Une formation peut en cacher une autre ! (Suite)
Elle me tend une feuille. Je vois rapidement que le texte est une suite du premier mais en beaucoup plus chaud. Maintenant la fille fantasme sur les diverses parties du corps de la fille qui la fait tant rêver. Je prends un malin plaisir à poser des questions sur certains mots de vocabulaire.
« Madame, je ne comprends pas le mot breast »
« Cela veut dire « poitrine », ou les seins, si vous voulez »
« Ah, merci ! »

« Merci qui ? Petite irrespectueuse ! »
« Merci, Madame ; pardon, Madame… »
Nouvelle question :
« Pardon, Madame. Tits, je ne comprends pas »
« Faites un effort, petite idiote, regardez dans le contexte »
« Euh… »
« Tétons, voyons ! »
« Merci, Madame… Et ass? »
« Vous êtes assise dessus ! »

« Le fauteuil ? »
« Vous êtes vraiment la reine des gourdes ! Regardez le contexte, je vous dis ! Elle veut caresser le fauteuil, à votre avis ? »
« Le cul, Madame ? »
« Oui, c’est ça ! Les fesses seraient aussi bien »
Je tends ma traduction terminée, elle la parcourt rapidement et me dit :
« Bien, bon travail pour une fois ! »
« Le texte était particulièrement intéressant, Madame… »
« Je vois que quand vous le voulez vous pouvez vous appliquer. Ma petite, il va falloir être beaucoup plus studieuse pour notre prochain cours. Je ne saurais supporter d’entendre autant de stupidités en si peu de temps, sinon je vais devoir sévir et vous montrer les méthodes qui sauront vous donner une motivation durant tout le cours. Vous pouvez y aller »
« Oui, Madame. J’essaierai, Madame…
Elle me raccompagne jusqu’à la porte. Dans le couloir je vois qu’il y a encore une photo de classe d’étudiante anglaise. Il y a tout un tas de jeunes filles d’une vingtaine d’années en uniforme et Suzanne trône au milieu. Elle remarque que j’observe la photo et elle me lance :
« Vous feriez bien de vous inspirer d’elles, c’était des élèves studieuses et disciplinées. Soyez à l’heure la prochaine fois, si vous ne voulez pas me mettre de mauvaise humeur dès le début ».
« Bien, Madame… Au revoir, Madame »
Mon trouble est tel qu’en partant que je ne m’aperçois qu’après plusieurs minutes de marche dans les rues que je n’ai rien rectifiée de ma tenue avant de quitter l’appartement. Je suis tellement sous l’emprise de mon excitation sexuelle que j’en ai même oublié ma veste. Heureusement, il fait encore très doux pour un début d’octobre. Plusieurs regards de passants me lorgnent des pieds à la tête quand je les croise, ce qui n’est pas fait pour calmer mes ardeurs. Les cinq minutes de marche qui me séparent de ma voiture me donnent une overdose de plaisir après l’heure et demie que je viens de passer. Quand à environ deux cent cinquante mètres de la voiture je sens qu’une jarretelle vient de me lâcher. Je m’arrête regarde à droite et à gauche si la voie est libre, ne voyant personne sur le moment je retrousse ma jupe et au moment ou j’attrape la jarretelle pour l’agrafer à mon bas, une bande de jeune sort d’un local de jeux et me siffle alors que je n’avais pas encore fini d’agrafer le bas. J’ai remis de l’ordre dans ma tenue et sans rien dire j’ai regagné ma voiture.
Durant la route du retour chez moi, la moindre pause due au trafic voit ma main se glisser entre mes cuisses pour de brèves, mais oh combien délicieuses caresses. Enfin chez moi, je me jette sur mon sexe pour une violente séance de masturbation seulement interrompue par le coup de fil de Véronique qui vient aux nouvelles. Je lui raconte tout du début à la fin, et après avoir raccroché j’ai repris la masturbation jusqu’à avoir eu un orgasme foudroyant.
Le samedi, les photos de classe de Suzanne me donnent des idées. Je surfe sur internet pour avoir des exemples d’uniformes d’étudiantes anglaises et je vais faire du shopping à la recherche de quelque chose d’approchant. Je trouve une courte jupe plissée bleu marine qui sonne très « anglais ». Pour le haut j’ai déjà chez moi une chemise blanche très fine et très transparente aussi c’est vrai. Mais je n’ai pas de veste bleu marine qui convienne. J’en trouve une enfin sur Amazon qui est parfaite et en promo, avec une paire de collants blancs ça sera parfait pour ma tenue de vendredi prochain.
Dès le lundi le patron me rend ma veste oubliée chez Suzanne avec toujours ce sourire entendu sur le visage. Je suis sur des braises tout le reste de la semaine et on est enfin vendredi matin.
Je m’habille comme prévu, ma chemise est bien particulièrement transparente et forme juste un voile blanc sur mon soutien-gorge bien visible. J’enfile mon collant blanc à même mon sexe, sans aucune culotte. J’adore sentir le contact du nylon sur ma vulve à nu, je fais ça souvent et aujourd’hui plus que jamais. Une fois ma veste enfilée ma tenue est parfaite.
Il n’y a pas grand monde ce vendredi à l’agence, les présents ne sont pas plus surpris que ça par ma tenue. Ils sont habitués à me voir afficher des looks sexy ou originaux, je ne fais que justifier une fois de plus mon surnom « Miss-cuisses-au-vent ». Certaines de mes collègues féminines lèvent les yeux au ciel avec une expression disant « elle nous fait son show habituel » ou un truc du genre « qu’est-ce qu’elle a encore inventé », les hommes ont l’air de trouver ça bien. Particulièrement mon patron qui n’est pas le dernier à profiter généralement de mes habitudes vestimentaires.
L’après-midi l’agence se déserte et l’heure du cours approche, le patron passe me voir :
« Vous faites encore cours chez elle cette après-midi d’après ce que m’a dit Suzanne »
« Oui, Roland et Michelle ne sont pas disponibles »
« Bien, je dois partir, je vous laisse, bon week-end et soyez à l’heure tout à l’heure ».
Il part l’air content de lui, décidément sa sœur n’a aucun secret pour lui on dirait ? Voilà, c’est le moment, mais j’ai un truc à faire avant de partir suivre mon cours. Je m’éclipse un instant aux toilettes pour le faire. J’enfile mon imperméable par-dessus ma tenue et je file chez Suzanne en saluant la seule collègue encore présente.
Je suis aussi en retard que la dernière fois quand je sonne à la porte, volontairement.
Suzanne ouvre la porte avec un air particulièrement mécontent sur le visage.
« Vous êtes encore en retard ! Vous n’avez vraiment aucun respect pour rien »
« Pardon, Madame… Excusez-moi »
« Il va falloir que je vous prenne en main pour vous apprendre les règles que l’on utilise ici ».
« Oui Madame… »
« Avancez et posez votre imperméable à l’entrée »
Au passage, je la vois saisir nerveusement une sorte d’ustensile que je n’arrive pas bien à voir, un truc avec un long manche et large au bout. Mon imperméable ôté, elle peut voir la façon dont je suis habillée. Comme lors de mes premiers « Madame », sa tête se redresse alors qu’elle prend une profonde respiration avec ses narines palpitantes.
« Vous prenez l’apparence d’une élève studieuse, mais n’espérez pas me tromper. Je commence à vous connaître. Allez vous asseoir ! »
Elle dit ça en agitant sous mon nez l’ustensile qu’elle vient de saisir, ce qui me permet de mieux voir ce que c’est. C’est simplement un long chausse-pied ancien, un brin désuet de nos jours ce genre de truc. Je reconnais le large bout de forme ovale, il me semble bien plus large que les rares chausse-pieds que j’ai pu voir. Le manche est une longue tige épaisse en roseau, ou un bois de ce type, car je distingue les espèces de nœuds ronds espacés régulièrement. Un manche finissant par une poignée permet de bien l’avoir en main.
Je vois aussi qu’elle s’est mise en beauté. Elle porte une jupe en cuir noir assez courte pour elle j’imagine, des bas noirs qui s’enfoncent dans une paire de bottines. Un chemisier rouge la serre particulièrement à la poitrine et ailleurs. Ses seins tirent sur les boutons ce qui déforme le chemisier aux boutonnières. L’ensemble est bien plus moulant que ce que j’ai pu voir sur elle jusqu’à présent, du coup son ventre me paraît bien plus arrondi qu’avant. Sa face n’est pas en reste, maquillage soigné et toujours un rouge à lèvres pourpre pétant. Elle est tout à fait désirable ainsi vêtue.
Je prends rapidement ma place dans le fauteuil et elle me tend une feuille en disant :
« Comme la fois précédente nous allons débuter par une traduction d’un texte en anglais »
Bien sûr le texte reste dans la lignée des précédents, mais encore plus chaud. Maintenant les filles passent à l’acte et font l’amour. Je lui rends ma traduction.
« Je présume que le texte vous a plu, il n’y a pas de faute »
« Oui Madame… Beaucoup »
Il s’ensuit toute une série de questions et de dialogues où je fais bien sûr une énorme faute. Me menaçant du chausse-pied qu’elle a toujours en main elle m’engueule :
« Petite idiote ! Encore une faute comme ça et je vais être obligée de sévir très sérieusement ! »
« Oh non, Madame ! Pas de punition !
« Oh, que si ! Si vous ne faites pas plus d’efforts »
« Oui Madame… Puis-je enlever ma veste ? Il fait si chaud derrière la vitre »
« Bien, si cela doit vous rendre moins bête »
Je m’exécute et pour mon plus grand plaisir ma petite retouche avant de quitter le bureau fait son effet. J’avais ôté mon soutien-gorge dans les toilettes. Mes deux gros seins apparaissent dans toute leur splendeur sous le fin voilage tendu de ma chemise blanche. Mes larges aréoles brunes se voient parfaitement et mes tétons déjà très agressifs tendent le tissu. Suzanne déglutit de plaisir, les yeux rivés sur ma poitrine. Elle se reprend rapidement et dit :
« Dégrafez un bouton ou deux si vous avez vraiment chaud, si ça peut vous rendre plus concentrée ».
« Bien Madame… »
Je défais deux boutons, ma chemise s’écarte alors jusqu’au milieu de mes seins comme si elle était soulagée de ne plus avoir à faire tant d’efforts pour les contenir.
Suzanne en a la face toute rouge de désir, son rouge à lèvres en paraît moins éclatant. Mais elle poursuit sa leçon en continuant à mettre à l’épreuve mon anglais. Nouvelle grosse bourde de ma part, madame craque cette fois-ci :
« En voilà assez ! Vous n’êtes qu’une dinde sans cervelle. Je vous aurai prévenue »
« Madame… Non, pas de punition ! »
« Levez-vous et appuyez-vous contre le dossier de votre fauteuil »
Je me lève et me place derrière le haut dossier.
« Pas comme ça, vous ne comprenez rien décidément ! Votre ventre vers le dossier »
Je me retourne, le haut su dossier arrive juste à la hauteur de mon bassin. Suzanne passe dans mon dos et en poussant celui-ci, elle me dit :
« Penchez-vous en avant, en vous appuyant dessus et gardez les bras le long du corps ».
J’obéis aveuglément et dans un état d’excitation extrême à son ordre. Ma chatte est en feu et dégouline déjà, mes seins sont durs à m’en faire mal si je n’y prenais pas autant de plaisir. En regardant vers ma gauche, je peux voir mon image dans le miroir de la grande armoire du fond de la pièce. Avec le contre-jour, je vois encore mieux mes seins pendre comme deux gros melons prêts à éclater et le relief de mes bouts turgescents et violacés à travers ma chemise. La position me fait aussi cambrer mon cul dodu à l’extrême, je ne peux pas être plus offerte à elle. Je la vois se positionner à côté de moi, se tapant le plat de la main avec le chausse-pied et elle me dit :
« Vous allez voir comment je vais arriver à faire de vous une fille studieuse et appliquée ».
De sa main libre, elle relève alors ma jupe et la remonte jusque sur mon dos, exhibant ainsi mes fesses seulement couvertes par mon collant blanc.
« Petite dévergondée, on aime se promener les fesses à l’air. Je ne suis pas surprise, rien ne m’étonne plus venant de vous »
Elle passe derrière moi, par le miroir je l’observe prendre plaisir à me reluquer le cul que je peux moi-même voir de profil. Elle me tape l’intérieur de la cuisse de sa drôle de badine et me dit :
« Écartez un peu les jambes ! »
Je m’exécute en écartant mes pieds l’un de l’autre. Elle ne peut rien rater désormais de ma chatte en feu à peine cachée par la simple protection du collant. Je le sens ouverte et humide comme jamais. Suzanne fait glisser pour l’instant la partie large du chausse-pied sur une de mes fesses comme une caresse.
« Un cul pareil est fait et a dû recevoir un bon nombre de leçons, votre comportement odieux ne doit pas dater d’aujourd’hui. Maintenez votre jupe relevée avec vos mains »
« Oui Madame… »
Bien sûr que non, je ne m’étais jamais laissé aller dans ce genre de pratique. Mais aujourd’hui être totalement abandonnée entre ses mains me met dans un état de transe sexuelle absolue dans lequel je puise du plaisir à l’infini. C’est alors que le coup survient, je le sens claquer sur mes fesses. Il est donné d’une main experte, car le plaisir qu’il donne est largement supérieur à la douleur que j’aurais pu ressentir. Le dosage est parfait. Plusieurs suivent avec le même savoir-faire, je peux me retenir de pousser de petits cris qui n’ont rien à voir avec des cris de douleur. Je tourne la tête vers le miroir pour voir à quel point le plaisir est partagé. Elle aussi est en transe, ses yeux pourtant plutôt en amande sont grands ouverts et un air de jouissance éclaire son visage. Chacun de ses coups fait ballotter mes seins qui pendent totalement libérés le long du dossier. Je vois qu’ils participent, à leur manière, à son plaisir, car elle leur jette un regard lubrique régulièrement. Elle stoppe ma punition. Je vois alors les flashes d’un appareil photo plusieurs fois. Je ne sais pas d’où elle l’aa sorti, mais elle veut garder un souvenir. J’aime ça aussi.
« Relevez-vous, c’est comme ça que je vais faire de vous quelque chose de bien ! »
Je me redresse, je suis bouillante du plaisir que j’ai pris, ou plutôt reçu.
« Vous êtes toutes transpirantes, si vous avez chaud, dégrafez quelques boutons de plus de votre chemisier si cela vous permet d’être moins idiotes.
« Bien Madame… »
Je suis son conseil, il ne reste plus que le bouton du bas au niveau de mon ventre, qui retient fermée ma chemise. Les deux pans passent au milieu de mes seins, seulement accrochés encore par mes mamelons proéminents. Alors que je vais m’asseoir, elle m’arrête.
« Ce n’est pas fini, allez à la porte-fenêtre exposer votre médiocrité aux passants pendant que je vous interroge sur des verbes irréguliers. Allez ! Collez-vous à la porte-fenêtre »
Je me colle le nez à la vitre, c’est une porte-fenêtre qui donne sur un microbalcon qui tient plus du rebord de fenêtre tellement il est étroit. Une barrière en fer forgé offre la protection indispensable. Je vois les gens passer dans la rue, mais pas un ne lève la tête pour profiter de ma tenue des plus légères. Par contre à la terrasse du café-restaurant de l’autre côté deux couples placés chacun à deux tables différentes m’aperçoivent. Ils me montrent du doigt à leur partenaire et discutent. Ils ont l’air de trouver cela follement drôle et ne me quittent plus des yeux, moi bien sûr cela ne participe qu’un peu plus à mon excitation. Les questions sur les verbes sont simples et j’y réponds.
« Retournez vous asseoir ! »
Je me remets au travail où je fais de nouvelles bourdes, mes sens sont tellement en feu que je n’ai pas à me forcer cette fois-ci. Je me retrouve une nouvelle fois appuyée sur le dossier du fauteuil.
« Petite salope, vous ne faites vraiment aucun effort, vous m’en faites même dire des grossièretés tellement vous portez mes nerfs à vif ».
Une fois qu’elle est passée derrière moi, je sens la partie large de la baguette glisser entre mes cuisses et venir me frotter le sexe, cela me tire un gémissement. Elle effectue alors un va-et-vient le long de mes lèvres avec la tige. Je sens chaque nœud du roseau me faire sa petite caresse personnelle. C’est plus fort que moi, mon croupion s’agite pour accentuer les caresses de l’objet. Alors que je suis au bord de l’extase , elle s’arrête. Quelques nouveaux flashes, et une nouvelle séance de flagellation commencent, plus forte il me semble, mais toujours aussi jouissive. C’en est trop pour mes seins qui s’échappent complètement de ma chemise. Ceci déclenche une fréquence plus élevée des coups qui s’abattent sur mon cul, mais toujours avec le même dosage exquis. Mes cris aussi sont poussés de plus en plus fort, mais leur sonorité est clairement synonyme de jouissance. Elle s’arrête, elle aussi est en nage. Elle me tire alors sur ma jupe pour qu’elle remonte beaucoup plus haut sur mon ventre. Quand je me relève, la jupe retombe juste au ras de mon minou.
« Retournez à la fenêtre comme tout à l’heure »
Je m’y place, mais elle me pousse dans le dos pour que mes seins s’écrasent sur la vitre, en me disant :
« Plus près ! »
Je sens le contact glacé de la vitre sur ma poitrine. De suite les deux couples me repèrent de nouveau, ils devaient me guetter depuis ma première apparition. Évidemment, j’exhibe beaucoup plus de choses désormais. Ceci me rappelle alors ce reportage que j’ai vu sur Amsterdam et les filles dans les vitrines des quartiers chauds, je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec ma situation présente. Mes seins nus collés à la vitre, ma chatte à peine voilée, le tout offert aux regards de ces deux couples. Je fais encore mieux que les filles d’Amsterdam.
Je ne me rappelle même pas avoir répondu à ses questions, mais Suzanne m’ordonne de quitter la fenêtre. Quand je me retourne elle est assise dans l’autre fauteuil. Elle utilise l’appareil photo plusieurs fois et me dit :
« Vous m’avez tellement échauffé les nerfs que mes pieds ne supportent plus mes bottes, enlevez-les-moi ».
« Oui Madame… »
Je m’agenouille à ses pieds, elle écarte ses cuisses et me tend une jambe. J’ai une vue parfaite sur ses dessous, le large bandeau finissant ses bas autofixant et une culotte rouge en dentelle fine. Sa culotte est particulièrement gonflée sur sa vulve et une auréole sombre montre à quel point l’endroit est humide. Je retire une botte, puis l’autre. Les jambes franchement écartées, elle tend sa jambe droite et de son pied recouvert du bas elle descend vers ma poitrine. Elle se met alors à me caresser un sein, s’acharne sur mon mamelon qui est aux anges. Son pied descend maintenant et vient se caler entre mes cuisses. Elle se met à me caresser mon minou au travers du collant détrempé. Ma bouche s’ouvre et laisse échapper un râle de plaisir, inconsciemment mes mains se portent sur mes seins qui ont besoin de caresses. Un coup de baguette tombe sur mon bras aussitôt.
« Je ne vous ai pas autorisés, petite catin »
« Pardon, Madame »
Son pied remonte vers mon visage et vient se coller sur mes lèvres, je peux voir mon jus briller dessus.
« Léchez ! »
J’obéis et ma langue s’active sur le nylon humide et légèrement poisseux.
« Plus haut ! »
Je remonte le long de sa jambe, ma langue passe son genou. Une fois encore une série de flashes illumine la pièce. J’atteins enfin sa peau nue en haut de la cuisse, j’aime son goût. Sans un mot pour une fois, elle m’attrape la tête et me pousse le visage vers son entrejambe. Mon premier coup de langue se fait sur la dentelle de la culotte le long de sa vulve. Cela suffit à lui arracher un cri terrible, première fois que Suzanne perd le contrôle d’elle-même.
Visiblement elle n’en peut plus et meurt d’envie d’arriver au bout de l’extase. Elle écarte sa culotte d’une main pour mettre à nu sa vulve. Elle a des lèvres proéminentes. Ma bouche s’en empare, lèche, suce, mordille. Suzanne se laisse complètement aller. Elle hurle son plaisir ainsi qu’un bon nombre de qualificatifs à mon égard. Qualificatifs qui sont d’habitude réservés aux professionnelles du métier du sexe. Elle a éventré son chemisier et deux grosses mamelles, qui n’ont rien à envier aux miennes pour ce qui est du volume, jaillissent du soutien-gorge. Ses mains se jettent dessus alors qu’elle continue à m’affubler de toutes les variantes possibles du mot catin. Ce moment d’ivresse sexuelle se poursuit longtemps, elle semble impossible à rassasier, mais elle me repousse enfin et dit déchaînée :
« C’est à mon tour, petite salope, je veux vous entendre jouir de ma main »
Je trouve follement drôle de m’entendre toujours vouvoyer après notre petite séance commune. En me repoussant, elle s’est redressée dans le fauteuil. Je peux voir que même si sa poitrine est finalement plus volumineuse que la mienne, elle est loin d’en avoir la tenue. Ses seins pendent, lourds et excités, les aréoles déformées. Toutefois, cela ne nuit en rien à mon désir et je la trouve toujours aussi excitante et sexy.
« Retournez-vous et restez agenouillée »
Elle me pousse dans le dos.
« Le visage sur le sol »
Ma figure touche le tapis, mon regard dirigé vers le fond de la pièce où se trouve le miroir. Je le vois toujours assise sur le fauteuil, penchée sur mon cul tendu vers elle de par ma position. Comme pour moi tout à l’heure, sa poitrine se balance pendue dans le vide, impressionnante et affolante. Une nouvelle série de flashes immortalise ma position, elle veut garder de mes souvenirs pour quelques plaisirs solitaires.
Sa main se pose sur mon sexe, je sens mes doigts courir le long de mon antre en feu à travers mon collant.
« Vous en mourez d’envie, n’êtes ce pas ? »
Et ses doigts continuent leur lent va-et-vient sur ma fente humide. Sachant très bien à quoi elle fait allusion, j’articule péniblement.
« Oui… »
Un coup claque sur mes fesses, je comprends mon erreur et la corrige.
« Oui Madame… »
« Bien ! Vous avez su faire le seul travail pour lequel vous semblez vraiment douées, vous méritez une récompense ».
Je sens qu’elle s’empare du collant à l’endroit où il recouvre mon sexe et qu’elle tire dessus. Ses longs ongles font du bon travail, car celui-ci ne tarde pas à céder sous l’effort et à se déchirer. Ceci met à nu ma chatte surexcitée. Je sens alors un contact à la fois chaud et, lisse sur mes lèvres qui m’arrache un premier cri. Ce contact se transforme en quelque chose qui me pénètre doucement. Un regard sur le côté m’en dit plus sur ce quelque chose qui me donne déjà tant de satisfaction. Je vois que Suzanne tient son drôle de chausse-pied par le bout qui servait jusqu’à présent à me caresser les fesses, si j’ose dire, et que c’est le manche qu’elle utilise sur moi. Elle ne tarde pas à s’en servir en pompant et l’agitant un peu dans tous les sens, ce qui déchaîne un torrent de jouissance en moi. Elle manipule vraiment l’engin avec une précision folle donnant chaque fois un résultat extraordinaire qui m’oblige à lui crier mon orgasme. Entre deux râles de plaisir, je me dis qu’elle doit vraiment utiliser son truc sur elle-même pour en avoir une telle maîtrise. D’autant plus que son autre main se défoule sur mon clitoris. Je comprends à moitié ce qu’elle me dit. Je suis consciente qu’elle me parle en même temps, mais je suis trop saoulée par ma jouissance pour en déchiffrer les mots. Je me doute que cela doit être des doux noms de filles de petite vertu. Visiblement elle prend son pied aussi comme ça, moi ça ne me gêne pas.
Une claque tombe sur mon cul et elle me dit :
« Levez-vous, allez à la fenêtre ! »
Je m’exécute, mes jambes flageolantes après cette première séance me portent avec peine. Une fois devant la porte-fenêtre, elle me pousse en avant pour que je me colle à la vitre, mais elle me tire aussi par l’élastique du collant en disant :
« Mettez votre cul en arrière ! »
Je me retrouve penchée en avant, les seins écrasés sur la vitre et les fesses offertes se tendant vers l’arrière. Sa badine me tape l’intérieur de la jambe, je comprends qu’il faut que je les écarte. Je sens qu’elle glisse ses deux mains dans le trou encore restreint fait dans le collant. Elle tire violemment, le nylon craque avec un faible bruit. J’ai désormais toutes les fesses à l’air. C’est alors que je prends conscience d’où je suis. Je pense immédiatement aux deux couples qui m’observaient tout à l’heure. Il n’y a plus qu’un seul, il me regarde. Les passants eux continuent à défiler dans la rue, indifférents, pas un ne lève la tête, inconscient du spectacle que j’offre. Suzanne clame :
« Montrez-leur la seule chose que vous savez faire convenablement »
Bien sûr elle veut parler des passants, le monde extérieur en général. Elle ne peut pas savoir qu’un couple suit par épisode les frasques de mon cours si particulier. Des doigts s’emparent de ma chatte et attaquent une masturbation féroce et suave à la fois. J’entends mes propres gémissements revenir à mes oreilles sans avoir conscience de les prononcer. Subir ces caresses sous les yeux, même lointains, de ce couple décuple le plaisir que je prends. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce que je ressens. En relevant la tête sous l’emprise de diverses extases, je vois aussi une silhouette à une fenêtre d’en face. Homme ou femme, je ne sais, je ne peux pas me concentrer assez pour savoir et puis je m’en fous. D’autant plus que la cravache si spéciale de Suzanne se remet à l’œuvre, toujours avec tant de savoir-faire dans le dosage.
Je ne sais pas combien de temps dure cette séance, mais le plaisir pris est si terrible que je m’écroule lentement au sol, glissant comme une goutte sur la vitre. Quand je me retourne vers l’intérieur de la pièce, Suzanne s’est avachie dans le fauteuil. Elle semble elle aussi exténuée, sa poitrine toujours à nu luit de sueur. Ses seins se soulèvent avec une fréquence rapide, rythmée par la respiration haletante. Sa main s’active encore sur son sexe en une lente masturbation à la recherche des dernières gouttes de plaisir qu’elle peut encore en tirer. On reste ainsi quelques minutes chacune dans son coin reprenant notre souffle. Suzanne en profite pour faire encore des photos de moi. Je suis trop dans un état second pour lui demander pourquoi. Puis soudainement elle se lève, tire sur sa jupe pour la faire redescendre et reboutonne son chemisier. Comme si rien de spécial n’était arrivé, elle dit :
« Bien le cours est fini pour aujourd’hui. Vous avez fait quelques progrès, mais nous allons devoir travailler encore beaucoup comme aujourd’hui pour arriver à faire quelque chose de vous ».
Mon cerveau ayant repris un état plus proche de la normale, je suis abasourdie de cette brusque transition après ce que nous venons de vivre ensemble. Je reste là plantée à la regarder sans réaction.
« Essayez de ne pas avoir l’air d’une gourde pour une fois et rectifiez un peu votre tenue. J’aime que mes étudiantes soient impeccables »
Je comprends que quoiqu’il arrive Suzanne ne sortira pas de son rôle et que je dois rester dans le mien. Je me lève, tire ma jupe plissée sur mon collant éventré et reboutonne ma chemise. Suzanne me tend ma veste et dit :
« Je compte sur vous pour que vous conserviez cette tenue pour notre prochain cours particulier, du moins le chemisier et la jupe plissée. Par contre je vous demande de ne pas mettre de collant, je vous préfère en porte-jarretelles et une paire de bas et sans culotte ».
Elle me raccompagne à la porte. J’espère encore un petit geste, une bise, un sourire, quelque chose qui montre que nous sommes complices d’un truc important. Non, elle reste Suzanne, cette professeure intransigeante et dictatoriale, ce Staline en jupon comme dirait Roland. Après tout, c’est ça qui m’a fait chavirer sous son charme et qui m’a fait prendre ce rôle d’étudiante soumise. C’est ça qui m’excite tant en elle. S’il devait en être autrement, le charme serait rompu certainement. Sur le pas de la porte, elle me dit :
« Roland et Michelle reviennent la semaine prochaine, nous ne pourrons donc pas avoir notre cours… Particulier le vendredi. Je compte sur vous mercredi prochain, disons à 16 h 30 précises. Au revoir et je vous souhaite un bon week-end »
« Au revoir, Madame »
Je pars rejoindre ma voiture, encore stupéfaite malgré tout de la façon dont elle a mis fin au « cours ». Le courant d’air qui caresse ma chatte sans protection sous ma jupe me confirme bien que je n’ai pas rêvé tout ça. Je vais avoir une sacrée histoire à raconter à Véronique ce week-end, quoiqu’elle ne sera pas surprise de la tournure des évènements, elle commence à me connaître. On va certainement beaucoup s’en amuser. Quand je dis « amuser », vous voyez de quoi je parle, mais ça, c’est une autre histoire.
En chemin j’ai aussi une pensée pour mon patron, non pas qu’il participe d’une quelconque façon au plaisir que j’ai pu prendre, mais je reste curieuse de connaître exactement son rôle. Je suis persuadée qu’il est au courant de quelque chose, enfin, voir que c’est lui qui m’a volontairement mise dans les griffes de sa sœur. Ça a un côté pervers et machiavélique, on verra ça plus tard.
À suivre…
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