ANNE pute à blacks
Anne est à présent la femme d’Antonin à la mode africaine du pays, elle mène une vie conjugale paisible, son mari officiel dans l’autre pays est devenue la femelle des guerriers d’Antonin. Elle le rencontre très souvent, il ressemble de plus en plus à une femme blanche ses cheveux longs et sa nouvelle poitrine, grosse et bien ferme. Il est heureux d’être l’esclave sexuel des guerriers de son mari africain.
Un an et demi après leur mariage tribal, un jour, Antonin prend son courage à deux mains, puisque Anne ne lui a toujours pas donné d’héritier. Qu’il va prendre une deuxième épouse comme le veut la coutume de sa tribu, alors qu’il en est le roi. Sans réfléchir et se surprenant elle-même, Anne accepte en se demandant ce qu’elle va devenir. Antonin a bien plusieurs fois accueillit deux ou trois jeunes filles dans leur couche. Anne a participé à la défloraison de ces jeunes filles. Elle a pensé qu’Antonin souhaitait pimenter leurs ébats sexuels. Elle ne réalise pas que ses jours de liberté au sein de cette tribu, sont comptés.
Elle aime toujours Antonin, il le lui rend bien, cependant il est bien plus souvent avec sa nouvelle épouse de dix sept ans, qu’avec Anne. Les deux épouses ont beau prendre leur bain ensemble, Anne sent bien que la jeune épouse, souhaite évincer cette femme blanche, distinguée et raffinée en tous points.
Anne passe un après-midi entier à se faire démonter par Antonin avec la participation de Raya la nouvelle épouse. Elle se sent femme, elle se sent salope et chienne, complètement offerte aux désirs et aux pulsions d’Antonin ainsi que de Raya. Il n’en faut pas plus pour qu’elle réitère les expériences de sexe avec Antonin et Raya. Ils se retrouvent régulièrement les après-midi pour baiser comme des fous.
Mais Raya exerce un magnétisme incroyable sur notre Anne qui ne peut résister à ses avances. Au fur et à mesure, elle commence à faire porter de la lingerie sexy à Anne sa rivale. Anne mouille d’avance de retrouver son Antonin dans la chambre. Habillée comme une pute, Anne aime se faire tenir en laisse par Raya, alors qu’elle taille une pipe à la grosse bite de son homme.
Raya introduit une autre jeune femme dans leur ébat sexuel. Puis encore une autre et encore une autre jeune fille. Antonin est ravi de cette pluralité.
Puis, Raya fait la proposition de partouze et de gang bang avec des amis africains.
Les après-midi de sexe intense, les nuits au cours desquels les ébats amoureux sont de plus en plus torrides, notre Anne ne s’en sent même plus coupable. Raya la traite de pute à Blacks, de Baiseuse de nègres.
Le mot gang bang était d’ailleurs inconnu du vocabulaire d’Anne jusqu’à ce que Raya le propose à Antonin. Au début, Antonin et Anne sont un peu choqués et interloqués de cette proposition. Mais venant de sa complice, elle a très vite compris que cela va concourir un plaisir plus intense. Raya ne le propose pas cela parce qu’elle pense qu’Anne est une pute. C’est plutôt parce que cela sera une expérience sexuelle enrichissante pour tous les trois.
Cela dit, Anne a très vite compris ce que cela signifie lorsqu’elle est à quatre pattes comme une chienne à se faire défoncer par tous les trous, sans interruption.
Ainsi, Anne accepte de devenir la chienne et la proie de plusieurs hommes noirs dont les membres dépassent tous les vingt cm. Lors des partouzes interraciales, notre française est complètement soumise à tous ces hommes assoiffés de sexe avec une femme blanche. Anne en bonne pute à Blacks, dévouée et docile, prend en bouche ces sexes ébène turgescents et veineux, les astique des couilles jusqu’au gland.
À quatre pattes dans le salon dans l’appartement, notre nature se laisse défoncer la chatte, elle prend des bites en bouche et avale leur jouissance, ce que ne font pas les africaines. Les hommes défilent par derrière en levrette comme un vulgaire trou à bites. Chacun la pénètre avec fougue et envie, ils lui élargissent sa chatte blanche, ainsi que son anus comme jamais son Antonin n’aurait pu le faire.
Ce que Raya apprécié par-dessus tout, ce sont les jeux coquins où elle bande les yeux d’Anne. Ainsi, elle est dans le noir total, elle reçoit des bites dans la bouche pour des fellations goulues, elle se fait pénétrer par surprise.
Ce qu’Anne ne voit pas, c’est qu’Antonin se détache d’elle devant ses orgies sexuelles de celle qu’il aimait.
Pourtant, Anne est une belle femme, avec de jolis seins et une belle chatte rose, la silhouette encore fine, pas trop abîmée par le temps. A présent, Raya en a fait une pute à blacks qui a le don de rendre bien durs ces hommes venus d’ailleurs.
Elle s’est prise au jeu de Raya en croyant que c’était le vouloir d’Antonin. Malheureusement, Raya l’a manipulé pour l’évincer de la couche de son mari Antonin.
Anne vous raconte elle même sa déchéance.
Nous sommes tous les trois au lit, étroitement enlacés, Raya me butine les seins et la bouche.
Je suis sur le dos, mes jambes gainées de bas noirs sont sur ses épaules d’Antonin. Il m’encule tendrement en m’embrassant, ses mains me caressent les seins. Il me parle à voix basse :
– J’adore faire l’amour avec toi, je prends vraiment mon pied. Tu es une vraie belle femme, notre femelle !
Ses mots me rendent dingue…
Quand il sent que je suis bien chaude, il se penche vers moi et me glisse doucement à l’oreille :
– Ce soir, Raya organisé une petite soirée avec quelques amis. On a besoin d’une femelle obéissante et c’est toi là ! Personne ne pourra les satisfaire mieux que toi…
Je sens son souffle dans mon cou, cette queue que j’aime tant aller et venir dans mon ventre, comme je suis tellement excitée que j’accepte sans hésiter.
En fin d’après midi, Antonin m’appelle dans la chambre. Il est assis sur le coin du lit avec Raya à ses côtés. Elle me suggère de m’habiller dans la tenue préférée d’Antonin. Je me déshabille et enfile une paire de bas noirs et un porte-jarretelles. Il me regarde et lorsque je passe ma petite culotte fendue, je vois sa braguette faire une jolie bosse. Il se lève, m’embrasse sur le coin des lèvres et me dit :
– Ça me fait toujours autant d’effet de te voir dans cette tenue, il faut que tu fasses quelque chose pour me soulager ?
En disant ces mots, il appuie ses mains sur mes épaules et m’oblige à m’agenouiller devant lui. Je déboutonne son pantalon, sors son sexe gonflé de désir, après l’avoir léchée de haut en bas, je le fais glisser entre mes lèvres humides. Lorsque je sens ses couilles contre mon menton, je passe une main entre ses cuisses. Je lui caresse doucement l’anus et commence un long va et vient le long de sa queue.
Au bout de quelques minutes, mon Antonin me saisit la tête et se met à faire onduler son bassin d’avant en arrière pour me baiser la bouche. Lorsqu’il fait cela, je sais qu’il est sur le point de craquer. Ma langue s’active davantage et j’introduis mon doigt dans son petit cul serré. Le résultat ne se fait pas attendre, je sens bientôt sa queue trembler et un puissant jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice le sperme de mon amour, lui léchant le gland pour ne rien perdre de son sirop.
Antonin se retire de ma bouche. Il me demande de rester à genoux, Raya me noue autour des yeux un foulard. Je suis aveugle, j’entends bientôt plusieurs voix d’hommes dans le salon. Raya m’attrape par les cheveux et me guide à genoux jusqu’au salon. Les voix se taisent et je n’entends plus que des murmures. Je devine que plusieurs personnes sont assises dans le canapé et les fauteuils…
Raya m’arrête devant la table petite du salon. – Met ton ventre la dessus ! En tâtonnant, je m’allonge sur la petite table du salon. Raya m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table. Elle fait de même avec mes poignets. Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table, soumis et offert au premier venu.
J’entends des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser ?
Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur d’une bite, ainsi qu’un gland vient heurter ma bouche. J’écarte les lèvres pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée. Quelqu’un fait glisser ma petite culotte et m’écarte les fesses, je l’entends cracher dans ses doigts pour m’enduire l’anus de salive. Il appuie son sexe contre ma rondelle qui se dilate doucement puis, une fois son gland introduit en moi, il m’encule d’un seul coup de reins. Sa queue me parait énorme, la douleur me déchire le ventre. Mais je ne peux pas crier.
Personne ne parle. Seuls mes gémissements de douleur et de plaisir se mêlent au souffle de mes amants et au bruit de leur sexe dans mes orifices humides.
Je me fais baiser pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul, ainsi que la bouche.
Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent. Antonin s’approche de moi et me murmure des mots doux à l’oreille, puis il me demande d’ouvrir la bouche, de tendre mon cul en arrière et d’écarter les fesses. Alors, d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi.
Les bites s’enchaînent les unes après les autres. Je suce sans relâche et me fais enculer à la chaîne. Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe à présent les sexes dressés sans problème. Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée gonflable qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager. Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses, sur le menton et dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils me procurent.
L’un après l’autre, pendant près de deux heures, douze mâles me baisent sans retenue ce soir là. Certains d’entre eux me prennent même deux fois. Avant de repartir, les derniers m’éjaculent sur le visage, les cheveux et les fesses.
Raya se penche près de moi, elle me dit que j’ai été parfaite et que les guerriers ont vraiment apprécié cette offrande.
Antonin s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses. M’a-t-il déjà baisé pendant la soirée ? Je l’ignore, mais il a l’air très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mes reins, son sexe s’enfonce en moi sans difficulté, je m’offre une dernière fois pour l’homme que j’aime.
Antonin sait maintenant qu’il a, à sa disposition une pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire…
J’entends Raya que je croyais mon amie, proposé à Antonin de me faire prendre par ses chiens, pendant que je suis en bonne position. Mon sang se glace d’horreur. – Raya ! Tu as réussi à me dégoûter de cette femme blanche, si tu la donnes aux chiens, plus aucun homme ne voudras la baiser. Elle peut encore servir longtemps ! Je la répudie demain ! Après elle est à toi, elle sera ton esclave personnel. Cependant, pas question de la faire prendre par des animaux comme tu as fait avec ta sœur pour que je ne l’épouse pas. Je tiens encore à cette femme blanche. Compris !
Sam Botte
Géniale cette photo…. un grand fantasme pour moi^^
A la place de la blonde je présume non ? ;)