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Les confessions intimes de Laeticia femme soumise

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Bienvenue dans le journal d’une femme qui s’est donnée à son Maitre.

Ce blog a pour but de raconter et de faire partager l’histoire de ma soumission et mon évolution dans cette expérience.

J’ai une trentaine d’années, je suis mariée, j’ai un enfant. Mon nom est Samia, et j’habite une ville de Seine et Marne. J’ai connu en tout auparavant beaucoup d’hommes, même après mon mariage. Le besoin de soumission est en moi depuis longtemps, probablement un écho de mon enfance, mais aucun homme n’avait su le découvrir auparavant.

Tout a commencé avec cet homme en janvier 2011, alors que je travaille sous ses ordres depuis plusieurs années, nous n’avions jamais observé le désir que nous avions l’un pour l’autre ? C’est un homme de pouvoir, d’une cinquantaine d’années, dont je n’osais pas imaginer que je puisse me rapprocher ; Il est marié, sa femme connait notre relation et participe parfois aussi à notre expérience.

Très vite, j’ai éprouvé un fort besoin d’être l’objet de ses envies. J’aime être sous sa direction et sa protection. Sa force et sa sagesse me rendent forte. L’envie de lui appartenir, d’être à lui est immense ! Je me sens vivante et trouve du plaisir et de la joie de lui donner tout d’être sa soumise. Je ne me sens ni faible ni stupide. Je me sens libre avec lui. Mon Maître a compris très vite ce besoin. Il est à la fois doux, tendre et autoritaire. J’ai appris à mettre de côté mon esprit rebelle, ce n’est pas facile, mais je m’applique et je crois progresser. J’ai un seul problème, je reste jalouse de son pouvoir de séduction.

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Mon dressage se fait progressivement, par petites étapes. Par exemple quand j’ai très envie de faire l’amour et que la distance ne nous permet pas de nous retrouver, il ne me guide pas SMS, et j’obéis. Il m’ordonne de me soulager avec mes doigts. Je dois aussi sous ses ordres, rester des heures sans culotte. Il m’a déjà emmenée en boite et en sauna. Il m’a déjà donnée à un jeune black. Il m’a offert une tenue ultra sexy pour nos sorties libertines et nos soirées chaudes. Je m’habille selon ses goûts, ses envies, son humeur.

C’est le récit des étapes de cette soumission que je vais faire sur ce journal en commençant par le début.Les confessions intimes de Laeticia femme soumise

Ma toute première expérience sexuelle

Ma première expérience sexuelle s’est déroulée juste un peu avant mes 18 ans. Je m’en souviens encore très bien. Notre première fois a été douce et sans douleur. C’était à l’automne. Mon copain avait une vingtaine d’années et expérimenté, très gentil, tendre, et qui tenait à moi. J’étais bien, heureuse avec lui. Mon copain était quelqu’un de patient, à qui je pouvais faire part de mes appréhensions. Il a attendu que je sois prête. À chaque baiser, je sentais un frisson me parcourir le bas du ventre. J’avais très envie de lui caresser son sexe et lui faire plaisir, mais mes mains s’arrêtaient par pudeur et inexpérience. Lui était étudiant et avait une chambre dans un foyer de jeunes travailleurs migrants. Ce jour était le grand jour, je le savais. J’avais envie de plus, une envie de faire l’amour, une passion soudaine de passer à l’acte. Installée sur ce lit un peu cabossé, je me laisse envahir par ses mains. J’ai envie, envie de lui, j’entrouve mes cuisses. Lui aussi met ses mains sur mes cuisses et cherche à les écarter. Il retire habilement ma petite culotte déjà toute trempée de mouille. Je crispe un peu, il caresse mon sexe avec douceur et me rassure avec des mots. Je suis excitée et inquiète. Je le vois se lever et enlever ses vêtements, exhibant un sexe gonflé, raide qui me semble énorme. Il guide mes mains vers lui, vers son sexe. Je le caresse maladroitement puis avec ma bouche. Je lui fais un peu mal avec mes dents. J’abandonne la pipe, trop maladroite ! Il me détend à nouveau par des caresses un peu plus poussées. Je me laisse aller… Il me pénètre tout doucement, mais vraiment doucement, introduit de temps à autre ses doigts jusqu’à la pénétration totale. J’ai senti un léger tiraillement, je ne saurais l’expliquer davantage. J’ai un peu saigné. Mais j’ai été très émue, en larmes, j’ai beaucoup pleuré, de joie, de peur… J’étais maintenant une vraie femme !

Mes premières masturbations

je me souviens avoir commencé très tôt. Je devais avoir une dizaine d’années. J’adorais me caresser, je ressentais beaucoup de plaisir. Je voulais aller plus loin dans l’univers du désir. Tout cela se passait souvent dans ma chambre ou dans la salle de bain.

J’ai grandi dans une famille avec beaucoup d’hommes (trois frères, deux sœurs chez nous) et beaucoup plus âgés que moi. Ils avaient des magazines porno dans leurs chambres que je regardais souvent, mais très discrètement. Je sentais de drôles de sensations en moi, je mouillais. Je suis même tombée sur un film porno où là j’ai vu pour la première fois de ma vie une scène de sexe. C’était excitant, j’avais chaud, je me suis caressée, frotté mon sexe, j’ai senti mon corps se cambrer. J’ai eu mon premier orgasme en regardant un film porno.

De délicieuses sensations…

Mon premier flirt

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je l’ai vécu avec mon meilleur ami. Je n’avais pas beaucoup de copines, je traînais beaucoup avec les garçons mon ami était le plus sportif du collège, il pratiquait le judo et le karaté) ; sa réputation était l’un des plus beaux garçons du collège. Notre relation, forte, mêlait amitié et amour. Nous avons été dans la même classe tout le long du collège. Premiers baisers, première fois que la main d’un garçon serrait la mienne… Au fil du temps, nous sommes allés un peu plus loin dans le flirt, des caresses un peu plus poussées. Il frottait son sexe contre le mien, mais sans jamais aller plus loin, nous avions beaucoup trop peur. Mais on se faisait du bien quand même.

Ma première sodomie

Ma première sodomie j’avais 20 ans et j’étais très amoureuse de mon petit ami.. Il était plus âgé que moi et avait déjà pratiqué la sodomie. En revanche moi, je n’avais jamais laissé personne toucher mon petit orifice.. Par crainte de la douleur sans doute. Mais je l’ai donné par amour lors d’une nuit en amoureux. Cela c’est fait tout naturellement, je me souviens encore de sa phrase : « Je t’ai déjà fait l’amour, j’ai adoré ça, mais il y a un truc qui m’excite beaucoup, c’est ton petit cul. Quand je le vois dans ce joli string, j’ai envie de lui. Tu me laisserais le prendre ? Après quelques secondes d’hésitations, je cédais, mais lui demandais d’être doux. Nous avons pris notre temps : séance de massage, câline, et quelques instants après, je sentis ses mains sur mes fesses cherchant à les écarter. Il caressait aussi mon sexe, introduisait ses doigts pour m’exciter davantage puis revenait à mon petit trou. Il le titillait puis il y entra son index en douceur. Il le faisait glisser, ça faisait bizarre, mais pas mal. Après l’index vinrent l’index et le majeur qui entraient plus doucement, mais qui entraient… je les sentais qui m’ouvraient doucement. Après quelques va-et-vient, je sentis le sexe se présenter. Je le sentis commençant à rentrer en moi. Une petite douleur arriva, mon copain tenait son sexe, et me tenait par le bas ventre. Il me pénétrait doucement, mais entendis quelques petits gémissements de douleur. Puis il s’arrêta et m’annonça doucement que son gland était entièrement en moi. Puis il reprit son avancée. Il mit quelques minutes à rentrer entièrement en moi. Il avançait millimètre par millimètre, s’arrêtant quelques secondes pour reprendre son sexe en main, ou pour replacer sa main sur mon bas ventre. Et pendant ces pauses, il déposait dans mon dos des petits baisers. Au moment où je sentis son corps contre le mien, il me glissa dans l’oreille : “Je suis entièrement au fond, tu me sens ? J’avais de moins en moins mal, les va-et-vient devenaient plus excitants. Drôle de sensation, complément différent de la pénétration vaginale. Je me sentais serrer son sexe. Je commençais à donner quelques gémissements, quand il accéléra sous le coup de son excitation finale, mais là, la douleur était plus vive, il ne s’arrêtait pas, il ne pouvait pas, on sentait qu’il avait attendu longtemps ce moment. Puis, il poussa une dernière fois à fond en moi, ses mains s’agrippaient à mes hanches. Je criais un coup, il venait d’éjaculer. Je sentis quelques soubresauts de l’homme qui rassasié de plaisir, venait de se procurer la jouissance. Il sortit de moi, et me pris dans ses bras ; il était heureux ; moi heureuse aussi, mais vidée de toute force. Me remettant de cette dernière entrée qui m’avait fait mal, mais surtout de l’étreinte que je venais de subir.

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