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Les aventures coquines et libertines de Christelle 4

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Joyeux anniversaire ! (2)

En effet, ce que j’appellerai mon admirateur porte maintenant un regard appuyé vers moi au lieu des brefs coups d’oeil qu’il jetait avec régularité. Comme je surveille avec application nos voisins, je vois que c’est l’autre bonhomme qui une fois de plus reluque rapidement Véronique.
Bien sûr je saute sur l’occasion pour le lui dire :

« C’est ton tour ma belle, ne me dit pas que tu ne l’as pas vu, je sais bien que non »

« Oui j’ai vu… »

« Eh bien allez ! »

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Véronique fait la tête de celle qui fait quelque chose sans en avoir une grande envie et comme moi auparavant attrape sa robe, non sans difficultés tellement elle est près du corps, et la remonte légèrement.

« Tu rigoles ! Tu n’as rien fait du tout, là »

Joignant le geste à la parole j’attrape moi-même sa robe d’un côté et la tire fortement vers le haut, mais sans grand succès, car elle refuse de glisser vraiment.

« Tu es vraiment une vicieuse, me lâche Véronique »

« Qu’est-ce que je t’ai déjà dit ? »

« Oui je ne sais pas de compliment »

Finalement elle empoigne sa robe, décolle légèrement ses fesses de la chaise et la fait glisser vers le haut. Sa tenue est bien plus satisfaisante à mon goût maintenant. J’admire un moment l’image qu’elle me donne. La robe fait de nombreux plis au niveau des hanches car elle est bien retroussée, le bas s’arrête juste sous son entrejambe dévoilant ainsi ses jambes gainées par ses bas et ses jarretelles. Je suis obligée de la complimenter :

« Magnifique, tu es parfaite ! Il faut que j’immortalise ça »

Je m’empare de mon appareil photo prévu pour la soirée et je le lève pour imprimer sur la pellicule numérique ma belle. Pour cela je fais le tour de la table et je me place de façon à avoir la baie vitrée dans le dos, en appui sur la rambarde faite par les filins d’acier pour être face à Véronique. Pas tout à fait en face, je suis légèrement de côté pour profiter de la vue de ses jambes. Bien sûr cela place aussi mon postérieur au-dessus de la table de nos admirateurs. Je me penche alors légèrement eh avant pour mieux cadres Véronique, mon cul reposant alors sur les câbles. Je sens un des fils de métal me scier les fesses en deux, son contact froid me fait une drôle de sensation. Cela veut aussi dire que, ma position aidant et ma robe restée bien relevée, mon fessier est à découvert et parfaitement visible par nos deux mâles. Je garde la position un moment comme si j’étais à la recherche de la meilleure prise et je reviens enfin à ma place. En passant je vois que nos deux presque voisins de table n’ont rien perdu de ma petite balade. Ils ont la tête bien levée et ils ont les yeux ronds. J’imagine sans mal qu’ils ont dû apprécier de mater mes fesses bien rebondies seulement séparées par mon string et coupées en deux par le filin.
Une fois à ma place Véronique me dit :

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« Tu l’as fait exprès ? »

« De prendre la photo? »

« Ne fais pas la bête, ton cirque le long de la rambarde pour mettre ton cul sous leur nez ».

« Ah ! Ça ? Oui bien sûr. Tu as vu la tête qu’ils faisaient ? »

« Oui, j’ai cru qu’ils allaient bondir de leur table pour te sauter dessus tellement ils avaient les yeux exorbités », me répond Véronique en rigolant et elle ajoute :

« Et toi, ça, t’amuses ? »

« Oui, disons que… Je trouve ça excitant, surtout ! Pas toi ? »

Véronique fait une sorte de moue bizarre et finit par dire :

« Oui, un peu, enfin un truc comme ça, je veux dire »

En même temps qu’elle me fait cet aveu, elle ne peut s’empêcher de jeter un œil vers leur table comme pour chercher une sorte de confirmation.
Forte du succès de mon dernier spectacle, la paire d’yeux habituelle ne tarde pas à se poser de nouveau sur moi :

«C’est moi qui gagne encore, dis-je fièrement »

« Tu veux faire quoi de plus ? » me répond Véronique étonnée.

« On peut toujours faire plus. Regarde »

Quand je fais ce que j’appelle « faire plus », je déclenche une sorte de rire nerveux chez Véronique. J’ai simplement écarté généreusement mes jambes et quitté la position de la fille de bonne famille. Bien sûr je ne peux juger moi-même de la vue que j’offre, mais il m’est facile de l’imaginer. Le bon éclairage de la salle doit permettre d’avoir une superbe vue sur mon string en tulle noir. À voir la tête que fait mon gars, je ne me trompe pas. Peut-être qu’il arrive même à voir par transparence mon, petit minou bien taillé en triangle se découper au-dessus de mon sexe. L’attitude du bonhomme commence à énerver ce qui doit être sa femme, car celle-ci se tourne avec un regard mauvais dans notre direction. Ceci a pour effet de faire replonger la tête du mari vers son assiette. Il n’en faut pas plus pour déclencher un fou rire chez moi et chez Véronique qui me dit :

« Maintenant c’est excitant et amusant »

Son admirateur remplace le mien quelques secondes après, et avant que je n’aie eu le temps d’en faire la remarque, Véronique m’annonce :

« Je présume que c’est à mon tour d’en faire plus ? »

« Tu présumes bien »

Pour la première fois, je n’ai droit qu’à un simple haussement d’épaules et sans un mot de plus je vois qu’elle écarte timidement les jambes. Là encore pas assez à mon goût, aussi je lui attrape le bout de cuisse que je peux atteindre et je le tire vers moi en disant :

« Plus que ça sinon il ne va rien voir ! »

« Tu es vraiment pire que vicieuse, tu es… Je ne sais pas comment dire »

Elle m’offre une faible résistance pour la forme et finit comme moi par écarter copieusement ses cuisses. Comme pour mon bonhomme, l’effet est évident sur le sien. Tellement évident que c’est au tour de sa femme de se retourner. Mêmes causes, mêmes effets ; nous partons de nouveau en un fou rire difficilement contenu. L’apéritif et le vin aidant probablement, je commence à être passablement chaude dans tous les sens du terme. À voir la façon inhabituelle dont Véronique rigole, je dirai qu’elle est dans le même état que moi, un doux mélange d’excitation sexuelle et de griserie alcoolisée.

La serveuse arrivant avec de nouveaux plats calme un peu notre euphorie. En la regardant, je me rappelle que je faisais son métier, il n’y a pas si longtemps que ça. Lorsque je m’étais retrouvée au chômage il y a quelque temps, une amie m’avait proposé de travailler dans son restaurant an dépannage. Dépannage qui avait duré au moins deux années jusqu’à ce que je trouve ce job à l’agence.

Il est maintenant difficile de poursuivre notre jeu selon mes règles. Les deux maris nous matent si souvent l’un et l’autre qu’il est difficile de voir laquelle de nous deux passe à l’inspection, car c’est souvent les deux en même temps. Aussi je décide de les changer.

« Bon, on va faire autrement maintenant. Cela va être simple, tu fais ce que je fais »

« Qu’est-ce que tu vas encore trouver comme idées tordues ? »

« Tu vas voir ça dès maintenant, excuse-moi je vais faire un tour aux toilettes »

Elles se trouvent à notre niveau derrière nous, j’ai juste quelques mètres à parcourir pour y arriver. Je m’enferme dans un WC et je dégrafe mon soutien-gorge et l’enlève en le faisant passer par le bas de ma robe. J’en profite aussi pour faire aussi ce que l’on fait habituellement ici. Je m’attarde un moment devant le miroir du lavabo pour juger de ma tenue. J’ai gardé ma robe assez repliée sur elle-même autour de mes hanches pour qu’elle reste courte et la partie haute est désormais des plus affriolante. Les broderies ont bien du mal à camoufler mes seins bien visibles à travers la dentelle. De face, on distingue parfaitement mes larges aréoles brunes pour peu que l’on s’attarde quelques secondes dessus. Mes tétons poussent le tissu comme s’ils voulaient le perforer. De profil, mes seins tendent la fine dentelle et leur galbe est bien visible sous celle-ci alors qu’elle descend tendue vers la partie basse de la robe. Fière de mon nouveau look, je retourne auprès de Véronique. En marchant dans la salle pour rejoindre notre table, je sens mes seins ballotter en tous sens maintenant qu’ils ont été libérés de leur prison. Je vois d’ailleurs quelques regards venant de tables à notre niveau me glisser dessus, ce qui n’est pas fait pour calmer mes ardeurs. Comme je suis arrivée dans le dos de Véronique, elle ne voit pas tout de suite ma transformation.

« Alors ? Tu as fait quoi ? »

Sans un mot je lui montre juste d’un geste de la tête ma poitrine.
Après deux secondes d’observation, le visage hilare, Véronique produit un rire qui ressemble plus à un couinement et me dit :

« Je n’avais pas vu. Très sexy, vraiment. Tu triches, je ne suis pas aussi bien pourvu que toi pour être à la hauteur »

« Mais si, tu peux faire ça toi aussi, regarde ! »

Et je me mets à secouer mon torse pour que mes seins s’agitent et tremble de manière suggestive.
Bien sûr cela n’échappe pas aux mâles de la table du bas. Les deux me regardent avec avidité et se prennent encore une engueulade de leurs femmes respectives, du moins c’est l’impression que j’ai d’où je suis.
Véronique me dit toujours le sourire aux lèvres :

« Ils ont du mal à résister, ils ne peuvent pas s’empêcher de te mater et ils se font engueuler après. Il faut dire que vu d’ici j’ai l’impression qu’il y a juste un voile qui recouvre tes seins ».

« Et tu aimes me voir comme ça ? Tu me trouves excitante ? »

« Oui c’est clair. On ne serait pas au restaurant, je n’aurais pas pu résister longtemps »

Je prends alors sa main que j’amène au contact de mes seins.

« Tu n’aurais pas pu résister à faire ça ? »

Elle se laisse faire quelques secondes jusqu’à ce qu’elle réalise l’endroit où nous sommes et elle la retire prestement en tournant la tête vers les autres tables pour voir si son geste a été vu.

« Tu es vraiment la pire cochonne que j’ai jamais vue. Ce soir, je te découvre sous un autre jour »

En disant cela, elle garde le sourire et son regard espiègle. Je vois bien qu’elle s’amuse autant que moi, même si elle ne veut pas l’avouer.

« Et ça te fait quoi d’avoir les nichons à presque à l’air ? »

« Ça me fait mouiller ma petite culotte, tu veux vérifier ? »

Je n’ai pas fini ma phrase que Véronique éloigne ses mains de moi de peur que je m’en empare pour lui faire vérifier mes propos.

« Je te crois sans problème, je n’ai qu’à voir tes yeux brillent et l’état de tes tétons pour comprendre. Bon, il faut que je fasse la même chose ? Je ne suis pas certaine que cela aura un effet aussi… Attrayant ! »

« On verra »

Véronique s’éclipse à son tour. Contrairement à elle je me retourne un peu pour guetter son arrivée toujours les regards lubriques de mes deux acolytes. Les quelques minutes qui passent me permettent aussi d’admirer la vue que l’on a maintenant que la nuit est tombée. Je me rends compte qu’avec notre petit jeu on n’a pas profité une seule fois des magnifiques jeux de lumière de notre cité. Il faut bien avouer que j’ai vraiment du mal à les apprécier tellement mes sens sont tournés vers bien d’autres sensations en ce moment.

Je continue aussi à travailler mon jeu de jambes pour patienter, un coup sagement croisé, un coup bien écarté, provocante et impudique pour le plus grand plaisir des deux hommes. J’ai la chatte en feu, j’ai l’impression que ma culotte est trempée du fruit de mon plaisir.

Elle en met du temps pour revenir, bien plus que moi tout à l’heure. La voilà enfin, sa robe sculpte à la perfection son buste fièrement dressé. Je vois immédiatement que ses seins ne sont plus parqués dans le soutien-gorge. En plus du mouvement qui agite ses seins, sa robe laisse percevoir en ombre chinoise les deux ronds sombres de ses aréoles qu’elle a comme moi bien brunes. Ses tétons, bien que moins proéminents que les miens, dardent agressifs derrière le textile tendu. Malgré ses airs de,« je le fais pour te faire plaisir », je vois dans les yeux de ma belle qu’elle est aussi excitée que moi. Malgré tout, sa démarche manque d’assurance et elle jette un regard un peu inquiet à l’entourage, elle n’avait certainement pas imaginé que son haut serait aussi transparent. Les divers regards qui la suivent ne peuvent que lui confirmer la situation.

Une fois qu’elle à repris sa place, je crois bon la rassurer :

« Tu es splendide comme ça ; vraiment sublime ! »

« Ta robe est comme toi, elle me révèle quelques surprises à la longue. Je n’avais pas vu que le haut pouvait être un brin transparent en pleine lumière ».

« Tu vois que tu peux faire aussi bien que moi finalement »

Pour confirmer j’admire une fois encore sa poitrine de près les deux ronds bruns de ses bouts de seins sont encore plus évidents et forment deux cercles sombres. Le tissu est si près du corps et si fin que ses tétons sont incroyablement apparents et me donnent une furieuse envie d’aller les caresser. De profil, l’ensemble de ses seins forment deux ombres bien rondes et parfaites à l’endroit où la robe tendue part vers le bas.
Impossible de dire si cela rend encore plus fous nos deux admirateurs, car il leur est difficile d’en faire plus dans le domaine du voyeurisme.
Comme si Véronique lisait mes envies, elle me dit :

« Tu ne touches pas ! Enfin, je veux dire pas ici, je sais que tu en es capable ce soir »

Je la regarde, un sourire coquin aux lèvres et en agitant les doigts.

« C’est vrai que j’en meurs d’envie ! Allez, rien qu’une fois ? »

« Eh bien, patiente un peu, le repas n’est pas encore fini »

Comme pour accélérer la fin du repas, à ce moment-là la serveuse, nous apporte, la carte des desserts et nous enlève nos assiettes. Elle prend notre commande dans la foulée et je vois qu’elle jette un regard étonné à ma poitrine. Elle repart avec un sourire qui semble dire : « on n’est jamais au bout de nos surprises dans ce métier »
Je dis alors à Véronique :

« Avec tout ce que l’on a mangé et surtout bu, il faut que j’aille m’alléger un peu ».

Sans attendre sa réponse, je me lève et me dirige vers les toilettes encore une fois. La salle commence à bien se vider, il ne reste plus que quelques tables. Mais il y a encore suffisamment de monde pour que plusieurs paires d’yeux me suivent du début à la fin. D’autant plus que je fais de grandes enjambées, montée sur mes escarpins, pour que ma poitrine soit bien secouée, ce qui est le cas je le sens à chacun de mes pas.

Aux toilettes, je pénètre dans un WC et pour m’alléger je retire ma culotte. Je sens sur mes doigts qu’elle est bien humide de mon jus. J’inspecte mon minou du regard, ma vulve est gonflée et brillante de mon nectar. Mes lèvres proéminentes semblent appeler mes doigts et je dois faire un effort monumental pour y résister. Je relâche enfin ma robe et je m’aperçois que je n’avais même pas pensé à fermer la porte du WC. Heureusement, personne n’est allé aux toilettes à part moi. Je roule en boule mon string dans ma main et je repars vers notre table toujours en faisant redresser quelques têtes au passage.
Véronique m’accueille en me disant :

« Alors, te voilà plus légère ? »

« Oui, de ça ! »

Je lui colle alors dans la main ma culotte. Elle met quelques secondes à comprendre ce que c’est et me regarde en secouant la tête :

« Tu es sans limites ce soir et là je présume que tu as les jambes bien écartées ? »

« Tout à fait »

Véronique regarde alors vers les fameux couples et se retourne vers moi en contenant difficilement son rire.

« Tu as vu ? Tu as failli avoir un mort sur ta conscience. Ton admirateur vient de s’étouffer quand il t’a regardée. Tu peux être fière de nous avoir fait une réputation de deux belles salopes pour eux ».

Moi-même pliée en deux de rire, je dis :

« Arrête de dire ça ! Tu m’excites encore plus »

Triturant mon string dans sa main, elle me demande en plaisantant :

« Ta culotte, tu l’as trempée dans l’eau ou c’est tout à toi ce qu’il y a dessus ? »

« La moindre goutte m’appartient »

« Dis donc, tu es une vraie fontaine là-dessous. Bon ! C’est à mon tour d’aller aux toilettes ? »

« Non ! Pas aux toilettes, ici »

Elle me regarde avec des yeux perdus, mais brillants aussi, sans comprendre.

« Tu l’enlèves ici, à table. Je veux te voir faire »

« Tu es folle, je ne pourrais pas »

« Allons il n’y a plus grand monde à notre niveau et tu leur tournes le dos en plus, je me charge d’occuper un peu ceux d’en bas ».

Je me lève alors avec l’appareil photo à la main encore une fois et comme à notre arrivée je me glisse le long de la rambarde. Je sens bientôt mes fesses s’appuyer sur le câble d’acier. Véronique a compris que je veux distraire notre public pour lui laisser un peu plus d’intimité en quelque sorte. Alors que, jambes légèrement écartées, je me penche un peu en avant l’appareil à la main, Véronique vive comme l’éclair soulève ses fesses de la chaise, retrousse sa robe et quelques secondes plus tard sa culotte est autour de ses chevilles. J’ai photographié l’évènement alors qu’elle était en pleine action. Je sais pertinemment que ma position a offert une vue immanquable sur mon cul et mon sexe en feu pendant ce laps de temps. Quand au passage je jette un œil en bas, les deux épouses regardent vers moi avec des yeux qui jettent des éclairs alors que les maris confus ont le nez planté dans leur assiette. Arrivée à ma place, Véronique vient juste de récupérer sa culotte dans la main. Je lui tends la mienne pour qu’elle me la donne et lui dis :

« On est bien, sans culotte, hein ? »

« Ça me fait de drôles de sensations »

« De bonnes sensations, j’adore ça ! »

« Tu ne vas pas me dire que tu le fais souvent ? Ce n’est pas la première fois ? »

« Non, ça m’arrive régulièrement »

« J’en découvre de belles ce soir ! »

Je palpe sa culotte qui est aussi très humide à l’entrejambe et avec le sourire de la victoire aux lèvres je lui lance :

« Si j’en juge par ce que j’ai en main, on peut dire que tu as apprécié la soirée ».

« Je ne suis pas près de l’oublier, c’est l’anniversaire le plus original que je n’ai jamais eu ! »

« Attends, la soirée n’est pas encore finie, le meilleur reste à venir »

« À ce sujet-là, on se dépêche de finir, car… Il me tarde d’être seule avec toi »

« Moi aussi je suis au bord de l’explosion, écarte un peu plus tes jambes pendant que j’appelle la serveuse histoire de patienter un peu ».

Véronique me lance un regard de feu et s’exécute en m’envoyant un baiser du bout de ses lèvres.

Je n’ai plus besoin de regarder la table de nos voyeurs pour savoir ce qu’ils font, je m’en doute. Je cherche la serveuse et quand je la vois enfin j’agite mon bras pour l’appeler. Elle me voit rapidement et se dirige vers nous.

« Pouvons-nous avoir l’addition s’il vous plaît ? »

« Bien sûr, Madame, je vous l’apporte tout de suite »

Je vois qu’encore une fois elle jette un coup d’oeil à ma poitrine ce qui lui tire un large sourire, elle a l’air de trouver ça follement drôle. L’addition réglée, nous commençons à partir. Il ne reste plus grand monde dans le restaurant, mais notre table préférée est toujours là. Ma veste sur le bras je prends un malin plaisir à passer à côté d’eux, plus exactement dans le dos de leur femme le long de la partie haute de la salle. Alors que nous sommes juste à quelques mètres, je laisse glisser ma veste sur le sol et je demande à Véronique avec un rictus un peu pervers sur le visage :

« Tu peux me la ramasser s’il te plaît ? »

Véronique a bien saisi ce que j’attends d’elle. Offrant son dos aux regards des deux hommes, elle se penche pliée en deux et les jambes bien droites, pour ramasser le vêtement. Sa robe toujours ramenée pour être courte sur ses jambes dévoile alors son superbe cul ainsi que la fente ouverte de son sexe humide. Cela ne dure que l’espace d’un instant, mais assez pour faire sortir les yeux de la tête aux deux types. Je vois aussi qu’une autre table à côté que je n’avais pas remarquée jusque-là profite pleinement du show. Il y a aussi deux couples, peut-être nous observent-ils depuis le début ? Je m’en veux de ne pas avoir été plus attentive, cela aurait décuplé mon plaisir.
Nous sortons enfin, toujours sous ces multiples paires d’yeux qui nous dévorent, nos poitrines respectives se trémoussant au rythme de nos pas.
Une fois assise dans la voiture, Véronique se jette sur mes lèvres et m’embrasse avec violence, reprenant juste sa respiration pour me dire :

« Merci pour cette soirée, elle restera inoubliable, c’est certain! »

« Vraiment ? Tu as passé une bonne soirée ? J’aimerais voir à quel point tu as aimé »

Ma main droite glisse alors sur sa jambe et vers son aine. Véronique voit très bien ce que ma main souhaite atteindre. La bouche ouverte et les yeux brûlants elle écarte la cuisse où repose ma main pour me faciliter l’accès. Mes doigts sont rapidement au contact de son sexe trempé et gonflé, elle pousse un bref gémissement au premier toucher. Elle écarte maintenant plus franchement ses deux jambes et cambre son bassin. Son regard est planté dans le mien et me supplie d’aller plus loin. Mon majeur commence à glisser le long de ses lèvres, elles sont incroyablement mouillées et ouvertes. Mon doigt entreprend un mouvement appuyé de va-et-vient, elle agrippe alors ma cuisse avec ses ongles et émet un cri plaintif et saccadé. Sa respiration s’accélère et sa poitrine se soulève à tel point que j’ai l’impression que ses seins vont exploser le frêle rempart de tissu qui les recouvre.

« Effectivement, on dirait même que tu as adoré ce restaurant »

Mon doigt prend un malin plaisir à tourner sur son sexe en feu, triturer ses lèvres et faire semblant d’entrer en elle ou d’aller titiller son clitoris, mais s’écarte au dernier moment. Chaque fois que mon doigt renonce et s’éloigne, son bassin se secoue et avance pour essayer de le forcer à atteindre les parties de son sexe qui lui donnent tant de plaisir.

Je tente de retirer ma main en lui disant :

« À la maison, ma chérie, attends encore un peu ça n’en sera que plus merveilleux ».

Elle l’agrippe au moment où elle s’éloigne et la colle de force sur son antre en feu.

« Donne-moi juste un aperçu de la suite de la soirée ! S’il te plaît… »

Une fois qu’elle arrive à placer ma main à l’endroit tant désiré, et devant mon évidente volonté de ne pas poursuivre mes caresses, son bassin s’agite alors de violents mouvements de va-et-vient sur mes doigts qu’elle tient toujours collés contre son sexe. Je ne peux qu’assouvir un minimum son incontrôlable envie en les bougeant de façon opportune, ceci déclenche un râle profond de jouissance très rapidement. Son étreinte sur ma main se relâche et je peux enfin la retirer malgré ses protestations.

« C’est assez pour mon aperçu, non ? »

Le chemin du retour se fait à la vitesse de l’éclair, tant pis pour les radars, mais je suis trop impatiente de sentir moi aussi ses caresses sur mon corps. Le moindre arrêt obligatoire nous donne l’occasion de nous embrasser, caresser, lécher. Une fois chez moi nous avons juste le temps d’atteindre le salon pour nous jeter l’une sur l’autre pour ce qui allait être la nuit d’amour et de plaisir la plus longue que je n’avais encore eue.
J’espère que l’on n’a pas trop dérangé les voisins par nos cris.

À suivre…

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