Ma femme s’est allongée sur le canapé, les jambes écartées et ouvertes. Une main était à l’intérieur de sa culotte noire en dentelle, l’autre tenait son verre. Elle portait des bas noirs avec un porte-jarretelles. Pour ma part, j’avais enlevé mon pantalon et mon caleçon. Je caressai lentement ma bite. Ma femme continua son récit :
– Parfois, après avoir couché avec ces hommes, je laissais l’un d’entre eux entrer avec moi à la salle de bain et nous prenions une douche. Je lavais leur bite et ils me savonnaient. J’aimais bien laver celui qui avait la bite très épaisse. J’aimais jouer avec et la regarder. Parfois, si j’avais le temps, je les excitais à nouveau et je les branlais ou les suçais et je me laissais baiser à nouveau. Parfois, je me pliais au-dessus de la baignoire ou de la cuvette des WC et ils me baisaient par-derrière. Des fois, alors que je me retrouvais sous la douche avec un homme, un des autres venait pour faire pipi. Ça me mettait en colère, mais je regardais. Une fois, j’étais debout et un homme me baisait en me tenant le cul. Il me souleva et je mis mes jambes autour de lui. Lorsque je regardai par-dessus son épaule, je vis un autre homme faire pipi pendant que j’étais baisée. Ça m’a fait jouir tout de suite. Par contre ils ne m’ont jamais demandé de tenir leur queue pendant qu’ils pissaient.
– Mais est-ce que tu l’as encore tenue pour l’autre gars, celui avec qui tu l’avais déjà fait?
– Je suis sur le point de te le dire, c’est pourquoi j’avais besoin de cette boisson. Dit-elle doucement.
Elle poursuivit :
– Oui. Quand Bob a été envoyé dans une autre maison, ils ont été séparés. Et son ami a eu l’occasion de venir seul plusieurs fois. Je voulais éviter de t’en parler. Avoua-t-elle.
– C’est ce qu’il me semblait. Continue s’il te plaît!
– La première fois qu’il est venu tout seul, nous avons commencé par discuter. C’était tôt le matin, donc je n’attendais personne d’autre. Nous avons bavardé un peu puis il a commencé à m’embrasser. Il m’a dit qu’il avait vraiment apprécié ce que nous avions fait quelques semaines auparavant. Je pense qu’il avait un peu peur de le dire. C’était avant qu’il sache ce que je faisais avec les autres gars ou qu’ils soient quatre. Je lui ai répondu que je n’étais pas sûr de ce qu’il voulait dire. Il me dit alors : « Ce que nous avons fait dans les toilettes, j’aimerai le refaire ». Il m’a demandé si ça me plaisait. Je n’ai pas répondu. Quand il m’a de nouveau posé la question j’ai répondu que ça me plaisait un peu. Il m’a embrassé plus fort et m’a demandé d’aller dans les toilettes avec lui.
Elle fit une pause puis continua :
– Je n’étais pas sûr mais je savais que ça m’excitait de voir l’effet que ça avait sur lui. Je lui dis d’accord pour aller aux toilettes mais qu’il devait verrouiller la porte avant. Dans la salle de bain je lui ai dit d’en parler à personne, que c’était juste entre lui et moi. Il me dit qu’il ne voulait pas gâcher les choses et qu’il garderait ça secret. Il était vraiment excité. Il m’a embrassé et je l’ai senti sortir sa queue de son pantalon. J’ai posé ma main dessus et je l’ai aidé. Je savais qu’il voulait que je prenne les devants, alors j’ai dit : « Tu ne dois pas faire pipi avec force, je vais faire en sorte de t’aider ». Il était vraiment excité. J’ai tiré un peu sur sa queue puis je me suis agenouillée et je l’ai léché. Puis il m’est venu une idée. Je lui ai dit qu’il n’avait pas besoin de diriger sa bite vers le bas. Je l’ai tourné vers le lavabo et j’ai mis sa queue sur le bord puis je lui ai demandé de pisser dedans. Il a eu du mal à se détendre au début, mais ça a commencé à sortir par petits jets. J’étais très excitée.
La main de ma femme bougea de plus en plus vite dans sa culotte. Elle ferma les yeux et raconta :
– J’ai regardé son urine sortir. Mais comme j’étais totalement excitée, je l’ai retourné, me suis assise sur les toilettes et j’ai pris sa queue dans ma bouche. Quand j’ai senti le liquide chaud, j’ai aspiré et tout avalé. Il a essayé de s’éloigner de moi mais j’ai gémi et tenu sa bite dans la bouche. J’ai mis une main derrière lui pour l’empêcher de reculer. Il a laissé des petits jets d’urine couler dans ma bouche. Puis il me dit qu’il fallait que je le laisse se libérer complètement. Je lui dis d’attendre et je me suis levée. J’ai enlevé mon haut et ma jupe, je l’ai embrassé en lui disant à l’oreille qu’il ne devrais jamais dire ce que nous faisions. Il hocha la tête pendant que je m’asseyais de nouveau sur la cuvette. Il avait compris que je voulais qu’il pisse sur moi alors il me dit qu’il allait salir mon soutien-gorge et ma culotte. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter et j’ai pris son sexe pour le lécher.
Ma femme cria :
– Putain, qu’est-ce que j’étais excitée!
Puis elle poursuivit :
– Il commença à uriner sans être sûr de pouvoir contenir la puissance du jet. Je levai les yeux et gémis. Il commença par arroser mes seins. Je pris sa queue pour contrôler le débit. Nous avons regardé tous les deux son urine mouiller mon soutien-gorge et ma culotte. Je lui répétai alors de ne rien dire à personne. Il me répondit honnêtement qu’il ne le ferait pas. Alors j’ai ouvert ma bouche et j’ai pointé sa bite pour que le flot y entre. Il a dit : « Putain que c’est génial ». J’ai laissé l’urine remplir ma bouche et déborder sur mon visage. J’essayai de presser sa queue pour ralentir le débit puis je la lâchai. J’ai avalé les dernières gouttes des dernières petites giclées.
Quand elle était dans cet état, il s’agissait davantage de revivre les évènements pour elle-même plutôt que de me le raconter. Je m’agenouillai entre ses jambes et je léchai sa chatte à travers sa culotte. Puis j’embrasai sa cuisse avant de demander :
– Qu’as-tu fait d’autre? Est-ce que tu as fait d’autres choses plus perverses?
– Hmmm, mais je vais te rendre fou. Je n’ai jamais fait ça avec toi. Tu n’aimeras pas l’entendre.
Je soulève sa culotte et embrasse sa chatte avant de rétorquer :
– Dis-moi! Dis-moi quelle fille coquine tu étais.
– Tout ne s’est pas passé ce jour-là. Il est venu de lui-même plusieurs fois. Puis j’ai perdu contact avec tous ces gars. Ils ont eu de nouveaux chefs et les choses ont été moins faciles. De toute façon j’avais mis un terme à tout ça. C’était moins spontané et ça ne m’excitait plus autant. C’était idiot que l’homme doive vérifier à chaque fois s’il n’y avait personne. La situation était devenue stupide. Ce sont deux événements qui m’ont fait terminer ces jeux. Je dois admettre que j’ai apprécié mais ce n’était pas une bonne idée. C’était dangereux et ça m’a fait peur.
– Qu’est-ce que tu évites de me dire? Accusai-je.
– Rien. Mais quelques mois plus tard, quand les travaux étaient terminés, j’ai encore rencontré l’homme. Explique-t-elle.
– Et tu l’as invité? Suggérai-je.
– Eh bien, je lui ai demandé s’il voulait venir prendre un café.
– Et c’est à ce moment là que tu as fait pire?
Elle me fit une moue de mauvaise fille.
– D’accord, combien de fois l’as-tu fait avant de perdre contact? Demandai-je.
Je ne voulais pas qu’elle garde des secrets.
– Eh bien, il me demandait s’il pouvait me regarder pendant que je faisais pipi. Un jour, je me suis mis au-dessus de la cuvette et je l’ai laissé regarder alors que j’urinais. Il a pointé sa queue vers ma chatte et nous avons pisser ensemble. C’était comme ça, habituellement je tenais sa queue, assise sur les toilettes et je le laissais me pisser dessus.
– Et est-ce qu’il t’a baisée aussi parfois?
– Oui… A moins que je ne le suce. Comme je t’ai dit ça s’est terminé peu de temps après.
– Maintenant, tu devrais me parles des deux événements que tu as mentionnés. Nous reviendrons au truc du pipi plus tard. Tu ne vas pas m’éviter, tu caches encore quelque chose. Continue.
– Comme je le disais, les choses sont devenues plus difficiles pour ces ouvriers. Les anciens sont partis et des nouveaux sont arrivés. Les gens revenaient dans leur maison et se plaignait des travaux. Il m’arrivait de parler à de nouveaux ouvriers mais rien ne se passait. Certains me demandèrent si je pouvais garder leurs boisons froides dans mon frigo. Ils revenaient à la pause de midi pour les récupérer et parfois ils restaient pour bavarder. Ils étaient trois ou quatre. Nous ne faisions que discuter…
Elle eut un rire.
– … bien que je doive admettre que j’aimais regarder leur corps. Il faisait très chaud, donc ils ne portaient pas grand-chose.
Elle se remémora les hommes avant de reprendre.
– Un midi, ils se moquaient d’un jeune garçon qui venait d’avoir juste 18 ans. Ils lui ont demandé s’il était toujours vierge et s’il savait embrasser une fille. On rigolait beaucoup et on plaisantait. L’un des hommes me demanda si j’allais lui donner un baiser pour son anniversaire pour lui montrer comment ça fait. Les autres rirent en disant qu’il serait trop gêné de laisser une femme l’embrasser. L’homme continua de me presser pour que je l’embrasse, en me disant qu’il n’avait jamais embrassé une vraie femme avant. Le jeune garçon semblait d’accord, il prenait tout cela avec bonne humeur. Il était plutôt beau alors je me suis dit qu’il n’y avait aucun mal à l’embrasser. J’ai dit OK et je me suis assise sur le canapé que nous avions dans le coin. Quand il est venu s’asseoir à côté de moi et que j’ai vu tout le monde nous regarder, j’ai commencé à me sentir sexy. Ça m’a rappelé des sensations que j’avais eu auparavant.
Elle reprit son souffle.
– Le jeune garçon a penché la tête vers moi et m’a embrassé sur les lèvres. Je vis qu’il était nerveux car les autres faisaient des commentaires stupides. Quand il a rompu le contact, l’un des hommes a demandé si c’était le meilleur que l’on puisse faire. Les autres en ont rajouté en nous demandant d’y mettre plus de passion. Je laissai le jeune m’embrasser à nouveau. Je mis ma langue dans sa bouche pour le taquiner un peu. Il me poussa en arrière et mes fesses glissèrent un peu sur le siège. J’entendais les autres faire des commentaires. Il m’embrassa plus longuement que prévu et il devint plus passionné. Je pense qu’il essayait de prouver qu’il était un homme à ses amis. Enfin, il rompit le baiser et embrassa le côté de mon cou, ce qui m’excita. Puis il mit sa langue dans mon oreille. Et ça, ça me rend toujours plus faible. J’entendis un des hommes dire : « Wow, laisse-le toucher tes seins » et un autre a dit : « Ouais, vas-y, elle n’y verra pas d’inconvénients c’est ton anniversaire. Il a trouvé le courage de le faire. Tout le monde s’est calmé quand ils ont réalisé que je n’allais pas l’arrêter.
– Tu étais habillée comment? Demandai-je.
– Un tee-shirt blanc, un peu court mais bien, et une jupe. Je suppose que mes tétons pointaient et ressortaient à travers le tissu. Quelqu’un a dit alors : « Pourquoi ne relève-t-elle pas son tee-shirt? ». Je savais qu’ils allaient pousser le garçon pour savoir jusqu’où il irait. Je sentis mon haut être tiré par la main de quelqu’un d’autre. Le garçon m’embrassait toujours et quand il réalisa qu’il pouvait toucher mon soutien-gorge, il commença à respirer plus fort. Un autre homme prit ma main et la guida vers son entrejambe. Je n’ai pas fait d’objection, j’ai juste commencé à le caresser. Alors il recula et me regarda. Ils le faisaient tous. Un des autres hommes s’approcha et s’assit sur le bras du canapé, puis il se pencha pour m’embrasser. Sa main se dirigea vers mes seins et il la glissa sous mon soutien-gorge pour titiller mes tétons. Soudainement il tira mon soutif par-dessus mes seins et tout le monde put voir ma poitrine. Je les ai laissé enlever mon tee-shirt et mon soutien-gorge.
– Est-ce que tu caressais toujours l’entrejambe du jeune garçon?
– Oui, je continuais pendant que l’autre tripoter mes seins. Les autres regardaient. C’est vraiment le genre de chose qui m’excite. Personne d’autre ne m’a embrassée, ils voulaient juste regarder. Je décidai alors d’aller plus loin et j’ai relevé ma jupe et écarté les jambes. Quelqu’un me demanda alors pourquoi je n’allais pas voir ce qu’il y avait à l’intérieur du pantalon du jeune. J’ai descendu sa braguette, mais quand j’ai mis ma main à l’intérieur et touché sa queue, il a éjaculé. Tout le monde a rigolé et ça m’a en quelque sorte réveillé. Tout s’est terminé alors.
– Mais s’il n’avait pas joui, tu les aurais laissé continuer?
– Oui il est probable que je l’aurais fait. Répondit-elle.
– D’accord! Et qu’est-ce qu’il y a eu d’autre?
– C’était l’autre incident. Celui qui m’a fait peur et qui m’a décidé d’arrêter de laisser entrer quelqu’un dans la maison, à part celui que j’ai retrouvé plus tard. La dernière fois que deux hommes sont venus chercher leurs boissons, ils sont restés pour bavarder et j’ai accepté de boire avec eux. Je savais qu’il s’agissait d’alcool mais je pensais que ce n’était pas important. Après la deuxième boisson je me sentis étourdie et insouciante. Plus tard je me suis dit qu’il devait y avoir autre chose dans le liquide. Les hommes ont fait beaucoup de plaisanteries et j’ai bien rigolé avec eux.
Elle fait une pause pour bien se rappeler de la suite.
– Je les ai laissé commencer à toucher mes seins et mettre leurs mains sur mon corps. Puis un autre homme est entré. L’un de ceux qui me tripotaient murmura au nouveau venu. Il dut lui dire que j’avais bu. Quelqu’un dit : « Regardons ce que tu as sous ton chemisier ». Puis je sentis que l’on déboutonnait ma jupe. Je voulus dire quelque chose mais pas un son ne sortit de ma bouche. J’étais impuissante. D’ailleurs je me souviens d’avoir ressenti que je m’en foutais totalement de ce qu’ils faisaient. Quand ma jupe est tombée, une main s’est posée sur ma chatte. Puis un homme m’a tourné vers lui tandis que l’autre derrière moi descendait ma culotte. Il me dit de lever la jambe et j’obéis sans rien dire. Après cela, je ne suis pas bien sûre de ce qui est arrivé. Je me souviens de la porte qui s’est ouverte et j’ai entendu plusieurs voix. Je les ai laissé m’utiliser. Je me souviens d’avoir été agenouillée sur le sol, levant les yeux sur deux d’entre eux qui me dirent d’ouvrir la bouche pour la remplir de sperme. Ils m’ont fait toutes sortes de choses et je les ai simplement laissés faire.
– Te rappelles-tu si tu as apprécié? Demandai-je.
– Oui, je me souviens avoir ressenti un plaisir intense. Je n’en avais jamais assez. Ils m’ont emmenée à l’étage et je me souviens que quand l’un me baisait, je faisais signe à un autre pour qu’il vienne à côté de moi pour que je le suce. Je crois qu’ils ont essayé de voir combien de bites je pouvais avoir à la fois. J’en avais une dans ma chatte, une dans chaque main et une autre dans la bouche. Quand ils furent tous satisfaits, certains sont retournés au travail mais deux d’entre eux sont restés. C’est le moment qui m’a marqué plus tard quand j’ai pris conscience.
Elle hésite à continuer mais mon expression la pousse à le faire.
– Je me souviens de m’être allongée sur le lit et d’avoir sucer une bite, alors que l’autre homme allongé derrière moi jouait avec ma chatte. Il n’arrêtait pas de faire courir son doigt le long de la raie de mes fesses. C’était agréable alors je ne l’ai pas arrêté. Puis il a essayé de mettre son doigt dans mon cul. Comme ça me faisait mal je lui ai dit : « Non arrête ça fait mal : ». Mais j’étais encore engourdie par ce qu’ils m’avaient donné. L’homme n’arrêtait pas de me demander de me détendre. Il me demanda si j’avais de la crème et que ça ne ferait pas mal. J’ai dit mais il insistait tout en passant son doigt autour de mon trou du cul. Finalement, je lui dis qu’il y en avait sur la coiffeuse. Il y alla et revint sur le lit. Je le sentis étaler de la crème sur mon anus puis il a inséré son doigt dedans. Ensuite il l’a entré et sorti comme si c’était une bite.
– Comment te sentais-tu?
– Je ne sais pas. Ça faisait un peu mal et j’étais mal à l’aise. Mais j’étais excitée aussi, je savais que c’était très vicieux. Il me dit de me détendre et souleva ma jambe pour m’ouvrir davantage. J’étais couché là, les yeux fermés. L’autre gars tripotait mes seins et regardait. Je n’arrêtais de dire à l’autre qu’il ne fallait pas qu’il fasse ça mais je le laissais continuer. Je sentis sa queue appuyer sur mon petit œillet et je lui dis qu’il ne pouvait pas faire ça. Son ami a saisi ma jambe et l’a tiré de façon que mes fesses soient bien écartées. L’autre commença à me pénétrer, mais je protestai et me contractai en lui disant que ça me faisait mal. Il me dit alors de me mettre à quatre pattes. J’étais idiote n’est-ce pas, je n’arrêtais pas de lui dire qu’il ne devait pas le faire mais je me mis sur les genoux et les coudes en montant mes fesses en l’air?
Je ne répondis pas alors elle continua :
– J’étais complètement soumise. Il me dit d’écarter les genoux et j’obéis. Il me dit de soulever plus les fesses et j’obéis. Il me dit de me détendre et que ça ne me ferait pas mal, c’est ce que j’ai fait. Je l’ai laissé m’enculer et me baiser. Et son ami s’est fait sucer pendant qu’il regardait. Et tu sais quoi? J’ai aimé. J’ai senti son sperme chaud inondé mon cul et j’ai aimé. Après cela, je ne me souviens plus de grand-chose. Je suis resté sur le lit et j’ai commencé à me sentir mal. J’ai réussi à téléphoner à une amie pour qu’elle récupère les enfants à l’école et j’ai pris une douche avant de m’endormir. Mon amie est venue voir si j’allais bien et quand tu es rentré à la maison je t’ai dit que j’étais un petit peu malade. J’avais peur de ce que je devenais et de la manière dont j’avais été manipulée. Donc je ne voulus plus rien avoir à faire avec eux. J’ai arrêté les visites.
– A part celui avec qui tu es allée dans la salle de bain? Et puis tu m’as dit que les ouvriers n’étaient pas les premiers. Nous n’avons pas encore abordé ce sujet.
– Tu n’abandonnes jamais, n’est-ce pas? N’en as-tu pas assez entendu pour le moment. N’est-ce pas ennuyeux?
A suivre
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