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Les aventures coquines et libertines de Christelle 7

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L’odieux chantage 1

Encore un lundi. De plus, ce matin je me sens en forme, plus exactement l’esprit coquin. Je me sens prête à m’exciter pour un rien. Peut-être des restes de la formation si particulière donnée par Suzanne, la semaine passée.

Comme pour me rassurer ou peut-être à la recherche du premier petit plaisir, je m’étudie nue dans le miroir de ma chambre.

Pour mes quarante printemps bien dépassés maintenant, je me trouve encore mieux que pas mal. Je me suis laissée pousser les cheveux qui me tombent sur les épaules, et qui me paraissent ainsi encore plus clairs, je tends vraiment vers le blond. Malgré leur volume généreux, mes seins sont encore fièrement dressés, ils sont fermes et bien ronds comme de gros melons. Mes bouts arrogants pointent vers le plafond comme tirés par une ficelle invisible. Mes aréoles larges et bien sombres sont parfaitement rondes, nullement déformées par un quelconque affaissement de la chair qui les supporte.

Je grimace un peu quand mes yeux se portent sur mon ventre qui s’est encore arrondi. De profil, j’ai comme une petite colline qui plonge vers mon bas-ventre. Heureusement mes fesses me remontent le moral. Toujours de profil, leur galbe généreux et ma chute de reins me font un cul du tonnerre. Je n’ai rien à envier à ces filles de pays exotiques aux fessiers souvent rebondis et délicieux. Cependant mon teint pale rappelle plus celui des Anglo-Saxons que celui des pays où le soleil est généreux.

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Je me retourne pour mieux me voir de dos, mon cul pourrait être un peu large au goût des esprits chagrins. C’est sûrement ce que doivent dire les jalouses et pimbêches qui me jettent parfois des regards noirs selon les circonstances ou plutôt selon ma tenue vestimentaire du moment. Mais il me va, large peut-être un peu trop mais surtout encore tonique et ferme. Pour confirmer cette pensée profonde, je me balance une claque sur la fesse et je constate satisfaite que celle-ci est bien dure. Je ne vois pas cette longue onde de choc synonyme de chair flasque qui vous fait trembler un cul à n’en plus en finir. Bon, allez, un peu quand même mais juste ce qu’il faut. Toute fière de moi, je me retourne face au miroir et mon regard s’attarde sur mon sexe.

J’ai horreur de ces sexes épilés et totalement mis à nu ; aussi un triangle bien taillé orne le dessus de ma vulve. Elle par contre, est proprement dégagée. J’y passe un temps fou, je vous assure. J’arrive enfin sur mes jambes que je trouve encore longues et assez musclées pour quelqu’un qui ne pratique pas de sport régulièrement. Il est vrai que depuis peu, j’évite de prendre la voiture pour les courtes distances ou je n’hésite pas à prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur. Je me suis dit que ce surplus d’activité physique ne pouvait pas me faire de mal et avec mon boulot finalement cela fait pas mal de marches gravies ou de kilomètres parcourus dans la semaine.

Cette réflexion me rappelle que je dois me préparer pour démarrer ma semaine. Je quitte donc la contemplation de mes jambes mais celles-ci me font penser à mon dernier achat du week-end. Voilà un moment que je vois des filles porter ces leggings noirs et brillants qui donnent l’impression d’être faits de latex ou de cuir. Je trouve ça superbe et assez sexy à la fois. J’ai fini par en acheter un samedi. Bien que la matière donne cet aspect brillant plastifié, le tissu reste fin et souple et surtout très confortable. Ce lundi sera une bonne occasion de l’essayer toute la journée. Je ne peux résister à l’envie de l’enfiler à même le corps. Le côté brillant fait ressortir la moindre aspérité, comme celle formée par un slip, et de plus aujourd’hui, j’ai envie de sentir son contact sur toute la surface de ma peau.

Revêtue de ce deuxième épiderme, une fois de plus je regarde le résultat dans le miroir. Parfait, le legging met parfaitement en relief mes formes, un peu trop peut-être. La matière est élastique mais plus fine que je ne le pensais une fois étirée : elle a tendance à me rentrer dans la raie des fesses et à mouler un peu trop mon cul. De toute façon j’ai prévu de mettre une tunique rayée grise et mauve par-dessus avec un gros ceinturon qui repose sur mes hanches. La tunique n’est pas très longue finalement mais couvre l’essentiel en s’arrêtant une main sous mes fesses. Un passage à la salle de bains pour une brève séance de maquillage me donne l’occasion d’une dernière séance d’observation.

J’explore mon visage à la recherche des premiers signes de décrépitude mais après une étude attentive, je ne vois rien d’alarmant. Bien sûr, de fines pattes d’oie commencent à se creuser à l’extrémité de mes yeux et mes joues s’affaissent peut-être un peu en faisant une marque en prolongement de mes narines mais en tournant la tête et selon la lumière tout cela s’estompe. Assez perdu de temps avec cette contemplation assez narcissique, il faut bien le dire, j’enfile mes escarpins et en route pour l’agence.

Arrivée au boulot, les mâles que je croise ne manquent pas de remarquer ma nouvelle tenue. Comme d’habitude ils se gardent bien de faire une réflexion mais leurs regards soutenus m’indiquent clairement qu’ils la trouvent charmante. Les dames, que j’ai depuis longtemps renoncé à charmer pour mon plus grand désespoir, feignent l’indifférence ou bien me jettent un regard en coin dans lequel se mélange le mépris, la jalousie et d’autres sentiments peu flatteurs à mon égard.
Je suis depuis une heure à mon bureau quand le boss passe sa tête par l’encadrement de ma porte. Son bureau est juste à côté du mien et souvent, s’il a besoin de quelque chose, je suis la première personne sur laquelle il tombe. Là, il m’annonce :
« Je pars visiter deux apparts que des clients veulent mettre en vente pour une évaluation et après je dois refaire visiter une maison à un acheteur. Je ne serai certainement pas de retour avant cet après-midi, si on me cherche »

« Très bien, je le signalerai si on me le demande. Je suis là toute la matinée pour de la paperasse. J’ai seulement une visite cet après-midi »

Il disparaît sans un mot de plus, il a l’air d’être en retard. Une heure passe quand mon téléphone sonne.
« C’est Daniel, le patron encore une fois, je viens de voir que j’ai oublié sur mon bureau le dossier de la maison à vendre, du coup je ne connais ni l’adresse ni le nom de l’acheteur. Je me rappelle seulement l’heure du rendez-vous. Pouvez-vous aller dans mon bureau et me donner tout ça »

« Oui, bien sûr, j’y vais »

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Mon téléphone à la main, j’entre dans son bureau et je trouve rapidement un dossier posé sur la table. C’est le bon. Je lui transmets alors les informations qu’il me demande. Il me remercie et raccroche. Je suis sur le point de partir quand son ordinateur émet un bruit de sonnerie. Cela attire mon attention et mon regard se porte sur l’écran qui est resté allumé. Je vois que c’est un message arrivant dans sa boîte mail restée affichée à l’écran. Inconsciemment, je ne peux m’empêcher de lire le libellé des autres messages empilés sous le dernier arrivant.
Je vois que, Suzanne sa sœur et ma professeur d’anglais si particulière, (voir le récit précédent) lui a envoyé deux e-mails durant le week-end. Les messages contiennent des pièces jointes. Je ne sais pas pourquoi mais une sorte d’instinct me dit que je suis le sujet de ces messages. Bien que cela ne soit pas dans mes habitudes de lire le courrier des autres, je m’empare de la souris pour ouvrir le premier. J’avais bien raison, on parle de moi !
« Tu avais vu juste Daniel, ta Christelle est un sacré numéro qui a comblé tous mes désirs. Comme promis, je te laisse juger par toi-même en regardant les photos prises pendant mon dernier cours ».

Malgré ma grande ignorance des choses de l’informatique, j’ai appris que les fichiers finissant en JPEG sont des images. Tous les éléments joints portent ce nom. J’ouvre fébrilement la première photo jointe, il y en a au moins une quinzaine d’autres avec. Pas de doute, on me reconnaît bien sur celle-là et elle a bien été prise pendant ma leçon de vendredi passé. Je me vois de profil, couchée sur le dossier du fauteuil, les seins presque à l’air et ma jupe relevée laissant apparaître mon postérieur. Ma figure montre une profonde satisfaction. Je me précipite sur les autres et toutes les scènes de ce fameux vendredi sont là, même une, prise à mon arrivée certainement, car je suis encore habillée de ma veste.
L’autre message ne contient que le reste des photos sans commentaire avec des poses et des situations de plus en plus osées. La dernière est la plus chaude : je suis assise au pied de la porte-fenêtre, les cuisses largement ouvertes, le chemisier ouvert sur ma poitrine dont les mamelons sont proéminents. Mon visage affiche une image de plaisir et d’extase totale pendant que ma main s’occupe un peu plus bas.
Toutes y sont, du début à la fin, les scènes de flagellation, à la fenêtre, à ses pieds et le reste rien ne manque.
L’instant de surprise passée, bizarrement je n’ai pas une seconde un sentiment de colère de voir que Suzanne a diffusé ces images de nos ébats à son frère. Je suis moi-même surprise quand je m’en rends compte et rapidement, je sens que cela m’excite. Je deviens vraiment dingue, me voilà excitée de savoir que mon patron mate des photos de moi à poil et bien plus. Mais je n’y peux rien, je peux seulement le constater et j’ai beau me dire « mais ça ne va pas bien », rien ne change et je repars du bureau avec des bouffées de chaleur et les seins qui me démangent. Bien sûr auparavant, j’ai tout remis en ordre.

Cette découverte me travaille toute la matinée, mais dans le sens sexuel du terme, c’est-à-dire qu’elle me met sur des charbons ardents. L’après-midi, le boss est de retour et il passe sans faire plus attention à moi que d’habitude. Cela me démange de voir quelle va être son attitude devant moi maintenant, aussi je trouve une excuse pour aller le voir dans son bureau avant de partir à mon rendez-vous. J’entre les bras remplis de paperasse et je lui dis :
« Pardon de vous déranger mais j’aurais aimé vous montrer un truc sur mon dernier dossier de vente car je ne suis pas sûre de bien tout comprendre ».
« Bien sûr Christelle, qu’est-ce qui ne va pas ? »
« Eh bien, le client a voulu rajouter une clause dans le précontrat et je ne sais pas si c’est bien légal ».
Répondant cela, je m’approche en levant les bras pour montrer les dossiers que j’ai dans les mains. Je vois que son regard plonge vers mon bas-ventre pour ne plus le quitter. Je me rends alors compte que la spirale du cahier que j’ai, entre autres, dans les mains s’est accrochée à ma tunique et l’a tirée vers le haut. Mon bas-ventre, moulé à la perfection par mon legging, est maintenant bien visible. Il n’y aurait pas forcément matière à en faire tout un plat mais là, effectivement, c’est un peu différent. Je ne m’en étais pas rendu compte ce matin mais, de la même façon que le vêtement me moulait un peu trop les fesses, il me détaille de façon incroyable le sexe. Les renflements de ma vulve sont parfaitement visibles : on discerne tout, comme si j’avais la peau peinte en noir brillant. Il n’en faut pas plus pour faire remonter mon excitation à son plus haut niveau. En voulant libérer ma tunique de la spirale métallique accrochée, je tire celle-ci un peu plus hors de mon ceinturon et maintenant, elle s’arrête juste au-dessous de mon ventre aussi bien, devant que derrière.

Daniel a toujours les yeux rivés sur mon intimité ; j’imagine que les images des photos prises par sa sœur doivent défiler dans sa tête à cet instant. Peut-être sous le coup de l’émotion, la chemise contenant un tas de papiers m’échappe et se déverse sur le sol. Les feuilles s’éparpillent de droite et de gauche. Je laisse échapper un juron et je me penche pliée en deux pour ramasser. Quelques secondes après, je me rends compte que le boss ne m’aide pas du tout. Il est trop occupé à mater mon postérieur que je lui colle sous le nez ; pour une fois, j’ai fait ça sans vraiment le vouloir. Je sais très bien à quoi ressemble mon cul gainé de ma nouvelle tenue aussi je ne fais rien pour écourter mon exhibition. Mais même en prenant mon temps, j’arrive au bout des feuilles éparpillées et je suis bien obligée de me redresser.
Pour la suite, on ne peut pas dire que le patron soit d’une grande aide quand je lui présente mon problème. Il bafouille deux ou trois fois « ça devrait aller » et je repars toute excitée et amusée de sa réaction. Jusqu’à présent il s’était toujours montré relativement discret quand j’arborais des tenues sexy au boulot mais là, certainement motivé par le mail de Suzanne, il a eu beaucoup de mal à faire preuve de retenue.
Malheureusement le reste de la semaine s’avère beaucoup moins amusant. Suzanne grippée a annulé les cours. Le boss est venu me l’annoncer avec un sourire en coin en me précisant « tous ses cours », bien sûr, j’ai joué celle qui ne comprenait pas l’allusion. Il a même parlé pour deux semaines au moins.
J’en suis là, ce vendredi, à faire ce triste bilan de la semaine qui pourtant s’annonçait bien quand je reçois un mail d’un expéditeur inconnu.
Le nom, pour le moins curieux, me fait froncer les sourcils, « Maitrevoyeur » : voilà bien un nom à la con ! Curieuse, j’ouvre le message :
« Je connais tout de tes amusements, regarde les photos jointes dans ce message. Si tu ne veux pas que toute ta liste de contact de ta messagerie soit destinataire de ces photos et de toutes les autres, tu as intérêt à faire ce que je vais te demander dans mes prochains messages. »
Mes sourcils se froncent encore plus quand je visualise les deux photos. Je retrouve deux des images trouvées dans la messagerie du patron, celles de Suzanne. Je suis paralysée sur le moment : Suzanne qui ? Comment a-t-il eu accès à ces photos ? À moins que ce ne soit mon boss lui-même ? Ou pour un nouveau jeu pervers ? Je reste tétanisée, je ne sais plus quoi faire. Finalement je décide d’ignorer le message.
Je reste fébrile tout le reste de la matinée, chaque nouvelle arrivée dans ma boîte me fait trembler. Évidemment ce que je craignais survient en début d’après midi. « Maitrevoyeur » me contacte de nouveau :
« Je sais que tu es là et que tu as certainement lu mon message, je te donne 30 minutes pour me répondre.
Pour te montrer que j’ai bien les moyens de faire ce que je dis, voici tout ton carnet d’adresses ».

Je suis moins surprise et je reste moins pétrifiée que la première fois sans pour autant savoir quoi faire. Mon cerveau ne pense qu’à trouver un coupable maintenant qu’il me semble illusoire de voir ce maître chanteur d’opérette lâcher prise. Un collègue serait-il comme moi, tombé sur la messagerie du patron ? Dans tous les cas c’est quelqu’un qui me connaît. Il a aussi toutes les adresses personnelles que j’ai dans l’ordinateur à l’agence, il les a mises dans son dernier message. Malgré tout, je choisis de continuer à ignorer ce message toujours dans l’espoir de voir mon maître chanteur se lasser.
À peine les trente minutes passées que je reçois un nouveau mail de « Maitrevoyeur » :
« Espèce de salope, tu ne me prends pas sérieux, voilà un dernier avertissement avant de passer aux choses sérieuses si tu continues à m’ignorer. »
J’ai à peine fini de lire ses mots qu’un autre message du même auteur arrive, je l’ouvre, je vois qu’il n’y a pas de texte mais qu’une image est jointe. La liste des destinataires est complète et je n’ai nul besoin de tout lire pour voir que c’est mon carnet d’adresses en entier. Il faut dire que j’utilise aussi bien ma messagerie professionnelle pour des messages privés que pour le reste. Mon carnet contient donc des clients et les collègues, amis et membres de ma famille.
Ma main a du mal à aller précisément sur la photo jointe tellement elle tremble. Quand elle apparaît enfin je suis à demi soulagée, c’est la seule image correcte de la collection de Suzanne. Celle que je n’ai d’ailleurs pas vu prendre, où je suis encore tout habillée de ma tenue d’étudiante. La tenue reste malgré tout très suggestive. Je me précipite pour répondre cette fois-ci de peur qu’il ne fasse un deuxième envoi beaucoup moins innocent. Je pense aux membres de ma famille et aux amis présents dans cette liste, ma sœur en premier, avec qui j’évite les tenues trop voyantes lors de mes visites. Ils risquent d’être choqués rien qu’avec ça.
« D’accord, que voulez-vous de moi ? »
En attendant la réponse j’envoie un message à tous les destinataires sensibles, en les séparant plus ou moins par catégorie. J’explique à la plupart le même scénario : une amie a sa fille étudiante en Angleterre et lors d’une invitation chez elle, comme sa fille était là en vacances, je me suis amusée à essayer sa tenue dont la jupe était trop courte pour moi ; cette amie m’a prise en photo pour rigoler, me l’a envoyée et comme je suis nulle en informatique en voulant lui répondre, j’ai envoyé la photo à tout le monde. Ça devrait marcher, mes compétences informatiques sont suffisamment désastreuses pour que cela soit crédible.
Nouveau message de « Maitrevoyeur.
« Tu as enfin compris à qui tu devais obéir. Ne t’amuse plus à me prendre pour un con !
Maintenant tu vas faire ce que je te dis sinon tous tes contacts connaîtront tes jeux pervers de salope. J’ai bien vu que ta liste contient toute sorte de personnes plus ou moins proche et des amis aussi sûrement.
Je veux que mardi prochain tu viennes à ton boulot avec la robe du lien que j’ai collé dans mon message ».
Je vois en effet une adresse internet sous le texte. Je l’active et je tombe sur un site visiblement spécialisé dans les tenues et la lingerie sexy et coquines. La page s’est ouverte sur une robe de couleur saumon ultracourte à manche longue, tellement courte qu’elle se finit juste sous les fesses. Je vois qu’elle est en viscose, élasthanne et terriblement moulante. Les manches sont en voile transparent à partir des épaules. C’est affreusement, ou superbement, sexy et suggestif. J’aurais certainement adoré m’en vêtir en certaines circonstances mais, même si mes habitudes vestimentaires sont loin d’être celles d’une nonne, je me vois mal avec cette robe sur le dos au boulot. J’hésite un peu et je réponds.

« Je n’ai pas de robe comme ça et je ne peux pas mettre ça au travail. Je n’oserai jamais. »

La réponse arrive aussi vite que l’internet le permet.
« Ne te fous pas de moi, tu peux l’acheter. Ils livrent en 2 jours. Pour le reste, tu as intérêt si tu ne veux pas que toute ta famille et les autres te voient le cul à l’air en train de te faire fouetter. Je veux aussi que tu mettes des bas avec, que tu sois à poil dessous et des chaussures à talons aux pieds. »

Comme pour appuyer ses dires une photo est dans ce message. Je l’ouvre mais je me doute de ce que je vais voir. C’est une vue de trois quarts arrière, je suis aux pieds de Suzanne agenouillée le cul vers le ciel dans mon collant déchiré. On voit la badine me frapper les fesses. J’ai le visage tourné vers l’objectif que je ne semble pas voir car j’ai les yeux à demi fermés et j’affiche une mine défaite de plaisir. Je panique totalement à l’idée de voir cette image et les autres parvenir à mes proches, voire aux collègues. Je me précipite pour répondre.
« D’accord je vais le faire. »

Dans la foulée, de peur de ne pas être livrée pour le jour demandé, je passe la commande. D’habitude j’hésite toujours à laisser mes coordonnées bancaires sur des sites inconnus mais là, cela ne m’effleure même pas l’esprit. Il n’y a que deux tailles S et M, je prends M espérant que cela ne soit pas trop petit. Heureusement le prix total n’est pas exorbitant, juste une quarantaine d’euros.
À l’heure de rentrer chez moi, je suis tellement préoccupée que je quitte l’agence sans dire au revoir à personne et avec une bonne demi-heure d’avance.
Heureusement pendant le week-end, j’ai la visite de Véronique et je lui explique ce qui m’arrive. Elle est d’abord très curieuse de voir les photos en question. Ce n’est pas vraiment le type d’aide que j’attends mais je lui promets de faire suivre ici, sur mon adresse personnelle, celles que j’ai reçues de mon maître chanteur. Son second commentaire est de me dire :
« Heureusement que ça tombe sur toi qui n’as pas peur de se faire remarquer »
« Oui, c’est peut-être vrai, mais j’aurais quand même aimé que cela tombe sur quelqu’un d’autre, dis-je avec un sourire forcé ».
Véronique semble trouver ça drôle car elle insiste :
« D’autres n’auraient peut-être pas ce type de photo dans leur album. Tu es une grosse vicieuse et il faut que tu l’assumes »

« J’aime bien assumer sans que l’on me force la main. Je suis surtout énervée de me faire manipuler plus qu’autre chose »

« Je suis sûre qu’au fond de toi, ça t’excite »

« La question n’est pas là, au lieu de me taquiner, aide-moi à trouver qui ça peut être ».

« Et après, tu feras quoi ? »

« Je saurai quoi faire quand j’aurai une idée sur la personne. Je verrai bien »

Finalement, elle finit par accepter de réfléchir avec moi. On écarte les principaux suspects, c’est-à-dire Suzanne et le patron car on ne voit pas vraiment de raisons valables. Suzanne peut déjà me demander bien pire et le patron suit visiblement mes escapades avec elle de près. On finit par en déduire que c’est quelqu’un qui a accès à mon ordinateur et à celui du patron et, par conséquent, a accès à l’agence ou y travaille. Cela laisse pas mal de monde finalement entre les clients que l’on fait souvent patienter dans les bureaux des uns ou des autres par manque de place, les collègues ou services extérieurs qui passent parfois.

Le petit câlin bien mérité qui suit avec Véronique lui donne encore l’occasion de faire une réflexion. Elle regarde sa main qu’elle vient de retirer de mon entrejambe alors que l’on commence juste à s’embrasser et me dit avec un sourire victorieux :
« J’avais raison ! Ça t’excite ton histoire ! Tu as la chatte qui dégouline déjà, espèce de grosse cochonne »
« Arrête de m’emmerder et caresse-moi »

C’est vrai qu’elle à raison la garce mais je ne veux pas lui avouer. Maintenant que le moment de panique est passé, que le sentiment de frustration se dissipe un peu, je me rends compte qu’il me reste une profonde excitation de cette histoire. Véronique va rapidement m’aider à combler ça, et vite parce que je sens qu’elle monte de plus en plus.
Le week-end se passe ainsi, ne me laissant si j’ose dire, que le côté positif des choses. Le lundi me ramène vite à la réalité, à midi je profite d’une visite pour foncer chez moi et vérifier ma boîte aux lettres. Énorme soulagement, un paquet m’attend bien à l’intérieur. Je serai prête demain, j’avais si peur. Je n’ai pas le temps d’essayer cette fameuse robe ce midi mais le soir je me libère le plus tôt possible, impatiente malgré tout de voir de quoi je vais avoir l’air avec ça sur le dos.
La robe dans les mains, je me rends compte que le tissu est terriblement fin. Je me déshabille et j’enfile la chose. Mon Dieu ! Ils osent dire que c’est une taille M, même pour un S je trouverais ça serré ! J’ai beau tirer dessus, la robe arrive juste sous mes fesses. Je marche un peu avec et je suis soulagée de voir qu’elle n’a pas l’air de vouloir remonter plus haut. Par contre, dès que je m’accroupis, je me retrouve la robe au milieu du cul.
Ma poitrine aussi est moulée de façon indécente comme le reste de mon corps. Mes bouts apparaissent clairement en tendant le tissu. Comme le disait Véronique, heureusement que je suis habituée à porter des tenues sexy ou au moins légères. Mais là, c’est vraiment beaucoup plus court que la plus courte de mes jupes, c’est surtout ça qui me gêne le plus. Mais que faire ? Je suis bien obligée de me plier aux volontés de ce salaud pour l’instant. Ceci dit, je ne peux m’empêcher de m’admirer dans le miroir en me tournant et retournant devant… J’arrête, je vais finir par y prendre goût.
Suite prochain chapitre…

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