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Les aventures coquines et libertines de Christelle 16

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Astronome amateur et mateur ! 1 

Voilà plusieurs jours que je peaufine les réglages de ma lunette astronomique. J’ai vraiment fait un gros investissement mais en même temps une bonne affaire au vu de la qualité de l’outil. D’ailleurs je jubile et je n’arrête pas de me répéter :

« Mon petit Damien tu as fait l’affaire du siècle ! »

Son grossissement est monstrueux, la qualité de la lentille est fantastique et de plus, il y a des tas d’options électroniques me permettant, entre autres, de la connecter à mon ordinateur. Ceci me permet de filmer comme une caméra ou simplement sauvegarder les vues et de comparer « mon ciel » avec une base de données gigantesque sur les cartes astrales.

Bref, je m’éclate comme un fou depuis une semaine. Je suis bien le seul car ma copine fait un peu la gueule, il faut bien le dire. Déjà le prix qu’elle trouve astronomique – c’est bien le terme le plus juste – lui a fait tordre le nez. Elle m’a au moins donné une centaine de trucs que l’on aurait pu faire ou acheter avec tous ces euros. Elle m’a même montré une belle série de déshabillés, sous-vêtements ou tenues sexy qu’elle aurait pu s’offrir pour notre plaisir commun, j’avoue que c’est bien la seule chose de sa liste qui m’a fait un peu regretter mon achat.

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Depuis les choses ne se sont guère arrangées, je passe une grosse partie de mon temps libre à utiliser l’engin dès qu’il fait nuit. Heureusement pour elle, en ce début d’automne, Monsieur Soleil est encore un couche-tard.

Je suis d’ailleurs devant mon écran d’ordinateur, ce soir, en train d’utiliser les vues de ma lunette. J’ai mis un bon moment à faire le réglage pour bien viser la partie du ciel que je veux étudier. Soudain l’image sur l’écran bascule sous mes yeux. Je tourne immédiatement la tête, persuadé que Muriel lasse de me voir passer mon temps sur mon nouveau jouet, vient de bouger la lunette et de détruire par la même occasion de longues heures de réglages. Mais non, mon accusation n’était pas fondée. Un pigeon s’envole de sur la lunette, je n’avais pas dû assez la bloquer et cet immonde piaf a tout bousillé.

« P… De volatile ! Il m’a ruiné mes réglages »

Je me précipite à la porte-fenêtre pour voir le pigeon finir de s’éloigner. Que fout là cette bestiole maintenant que la nuit est tombée ? Je croyais que ça dormait comme les poules une fois l’obscurité arrivée. C’est bien ma chance, il faut que je tombe sur un pigeon insomniaque et qu’il vienne atterrir sur mon télescope. Je retourne, dépité, vers mon ordinateur, maudissant le volatile et les dieux qui l’ont créé.

Je regarde vers mon écran, avec le vague espoir que je viens juste de rêver et qu’il va y avoir un miracle. Effectivement mon regard reste scotché à l’écran, miracle il y a, mais pas celui que j’espérais.

En basculant, la lunette est en train d’observer l’immeuble d’en face et le moins que l’on puisse dire, c’est que le hasard fait bien les choses. Je suis en train de lorgner, accidentellement bien sûr, un appartement par sa grande baie vitrée bien éclairée. Le grossissement du télescope est tel que j’ai l’impression d’être juste derrière la vitre. Ce que j’y vois est des plus agréables. Une femme se promène assez dévêtue dans ce qui doit être son chez-soi. Elle est en petite culotte, porte un chemisier blanc complètement déboutonné sur ses épaules, laissant librement accès à la vue d’une poitrine très généreuse qu’un soutien-gorge a bien du mal à retenir. Elle est blonde ou châtain très clair avec une coupe au carré assez longue. Elle fait face à la baie vitrée, ce qui me laisse tout loisir de bien voir son visage. J’ai un moment de recul devant l’écran tellement l’image me semble proche et me donne l’impression qu’elle peut me voir l’observer. Mais non, je suis moi dans le noir complet, contrairement à elle, de plus l’immeuble d’en face n’est pas si près que ça. L’avenue, un large parking et des espaces verts nous séparent, c’est certainement pour cela qu’elle se balade en petite tenue. Elle n’imagine pas que quelqu’un pourrait la voir. Mais c’était sans compter sur mon fabuleux télescope au grossissement titanesque.

Je peux donc détailler son visage sans crainte. Elle est plus âgée que moi, enfin, disons qu’elle n’a pas une vingtaine d’années comme moi, mais plutôt… Voyons, je dirais 35 ou la quarantaine peut-être.

Son visage me semble assez lisse mais, même si ma lunette est redoutable, ce n’est pas Hubble non plus. Les pans de son chemisier ouvert me laissent voir quelques rondeurs, en plus de sa poitrine majestueuse. Son ventre est un peu arrondi, son bassin est assez large – à la Marilyne Monroe – mais son chemisier descend trop bas pour que je puisse me faire une opinion précise de son postérieur une fois qu’elle m’a tourné le dos.

Quoi qu’il en soit, la femme est très sensuelle et le tout est foutrement érotique.

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« Je comprends mieux pourquoi tu as gaspillé autant de pognon dans ton foutu machin »

Je me retourne et je vois Muriel, les mains sur les hanches, en train de regarder mon écran avec un air dubitatif.

« Euh… C’est un piaf à la con qui s’est posé sur mon télescope et il a fait basculer la vue là-dessus.

J’ai la chance d’avoir une copine à l’esprit ouvert et qui n’est pas avare de sexe et des fantaisies qui s’y rattachent. De plus – phénomène de mode ou de société – elle n’est pas insensible aux charmes des autres filles, surtout quand elles sont plus âgées qu’elle d’après ce que j’ai remarqué, même si à ma connaissance elle n’a pas eu de relation. La femme dans l’appartement revient de face vers la porte-fenêtre un verre à la main et un téléphone dans l’autre, toujours dans la même tenue.

 

« La vache, quelle paire elle a ! Dit Muriel le regard envieux »

Muriel a toujours fait une fixation sur la taille de sa poitrine qu’elle trouve trop petite. C’est vrai que, quand je regarde le T-shirt qu’elle porte en ce moment, le renflement causé par ses tétons et aussi important que celui de ses seins, c’est-à-dire visible mais sans plus. Dès qu’elle croise une fille bien pourvue à cet endroit, cela déclenche toujours chez elle une crise de jalousie aiguë, voire agressive, mélangée à une forme de passion. Le cocktail des deux est parfois assez drôle.

Dans l’appartement, la femme se penche en avant pour tripoter un ordinateur portable posé sur une table basse qui est devant la porte-fenêtre. Sa poitrine ressort encore un peu plus de son soutien-gorge, ballotte un peu lorsqu’elle utilise le clavier. C’en est trop pour Muriel.

« La salope, elle a une sacrée paire de lolos »

Je vois que ses yeux brillent, elle est aussi fascinée que moi par ce qu’elle voit. Du coup l’explication sur le pigeon insomniaque et la lunette passe sans discussion. Plus d’une aurait émis de gros doutes sur la véracité de mes dires en me surprenant devant un tel spectacle. Je tente même d’enfoncer un peu le clou.

« Je devrais bloquer la lunette un peu mieux, des fois que ce con de pigeon revienne sur son perchoir et qu’on perde la vue.

« Ouais, tu as raison, ah merde, elle se relève »

Décidément elle est mordue. Un coup d’œil à l’écran me confirme que la femme s’est relevée et marche dans son appartement, le téléphone toujours à la main. Je remarque aussi une webcam sur le haut de l’écran du portable, madame est moderne. Je me demande si quelqu’un est de l’autre côté de cette caméra, un membre de sa famille peut-être pour se montrer ainsi en petite culotte.

Je file à la porte-fenêtre, note la position de la lunette et bloque les vis de fixation. Je regarde aussi en direction de l’immeuble d’en face pour bien repérer l’appartement où le spectacle est si passionnant. Avec de simples yeux humains, c’est beaucoup moins facile, beaucoup de fenêtres sont allumées. Je distingue bien quelques formes humaines derrières certaines mais… Il faut que je m’aligne sur l’axe de la lunette pour trouver ma cible. Oui évidemment, c’est l’une des fenêtres qui n’a pas du tout de rideau. Je vois la silhouette de la femme au travers de la vitre mais d’ici rien de très excitant, impossible de deviner comment elle est habillée, ou plutôt déshabillée même de savoir si c’est elle ou il. Je cherche des points de repère, quatrième étage, juste sous le balcon qui est rempli d’arbustes et de plantes, facile à retrouver.

Avant de repartir, je tire un peu les rideaux pour ne laisser qu’une fente pour le télescope, on ne sait jamais.

Je reviens aux côtés de Muriel qui est toujours aussi scotchée à l’écran. Visiblement la femme d’en face, je ne sais pas comment l’appeler autrement, est son type.

« Elle est plutôt bien foutue, dis-je pour voir sa réaction »

«  Ouais, elle est bien gaulée »

« C’est trop drôle, tu as l’air plus excitée que moi »

« Tu es gonflé, qui c’est le voyeur que j’ai surpris en train de mater sa voisine ? »

Notre discussion s’arrête là car la femme vient d’enlever son chemisier, elle marche en nous tournant le dos se dirigeant vers le fond de la pièce. Elle a aussi un sacré cul comme me le laissait espérer ses hanches à la Marilyn. Malheureusement la vue ne dure pas longtemps car elle quitte la pièce. La fenêtre d’à côté s’allume mais c’est une simple fenêtre offrant une vue beaucoup plus réduite que la double baie vitrée, en clair on ne voit plus rien.

Notre frustration est de courte durée, elle réapparaît se dirigeant face à nous vers la porte-fenêtre, toujours seulement revêtue de ses sous-vêtements. Sa poitrine se balance au rythme de ses pas, elle s’arrête pour prendre des papiers, ou plutôt du courrier sur une table, poursuit et s’immobilise entre le canapé et la table où est posé l’ordinateur. Autant dire qu’elle ne pouvait pas être mieux placée pour qu’on la mate. C’est ce que l’on fait. Je détaille avec plaisir sa lingerie, elle porte un shorty en satin violet, ou mauve, comportant de fines dentelles par endroits permettant de voir dessous. Elle se tourne en nous montrant les trois quarts de ses fesses. Elle a le cul diablement rebondi, il m’avait semblé super tout à l’heure mais c’est encore mieux que je ne le pensais.

« Toi qui aimes les fesses dodues, tu es servi, me glisse Muriel »

« On a chacun une partie de son corps qui correspond à nos phantasmes les plus chauds, toi les seins, moi son cul, c’est la femme parfaite ! »

« Pas loin »

Le shorty laisse déborder par-dessous une partie de ses fesses charnues. Comme si elle se sentait observée, sa main se glisse entre le tissu et la fesse gauche débordante, tire sur le shorty découvrant un peu plus la chair ferme de sa fesse, puis le lâche brusquement, ses fesses tremblent sous le choc.

Elle est maintenant de profil absorbée par la lecture de son courrier. Toutes ses formes sont ainsi mises en valeur, son postérieur cambré à l’extrême, sa poitrine gonflée, péniblement retenue par un soutien-gorge assorti au shorty, satiné violet avec un large décolleté. Elle abandonne finalement la paperasse qui lui encombre les mains et se penche en avant sur son ordinateur. Comme tout à l’heure, ses deux globes volumineux semblent vouloir s’échapper du soutien-gorge. Elle reste ainsi pliée en deux, en train de manipuler ou taper sur le clavier, je me demande pourquoi elle ne s’assoit pas. Peu importe, la vue qu’elle offre est terrible. Ses bras passent sous sa poitrine pour utiliser clavier et souris, repoussant encore plus en avant ses gros nichons, si bien qu’une partie de ses aréoles apparaissent, larges et très brunes, au-dessus du soutif. Je me rends compte que je bande, je regarde Muriel pour voir si elle s’en est aperçue, mais non. Elle est là bouche ouverte, les yeux exorbités et rivés sur l’écran, le souffle court.

 

À l’écran, la femme garde cette position inconfortable, penchée en avant, deux ou trois minutes puis enlève la webcam du dessus de l’écran et referme l’ordinateur portable. Elle fait alors demi-tour et s’éloigne vers le fond de la pièce, ce qui me – enfin nous – laisse le plaisir d’apprécier le déhanchement qui agite son postérieur gainé de satin violet. Déhanchement accentué par la paire de mules à talon qu’elle porte aux pieds, je viens de m’en apercevoir. Arrivée au milieu de qui doit être son salon, ses mains se glissent dans son dos, dégrafent le soutien-gorge, elle joue des épaules pour faire glisser les bretelles nous laissant ainsi admirer son dos nu et… L’obscurité.

Elle est sortie de la pièce et a éteint la lumière, l’autre fenêtre à côté est toujours allumée, sa chambre certainement, elle doit être là. L’excitation qui était montée aussi bien chez Muriel que chez moi est palpable tant nos souffles sont courts. Quelques secondes d’espoir et :

« Je crois que c’est fini »

« Pour aujourd’hui, dis-je, montrant ainsi ma volonté de remouler le spectacle dès que possible.

« Pas sûr, me répond Muriel les yeux brillants.

Nous sommes tous les deux chauds comme des braises, lorsque sa main se pose sur mon entrejambe gonflé, je n’ai plus de doute sur la suite des événements.

Le lendemain, je pars au boulot non sans jeter un œil au télescope, mais rien, le jour est à peine levé mais pas de lumière. Cette journée de jeudi me semble horriblement longue. 17 h, enfin je peux m’échapper. Muriel finit un peu plus tard, aussi je suis seul à l’appartement pour un peu moins d’une heure si elle rentre directement. La première chose que je fais est d’allumer mon ordinateur pour vérifier que la lunette est toujours bien réglée, non pas sur le ciel, bien sûr. C’est le cas mais il fait encore jour et il n’y a rien de spécial à voir, une grande baie vitrée dont les reflets laissent voir plus ou moins bien l’intérieur. Pour passer le temps, je repasse les images prises la veille, m’attardant sur celles que je trouve les plus excitantes. Finalement sa poitrine m’excite autant que son cul. Muriel arrive alors que suis en train de me rincer l’œil.

« Pfff, déjà au boulot, tu t’échauffes pour ce soir ? »

« Je… Regardais juste si les images d’hier soir étaient bien sauvegardées, je n’avais pas vérifié, dis-je un peu gêner ».

« Cette salope a quand même de sacrés nichons, dit Muriel que la jalousie rend acerbe comme souvent ».

« Mmmhh… »

L’image qui s’affiche sur l’écran, la femme penchée en avant sur son ordinateur ne peut que confirmer les mots de Muriel. Je n’ose pas en faire de trop sur la poitrine de peur de m’attirer les foudres de mademoiselle-la-complexée-des-nichons. Néanmoins son regard est, comme hier soir, collé à l’écran. Toujours ce mélange paradoxal de jalousie agressive et d’attirance physique. J’ai toujours du mal à saisir comment fonctionne Muriel dans ce domaine-là, je n’ai pas tout lu Freud.

 

La nuit tombe mais sans pour autant mettre de l’animation de l’autre côté de l’avenue. J’ai laissé tout mon matériel en état de veille et je jette régulièrement un coup d’œil aussi bien par la fenêtre que sur l’écran.

22 h 30 la lumière se fait enfin, au quatrième étage :

« Ça s’allume », dis-je

« Tu vois quelque chose ? » Muriel qui regardait la télé me rejoint.

« J’y croyais plus pour ce soir »

La femme apparaît dans notre champ de vision, habillée, malheureusement. Elle est cependant très sensuelle, elle porte une jupe noire courte au-dessus de bas noirs et un top rouge brillant particulièrement moulant. Elle s’approche de la baie vitrée, sa poitrine ballotte particulièrement à chacun de ses pas.

« La salope, elle n’a pas de soutif »

« On dirait, on voit super bien ses tétons, dis-je pour confirmer »

« Elle est super sexy comme ça »

« Ouais, avec sa jupe courte, en plus »

« Je ne sais pas si elle va comme ça au boulot »

« À cette heure, elle ne doit pas rentrer du boulot »

« C’est peut-être une pute, répond Muriel en se marrant »

«  Elle est peut-être allée au boulot et sortie juste après chez des amies, et puis tu vas bien au boulot en minijupe, toi, dis-je piquer par cette idée ».

« Ouais, mais je n’ai pas son âge »

« Pfff, qu’est-ce que t’en sais de son âge et puis il y a un âge pour les jupes courtes ? »

Je regarde l’écran de plus près, essayant de zoomer, même si cela déforme un peu l’image. Son ventre bien rond, moulé par sa jupe serrée, et ses hanches généreuses me confirment mon impression d’hier, de 35 ou 40 ans. Même je vois très bien son visage, c’est difficile d’être plus précis.

« Oui, tu n’as pas tort »

La femme saisit une télécommande sur la table basse, l’ordinateur ne semble pas l’intéresser ce soir. Elle reste immobile, légèrement de biais pour nous, elle zappe probablement sur une télé invisible à nos yeux. Les choses s’animent un peu plus. Toujours face à une probable télé, ses mains passent dans son dos. Sa jupe s’écarte de sa taille, elle glisse les mains à l’intérieur et quelques dandinements plus tard, la jupe atterrit sur ses chevilles. Un magnifique tanga en dentelle noire apparaît. Le slip tendu sur les hanches marque celles-ci de deux plis, le ventre arrondi a, lui, repoussé le top un peu plus haut et ressort par-dessus le tanga. Le triangle sombre de son pubis est parfaitement visible sous la dentelle.

 

« Elle a vraiment de sacrés sous-vêtements, elle doit y laisser une fortune »

« Je t’offrirai le même pour ton anniversaire »

« Je veux les deux, celui d’hier aussi… Et dans plusieurs coloris ! Me lance Muriel.

La femme reprend la télécommande quelques secondes puis fait demi-tour et s’éloigne vers le fond, nous montrant son dos. Son tanga s’arrête au milieu des fesses, la dentelle est aussi transparente que le côté face et laisse voir une belle raie qui dévore le tanga quand les fesses dodues se découvrent.

Puis l’obscurité.

« Merde ! Déjà… »

« Ben, on dirait, dis-je aussi désappointer que Muriel »

« Elle va peut-être revenir ? »

Mais non, malgré notre attente le show est fini.

Nous voilà vendredi, j’ai lancé un coup d’œil vers l’appartement d’en face ce matin mais sans espoir et je n’ai pas eu d’heureuse surprise. Comme la veille, la journée me semble terriblement longue et heureusement, le vendredi je finis à 16 h, comme Muriel. Je passe d’ailleurs la prendre à son travail et nous rentrons ensemble. Bien sûr, notre conversation tourne autour de « la femme d’en face » ou la « salope aux gros nichons » selon la personne qui en parle et la frustration ressentie. Une fois stationné au pied de notre immeuble, Muriel me dit.

« On passe à la boulangerie, il n’y a plus de pain et y aura bien un truc à acheter pour ce soir ».

« OK, on est parti »

La boulangerie est de l’autre côté de l’avenue, au bout de la résidence où habite la femme du quatrième étage. Comme souvent le vendredi soir, il y a foule et de longues minutes d’attente se profilent. Je suis en train d’essayer de voir dans le présentoir ce qui pourrait nous faire un repas du soir quand Muriel me file un énorme coup de coude.

« Elle est là ! »

« ? »

« La femme, là regarde devant »

« P…, oui »

Je reconnais facilement notre « voisine d’en face ». Sa tenue est bien plus sage que celle d’hier soir, un tailleur gris sombre bien coupé, même si la jupe est bien au-dessus du genou. Elle est perchée sur des escarpins aux talons imposants. C’est à elle de passer sa commande.

« Une baguette et ce soir j’ai droit à un petit supplément, mettez-moi une tartelette aux fraises ».

« Ah ? Ce soir, c’est fête ? » demande la vendeuse en rigolant.

« Oui, c’est le premier jour de ma vie où j’ai 44 ans, ça se fête ! »

« Ouah ! J’espère que vous allez fêter ça avec plus qu’une tartelette »

« Ça, c’est pour demain la grosse fête. Ce vendredi soir, j’ai autre chose de prévu »

« L’important c’est de le fêter et mieux vaut deux fois qu’une seule »

La femme sourit, sa flûte sous le bras et le paquet dans l’autre, elle quitte la vendeuse. Elle se dirige vers la sortie, ses talons claquent sur le carrelage. Lorsqu’elle passe à côté de nous, Muriel la dévisage, trop subjuguée par cette rencontre pour jouer la discrète. Leurs regards se croisent, un client rentre à ce moment-là bloquant la sortie, elle s’arrête mais son regard reste sur Muriel. Elle doit se demander pourquoi elle la fixe comme cela. Son visage affiche alors un large sourire et, la sortie libre, elle disparaît.

Cette proximité nous permet de voir son visage avec plus de précisions qu’on ne pouvait le faire depuis chez nous. 44 ans, elle a 44 ans ! Elle ne les fait pas. Son joli visage est bien lisse même si de fines rides garnissent le pourtour de ses grands yeux noisette. Pour le reste, on retrouve sans surprise de larges lèvres ourlées, un nez pointu, des pommettes hautes et un visage bien rond, quelques rondeurs de-ci de-là. On peut mieux juger de sa taille maintenant, 1, 70 au moins, plus grande que Muriel, à moins que cela soit dû à ses chaussures aux talons démesurés.

Une vendeuse supplémentaire apparaît, ce qui nous permet d’être servis rapidement. Muriel se précipite dehors, je n’ai pas le temps de ramasser nos achats qu’elle a disparus. Une fois à l’extérieur, je la vois avancer à grandes enjambées. À tel point que la minijupe légère qu’elle a enfilée ce matin, certainement par mimétisme de notre voyeurisme du soir, volette agréablement laissant entrevoir le bas de ses fesses par instants. Bien que très différent de celui de la femme d’en face, son petit cul n’en est pas moins bien agréable à regarder.

Il me faut trottiner sur quelques mètres pour la rattraper :

« Hey ! Pourquoi tu fonces comme ça ? »

« Je veux savoir son nom »

« Son nom ? »

« Comment elle s’appelle ! »

« J’avais compris mais… Comment ? »

« Qu’est-ce que tu fais le soir quand tu rentres du boulot, en arrivant ? »

« Ben je ne sais pas moi, je regarde si on a du courrier et je monte à l’appart, et… ? »

« Eh bien, elle aussi, probablement »

« Je ne saisis pas… »

« On verra quelle est sa boîte aux lettres, son nom doit être dessus, gros bêta ! »

« Tu veux dire qu’on va la suivre ? Ça craint un max, et si elle nous voit ? »

« Y a pas de raison »

À moitié convaincu, je me laisse entraîner dans cette filature. Nous marchons vite et nous nous retrouvons rapidement à quelques mètres de la femme blonde.

« Tu as entendu ? Elle a dit qu’elle faisait 44 ans aujourd’hui »

« Elle ne les fait pas dis-je, surtout hier soir avec sa jupe courte ; là avec son tailleur BCBG, un peu plus »

« Je t’avais bien dit que c’était une vieille, répond Muriel en se marrant »

Je hausse les épaules en levant les yeux au ciel pour lui faire comprendre à quel point je trouve sa réponse mesquine.

La femme rentre dans sa résidence, nous la suivons, je stresse de plus en plus. Nous voilà au pied du hall d’entrée de son immeuble, Muriel s’arrête à proximité. Elle me retourne pour m’embrasser mais je comprends qu’elle ne cherche qu’une justification à notre présence devant ce hall et qu’elle en profite pour espionner. Je suis de dos, aussi je ne vois rien. Quelques secondes et Muriel me repoussent.

« C’est bon, j’ai vu quelle est sa boîte aux lettres »

Elle me tire vers les boîtes alignées dans le hall et m’en indique une, nous lisons ensemble le nom.

Christelle DUBOIS

Quatrième étage

 

La curiosité de Muriel satisfaite nous repartons chez nous.

« Tiens Muriel quelle coïncidence DUBOIS, comme toi, ferait-elle partie de ta famille où lointaine ? »

« Pas que je sache, je vais demander à Maman »

« Ce soir ça va être calme, elle a dit qu’elle avait quelque chose de prévu », me dit Muriel avec un air désolé.

« On dirait »

Même s’il y a peu d’espoir d’avoir de l’animation ce soir, j’allume mon installation. Mais de toute façon, il fait encore jour.

Il est presque 21 h, il fait nuit depuis un moment et l’appartement d’en face est allumé. Nous voyons passer Christelle régulièrement, elle est toujours vêtue de son tailleur à l’exception de la veste. Nous surveillons d’un œil l’écran car pour l’instant rien de bien passionnant.

Elle se prépare un plateau télé et commence un repas, assise sur le canapé. Nous la voyons parfaitement de face regarder vraisemblablement vers l’écran qui doit être légèrement sur le côté, hors de notre champ de vision.

Ceci nous donne faim et nous faisons de même.

« Elle va sûrement partir après son repas »

« Probable, dis-je dépiter »

 

Son repas fini, elle disparaît en emportant le plateau et revient se poser dans son canapé. Christelle reste captivée par le programme encore une bonne demi-heure puis se lève, va chercher son ordinateur et sa webcam puis installe le tout sur la table basse devant elle.

Elle pianote dessus quelques minutes, règle la position de la caméra et se lève de nouveau. Elle est de dos, ses mains tirent sur la fermeture éclair de sa jupe et s’emploient à la faire glisser sur ses pieds. Elle ne porte plus qu’un string en dentelle blanche, des bas et son chemisier. Christelle ramasse sa jupe et disparaît de la pièce.

Les choses deviennent plus intéressantes. Comme je sors de la douche, je suis en slip et en T-shirt et je prends place ainsi devant l’écran. Muriel y est déjà depuis un moment. De longues minutes passent avant de revoir passer un bref instant Christelle au fond de la pièce avec un peignoir de bain sur les épaules. Elle revient assez rapidement sous notre regard et là, c’est le choc.

Elle porte une nuisette en dentelle noire transparente, une très large encolure dévoile la totalité des épaules et s’arrête au-dessus des seins, des manches longues en dentelle noire lui couvrent les bras. Sous la poitrine, un large bandeau de satin rouge cintre le tissu sur ses seins. La majeure partie de la nuisette est couverte de fines broderies mais un peu moins sur la poitrine ce qui laisse apparaître ses seins. Par transparence nous pouvons voir ses grandes aréoles sombres et ses nichons trembloter à chacun de ses pas qui la rapprochent du canapé, donc de nous. Son bassin est couvert d’un shorty fait de la même dentelle et aussi transparent que la nuisette, ce qui nous permet de voir l’ombre faite par le triangle de son pubis, bien taillé au-dessus de son sexe. De fines bandelettes verticales rouge satiné décorent le shorty en partant des cuisses jusqu’à la ceinture. Pour finir, ses jambes sont gainées de bas noirs.

« La salope, tu as vu comme elle est fringuée ! »

« Je ne pense pas qu’elle sorte finalement », dis-je.

« Si elle sort comme ça, elle va créer une émeute dans la rue. Tu as vu, elle s’exhibe devant sa webcam, on dirait »

En effet Christelle a placé la webcam devant elle sur la table et l’ordinateur à côté, sur le canapé où elle s’est allongée. Elle tapote régulièrement sur le clavier et son visage s’éclaire d’un sourire de temps à autre. Soudain la tension monte un peu plus, sa main monte vers la poitrine et elle commence à se caresser un sein. Elle le prend par-dessous, le presse, remonte jusqu’au téton et le saisit, tire dessus au travers de la dentelle. Sa deuxième main entame le même travail que la première, toute sa poitrine est désormais malaxée, ses mamelons maltraités par des doigts qui tirent, tortillent et qui ne quittent plus ces tétons devenus énormes que pour mieux presser des seins gonflés par le plaisir. La nuisette a un peu glissé sous la pression et le haut des seins est maintenant à nu. Son visage aussi s’est transformé, le sourire a disparu, remplacé par une bouche ouverte et des yeux mi-clos. Nous n’avons pas le son mais on devine les gémissements qui doivent résonner de l’autre côté de la rue.

Christelle change de position, elle s’enfonce dans le canapé et positionne ses pieds sur la table basse, ce qui lui fait écarter largement les cuisses et offrir la vision de son entrejambe à la webcam et surtout à nous. Elle pianote encore quelques secondes sur le clavier, se redresse pour déplacer légèrement la webcam, certainement à la demande de son correspondant, et ses mains reprennent leurs activités. L’une retourne caresser la poitrine alors que l’autre descend plus bas, glisse sur le shorty. Un doigt commence à frotter son entrejambe de haut en bas, remonte et ainsi de suite. Son bassin ondule alors que la caresse se fait de plus en plus rapide, que le doigt s’enfonce de plus en plus dans le tissu. Malgré l’émotion qui visiblement la met en transe, elle arrive encore à taper sur le clavier pour communiquer avec l’autre ou les autres personnes de l’autre côté de la webcam.

Mais ces instants d’échange sont de plus en plus brefs. Elle attrape un sein à pleine main, elle le presse pour en faire ressortir le bout qui semble gicler à travers le creux de sa main, le téton démesuré darde à travers le tissu. Plus bas, son autre main masturbe un sexe que l’on devine en feu à travers la fine dentelle.

Comme si elle devait répondre à de nombreuses requêtes, elle quitte sa position avec beaucoup de mal. Sa main abandonne son sexe pour aller pianoter le clavier et elle se met à genoux sur les coussins, dos à la caméra. Je me rends compte qu’elle a gardé des escarpins noirs au pied. Elle tend alors sa croupe vers l’objectif et vers les yeux, les dizaines de paires d’yeux ? Qui visualisent ce spectacle hallucinant.

Nous sommes tous les deux en transe, le souffle court. J’entends alors Muriel me dire :

« Elle te fait de l’effet la vieille ! Espèce de gros cochon »

Je la vois du coin de l’œil tendre son menton vers la forte érection qui distend mon slip. Je bande comme un âne, difficile de le nier. Comme je me retourne pour lui répondre, je vois que Muriel a sa jupe retroussée et sa main qui se perd entre ses cuisses. Amusé par cette nouvelle version de « l’hôpital qui se moque de la charité », je dis :

« Difficile de résister n’est-ce pas ? »

De l’autre côté de la rue, Mademoiselle Dubois a empoigné ses fesses à pleine main. Elle les triture, les écarte, son cul rebondi avale alors la moitié du shorty. Elle est toujours à genoux sur son canapé, en appui sur le dossier. Je sens alors une main se poser sur mon entrejambe gonflé.

« Ça t’excite, son gros cul »

« Mmmhh… Ouais, il est superbe »

« Plus que le mien, espèce de salopard, dit Muriel feignant la colère, enfin j’espère.                                          Disant cela, elle tire brusquement mon sous-vêtement. Mon sexe tendu jaillit mais ne garde pas longtemps sa liberté car la main de Muriel s’en empare. Elle commence à jouer avec, m’extirpant quelques grognements de satisfaction.

« Je commence à être jalouse moi, je t’ai jamais vu si « en forme ». C’est de voir cette salope s’exhiber qui te fait ça ? Avec ses gros nichons ! Mais moi aussi, je sais faire. »

Muriel quitte mon sexe à mon grand regret, remonte sa jupe, déjà courte, autour de sa taille, arrache plus qu’elle n’enlève sa culotte, se dandine ainsi dé poilée du bas quelques secondes devant moi et part devant la porte-fenêtre du salon. Là, elle tire le rideau que j’avais soigneusement fermé pour masquer mon télescope et se met à prendre des poses sexy, tendant son cul vers la vitre.

« Alors, ça t’excite aussi ? »

« Pas mal pour une débutante, dis-je me prenant au jeu »

« C’est mieux comme ça ? Dit-elle en enlevant sont haut et son soutif qu’elle garde à la main »

« C’est quand même mieux en face ! »

« Salop ! Et elle me balance son soutien-gorge à la face. De toute façon, dès que j’ai le pognon je me fais gonfler les seins »

Elle se tourne vers la vitre et se met à s’agiter en disant :

« Houhou ! Matez-moi, regardez mon cul ! Mon enfoiré de mec me trouve moins sexy que la vieille salope d’en face ! »

Je vois bien que l’excitation générale qui règne ici l’a fait un peu déraper mais je suis moi aussi, complètement grisé par tout ça. Je me lève et je la rejoins.

« Tu progresses vite, tu es de plus en plus bandante, dis-je, me collant à elle ».

« N’essaye pas de te rattraper, dit-elle en se retournant vers moi »

Alors que je commence à la serrer de près, Muriel s’exclame :

« Regarde ce qu’elle en train de faire, la garce ! »

Et elle revient se placer devant l’écran, je suis frustré qu’elle me quitte ainsi pour aller mater la voisine. Je jette un œil par la vitre, vers la fenêtre de Christelle, sans surprise d’ici rien de bien palpitant, mis à part une baie vitrée éclairée derrière laquelle je distingue une silhouette sur un canapé.

Ce qui se passe sur l’écran grâce au télescope est bien plus passionnant.

« Regarde ça », lâche Muriel, hypnotisée.

« P’tain ! Ouais… »

Christelle est toujours à genoux sur son sofa, les fesses courbées vers la caméra, elle est en train de faire glisser son shorty. Il passe le milieu des fesses, poursuit son chemin le long des cuisses. Arrivée aux genoux, Christelle se contorsionne pour lui faire passer l’obstacle, une fois aux chevilles, il ne faut que quelques gestes de plus pour qu’il quitte définitivement son corps.

Christelle joue alors avec, un moment, l’étirant pour couvrir ses fesses, mais son cul est si rebondi que le shorty ne cache que bien peu, d’autant plus qu’elle s’est cambrée un peu plus en arrière.

« Elle a quand même un gros cul ! »

« Supersexy, tu veux dire, je corrige ses mots, trop envoûté par cette scène pour me retenir ».

« Mmhhh »

Christelle a lâché sa culotte et empoigne ses fesses à pleine main, certainement pour répondre ainsi à la requête d’un voyeur internaute. Elle les écarte, lâche une claque dessus, ce qui fait trembler ses chairs, recommence plusieurs fois avec ces mêmes résultats de faire secouer ses deux globes volumineux.

Ce jeu laisse aussi entrevoir son sexe. Malgré le grossissement, nous ne pouvons voir tous les détails mais suffisamment pour que Muriel constate :

« Regarde sa chatte, comme elle est excitée et ouverte »

« Ben, elle doit faire ça pour ça, non ? »

Comme Muriel est quasi nue à côté de moi depuis sa séance devant notre fenêtre, je ne résiste pas à l’envie d’aller explorer son intimité à elle pour voir ce qu’il en est. Comme elle est assise à côté, une jambe repliée, le pied posé sur le coussin, ma main atteint facilement son but. Un grognement résonne à mes oreilles, Muriel apprécie, mes doigts trouvent un sexe humide et chaud, des lèvres déjà bien déployées.

« On dirait qu’il n’y a pas que la mademoiselle Dubois qui est excitée, dis-je en appuyant mes caresses ».

« Mmhhh… »

En même temps qu’elle me répond par ce grognement, ses jambes s’écartent un peu plus, facilitant encore plus mes caresses. Ses yeux ne quittent pas pour autant l’écran où Christelle continue à maltraiter son popotin. Mes doigts se font de plus en plus insidieux, jouent avec son petit bouton, pénètrent à l’intérieur, ressortent couvert de sa liqueur pour mieux reproduire les mêmes caresses.

Trop absorbé à donner du plaisir à Muriel, je ne vois qu’un peu plus tard que Christelle a changé de position. Elle est de nouveau face à l’écran, les jambes reposant sur la table devant elle, bien écartées, offerte en pâture à ses regards invisibles, combien ? Des dizaines ? Un seul ?

Elle a fait glisser sa nuisette sur ses bras et découvert sa somptueuse poitrine qu’elle caresse, triture, tirant sur ses bouts dont la taille est maintenant impressionnante. Sa bouche est entrouverte, ses jambes écartées laissent voir un sexe en éruption, enfin c’est peut-être plus mon imagination.

À côté de moi, Muriel se déchaîne. Je ne sais pas si c’est la qualité de mes caresses ou la vue de Christelle jouant avec ses seins, mais son corps ondule désormais. Des cris de plus ne plus rauquent et bruyants se font entendre. Son bassin s’agite d’un mouvement de va-et-vient de plus en plus intense.

« Ahhh… Ahhhhhh… »

Elle vient de lâcher un cri puissant, suivi d’un autre, elle jouit. Impossible à rassasier, son bassin se trémousse encore, ponctuant chaque mouvement de nouveaux grognements. Mais elle n’a d’yeux que pour ce qui se passe de l’autre côté de la rue, aucun pour moi.

Si bien que je quitte des yeux Muriel pour voir ce qu’il se passe en face. Christelle a lâché sa poitrine, qui trône toujours ferme, les tétons dressés, par-dessus sa nuisette. Elle a dans les mains un godemiché d’aspect métallique et lisse. On dirait une grosse balle. Elle joue avec, autour de son sexe, puis le plonge à l’intérieur, facilement, profondément. Elle doit mouiller comme une folle pour se pénétrer aussi aisément avec ce sexe de métal. Muriel me murmure à l’oreille.

« À ton tour… »

Elle m’enjambe, place son bassin au-dessus du mien, saisit mon sexe raide comme de l’acier et me laisse la pénétrer. Il ne faut que quelques mouvements de nos bassins mutuels pour que je jouisse à mon tour, trop excité par cette soirée pour endurer plus longtemps cette overdose d’érotisme.

Je ne sais comment, mais nous retrouvons par terre et Muriel s’emploie à me redonner une deuxième vigueur, ce qu’elle réussit à faire et nous mène bien plus tard dans la nuit. Nous oublions enfin le show de l’autre côté de la rue.

Le lendemain matin, nous nous réveillons assez tard, la nuit fut longue. Nous affichons tous deux des mines réjouies, notre esprit baigne encore dans les souvenirs de cette fantastique soirée. Bizarrement nous en parlons peu mais chacun sait que l’autre à l’esprit tourné vers Christelle et n’attend qu’une chose : que cela recommence.

Muriel flâne à la fenêtre et me dit subitement :

« Je vais acheter le pain pour midi »

« Euh… Bien »

Elle enfile un truc et elle disparaît de l’appart. Surpris par tant de fougue, alors que l’achat du pain le samedi matin est toujours une guéguerre pour trouver un volontaire, je jette un œil à la fenêtre.

Je vois la voisine d’en face marcher au pied de son immeuble, je la suis du regard et ne tarde pas à voir Muriel sur le même trottoir. Christelle rentre dans la boulangerie suivie de peu par Muriel, décidément elle est accro.

Quand elle rentre, le pain sous le bras, je lui demande.

« Alors ? Tu l’as croisée là-bas »

« Oui… Je voulais voir la tête qu’elle avait ce matin, après avoir fêté son anniversaire »

« Et ? »

« Elle a dû aimer, elle doit encore avoir la chatte en feu car elle porte encore une jupe sacrément courte. Elle a besoin de laisser aérer son fourbi, finit Muriel en riant »

« Ou elle aime s’habiller court… »

« Oui probable, je n’ai pas pu m’empêcher de bien la regarder quand on s’est croisées dans la boulangerie ».

« Comme hier ! »

« Oui, elle m’a rendu un grand sourire, comme hier ! »

« Tu as fait une touche »

« Ou elle aime bien qu’on la regarde »

« Après hier soir, on dirait bien qu’elle aime ça »

Le reste de la journée se passe plus ou moins comme d’habitude, si ce n’est que Muriel m’entraîne dans une séance de shopping. Nous passons un long moment au rayon lingerie, j’y prends aussi un certain plaisir mais ma bourse beaucoup moins. Délestés de plus d’une centaine d’euros, nous rentrons alors que l’obscurité tombe.

Notre conversation revient inévitablement sur Mademoiselle Dubois :

« Alors, elle va faire quoi ce soir ? » me demande Muriel.

«  Je ne sais pas moi, fêter son anniversaire en famille, peut-être ? »

« M’étonnerait, ça pas l’air d’être le genre »

« Va savoir, ce n’est pas parce qu’elle s’est fait son petit plaisir hier soir qu’elle n’a pas envie d’être en famille pour ses 45 ans ».

« 44… Oui, possible… Ou elle veut encore faire plus hot ce soir, finit Muriel alors que nous arrivons à notre porte ».

Nul besoin de mettre en service ma lunette, Muriel le fait pour moi dès que nous entrons. La lumière est allumée chez Christelle mais personne derrière la vitre. Nous gardons un œil sur l’écran, alors que nous allumons l’autre écran, celui de la télé, et que nous préparons un rapide repas.

Nous la voyons enfin, elle passe plusieurs fois dans notre champ de vision, Elle est vêtue d’une courte et moulante robe noir satinée et qui brille de mille reflets. Elle semble enfin prête et attendre quelqu’un car elle regarde plusieurs fois sa montre. Certainement pour patienter, elle se pose devant sa télé dans son canapé. Ceci nous permet de mieux admirer sa tenue de sortie peut-être. Sa robe est vraiment très près du corps, son ventre arrondi ressort emmailloté de noir satiné, une large encolure en V laisse voir une partie importante de sa poitrine. Ses jambes sont gainées de bas noirs couverts de broderies et des escarpins noirs, eux aussi.

« Je ne sais pas si elle sort comme ça, mais elle ne va pas passer inaperçue, dit Muriel ».

« Ça dépend où elle va »

« C’est juste ! »

Après quelques minutes, elle se lève subitement et revient accompagnée d’une autre femme. Une blonde aux formes arrondies (NdA : Fabienne, lire divers épisodes précédents) , bien plus que Christelle et d’un âge équivalent. Elle est, elle aussi, habillée d’une robe moulante mais un peu plus longue que celle de sa copine, la robe est de couleur blanche ou crème très clair parsemée de paillette ou motifs dorés, le haut de sa poitrine est en voilage laissant voir le haut des seins. Un gros ceinturon, doré lui aussi, lui ceinture la taille, ses jambes portent des bas de couleur chair et des chaussures blanches finissent de l’habiller. Sa robe, si près du corps, révèle des formes très généreuses, une poitrine lourde qui n’a visiblement pas la fermeté de celle de Christelle, des fesses très charnues et amples avec des petits bourrelets sur les hanches. En résumé une copine tout en rondeurs devant qui Christelle semble faire admirer sa tenue. Elle est en train de tourner sur elle-même comme un mannequin et on devine aisément que la conversation se porte sur sa robe du soir.

 

« Elle est gonflée, la blonde, avec sa robe moulante et son gros cul, faut oser »

« Au moins, elle n’a pas de complexe et elle a raison. Vous les femmes, vous croyez toujours que les hommes aiment les squelettes ambulants, heureusement que non ».

« Tu la trouves sexy, toi ? »

« Elle a son charme, elle aussi. Elle n’est pas énorme non plus, juste un peu plus ronde que la moyenne »

En face soudain tout se précipite, la blonde aux rondeurs épanouies s’approche de Christelle et l’embrasse avec passion sur la bouche, ses mains s’égarent sur les fesses de Christelle, lui retroussent sa robe et lui malaxent les fesses tout en continuant son bouche-à-bouche.

« Putain, regarde ça ! »

«  Incroyable, dis-je… J’avais raison, tu as bien fait une touche à la boulangerie, finalement »

Disant cela, je me tourne vers Muriel. Elle est complètement hypnotisée par cette scène d’embrassade et de mains baladeuses entre femmes.

Le baiser se poursuit, la femme blonde joue avec l’élastique du slip de Christelle, un tanga rouge satiné, puis leurs bouches se séparent. La blonde aux rondeurs continue à étirer le tanga et dit quelque chose, bien sûr inaudible pour nous, tout en agitant un doigt de son autre main comme si elle sermonnait Christelle. Puis elle s’agenouille et descend le slip jusqu’aux chevilles de Christelle. Celle-ci rigole et finit de retirer complètement son sous-vêtement avec visiblement l’approbation de sa copine. Mais rapidement le show se termine, les deux femmes quittent la pièce et la lumière s’éteint de l’autre côté de la rue. Muriel reste figée devant l’écran puis se lève précipitamment pour aller à notre porte-fenêtre.

«  Là, elles sont là, en bas, elles s’en vont en voiture »

«  Elles sont parties pour faire la fête, on dirait »

« Ouais incroyable, tu as vu ? La grosse blonde lui a fait enlever sa culotte »

« Et ça pas eu l’air de la gêner beaucoup, dis-je en rigolant »

« Non, murmure Muriel me donnant l’impression qu’elle envie Christelle d’être ainsi »

 

Le spectacle étant fini pour une durée indéterminée, Muriel ne tarde pas à me faire comprendre que, même si ce fut court, cela lui a donné quelques envies, envies que je partage, bien sûr.

Le lendemain, je me réveille tard, Muriel elle est déjà debout. Elle est sur l’ordinateur et je reconnais sur l’écran plusieurs photos tirées de nos soirées de voyeurisme. J’entends alors l’imprimante cracher une feuille.

« Qu’est-ce que tu fais ? »

« Mmmhh, je tente un truc »

« Un truc ? »

« Une prise de contact si tu veux »

« ? »

« Regarde, Muriel me tend la feuille qu’elle vient d’imprimer »

Je vois plusieurs photos de Christelle. Le choix a été fait sur les plus explicites et un commentaire écrit : « Nous avons beaucoup aimé », suivi d’une adresse mail.

« Qu’est-ce que tu veux faire de ça, dis-je inquiet et ayant peur de la réponse ».

« Lui mettre dans sa boîte aux lettres »

« Mais tu es folle ? » Tu vas tout foutre en l’air »

« Je ne crois pas » »

«  Elle va mettre des rideaux, chercher qui a envoyé ça ! »

«  Si elle aime se faire mater, je pense qu’au contraire ça va l’exciter encore plus ».

« Possible mais… »

« Et on pourrait nous aussi participer à son jeu d’une façon ou d’une autre ».

« Peut-être, mais s’amuser devant une cam avec des inconnus et là, dis-je en agitant la feuille  c’est différent pour elle peut-être ».

« Mon instinct me dit que non et puis on verra bien »

Et elle m’arrache la feuille des mains.

Deux minutes après, elle est en bas de notre immeuble et je la suis anxieusement du regard par la fenêtre, la vois traverser notre large rue, passer à travers le parking, se diriger vers le bloc où habite Christelle et glisser la feuille dans la boîte aux lettres.

À suivre…

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