ANNE ESCLAVE DE RAYA
Antonin a pris une troisième épouse encore plus jeune que Raya.
Cette dernière se console avec Anne, elle se sert d’Anne comme bon lui semble.
A titre d’exemple, elle n’est pas attirée par les femmes et depuis qu’elle a eu des rapports saphiques avec Anne, elle adore se faire lécher par Anne, elle aime aussi se faire, lécher et bouffer la chatte titiller le clito ou l’anus.
Raya à pour elle deux chambres attenantes, entre lesquelles elle a fait installer un miroir sans tain d’où Antonin avec sa nouvelle épouse, peuvent regarder Raya soumettre Anne à faire la pute, sans participer c’est excitant.
Avec ce qu’elle déjà subit avant Antonin, Anne ne souhaitait pas être prise par plusieurs hommes. A présent elle aime ça, on lui impose des gangs bang avec six ou huit mecs noirs. Cependant, depuis qu’elle y a goutté, elle se passionne pour les noirs, elle ne demande que des gros calibres puisqu’elle est plus vaginale que clitoridienne.
Pour Raya et son voyeur de mari, c’est excitant de voir Anne sucer et se faire défoncer la chatte ou le cul par de grosses queues. Elle ne pensait pas qu’une femme peut être aussi large et profonde. Il y a eu les trois guerriers qui ont chacun une bite énorme comme Anne n’en a jamais vu. Ils l’ont baisé et enculé bien à fond, heureusement qu’elle a bien été préparé par les autres puisque tous ses orifices étaient lubrifiés de sperme.
Elle aime quand elle taille une bonne pipe, voir l’homme heureux puis elle aime se faire baiser et enculer en chevauchant les mecs, elle donne le rythme, elle leur parle aussi pour les faire jouir plus vite – J’aime ta queue, elle est bonne, elle est grosse, défonce-moi donne ton jus. Les hommes ne tiennent pas longtemps.
Ce que Raya préfère c’est de la voir sucer un black bien monté, elle dit comme, il a une grosse queue ça va la changer de calibre. Raya aime qu’Anne suce et qu’elle se fait baiser et sodomiser sans capotes, quand elle jouit fort, elle doit récompensé, le black en le finissant avec une pipe.
Raya ordonne au guerrier :
– Donne lui ton sperme, je veux que tu décharges dans sa bouche, donne lui ton sperme elle aime ça !
Anne avale tout jusqu’à la dernière goutte.
Dans une soirée, elle peut satisfaire une vingtaine d’hommes. Alors discrètement, à l’abri du regard de ses deux jeunes épouses, Antonin aime la baiser après tous ces hommes, souvent il nage dans sa chatte et son cul béant, pourtant sa queue est imposante alors qu’Anne se prend des bites tellement grosses. Dans ses moments là Anne aime faire la pute et ça lui plaît.
Jamais Anne n’aurait imaginé qu’elle deviendrait un jour une pute à Blacks, un objet de convoitise pour des hommes africains bien membrés et chauds pour lui défoncer ses puits d’amour en mode partouze.
Elle a parfois du mal à supporter les délires de Raya pour son plaisir, elle y est arrivée puis elle s’est aperçue qu’elle y prend aussi du plaisir.
Anne raconte.
La première fois Raya me conduit au bout du village, je n’ai qu’une légère robe européenne sans rien en dessous. Devant une petite maison, un homme nous attend.
– Salam aleykoum Ali ! Chef des guerriers d’Antonin.
– Aleykoum salam Raya !
Il nous fait signe d’entrée dans la demeure. Nous nous retrouvons, à l’intérieur de la maison. Elle est construite de telle sorte qu’un grand puits de lumière inonde les trois étages. Je suis étonné de trouver de si grands volumes intérieurs cachés derrière cette si petite entrée.
Le chef Ali garde un sourire large, en même temps je remarque dans la pénombre plusieurs autres hommes assis, dos contre le mur. Je sens leur regard sur moi, je rougis un peu sans savoir pourquoi. Autant dire que je viens de me rendre compte que ces hommes depuis une dizaine de minutes me regardent, cuisses apparentes devant eux.
Mes yeux s’habituent à la pénombre, je distingue aisément les six hommes assis. Ils interviennent régulièrement dans la discussion entre Ali et Raya et je remarque que tous ne se gênent carrément pas pour regarder franchement, mon décolleté ou mes cuisses.
Je ne parle pas, j’évite de lever les yeux pour éviter de croiser ces regards. Soudain le ton monte d’un cran entre Ali et Raya, mais Ali ne veut rien savoir.
– Toi, Anne, enlève ta robe !
Là, Raya me prend de court. Je n’ai pas pris le temps de réfléchir et même encore, je me demande si c’est bien moi qui fait ça. J’enlève ma robe comme une automate, je suis nue au milieu de six africains qui me dévorent sans complexe de leurs yeux.
Raya me pousse vers eux, elle me guide en me tenant par la main et j’ai un peu l’impression d’être un cheval que l’on présente avant la course. Raya a l’air amusé et un peu excité. Je le vois dans ses yeux.
Ali marche à côté d’elle, je sens ses yeux dans mon dos, sur mes fesses. Ali parle à l’oreille de Raya. Il demande la permission de me toucher les seins et les fesses. J’acceptai après avoir interrogé Raya du regard.
Ali me saisit par la taille et me place au milieu de la pièce. Les autres hommes se redressent pour mieux me mater. Ali me fait d’abord tourner sur moi, toujours en me tenant par la main. Il m’immobilise face à l’assistance et devant les visages tendus, me saisit les deux seins de ses deux mains. Fermement, il commence à les pétrir ensemble, puis séparément. Il jette un œil à Raya et voyant que celle ci garde son sourire. Mes tétons se durcissent immédiatement, ce qui provoque un murmure de plaisir dans l’assistance.
La situation commence à m’exciter. Je suis un peu honteuse, mais j’éprouve une certaine fierté à susciter ce que je lis dans les yeux de ces guerriers. Ali me pince chacun de mes tétons durs, presque à me faire mal. Je cherche des yeux Raya qui a disparu de ma vue.
Je sursaute à peine quand la bouche d’Ali remplace ses mains sur mes seins. J’adore qu’on me suçote les seins et ce monsieur là le fait très bien. Je me cambre un peu et sens alors une main sur ma fesse. Je ne me retourne ni ne réagit. Ce que celui qui m’a touché doit prendre pour une invite. Une autre main se pose sur le sein qu’Ali ne suce pas. C’est le plus jeune de l’assistance qui ose. Je suis, c’est le cas de le dire, à portée de sa main. Son regard me fait fondre, je le laisse faire.
Raya vient se glisser derrière moi, elle me fait avancer doucement, plus près des hommes et bientôt ce sont toutes les mains qui me couvrent le corps. Je ne sais lequel le premier prend l’initiative de me caresser le sexe et cela me fait un effet dingue. Je sens des doigts sur mon sexe que j’inonde en quelques secondes. Je m’abandonne sous les caresses, Raya me glisse à l’oreille qu’elle me donne aux guerriers, alors je me décide à me laisser aller.
Les mains me soulèvent presque. Les mots arabes fusent. Les premiers grognements aussi. Je sens mon clitoris gonflé. Mes lèvres gonflées, j’ai furieusement envie de jouir à force de tant de doigts sur moi. Je m’arc-boute, me relâche, me tend, me tord, cherchant à mélanger à l’infini les harmoniques de ces caresses incessantes.
Je suis très tendue au bout d’une dizaine de minutes seulement. Ali doit le sentir car il s’approche de moi et sans mot dire me bascule vers l’avant, m’oblige à m’appuyer de mes mains sur les hommes assis. Il glisse son sexe dans mon sexe humide. Je le reçois avec bonheur laissant échapper un râle de soulagement qui suscite des commentaires appuyés des autres hommes.
Ça les rend encore un peu plus entreprenant. Ali entreprend de me titiller l’anus de sa main gauche pendant qu’il me ramone régulièrement et j’accompagne de mon bassin chacun de ses va et vient. Deux hommes sont toujours assis face à moi et me malaxent les seins, les cuisses, un autre a glissé à mes pieds et lèche ce qu’il peut entre deux coups de queue d’Ali. C’est divin, tout mon bassin vibre sous les multiples caresses, sensation étonnante et inoubliable.
Ali sort franchement son sexe de ma moule baveuse, après je vois son sexe gonflé et sombre, je le sens d’abord battre sur ma joue. Ali frotte son sexe sur mon visage et je cherche à le happer de ma langue. Ali ne se fait pas prier, il fait glisser son gland sur mes lèvres. Je l’enfourne en ouvrant largement la bouche au rythme des coups de boutoir qu’imposent celui qui l’a remplacé.
Je sens alors un autre sexe se frotter sur mon front. Je lâche la queue d’Ali pour me saisir de l’autre plus fine que je pompe goulûment. Celui que je suce ne se retient pas longtemps, il jouit dans ma bouche, celui qui me ramone par derrière me pousse en avant si bien que j’avale le sperme pour ne pas étouffer.
Pendant qu’il l’autre me besogne, il peut ainsi m’écarter les fesses, blanches, charnues et somptueuses, pour contempler mon trou du cul. C’est alors qu’une queue énorme se présente devant mes yeux. C’est un autre qui tente carrément de me rentrer son sexe dans la bouche. Comme je tergiverse, Ali m’ordonne de sucer son guerrier. Je m’exécute.
La chatte limée, la bouche pleine, je me sens comme une salope de ces vidéos que regardait mon mari. Le plus jeune des guerriers, n’en tenant plus devant ce spectacle, lui éjacule dans le creux de mes reins. La chaleur du foutre sur ma peau accroît mon excitation de chienne.
– Encule la ! Hurle Ali au guerrier qui me ramone la moule, bien décidée à montrer que c’est lui le chef.
Il refuse et demande à l’autre que je suce, dont la queue est aussi longue, mais encore plus large que la sienne, de le faire à sa place. Pour que je sois correctement sodomisée par son pote, il s’allonge par terre et me demande de m’empaler sur lui. Cette fois, je retiens de faire ma mijaurée, mais j’en mène pas large face à cette queue qui doit faire pas loin de sept cm de large.
Mon anus est tendu et l’autre commence à s’énerver :
– Ouvre ton trou du cul putain Kahba !
Comme il force à la fois les mains sur mes épaules et le gland contre mon anus, cela finit par rentrer. Prise violemment dans les deux trous, je connais l’orgasme le plus puissant que j’ai eu aujourd’hui. A demi-évanouie, ma tête est soutenue par un autre guerrier, qui en profite pour tenter de se faire sucer. Pas encore descendue de mon septième ciel, réalisant à peine ce qui m’arrive, je ne songe pas à ouvrir la bouche.
Pressé de se vider les couilles, il me pince le nez, ce qui, m’empêche de respirer, ça me force à ouvrir ma gueule. Ainsi, il peut enfourner sa queue. Il éjacule très rapidement dans ma bouche chaude et humide. Je bave maintenant un mélange de sperme et de salive. Cela n’arrête pas les hommes qui veulent tous me rentrer dans les lèvres. Pendant que je suce les guerriers à la chaîne, l’autre jouit dans ma chatte.
Il se retire alors et cède sa place à un des guerriers tandis qu’il vient se faire sucer pour regagner sa vigueur perdue. Il n’est pas long à rebander. Entre-temps, le guerrier qui est dans mon cul a joui. De façon à ne pas salir la voie pour ses copains, il a la délicatesse d’aller se finir dans ma bouche de salope. Ainsi, un autre peut aller enculer la nouvelle esclave de Raya. Le gang-bang se prolonge tout l’après-midi. Mon corps entier est blanchi, maculé de foutre. Enfin, il se fait tard et les guerriers, les couilles vidées et bien vidées, songent à regagner leurs cases.
Je reprends mes esprits quand Ali m’invite à monter à l’étage pour me rincer. Je gravis les escaliers étroits et me retrouve devant un petit lavabo d’où, par miracle, je réussis à faire couler un filet d’eau.
Lorsque je redescends au rez de chaussée, tous les hommes excepté Ali ont disparu. Lorsqu’il me voit, Ali me tend la main et m’attire vers lui, il agrippe ma nuque et me force presque à m’agenouiller.
Il soulève sa djellaba et je me retrouve la tête sous étoffe nez à nez avec son sexe toujours aussi dur. Il est vraiment épais. J’ouvre la bouche au maximum et essaie de le faire pénétrer au fond de ma gorge. Je commence de lents va et viens sur sa queue, au rythme que m’impose sa main toujours sur ma nuque.
Je sens les mains d’un autre sur mon cul. J’ai envie qu’on me prenne encore, pendant que je suce cette grosse queue. Je tortille des fesses pour le lui faire comprendre et lui se contente de glisser un, deux, trois doigts dans ma chatte. Qui dégouline encore. Sous la djellaba d’Ali , je suis en nage, la sueur dégouline le long de mon cou.
Ali doit le sentir et me délivre en se retirant spontanément de ma bouche. Je suis toujours à genoux, alors l’autre vient remplacer Ali dans ma bouche. Sa queue est dure. Ali se place derrière moi et je sens presque aussitôt son gland à l’entrée de mon vagin trempé. Je fais un mouvement vers l’arrière comme pour le faire pénétrer moi-même, Ali se recule aussi.
Je sens alors l’énorme gland d’Ali se frayer un passage à travers mes chairs sensibles et déjà meurtries. Mes lèvres l’absorbent malgré son diamètre impressionnant. Ses mains agrippent mes hanches et d’une poussée lente et régulière, il s’enfonce tout entier en moi. J’en ai presque le souffle coupé, je dois abandonner la queue de l’autre quelques secondes.
Je suis merveilleusement bien remplie. Je sens la colonne de chair tout au long de mes parois intérieures. Les allers et les retours provoquent de longues ondes qui me secoue le corps comme des vagues. Je gémis, Ali accélère le rythme. S’enfonce bien au fond à chaque fois mais sans brutalité excessive.
J’adorais ça. Je me remets à sucer rageusement l’autre qui est proche de l’explosion. Moi aussi d’ailleurs, Ali sûrement aussi puisqu’il se met à me parler dans sa langue. Il mate ma bouche sur le sexe de son guerrier et reprend son rythme. J’offre mon sexe au maximum, j’écarte mes cuisses pour mieux sentir son pieu dans mon ventre. Son guerrier éjacule dans ma bouche par longues saccades. J’en laisse couler quelques gouttes malgré moi, lorsqu’il se recule pour mieux profiter du spectacle, c’est d’un sourire béat que je le remercie.
Ali me donne du plaisir, j’en veux encore et toujours, que ça ne s’arrête jamais. Je jouis à plusieurs reprises, Ali, visiblement fier de son sexe, prend un malin plaisir à m’amener au bord de la jouissance, puis il se retire complètement. Il fait ainsi une bonne douzaine de fois, avant que je ne sente ses mains me saisir plus fermement, son corps se tendre entièrement. Je sens une dernière fois sa queue. Il l’enfonce dans le puits de mes reins. Il éjacule au fond de mon ventre en se collant à mes fesses.
Il attend que sa queue ramollisse dans mon boyau quand soudain je sens une grande chaleur se répandre dans mes intestins. Mais oui ? C’est ça ! Il urine dans mes entrailles, la chaleur de sa pisse m’amène un nouvel orgasme. Je reste là, les fesses relevées, pantelante et comblée.
Raya me regarde en souriant, elle m’enfonce gros plug dans l’anus pour ne pas salir la maison dit elle.
Je me relève enfin, Ali me tend ma robe que j’enfile sans oser lever les yeux.
Je lui demande où je peux prendre une douche. Il me dit que la douche est interdite aux femmes et semble peu disposé à me donner une dérogation.
Nous sortons, je pleure, sans savoir si c’est de joie ou de honte.
Sam Botte
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