Bonjour les amis,
C’est Simon de Saint-Chamond. J’ai été très surpris de voir que mon histoire de nécrophilie précédente reçoive autant de votes. Vous avez été quelques-uns à contacter le blog pour m’écrire et à me faire part de votre envie de lire la suite de mes expériences avec les défunts. J’ai demandé l’autorisation à Franck d’écrire une seconde histoire et il a gentiment accepté. La voici.
Après mon expérience avec cette femme décédée du cancer, j’ai décidé de pousser un peu plus mes expériences de nécrophilie. Le problème avec tout ça, c’est que je me désintéressai totalement des femmes vivantes. Je peux aller jusqu’à dire des hommes également, vous l’apprendrez bientôt.
Malheureusement, lorsque vous travaillez dans une entreprise de pompes funèbres, il n’y a pas beaucoup de temps à attendre pour avoir de nouveaux « clients ». Quatre jours plus tard arrive une jeune femme de mon âge (pour appel j’ai 20 ans au moment des faits), décédée dans un accident de voiture. Mon patron m’a laissé la tâche de préparer le corps avant que lui ne fasse les finitions avant de présenter la jeune fille à sa famille. L’accident a dû être violent, car le corps est en très mauvais état. Fort heureusement, le haut du corps était intact. Mais cette fois-ci, il n’était pas possible pour moi d’explorer le vagin de cette jeune fille vu son état. Je me suis attardé sur ses seins et sur sa bouche. Elle avait une petite poitrine avec des tétons gonflés que j’ai pris en main et que j’ai malaxés. Mon érection est venue et j’ai tout fait pour me contrôler pour ne pas éjaculer comme la dernière fois.
Je me suis occupé également de sa bouche en passant mes doigts dans sa cavité buccale. Je lui caressais le palais et les dents. J’avais très envie de mettre mon sexe dans sa bouche, mais cela m’était impossible au vu du temps qui me restait. Alors j’ai décidé de vivre une nouvelle expérience et de donner un baiser à la française à cette jeune fille. J’ai posé mes lèvres sur les siennes et je l’embrassais chaleureusement en faisant tourner ma langue dans sa bouche. Le froid de son organe me faisait mal à la bite. Un bruit retentit dans le couloir et j’ai compris que mon patron descendait. Il a fallu que je me reprenne et que j’adopte une attitude professionnelle pour ne pas me faire démasquer. C’était trop tôt ! Il m’a expliqué encore beaucoup de choses et j’ai appris énormément.
Je suis motivé les amis, et je vais vous raconter une deuxième histoire dans l’histoire. Le temps passe et mon patron me dit qu’il doit partir plus tôt ce soir et qu’un corps est arrivé à la dernière minute. Il me demande si je peux rester faire un extra d’une demi-heure pour éviter qu’on soit à la bourre le lendemain. J’ai accepté et je lui ai promis de fermer derrière moi. J’étais content parce que j’allais pouvoir enfin passer à l’acte et aller plus loin dans mon expérience de sexe avec les morts.
Très excité, je prends l’ascenseur qui m’amène au sous-sol et je pousse la porte de la salle de préparation. Le cœur battant je soulève le drap et ma déception a été immense. Il s’agissait d’un homme… Une quarantaine d’années, décédé d’une rupture d’anévrisme. Dommage, pour une fois que le corps est en bon état, j’aurais pu vivre quelque chose d’extraordinaire. C’était sans compter ma perversité et ma découverte du sexe nécrophile. Je ne savais pas qu’un homme après sa mort gardait une grosse érection. C’est terrible, on a la meilleure érection de notre vie, mais on ne peut pas en profiter, car on est décédé.
Cette verge tendue et magnifique a semé le trouble chez moi. Je ne me connaissais pas des penchants bisexuels. Je n’ai jamais été attiré par les hommes ni par une bite. Sauf que celle-là, dressée devant moi m’interpellait. Mon érection est venue et j’en ai profité. J’ai sorti mon sexe et je me caressais pendant que je prenais en main cette verge. J’ai fait courir mes doigts sur sa hampe et sur son gland. Pour le coup, elle était vraiment très dure comme du bois ! Je le branlais difficilement et je faisais très attention de peur de déchirer les tissus. Mon érection était très forte et me faisait mal ! Mon cœur battait la chamade parce que j’avais qu’une seule envie, c’était de mettre cette bite dans ma bouche. J’ai posé ma tête sur le ventre du Monsieur avec son sexe juste devant mon visage. J’ai soufflé une haleine chaude dessus comme si ça pouvait la réanimer. Je me suis approché doucement et j’ai tendu la langue. J’ai touché ce gland qui ne pourrait plus jamais visiter aucun orifice. Alors je lui ai donné l’occasion d’un baroud d’honneur et je l’ai pris en bouche. C’était délicieux. Je suçais longuement tout en me masturbant. Mais j’avais très envie moi aussi de prendre du plaisir en étant touché. Alors je suis monté en 69 sur le macchabée. Je lui ai débloqué la mâchoire comme m’a appris mon patron et en visant bien, j’ai mis ma bite dans sa bouche. Je faisais des mouvements du bassin et il me donnait du plaisir. Je le pompais pendant qu’il me pompait. Le plaisir était tellement fort que je n’ai pu retenir mon orgasme et mon éjaculation. J’ai déversé mon sperme dans sa gorge tout en ayant sa bite dans ma bouche. Qu’est-ce que c’était bon ! Je suis resté ainsi quelques instants avant de me dégager.
Grâce à un mini aspirateur comme ont les dentistes, j’ai pu aspirer mon fluide et tout nettoyer. Je n’ai laissé aucune trace de ma première fellation avec un défunt. Je lui ai refermé la mâchoire proprement puis j’ai préparé le corps comme me l’avait demandé mon patron. J’ai remis le drap sur son visage, j’ai éteint la lumière et je suis rentré chez moi.
Au plus le temps passait, au plus j’étais obsédé par cette sexualité facile et déviante. Ce n’était que le début les amis, j’ai eu des centaines et des centaines d’expériences. Même si je ne peux pas tout raconter ici, je pourrais toutefois vous compter les plus mémorables.
Simon 64 ans Saint-Chamond
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