Histoires taboues

Les confession de Brigitte femme au foyer Chapitre 2

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Brigitte s’éloigna et me tourna le dos, tout en s’écartant de moi dans le lit.

– Alors? demandai-je.

Nous avions commencé des préliminaires et je lui avais suggéré de m’en dire davantage sur les visites des ouvriers.

— Rien d’autre n’est arrivé. C’était juste un jeu amusant. Affirma-t-elle.

D’un ton sarcastique, je dis alors :

Les confession de Brigitte femme au foyer Chapitre 2
Porn IA

— Allez, dis-moi. Tu te montres sexy et tu offres à la vue de trois hommes excités tous tes charmes et ils ne font rien ? Tu t’es exhibée devant eux, c’est pourquoi ils t’ont parlé en premier. Et tu me dis qu’ils ne t’auraient pas fait d’avance ? Je déteste quand tu me mens. Dis-moi la vérité.

Elle marmonna alors :

— Tu cherches juste une excuse pour créer des ennuis.

— C’est pour ça que tu ne veux rien dire ? Quelque chose est arrivé ? répondis-je rapidement.

— OK, j’ai un peu joué avec eux. C’était juste du flirt. J’aimais l’attention qu’ils me portaient.

Mon cœur se mit à battre plus vite. Elle m’avait parlé d’« eux ». Elle les avait tous laissés la toucher ? Alors qu’ils étaient tous dans la même pièce ? Ou alors était-elle allée dans une autre pièce ou à l’étage avec chacun d’eux individuellement ? Surement pas, pas ma femme ? Mais elle avait dit « joué avec eux ».

— Dis-moi comment ils t’ont fait des avances. Dis-je doucement.

Avec hésitation, elle raconta :

— Hé bien, après un moment, je savais qu’ils étaient de plus en plus excités. Chaque jour, quand ils arrivaient, ils faisaient de plus en plus de commentaires sur ma tenue. Je crois qu’ils étaient timides alors qu’ils devaient se concerter. J’aimais l’intérêt qu’ils me portaient. Après avoir eu deux enfants, ça me faisait du bien de savoir que je pouvais toujours exciter les hommes.

Les confession de Brigitte femme au foyer Chapitre 2
Nouveaux profils

Elle fit une pause puis continua :

— Puis un jour, alors qu’ils étaient assis dans la cuisine, je sentis une main se poser derrière ma jambe. Ma jupe fut lentement relevée et l’homme me dit : « Voyons quelle couleur tu portes aujourd’hui ». Je me souviens qu’il avait l’air très nerveux et que les autres gloussaient. Puis se fit le silence pendant quelques secondes, ils attendaient ma réaction.

— Et quelle a été ta réaction ? demandai-je.

Elle dit timidement :

— Aucune. Je suis juste restée immobile. Il a relevé ma jupe à la taille. Je les entendais respirer fort, ils étaient aussi nerveux que moi.

Elle eut un petit rire.

– Puis l’un d’eux a dit : « c’est joli le bleu ». L’homme qui tenait ma jupe me fit lentement tourner vers eux et me demanda s’ils pouvaient me voir de face. Puis il passa son bras autour de ma taille, releva ma jupe et m’embrassa. Mais ils avaient peur d’aller plus loin alors ils rirent comme si c’était une blague. Comme l’ambiance était tendue, ils burent leur café et retournèrent au travail.

— Tu as dit que tu avais joué avec eux. Que s’est-il passé avec les autres ?

— J’ai dit ça ?

— Allez, sois gentille, dis la vérité! plaidai-je.

Elle poursuivit alors son récit :

— Ça avait en quelque sorte brisé la glace. Le lendemain, ils dirent qu’ils espéraient que je ne sois pas fâchée tout en riant et en tirant sur ma jupe.

Je secouai la tête. Elle dit soudainement :

— Tu vois ta réaction. Es-tu sûr que ça ne va pas causer de problème et que tu ne vas pas me le reprocher ?

— Non, je veux juste connaître la vérité. Je t’ai dit, ça m’excite d’entendre ça. Répondis-je.

Je me rapprochai d’elle et je posai ma main sur sa poitrine pour caresser un téton en disant :

— Continue!

— Je leur ai offert un verre et l’atmosphère changea. Quand je suis passée devant l’homme qui m’avait embrassée, il me tira sur son genou. Il me dit que je travaillais trop et que je devais m’asseoir. La conversation resta normale et désinvolte. Mais ma jupe s’était relevée quand je m’étais assise, et pour garder mon équilibre, il avait fallu que j’écarte les jambes alors que je me trouvais face aux deux autres hommes. Celui sur lequel j’étais assis me dit que ses amis avaient une belle vue. Je hochai la tête. Il commença à m’embrasser et sa main est allée où est la tienne.

— Il a joué avec tes seins ?

— Oui. Répondit-elle en soufflant.

— Et ses amis ont regardé ? Et tu as gardé les jambes ouvertes ?

— Oui.

— Et tu étais excitée et tu les as laissés aller plus loin ?

— Oh, mon Dieu, qu’ai-je fait ? dit-elle.

— L’as-tu fait ?

— Oui… Je suis désolée. Sanglota-t-elle.

— Continue à me raconter. Dis-je sur un ton autoritaire.

– L’un des autres hommes s’est levé et a dit : « Ai-je droit à un baiser aussi ? ». Tout en restant assise sur le genou du premier homme qui continuait à jouer avec mes seins, je laissai l’autre m’embrasser. Tous les deux tripotèrent mes seins et m’embrassèrent pendant un moment. Puis ils ont dit qu’il était juste de laisser un tour à leur ami. Alors ils m’ont emmené vers lui et ils ont relevé ma jupe. Au lieu de m’asseoir sur le côté de ses genoux, ils ont écarté mes jambes et j’ai dû le chevaucher. Je pouvais sentir sa bite bien raide sous son pantalon. Il m’embrassa et les autres tinrent ma jupe relevée pour toucher mes fesses. Ils ont tous tripoté mes seins. Je ne pouvais m’empêcher de me tortiller alors que sa queue se pressait contre moi.

— Est-ce qu’ils ont sorti tes seins ou enlevé ton haut ? demandai-je.

— Non, je ne les ai pas laissés aller plus loin.

— Ce n’est pas vrai, n’est-ce pas ? accusai-je.

Elle admit :

— Non. D’accord, ce n’est pas vrai. Mais ils ne l’ont pas fait cette fois-là.

Entendre ma femme utiliser des mots comme « seins », « bite » ou « queue » était nouveau pour moi. Comme je l’ai dit plutôt, elle était très timide. Pour elle, c’était un langage grossier. Mon membre avait glissé en elle et je commençai à la baiser lentement.

— Est-ce que d’en parler t’a excité ? demandai-je.

— Un peu. Répondit-elle en commençant à bouger.

Puis elle murmura :

— Penser à ces bites m’a excitée.

— As-tu joué avec ces bites ?

— S’il te plaît, plus de questions. Baise-moi seulement! Supplia-t-elle.

Quelques soirs plus tard, j’avais bu quelques bières. Alors, n’étant pas un gros buveur, j’étais de bonne humeur quand je suis rentré chez moi. Je me servis un gros whisky puis je m’assis et je réfléchis à certaines choses. Brigitte allait me faire lutter pour chaque détail. Mais pourquoi ? Qu’est-ce que je ressentais à l’image de ma femme excitant d’autres hommes ? Je me demandai si elle en avait eu d’autres que ces trois? Et était-ce vrai de toute façon ? Puis je me souvins de ce que j’avais entendu dans le jardin. Je savais que c’était vrai. Alors pourquoi ne me racontait-elle pas toute l’histoire ? Était-ce vraiment terrible ?

En réfléchissant, des images traversèrent ma tête, si bien qu’au moment où mon verre fut à moitié vide, je bandai comme un âne. Au diable tout ça! Je montai me coucher. Pas pour me coucher, mais pour la réveiller et lui faire raconter la suite. La boisson avait un effet étrange.

— Que fais-tu ? demanda-t-elle alors que je la tournai pour me faire face.

— Je veux que tu me parles des ouvriers pendant que je te baise.

Je forçai ses jambes à s’ouvrir et je glissai ma bite en elle.

— Non, tu es saoul! protesta-t-elle.

— Non, je me sens juste très excité. Je veux connaître tous les détails.

— Pourquoi es-tu obsédé par ça, je ne me souviens pas de tout. Tu essaies de m’embrouiller.

— Dis-moi ce que je veux savoir. Dis-je.

À présent elle bougeait en rythme avec moi et sa respiration accélérait.

— Allez, dis-moi! dis-je d’un ton cajoleur.

— Je te l’ai dit. Murmura-t-elle avec la même respiration lourde de quelques nuits auparavant.

— Je les laissais m’embrasser et jouer avec mes seins à travers mon haut.

— Tu as admis que c’était plus que ça! Dis-moi et excite-moi! rétorquai-je en poussant ma bite en elle.

— Un jour, quand ils arrivèrent, je portais une robe boutonnée sur le devant. Je me suis assise sur leurs genoux à tour de rôle comme d’habitude.

— Tu le faisais tous les jours ? demandai-je, mon cœur battant la chamade.

— Oui, je les laissais m’embrasser et me toucher à tour de rôle.

— As-tu touché leur bite ?

Elle me répondit sèchement :

— Laisse-moi raconter dans l’ordre.

Et elle ajouta :

— Ils avaient peur d’aller plus loin en face de leurs amis. Ils ne savaient pas jusqu’où ils pouvaient me pousser. Nous étions tous nerveux. C’est comme si je vivais dans un monde différent la journée, un monde privé. Je suppose que j’avais enfilé cette robe à dessein, je voulais qu’ils aillent plus loin. Donc je me suis assise sur leurs genoux et j’ai agité mon derrière pour bien sentir leur bite. Puis on a défait ma robe. C’était la première fois qu’ils voyaient autant de ma poitrine. Le soutien-gorge était léger. Un des hommes a mis ses mains sur mes seins et a soulevé mon soutien-gorge vers le haut. Les autres restaient bouche bée. L’homme commença alors à me sucer les mamelons.

Elle cessa de parler pour attendre ma réaction. J’essayai de me retenir pour ne pas jouir. Je marmonnai :

— Allez, continue!

— Je regardais les autres qui fixaient leur copain en train de me sucer les seins. C’était terriblement excitant. Puis l’un des deux autres s’est levé et a fini de défaire ma robe pour l’enlever. Puis il a mis sa main sur ma chatte.

« Mon Dieu, qu’a-t-elle dit », pensai-je.

— Je l’ai laissé me caresser. Sa main était sur ma culotte et je sentais que je mouillais. Il s’agenouilla et embrassa mon ventre pendant que ses doigts me caressaient. Le troisième ouvrier se pencha à côté de moi et m’embrassa. Ensuite ils m’ont soulevé pour que je sois debout, ils m’ont embrassé et joué avec mes seins. Soudain, j’ai senti une main entrer dans ma culotte et des doigts pénétrer mon intimité.

— Les as-tu touchés toi aussi ? chuchotai-je.

D’une voix presque inaudible, elle répondit :

— Oui… J’ai laissé ma main être guidée pour caresser une queue à travers un pantalon.

— Est-ce qu’il a sorti sa bite, ou c’est toi ?

— Je l’ai fait. Quand les autres ont vu ça, ils ont sorti leur membre aussi. Je les ai branlés pendant qu’ils me doigtaient et tripotaient mes seins. J’ai poussé mes hanches sur leurs mains.

— Les as-tu fait jouir ?

J’étais sur le point d’éjaculer moi-même.

— Oui, ils ont giclé leur sperme dans ma main et sur mon ventre.

— Tu as joui toi aussi ?

— Oui ils m’ont provoqué un orgasme. Quand j’ai senti le foutre de leur bite chaude gicler, j’ai joui et j’ai adoré ça.

À présent elle avança ses hanches pour que je puisse mieux la pénétrer tout en suppliant :

— Baise-moi plus fort! Enfonce bien ta bite et suce mes seins!

« Est-ce que c’est ce qu’elle leur a demandé ? » Pensai-je.

Nous avons joui presque ensemble tous les deux. Et très fatigués, nous nous sommes endormis. Il est évident qu’elle n’avait plus rien à raconter.

À suivre…

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images avec le générateur porno IA GRATUIT

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou