, elle attend que ça »

 

Il n’y a pas besoin de le dire deux fois, dès que je m’écarte Arnaud se colle derrière Christelle, la saisit par la taille et la pénètre d’un coup de reins. Un râle profond sonne dans le petit appartement, Christelle apprécie. Mais ce n’est pas que des cris qu’elle pousse maintenant à chaque mouvement qui se ponctue par le claquement du bassin de Arnaud sur ses rondeurs charnues. Maintenant c’est un gémissement continu qui résonne dans la pièce, je ne savais pas qu’on pouvait jouir en faisant autant de bruit. Je me suis replacée sur la table, de trois quarts face à elle, ma jupe se retrouve sur mes hanches. Mon slip est maintenant aussi détrempé que son legging tellement mes caresses sont fructueuses. Je regarde toujours Christelle en train de se faire prendre, ses seins ont débordé de sa tunique et pendent, s’agitant à chaque coup de Arnaud. Ses mamelons sont énormes, dressés à en frotter le coussin du fauteuil. Sa bouche est ouverte et hurle son plaisir sans interruption. Ceci me donne une envie, j’ôte ma culotte bien imbibée de mon jus et je me dirige vers sa tête, la soulève et enfourne mon slip trempé dans sa bouche ouverte. Ceci diminue le niveau de ses cris mais pas leur rythme. Quelques coups de reins plus tard, notre jeune cycliste se crispe sur les hanches et jouit en elle en finissant par deux ou trois coups plus fort que les autres. Il se retire, transpirant comme s’il venait de faire l’ascension de je ne sais quel col de haute montagne.

« J’espère que cela compense en partie les désagréments causés par ma collègue »

« Oui… Je crois… Cela devrait beaucoup y aider »

« Bien, j’espère que nous vous reverrons pour une deuxième visite, si l’appartement vous intéresse, dis-je totalement inconsciente du spectacle que j’offre.

J’ai toujours ma jupe en partie retroussée, formant une sorte de minijupe d’où seules mes jambes gainées de mes bas sortent. J’ai la main sur la tête de Christelle, pour bien lui faire comprendre que je veux qu’elle garde la position. Arnaud jette un dernier coup d’œil à la croupe qui s’exhibe sous ses yeux et dit :

Je pense que oui… Si l’accueil est toujours aussi bon »

 

Il remonte son cuissard et lâche lui aussi une claque sur le cul offert, ce qui provoque un nouveau gémissement de Christelle, et nous quitte le sourire aux lèvres.

Nous sommes désormais seules, mais je suis loin d’être rassasiée.

« Reste comme ça, je n’en ai pas fini avec toi, dis-je en retirant la culotte de sa bouche ».

« Bien, Muriel, comme tu le veux »

Je tourne autour d’elle à la recherche de l’inspiration qui me vient rapidement. Je prends son sac à la recherche de son legging du matin ôté lors de son changement de tenue. Je le trouve facilement ainsi qu’un joli godemiché de couleur rose fluo qui traîne au fond du sac.

«  Oh ! Mais que vois-je dans ce sac ? Mais je ne suis pas surprise qu’une salope vicieuse de ton espèce ait ce genre de joujou ».

« Pardon, Muriel, je sais mais je ne peux pas résister à mes vices »

« Je pense qu’il faut soigner le mal par le mal »

Je me sers du legging comme d’un lien pour lui attacher les mains à chaque pied du fauteuil, la bloquant définitivement dans cette position, basculée sur le dossier le cul en l’air et la tête sur le coussin. Quand je passe derrière elle, son sexe est encore ouvert et baveux du plaisir qu’elle vient de prendre.

Je fais glisser le jouet sexuel le long de son sexe, faisant mine de la pénétrer avec mais, renonçant au dernier instant pour mieux reprendre mes glissades le long de ses lèvres gorgées de jus. Le cul de Christelle s’agite frénétiquement geignant chaque fois que le gode refuse de la pénétrer. Au bout de quelques secondes de ce jeu, elle craque :

«  Prends-moi ! Vas-y, prends-moi avec ! »

« Tu donnes des ordres maintenant ? Dis-je en lui assenant une claque magistrale sur les fesses. Tu vas voir pour t’apprendre où est ta place »

« Mmhhh pardon, mais… J’ai si envie »

« Je sais bien que tu ne penses qu’à ça, salope, mais pour ta punition tu vas devoir attendre ».

Je me replace en face d’elle, assise sur la table, jambes écartées, offrant toute mon intimité à son regard brûlant. Cette fois-ci le godemiché joue sur mon sexe mais comme je le commande il me pénètre rapidement. Sous l’effet du plaisir ma bouche s’ouvre et lâche un cri, mes reins se cambrent, mes jambes s’écartent encore un peu plus. Le jouet rentre et ressort à un rythme régulier de mon sexe en feu, je ne m’étais jamais entendue pousser de tels cris. Je n’ai jamais été aussi excitée et pris autant de plaisir, même avec mon mari surtout depuis des années. Christelle me regarde faire, les yeux agrandis par l’envie. Toujours ligotée au fauteuil par les bras elle ne peut que me regarder. Son bassin s’agite en tous sens me montrant à quel point elle est frustrée de me voir prendre mon pied sans pouvoir en faire autant. Après un dernier spasme, je retire le gode, il est brillant de ma sécrétion. Je me lève et fais glisser l’objet sur son visage, ses lèvres, j’insiste là et elle comprend. Elle ouvre la bouche et j’y plonge le sexe factice couvert de mon jus.

« Bon, j’espère que tu as compris qu’on ne me donne pas d’ordre à moi ».

« Mmhhh dit-elle en bougeant la tête de haut en bas »

« Bien, tu mérites une récompense, tu as bien rattrapé le coup avec notre client »

Je passe derrière et fais enfin ce qu’elle attendait de moi. Je la pénètre avec son jouet et pompe en elle tout en lui plantant mes ongles dans ses fesses dodues. Il ne faut que quelques instants pour qu’après des gémissements incessants le son devienne plus aigu, que son corps se crispe et qu’elle jouisse de ma main. En lâchant une dernière claque sur son cul je retire le sexe plastique et je lui dis :

« Allez on peut retourner à l’agence, je vais peut-être arriver à tirer quelque chose de toi, il y a au moins un truc qu’une salope de ton espèce est bonne à faire ».

Épilogue :

Dès que j’ai vu Muriel à l’agence j’ai senti qu’il y avait un truc en elle. Ses nombreux regards sur mes formes n’ont fait que le confirmer avec le temps. Je me suis amusée à en faire plus et à rentrer dans son jeu mais je n’aurais jamais cru que j’en arriverai à ce point-là malgré tout. Comme quoi la vie ménage toujours quelques super bonnes surprises. Je pense qu’on va bien s’entendre toutes les deux, on est bien complémentaires.

À suivre….

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