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Les aventures coquines et libertines de Christelle 17

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Astronome amateur et mateur ! 2 

Résumé de l’épisode précédent : Damien, astronome amateur, est tombé accidentellement, grâce à sa lunette, sur l’appartement de Christelle où il a pu faire connaissance avec notre pulpeuse quadra. Ces séances de voyeurisme sont loin de déplaire à sa copine Muriel dont l’attirance pour les autres femmes est de plus en plus flagrante. D’autant plus qu’elle fantasme sur les poitrines généreuses, complexant beaucoup sur la sienne dont les proportions sont très modestes.

Ils découvrent à cette occasion les goûts de Christelle pour l’exhibition et sa mise en pratique sur internet devant des dizaines, des centaines d’internautes, qui peut savoir ? L’attirance sexuelle de la quadra pour les autres femmes leur saute aux yeux quand Fabienne, son amie, la rejoint pour une sortie nocturne entre copines. Ce nouveau fait exciter encore plus nos deux jeunes tourtereaux, surtout Muriel qui fantasme de plus en plus. Si bien qu’elle décide de contacter Christelle anonymement en laissant un message dans sa boîte aux lettres où des photos montrent que rien n’a échappé à un voyeur inconnu, Muriel ajoute son adresse mail. Damien panique quand il voit Muriel faire ce geste fou.

************

Depuis que Muriel a glissé dans la boîte aux lettres de Christelle, notre voisine d’en face, son message où elle a copié différentes images de Christelle montrant un joli florilège de ce que nous avons vu dans la semaine, je stresse comme un malade. Bien que nous ne soyons encore que le dimanche et qu’il y ait bien peu de chance qu’elle ouvre sa boîte aux lettres ce jour-là, j’ai peur que ce geste fou nous prive du rôle de voyeur auquel nous prenons tant de plaisir, Muriel encore plus que moi.

Les aventures coquines et libertines de Christelle 17
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Car elle va bien l’ouvrir un jour ou l’autre et tomber là-dessus, quelle va être sa réaction ? J’enrage encore de ne pas avoir stoppé Muriel, pourquoi diable l’ai-je laissé faire ? Quoi qu’elle en dise sur la psychologie de la dame, plus je réfléchis plus je me dis qu’elle a tout faux. Comme je suis encore en train de tirer une gueule de condamné à mort elle me répète :

« Tu vas voir, je suis sûre que ça va l’exciter et lui plaire. Elle aime montrer son cul de cochonne, tu vois bien ! Et pas que devant sa webcam, il n’y a qu’à voir comment elle se fringue ».

«  Mmhhh… »

Je préfère ne répondre que par ce grognement tellement je suis peu convaincu. Et puis ça m’énerve aussi d’entendre Muriel lui donner les noms d’oiseau qui lui passent par la tête. Je sais bien qu’elle crève de jalousie devant ses gros nichons, mais je me demande s’il n’y a pas autre chose. Il est évident que ça l’excite aussi de la traiter de tous les noms, je le vois dans ses yeux qui brillent mais il y a plus que ça. Elle jalouse aussi ce qu’elle ose faire, cet érotisme qu’elle dégage avec ses hanches et son cul dodu à la Marilyn Monroe, ses tenues plutôt sexy, ce qu’elle fait devant sa webcam. Peut-être ailleurs aussi quand on pense à sa robe et sa petite culotte laissées à la maison pour sa sortie d’hier soir. Sans parler de l’échange fougueux de baisers avec sa copine ce fameux samedi soir suivi d’un pelotage en règle. L’attirance de Muriel pour les autres femmes n’est pas un secret mais elle n’a pas encore osé, enfin je crois, passer du fantasme au réel, et j’ai le sentiment que Christelle Dubois symbolise à la perfection tout un tas de rêves ou fantasmes que Muriel a en elle.

Heureusement nous avons une fin de soirée chargé, une sortie au restaurant avec une amie de Muriel et son copain, cela va peut-être me faire oublier tout ça.

Bien qu’ayant participé à l’achat, mes sourcils se lèvent quand je vois apparaître Muriel, enfin prête pour notre sortie. Elle est vêtue de cette très courte jupe que nous avons achetée ensemble dans la semaine, elle ne me semblait pas si courte à ce moment-là. C’est peut-être d’avoir mis ces cuissardes noires qui lui arrivent jusqu’aux genoux qui me donne cette impression, elles sortent d’où ces cuissardes d’ailleurs ?

« Ça vient d’où ces… Bottes ? Je ne les connaissais pas »

« Ben du marchand, tiens ! »

« Je me doute, dis-je en tordant la bouche »

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«  Mon patron, vendredi, m’a annoncé une prime pour la fin du mois et du coup, j’ai fait quelques boutiques le midi, tu aimes ? »

«  Mmhhh… Ça te va bien, je serais de mauvaise foi de dire le contraire, et avec cette jupe c’est plutôt… »

« Cool, non ? Dit-elle en tournant sur elle-même »

« Oui cool… C’est ça »

Mais cette nouveauté me fait voir à retardement quelque chose de bien plus surprenant finalement. Muriel arbore un haut assez ample avec un large décolleté en V, connaissant son complexe sur sa petite poitrine je le trouve bien plus étonnant que le bas. Muriel a, à juste raison, une certaine fierté de ses jambes et de son petit fessier, les deux parfaitement musclés et toniques. De longues années de danse modern jazz ayant sculpté son corps aussi bien qu’un maître sculpteur l’aurait fait. Je me tente à une remarque :

« Joli ton haut »

« Je l’ai acheté en même temps que les cuissardes, je l’ai trouvé sympa »

« Oui ça te change », dis-je en souriant bêtement en fixant le décolleté.

« Bon, on y va ? »

Ses nénés me semblent plus rebondis que d’habitude, ce qui n’est pas bien difficile, un Wonderbra a dû faire partie des emplettes.

 

Nous retrouvons comme prévu Charlotte et son copain Fred au restaurant. Nous connaissons bien Charlotte mais beaucoup moins Fred qui est son ami depuis peu. À voir les yeux qu’il jette sur les jambes de Muriel, il a l’air d’apprécier la vue et ses derniers achats, je me surprends à ressentir une sorte de fierté stupide.

Les choses ne s’arrangent guère quand, pour nous faire patienter, le restaurant nous fait prendre l’apéritif dans de profonds fauteuils où Muriel s’enfonce profondément. Sa jupe semble encore se rétrécir et ses jambes gainées d’un collant noir encore plus saillantes et belles, il faut dire que la jupe est remontée au ras de l’entrejambe. Comme Fred est en face d’elle et que Muriel discute avec sa copine qui est juste à côté, il ne se gêne pas pour plonger son regard au coin le plus chaud, certain de ne pas être vu, enfin par Muriel, car je suis à ses côtés ne perds rien de son jeu. Bizarrement, le sentiment de fierté de tout à l’heure se transforme en excitation de le voir faire. Je me surprends même à regretter que le collant ne soit pas remplacé par des bas. Cela aurait eu un effet beaucoup plus sexy de voir apparaître le bandeau, la dentelle ou je ne sais quoi du haut des bas. Cette idée m’excite encore plus. Mais c’est quoi ce sentiment tordu, ma femme est en train de se faire mater et moi ça m’excite ?

Je vois soudain Muriel lancer un coup d’œil rapide à Fred, lui, trop occupé à essayer de reluquer l’entrejambe, ne voit rien. Jusqu’à présent ses jambes étaient sagement resserrées, ne laissant entrevoir que peu de choses probablement, d’où je suis impossible d’en jurer mais je me dis que Muriel, gênée de ce regard, va essayer de trouver une position moins provocante. À ma grande surprise, non. Stupéfait, je vois ses jambes s’écarter sensiblement, rien d’extravagant mais idéal pour Fred sans aucun doute.

Muriel rejette un nouveau coup œil vers Fred tout en discutant avec Charlotte, et je vois un petit sourire satisfait s’afficher brièvement sur son visage. Sa copine, trop occupée par la discussion, ne voit rien des petits jeux de l’un et l’autre.

Le souvenir de Christelle enlevant sa culotte samedi soir avant de sortir avec sa copine me revient en mémoire, Muriel en porte-t-elle une ? Peut-être que non ? Encore une fois cette simple idée m’excite, même beaucoup car je sens une érection me gonfler le pantalon.

C’est idiot mais cela devient une obsession, il faut que j’en aie le cœur net. Bien sûr, je ne peux dire « Hey Muriel ! Tu as mis une culotte au fait, parce qu’il y a Fred qui matte un max et j’aimerais savoir ce qu’il voit ? » Aussi je fais semblant de faire preuve d’une grande maladresse et laisse tomber ou plutôt envoie quelques cacahuètes aux pieds de Fred.

« Ah pardon Fred, attends bouge pas je vais ramasser, c’est dégueu de laisser ça par terre ».

Il a l’air surpris car il n’a pas vu les arachides atterrir à ses pieds. Je me penche et jette un œil vers Muriel, je vois une culotte bleue apparaître sous son collant. Je ne sais même plus si je suis déçu ou soulagé, les deux possibilités m’excitent.

 

Je prends part à la conversation de Muriel et Charlotte pour laisser Fred « tranquille » et tout à son voyeurisme. Peu après, Muriel se penche pour attraper des olives sur la table basse. Malgré sa poitrine particulièrement modeste, ses seins semblent jaillir du décolleté, le Wonderbra les repoussant vers le haut doit beaucoup y aider. Fred n’en perd pas une miette. Je suis moi-même surpris, car je peux aussi en profiter, de l’érotisme dégagé par ce décolleté, je n’aurais jamais imaginé cela possible. Ses seins ressortent comme deux petites boules bien gonflées dans l’échancrure de son haut qui bâille largement.

Muriel voit très bien que Fred apprécie, j’ai vu son coup d’œil, elle reste penchée sur la table tout en discutant avec sa copine. Triture quelques olives et finalement retourne s’asseoir, elle est radieuse. Je ne sais pas si c’est de voir que son décolleté pouvait soulever des passions mais en s’enfonçant dans le fauteuil, elle reste les jambes encore un peu plus écartées. Fred se trémousse dans son fauteuil, troublé par cette nouvelle vue encore plus nette sur les dessous de Muriel.

Un serveur vient nous chercher, laissant peu de temps à Fred pour profiter de ce point de vue. Nous passons en file indienne entre les tables bien garnies. Je suis Muriel et profite de cette intimité pour lui chuchoter à l’oreille.

« J’espère que tu n’as pas oublié ta culotte, et j’affiche un sourire complice ».

Muriel sourit à son tour comprenant très bien mon allusion.

«  Ah, pourquoi ? »

« Fred doit la connaître par cœur »

Muriel pouffe, sa main passe dans son dos et rentre en contact avec mon entrejambe toujours gonflé par son jeu d’exhibition.

« On dirait que ça t’a fait de l’effet, sale vicieux, tu veux que je l’enlève ? »

Je n’ai pas le loisir d’avouer ma culpabilité et ma surprise sur cet état de fait car nous arrivons à notre table.

La suite du repas est bien plus classique, assis tous les quatre autour de la table, Fred n’a plus l’occasion de se rincer l’œil. J’en éprouve une sorte de déception, j’en suis le premier surpris. Muriel s’est assise près de moi du côté de l’allée, ce qui donne lieu à quelques coups d’œil, des tables voisines ou de clients circulant, sur ses jambes bien découvertes. J’apprécie ces regards mais bien sûr, ils sont beaucoup moins excitants que ceux de Fred tout à l’heure.

À la fin du plat principal, Charlotte se lève en disant :

« Excusez-moi, je dois aller faire une pause aux toilettes »

« Attends-moi, je t’accompagne »

 

Muriel se lève à la suite de sa copine, sa courte jupe volette au milieu du restaurant attirant quelques regards. Il faut dire qu’il y a de quoi, même Charlotte est agréable à regarder, son corps est une copie de celui de Muriel, pour les mêmes raisons (ce sont des copines de modern jazz). Elle a bien su se mettre aussi en valeur, même si elle ne porte pas de jupe aussi courte mais un pantalon moulant aux effets brillants faisant bien ressortir des fesses musclées et des jambes bien formées.

Nous discutons avec Fred et nous découvrons une passion commune pour le tennis, nous programmons aussitôt une rencontre dans la semaine. Les filles reviennent, il me semble que Muriel tient un truc caché dans le creux de sa main, alors qu’elle reprend sa place elle laisse tomber quelque chose sur mes cuisses. Je m’écarte un peu de la table pour voir ce qui se trouve sur mes jambes, un bout de tissu bleu, sa culotte. Je la fourre dans ma poche tout en sentant mon sexe réagir à cette simple idée de Muriel nue sous son collant, ici dans ce restaurant, à cette table.

Le lendemain, la journée du lundi est une vraie torture, il est certain que la voisine va prendre son courrier ce soir, c’est ce que tout le monde fait en rentrant chez soi. Muriel m’a demandé de passer la prendre à son boulot, elle aussi veut être à la maison au plus tôt, elle a d’ailleurs demandé à partir avant l’heure. Il fait étonnamment doux pour ce début novembre mais nous n’apprécions pas cet été indien, notre pensée est à tout ce qui va se passer dans les heures qui viennent. Nous arrivons alors que la nuit tombe à peine, nous jetons tous les deux un coup d’œil vers la fenêtre de Christelle, c’est éteint. Nous parlons peu, arrivés dans l’appartement j’allume mon ordinateur et par conséquent, le télescope auquel il est relié. Muriel, elle, se plante derrière notre fenêtre, guettant son arrivée. Je positionne le télescope pour qu’il soit réglé sur la boîte aux lettres, il y a déjà bien longtemps que j’ai noté les réglages utiles pour observer Christelle chez elle par sa baie vitrée.

Plus d’une heure et toujours rien, nous sommes rassurés par la fenêtre toujours éteinte, on ne l’a pas manquée. J’ai allumé la télé, mais impossible de s’intéresser à ce qui s’y passe, quant à Muriel, elle refuse de quitter sa place à la fenêtre.

«  Elle arrive, je la vois ! »

Muriel a tellement hurlé que je fais un bond dans mon fauteuil. Je me précipite à ses côtés à la fenêtre, Christelle est là dans l’allée menant à l’entrée de son immeuble. Nous prenons place devant l’écran de l’ordinateur qui renvoie l’image du télescope. Elle arrive dans le hall, ouvre sa boîte aux lettres, saisit un gros paquet de courrier, des pubs et lettres probablement mélangées. Elle fourre le tout sous son bras car elle est bien encombrée par son sac à main et un sac à provisions rempli.

Elle disparaît par la porte d’entrée, ce qui me laisse largement le temps de régler de nouveau la lunette vers son appartement en prenant bien soin de fermer le rideau autour.

La lumière apparaît d’abord diffuse par la baie vitrée, comme éclairée de loin par un couloir puis, quelques minutes plus tard, la porte-fenêtre s’illumine. Christelle apparaît, elle pose son sac à main sur le canapé et sa pile de courrier sur la table derrière. Elle commence alors à trier pubs et lettres, en ouvre une ou deux et arrive enfin au mot de Muriel plié en quatre, le dernier de la pile. Elle regarde la feuille longuement puis avance vers sa porte-fenêtre.

C’est sûr, elle va fermer son volet roulant, paniquée d’être espionnée chez elle. Nos cœurs s’arrêtent, Muriel s’agrippe à mon bras, plantant ses ongles dans ma chair.

Derrière sa vitre Christelle fouille du regard tout le voisinage, regarde de nouveau notre message et continue à scruter les environs. Son regard croise celui du télescope mais ne s’y arrête pas, ouf au moins elle ne nous a pas repérés. Finalement après un dernier coup d’œil à notre « courrier » son visage s’éclaire d’un sourire et elle pose le papier sur la petite table basse où se trouve son ordinateur resté là. Puis à notre grand soulagement, elle retourne à la table où se trouve le reste du courrier.

« Elle ne l’a pas mal pris », dis-je en chuchotant comme si elle pouvait nous entendre.

« On dirait… »

Nous restons cependant dans le doute.

«  Elle a un joli tailleur », dit Muriel pour décrisper l’atmosphère.

« Oui, elle en a une sacrée collection »

Ces mots ont le mérite de focaliser mon attention sur son habillement, un tailleur très chic, gris bleu à la jupe bien au-dessus du genou, une veste bien coupée ouverte en V sur une chemise blanche gonflée par sa poitrine. Comme si ma vision lui commandait un quelconque ordre, une pub en main, Christelle dégrafe la moitié des boutons de sa veste, ce qui fait jaillir ses seins sous son chemisier.

« Elle fait au moins un 95D », lâche Muriel toujours aussi admirative.

« Au moins »

Nos voix sont encore fébriles, ce sentiment d’indifférence est horriblement perturbant. Christelle nous tourne le dos pour s’en aller vers le fond. Mes yeux sont accrochés par ses jambes gainées par des bas, ou collants, noirs. Une large simili-couture part du talon et traverse chacune de ses jambes par le milieu. Elle dandine son fessier toujours aussi rond et dodu. Il tend sa jupe à l’extrême, on a l’impression qu’il suffirait d’un moindre coup de canif pour que le tissu éclate.

Elle disparaît, quelques minutes et elle est de retour. Son tailleur a disparu, elle est en sous-vêtements, ses jambes toujours couverte de ses bas et ses escarpins aux pieds. Elle s’avance dans notre direction, pousse un peu sa table basse, rapproche son canapé de la porte-fenêtre et s’installe dedans. Elle regarde alors à travers la baie vitrée à peu près dans notre direction et allume son ordinateur.

Peu de temps après nous entendons le « Vous avez un nouveau message », la main fébrile de Muriel clique sur l’annonce et ouvre un e-mail de moc.nsmobfsctd@siobuD.C et nous lisons :

Ça vous plaît toujours autant ?

Muriel jubile

« J’en étais sûre que ça l’exciterait, de se savoir matée ! »

« On dirait, dis-je, aussi rassuré que réjoui »

«  En plus on dirait qu’elle a une adresse MSN »

Muriel fait les manipulations nécessaires pour se connecter à Christelle via notre adresse de messagerie instantanée et met en commentaire :

Oui ça nous plaît toujours autant !

Le nom de Christelle apparaît rapidement dans notre « MSN », une fenêtre s’ouvre avec le message suivant d’écrit :

« Ce n’est pas bien d’espionner chez les gens… »

« On n’espionne pas, on mate une jolie coquine », écrit Muriel sans se démonter.

« C’est vrai que c’est différent, et ça vous plaît-on dirait de mater une coquine, vous n’avez rien manqué de toute la semaine passée ».

« Oui, on a particulièrement aimé le samedi soir, la petite robe noire, la séance avec la copine ».

« Pour la copine, je ne peux rien garantir mais pour la robe, c’est plus simple ».

Christelle se lève, nous tourne le dos et s’en va vers le fond de son séjour en dandinant du croupion. Son slip très classique est à moitié avalé par ses fesses gonflées, vues très sensuelles jusqu’à ce qu’elle disparaisse.

Elle réapparaît revêtue de la robe mini du samedi soir, toujours aussi moulante et noire satinée. Le large décolleté est toujours là, aussi ample et généreux que dans notre souvenir. La robe dessine à la perfection la rondeur de ses hanches et de son ventre et s’arrête à une grosse main sous son entrejambe. Sa poitrine se trémousse à chacun de ses pas sous le tissu élastique et collé à ses seins, son soutien-gorge a dû disparaître pendant le voyage. Elle se dirige vers nous et est en conversation au téléphone, avec la fameuse copine ?

« Mate ça ! Me crie Muriel en agrippant encore une fois mon bras, cette salope a remis sa robe de samedi »

« Elle est obéissante »

Notre belle voisine retrouve son canapé, pose le téléphone et pianote sur son PC :

«  Elle vous plaît tant que ça cette robe, plus que ce qu’il y a dessous ? »

« C’est surtout ce qu’elle nous laisse deviner de ce qu’il y a dessous qui nous plaît ! »

« Nous ? Monsieur et madame ? »

« Oui, madame et monsieur ! »

Muriel monopolise le clavier et je n’ai pas droit à la « parole » dans cet échange.

« Et… Les deux sont intéressés par ce qu’ils voient ! »

«  Oui, et madame encore plus que Monsieur »

Muriel exagère, je suis aussi passionné qu’elle par cette discussion qui me semble totalement irréelle, mais je vois bien où elle veut en venir.

 

« Mmmhh intéressant tout ça. Vous avez quel âge ? »

« Damien, vingt-cinq, et moi Muriel, vingt-deux »

« De mieux en mieux »

« Au fait, je remarque dans votre e-mail que vous vous appelez comme moi du nom de jeune fille Dubois. Moi c’est Muriel Dubois et vous ? »

« Quelle coïncidence, moi c’est Christelle Dubois »

« Et tu es vraiment habillée comme samedi soir ? » insiste Muriel que plus rien n’arrête.

« Oui, totalement »

Christelle ouvre ses jambes qu’elle tenait sagement serrées jusqu’à présent, et fait glisser ses fesses en avant sur le coussin, ce qui fait remonter sa jupe bien au-delà de ce que le minimum de décence exigerait. Son entrejambe se découvre ainsi totalement à nos yeux, le triangle brun doré de son pubis, sa vulve bien dégagée de tout poil. Une demande de communication vocale apparaît sur l’écran, Muriel confirme. La voix douce de Christelle sonne à nos oreilles.

« Ça sera plus simple comme ça, qu’en pensez-vous ? »

« Oui », dit Muriel en rapprochant notre micro de sa bouche.

« Jolie voix »

«  Merci, répond Muriel qui monopolise autant la parole que l’écriture auparavant, tu as dû avoir du succès pour votre soirée de samedi ».

« Un certain, je peux le dire »

« Et la copine n’est pas jalouse ? »

« Non, c’est même elle qui le veut et qui fait tout pour que cela se voie ».

«  Ça l’excite ? »

« Oui »

Après ma réaction du repas au restau de la veille, je ne suis guère surpris finalement par cette révélation. Nous comprenons dans la conversation qui suit que Fabienne, la copine, prend un plaisir pervers à manipuler Christelle, et elle à s’y plier.

Puis Christelle demande :

« Et toi Muriel, tu n’aimes pas t’amuser en public ? »

« Je commence », dit Muriel après avoir marqué quelques secondes d’hésitation.

«  Raconte ? »

Muriel résume brièvement notre soirée de la veille et avoue à cette occasion l’excitation qu’elle a ressentie, et elle finit son histoire en disant :

«  Fred apprécierait probablement beaucoup de te rencontrer lors de tes sorties entre copines »

« Un p’tit jeune qui craquerait sous mes charmes ; Mmhhh ! Rien que d’y penser… »

« Damien, tu m’as dit que vous aviez un tennis demain ? »

« Euh oui, demain soir je dois jouer avec lui, pourquoi ? »

« Bon les jeunes, désolée de vous laisser mais je dois me lever tôt demain, on pourra peut-être continuer à faire plus ample connaissance demain soir, j’aurai plus de temps, nous coupe Christelle ».

« Oui, bien sûr, on sera là demain soir, confirme Muriel »

Christelle nous envoie un baiser en faisant un grand geste de la main, se lève, debout elle fait glisser un pan de sa robe sur son épaule, puis le deuxième. Libre, la robe glisse le long de son corps, tombe au sol et nous laisse voir sa superbe plastique faite de rondeur et de cambrure. Totalement nue, elle se penche pour ramasser sa petite robe noire, nous fait un dernier coucou de la main et s’en va vers le fond de la pièce. J’admire une dernière fois son cul se déhancher au rythme de ses pas, et puis la lumière s’éteint.

Le lendemain soir, j’ai prévu un tennis à 18 h avec Fred, nous avons la chance d’avoir un cours privé dans notre résidence, mode des années 80. Comme convenu, nous nous retrouvons chez nous, Muriel n’est pas encore là. Fred semble rassuré quand je lui dis que Muriel sera là à notre retour, il se change et nous partons échanger quelques petites balles jaunes.

Quand nous remontons, une bonne heure et demie plus tard, je vois Muriel assise dans notre canapé au salon. Elle est en discussion avec quelqu’un que je ne peux voir depuis le hall d’entrée. L’autre chose qui me surprend est qu’au premier coup d’œil j’ai l’impression qu’elle ne porte rien en bas. C’est-à-dire que je vois ses deux belles jambes musclées gainées d’un collant noir et son chemisier, mais rien entre les deux.

Après sa séance au restau et connaissant la venue de Fred je me disais, voire espérais, qu’elle allait faire un truc, mais là quand même ? Je reste un instant immobile, bloquant l’entrée à Fred, elle se tourne vers moi et me sourit. Je lui rends son sourire mais le mien est bien embarrassé.

« Nous avons fini, Fred est là… Il vient prendre l’apéro et se changer aussi »

«  Oui bien sûr, je sais, tu m’avais dit que vous alliez faire un tennis »

« Ah… »

Puis je vois un mince bandeau rouge autour de sa taille et quand elle se lève pour venir vers nous je suis rassuré. Une courte jupe rouge aux motifs écossais lui couvre l’essentiel et à peine plus.

« Bonjour Fred, nous avons commencé sans vous »

« Nous ? Dis-je en m’effaçant pour laisser passer Fred »

Pendant que les deux se font la bise, j’avance vers le salon et là une surprise m’attend. Christelle est là, enfoncée dans notre fauteuil, vêtue de sa petite robe noire.

« Christelle s’ennuyait toute seule chez elle, alors je lui ai proposé de se joindre à nous pour l’apéro », me dit Muriel en voyant mon air stupéfait.

« Heu… Tu as bien fait », dis-je, paralysé par la nouvelle.

« Salut Damien », me lance Christelle en se levant comme si nous nous connaissions depuis un bail.

 

Pendant que nous nous faisons la bise je peux sentir son odeur, un parfum sucré et enivrant.

« Je te présente Fred », poursuit Muriel me permettant ainsi de reprendre pied.

Je vois les yeux de Fred s’écarquiller devant la tenue vestimentaire des deux donzelles. Je me dis qu’une bonne douche lui fera certainement du bien.

« Je te laisse profiter de la douche en premier Fred, c’est au fond du couloir, sur la droite ».

Fred disparu dans le couloir, je me tourne vers les deux filles.

Vous avez un très bel appartement, Damien, me dit Christelle.

«  Merci, c’est très gentil »

« Alors pas trop déçu maintenant que vous pouvez me voir de près ? » me demande Christelle le regard espiègle.

« Non, vous êtes toujours aussi… Belles »

«  Merci, moi aussi je vous trouve charmants tous les deux, faut dire que la surprise était plus grande pour moi.

Ce compliment finit de me détendre complètement et je me dis qu’une soirée mémorable se prépare.

Je laisse les filles et je vais préparer quelques friandises à grignoter pour l’apéro. Fred ne tarde pas à sortir et Muriel lui saute dessus pour le ramener au salon. Je prends ma douche à la vitesse d’un chat qu’on jette dans l’eau et je les rejoins. Christelle et Muriel sont côte à côte dans le canapé, Fred en face d’elles dans le fauteuil. Sentant venir le spectacle, je me pose sur un pouf informe à ses côtés.

Fred affiche un sourire figé, on le sent nerveux, deux paires de jambes dénudées lui font face. Elles sont sagement resserrées mais la robe et jupe courtes laissent plein d’espoir à un œil aussi aiguisé que le sien en-cas « d’accident ».

Christelle ouvre le bal, elle s’extirpe du fond du canapé, se penche en avant pour picorer quelques olives sur la table. Le V de son décolleté s’ouvre et se décolle de sa poitrine. Sa paire de mamelles déjà bien visible jaillit entre les deux pans de la robe, ne laissant aucun doute sur l’absence de tout sous-vêtement. Fred, la bouche entre-ouverte, a le regard figé sur cette paire de seins. Christelle passe aux apéricubes et reste pliée sur la table, elle prend un malin plaisir à regarder tous les parfums. Faisant mine d’être prise d’une démangeaison subite à l’épaule, sa main repousse un des pans de sa robe. Celui-ci finit par glisser dénudant son épaule et en montrant encore un peu plus.

Le décolleté écartelé laisse voir ses seins pendre sous elle comme deux grosses poires bien fermes. La couleur de la peau de sa poitrine est blanche, laiteuse, semble transparente car l’on distingue quelques veinules bleues courir sous la peau. L’encolure couvre encore les mamelons mais on a le sentiment qu’au moindre geste son arrogante poitrine pourrait jaillir à nu de sous la robe.

Fred se trémousse dans son fauteuil, je sens moi-même le sang battre mes tempes devant cette vue magnifique. Observer Christelle chez elle était excitant mais la voir de ses yeux l’est mille fois plus. Son choix fait elle se renfonce dans le canapé.

 

« Alors Fred, comment s’est passé cette partie de tennis, Damien nous rebat toujours les oreilles de ses exploits, questionne Christelle ».

Son petit sourire ne me laisse aucun doute sur la satisfaction qu’elle a tiré des regards appuyés dont elle a fait l’objet. Fred bafouille deux ou trois mots sur mes qualités tennistiques et se précipite sur son verre dans l’espoir de se décoincer la gorge.

Muriel à son tour se sert sur la table basse, loin d’avoir les arguments poitrinaires de Christelle son approche est différente. Elle écarte ses jambes tout en discutant pour pouvoir se pencher sur la table. Sa nudité sous son collant m’écarquille les yeux, elle a osé. Le triangle bien noir de son pubis est parfaitement visible sous la maille étirée du collant. Elle aussi s’attarde sur la table, accentuant l’ouverture de ses jambes avec un naturel qui laisse croire au côté involontaire de son geste. Maintenant non seulement son triangle d’amour est accessible mais sa vulve dégagée de toute pilosité apparaît aussi sous la transparence du nylon.

Un coup d’œil à Fred, il ne perd rien de la vue sur cet entrejambe offert. Je sens mon sexe se durcir sous l’excitation.

« Tu devrais essayer ceux-là, ils sont super bons », dis-je en désignant le plat le plus éloigné d’elle.

« Tu as raison, ça à l’air bon »

Elle est obligée d’écarter encore un peu plus ses jambes pour se pencher suffisamment loin et atteindre le plat. Personne ne fait l’effort de le lui rapprocher, surtout pas moi. Sa minijupe se rétrécit tellement sous l’effort qu’elle disparaît en une sorte de ceinture laissant à Fred tout le plaisir de mater son bas-ventre. Il bascule en permanence entre le besoin irrésistible de mater le sexe de Muriel et la peur de se faire surprendre. Mon sexe est désormais gonflé à bloc, je sens aussi le trouble sur le visage de Muriel. Elle aussi savoure ce regard lubrique qui se pose sur ses parties les plus intimes.

Le plat des apéricubes est déjà vide et ne contient plus que les emballages vides, Muriel se lève en disant :

« Oh les vilains gourmands, vous avez déjà tout dévoré, je vais refaire le plein à la cuisine ».

Alors qu’elle se lève, l’assiette en main, celle-ci lui échappe et son contenu recouvre le sol entre la table et le canapé.

« Mince, qu’est-ce que je peux être maladroite en ce moment »

Muriel se penche alors, tendant son postérieur dans la direction de Fred. De ma place, je vois ce qui lui sert de jupe ne couvrir qu’une partie de son fessier musclé. Fred, de sa place, doit avoir une vue bien plus dégagée sur son sexe alors que Muriel est pliée en deux en train de ramasser ses « bêtises ». Ce n’est pas le nylon étiré qui doit masquer grand-chose. D’ailleurs à voir la tête qu’il fait, il n’en rate pas une miette.

Captivé par cette scène, je n’ai pas vu que notre belle invitée donnait un coup de main à Muriel. Assise au bord du sofa, jambes légèrement écartées elle ramasse, elle aussi, les papiers à ses pieds. Sa chatte luisante s’exhibe entre ses cuisses ouvertes. Fred, obnubilé par le cul de Muriel, n’a rien vu. Peut-être jalouse de l’attention qui se porte sur ma copine, Christelle dit :

«  Il y en a aussi plein de mon côté, laisse, je m’en occupe »

Fred détourne enfin son regard et tombe sur les trésors offerts par notre belle quadra. Il ne sait plus où donner de la tête, sa main est crispé sur son verre. À dire vrai, ce n’est guère mieux pour moi, le sexe gonflé de Christelle m’hypnotise. Ses petites lèvres débordent largement sur sa vulve luisante que l’on sent bien humide, j’en oublie même sa poitrine qui pourtant est encore plus visible que tout à l’heure. Penché sur le sol à collecter les bouts d’apéricube, son décolleté est éventré, aréoles apparentes selon ses gestes.

Soudain un bruit de téléphone me tire de ce spectacle envoûtant, avec beaucoup de mal. J’entends sonner plusieurs fois avant de réaliser, la sonnerie ne me dit rien, Muriel dit alors qu’elle se redresse :

« Fred, je crois que c’est ton portable »

« Portable ? Euh oui… C’est le mien »

Il fouille ses poches et décroche.

« Charlotte ? Euh Charlotte… Oui je suis chez Damien, on… Boit un apéro… Ah j’y pensais plus, j’arrive »

« Je dois y aller, Charlotte m’attend »

«  Oh quel dommage, on commençait à peine », dit Christelle avec son large sourire.

«  Oui dommage… Bien, à une prochaine fois peut-être ? »

«  Pour le prochain match ? » dit Muriel avec ce même sourire.

«  Je t’accompagne jusqu’à la porte »

Je me lève dans son sillage, après ses adieux aux filles nous nous retrouvons dans le hall.

« J’espère que tu as apprécié de jouer avec moi ? »

«  Oui beaucoup, faut qu’on remette ça au plus tôt », dit Fred avec empressement.

« Avec plaisir, et l’apéro après c’est une belle récompense.

Fred parti, je rejoins les filles au salon, elles sont toutes les deux sur le canapé, un large sourire aux lèvres.

« Il ne savait plus où mettre ses yeux », lance Muriel aux anges.

« J’en connais un autre »

Disant cela Christelle s’enfonce un peu plus sur les coussins et écarte ses jambes, remonte ce qui pouvait rester de sa robe sur ses hanches. Elle dévoile ainsi une nouvelle fois son sexe avec ses lèvres débordantes de sa vulve.

 

« Tu sais bien que c’est un petit voyeur, mais ce n’est pas le seul ».

Sur ces mots Muriel s’approche de Christelle, fait glisser le haut de sa robe et commence à lui embrasser le cou, le haut des épaules. Sa main gauche se glisse sous le pan de robe qui couvrait encore un peu de sa poitrine et finit de faire glisser le tissu léger. Elle empoigne alors le sein à nu et commence à jouer avec le mamelon tout en continuant à lui dévorer le cou et les épaules. Sous ses caresses, la belle quadra se cambre en arrière, la bouche ouverte, elle lâche un petit gémissement, ses cuisses s’écartent aussi comme si elle voulait attirer là les caresses de Muriel. Christelle pousse finalement la tête de son amante sur son autre sein, Muriel comprend son désir et finit de mettre à nu sa poitrine.

« J’en rêve depuis que je t’ai vue la première fois », marmonne Muriel.

Pour toute réponse Christelle pousse de nouveau sa tête sur son mamelon érigé et imposant. Ma belle s’en empare, compresse le sein dans sa main pour faire encore plus ressortir le téton et se jette dessus, le dévore, le suce, le mordille.

Un lourd gémissement remplit le salon, Christelle, la tête en arrière, une main agrippée sur la tête de Muriel et l’autre jouant sur son sein fait entendre son plaisir. Sa plantureuse poitrine subit tous les assauts, elle se triture le téton laissé libre, ses aréoles sont larges et grenats, contrastent avec sa peau laiteuse, ses seins se dressent sur son torse comme s’ils voulaient la quitter.

Muriel change de place, se lève et se place debout à cheval entre les jambes de Christelle et se penche sur elle. Elle s’embrasse avec passion mais notre voisine en manque de caresses la pousse de nouveau vers ses seins. Muriel est obligée de se courber encore plus bas, ses fesses rebondies jaillissent au trois-quarts de sous sa minijupe. Elle saisit à pleines mains la poitrine, sa bouche avale un des tétons turgescents alors que ses doigts s’enfoncent profondément dans les mamelles.

Une main apparaît entre les cuisses de Muriel et se met à glisser sur son sexe à travers le collant, elle redresse sa tête sous ce contact inattendu et pousse un petit cri. Christelle a tôt fait de lui replonger la tête sur son buste tout en accentuant la pression de ses doigts sur sa chatte.

Les hanches de Muriel commencent à danser sous le mouvement de ces doigts baladeurs. Son corps se dandine, tout en muscles et en puissance contrastant fortement avec celui de Christelle tout en rondeurs.

Les doigts sont de plus en plus actifs et essayent de forcer le passage à travers le collant. Finalement les ongles bien dessinés de Christelle arrivent à leur fin, le nylon craque sous la contrainte, un doigt pénètre en profondeur alors que l’autre main de la belle fait le tour et finit de déchirer le collant en tirant dessus. Toute l’excitation du sexe de Muriel ressort à travers le nylon éventré, elle se cambre de nouveau en poussant un cri quand les doigts la pénètrent. Les mains de Christelle, trop occupées à leur tâche, ne peuvent plus la forcer à replonger sur sa poitrine.

Je ne résiste pas plus longtemps devant une telle scène, quelques secondes plus tard je suis à moitié nu. Je m’approche de cette paire de fesses si tentante et mes mains s’accrochent à son bassin. Une main guide mon sexe en Muriel qui pousse cette fois-ci un profond gémissement. Christelle amène encore une fois la bouche de Muriel vers ses seins et maintient sa tête en position alors que je commence à donner des coups de reins.

Les gémissements de Muriel m’arrivent aux oreilles à moitié étouffées. Chaque coup de reins fait retentir le bruit de mon bassin qui claque sur ses fesses. Les mains de Christelle sont revenues sur le postérieur de ma belle et tirent pour l’écarter comme si j’avais du mal à me frayer un chemin en elle. La vue de ce cul écartelé alors que je suis en train de lui donner du plaisir finit de porter mon excitation à son ultime phase. Mes mains se crispent sur ses hanches mais Muriel sent venir ma jouissance et se redresse brusquement, me laissant affreusement frustré.

« Je veux te voir jouir en baisant cette salope pendant qu’elle me fait prendre mon pied », lance Muriel les yeux fiévreux d’excitation.

« Euh… Oui »

Je réponds un peu en bafouillant, pas certain que le ton qu’elle emploie est du goût de Christelle, mais Muriel est trop enivrée par cette situation pour se retenir.

Elle prend d’ailleurs les choses en main, allonge Christelle sur le sofa, la quadra se laisse faire, visiblement ni perturbée par le ton pris par Muriel, ni par la perspective de me voir passer entre ses cuisses. Muriel enjambe la tête de Christelle pour placer son intimité au-dessus de son visage, elle saisit ses cuisses pour les lui faire relever. Les jambes de notre voisine se retrouvent dressées et repliées sous ses bras. Cette position fait ressortir son sexe baveux aux petites lèvres proéminentes, je ne résiste pas une seconde de plus. Je tire vers le bord du sofa ce cul si gracieusement présenté, obligeant Muriel à se repositionner au-dessus du visage. Christelle en profite pour attraper ses fesses et se jette sur son sexe à pleine bouche, déclenchant un premier gémissement. Je prends Christelle sous les cuisses, à la pliure du genou, pour mieux l’écarter et repousser ses jambes vers le haut. D’un coup de reins appliqué je la pénètre. Je regarde Muriel alors que je commence à aller et venir, elle est aux anges. La bouche ouverte en train de se faire dévorer le minou, elle a saisi la poitrine de Christelle et la malaxe à pleine main, maltraite les tétons énormes de la quadra. Nos regards se croisent.

« Vas-y, baise-moi cette vieille salope »

Ce ton si injurieux ne perturbe toujours pas Christelle qui continue son œuvre entre les fesses de ma belle, elle ne s’interrompt que pour pousser un cri de plaisir. Muriel s’est redressée sur ses genoux et a abandonné la poitrine pulpeuse pour s’occuper de la sienne. Elle profite ainsi à plein du travail de la bouche de notre invitée en se caressant ses tétons. Ma jouissance commence à arriver à son apothéose, mes mouvements de bassin s’accélèrent, les seins de Christelle tremblent sous mes coups de boutoir. Ses tétons énormes dessinent dans l’air des arabesques imaginaires tellement ils se secouent.

Muriel voyant venir ma jouissance m’ordonne :

« Je veux te voir jouir sur ses seins ! »

Je ne peux pas lui refuser ce plaisir, car après tout c’est grâce à elle si je suis en train de réaliser mon fantasme, me retrouver entre les cuisses de notre pulpeuse voisine que nous espionnons depuis des jours.

J’extirpe mon sexe au bord de l’explosion de la chatte béante. Christelle depuis un moment a abandonné son activité entre les cuisses de Muriel pour se laisser aller à tout son plaisir à grand renfort de gémissements. Muriel s’empare de mon gode bio et me branle avec vigueur, un long jet ne tarde pas à en sortir m’arrachant un profond râle au passage. Ma jouissance dure plusieurs secondes et inonde la poitrine de Christelle, ses seins sont maintenant couverts de ma semence au grand plaisir de Muriel. Elle s’empare des mamelles et étale et malaxe Christelle avec mon jus comme si elle était enduite d’huile de massage. Je me retire et m’affale sur le fauteuil, entre le tennis et ma chevauchée fantastique entre les cuisses de notre belle quadra, je suis explosé. Muriel se place dans la position du parfait 69 et le jeu érotique entre mes deux belles reprend.

Le sourire aux lèvres, le regard posé sur les filles, je ne peux m’empêcher de penser que l’exploration du ciel me fait découvrir de biens étranges galaxies peuplées de curieux trous noirs.

À suivre…

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