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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Les fantasmes de Brigitte 10 : Notre séjour au château de Lord Harrison : Chapitre 1

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Nous étions partis depuis plus de 4 heures et nous venions de passer Moulins. Philippe conduit et je m’étais assoupie bien calée dans les sièges confortables de la Jaguar. Il faisait très beau. Philippe écoutait un cd de Joe. Il aimait beaucoup ce chanteur dont il avait fait connaissance au Carlton de Cannes. J’aimais aussi ces rythmes particuliers.

En me réveillant je demandais à Philippe combien de temps il nous restait avant d’arriver à destination. Il me répondit qu’il nous restait environ une centaine de kilomètres avant d’arriver au château de Lord Harrison…William Harrison.
Nous avions fait la connaissance de William il y a 8 mois. William Harrison était un milliardaire anglais de Cambridge à la retraite qui avait jeté son dévolu sur cette région de la Dordogne qu’il affectionnait particulièrement.
Il avait fait il y a six ans, après le décès de son épouse, l’acquisition d’un château presque en ruine occupée jadis par une confrérie des Prémontrés. Il avait fait des travaux somptueux afin de le remettre en état et le remeubler dans son style du XVIII siècle.

William était un homme qui avait dépassé la soixantaine, très classe, très british, parlant la langue de Molière remarquablement. Libertins à ses heures, nous avions eu l’occasion de le rencontrer lors d’une soirée nancéienne de notre amie Christelle.

« Je suis un homme dont l’essence même de son existence se passe entre les douces cuisses d’une femme ».
Nous avait-il sortis après quelques verres de son inséparable whisky, un Talisker double maturation de 20 ans d’âge, qu’il rapportait de ses séjours à Édimbourg.

J’avais été très attirée par cet homme dont l’élégance était traditionnellement de mise et par son parfum dont les effluves de bois de santal avaient la primeur. Philippe avait très bien sympathisé avec lui. Ils aimaient parler politique et affaires. D’ailleurs Philippe lors d’une négociation bien menée lui avait fait faire une très bonne affaire quelques semaines après en lui vendant un superbe immeuble Place des Vosges à Nancy.
Depuis les deux amis se téléphonaient régulièrement et se retrouvaient parfois dans un restaurant de Nancy.

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William était ce que l’on appelle, un homme à femmes, toujours entouré par une cour impressionnante de belles femmes. Il avait un faible pour les Russes, en particulier pour Irina qui depuis quelque temps le suivait un peu partout dans ses nombreux déplacements.

Je trouvais la route un peu longue, mais j’étais à la fois curieuse de découvrir la demeure de notre ami, et surtout très curieuse de l’hospitalité qu’il nous accordait pour ce week-end .William à plusieurs reprises avait dit que le moment venu il nous réserverait un week-end torride. Que voulait-il dire par torride? J’interrogeais Philippe mon amant pour savoir ce qu’il pouvait mijoter? Il me répondait à chaque fois qu’il n’en savait pas plus que moi et qu’il convenait de ne pas
Se formaliser par l’humour si britannique de notre ami et ses coquineries s’échappant des effluves de son whisky.

J’appréciais au travers de mes lunettes de soleil, le paysage magnifique de la Dordogne. Nous avions déjà Philippe et moi l’occasion de venir une paire de fois à Sarlat. Cette ville était magnifique. Nous descendions toujours au même petit hôtel ” La Salamandrière” non loin de la place du marché. Mon plaisir était de vaguer entre les étals des vendeurs de fruits et légumes. Ce marché était d’une beauté extraordinaire.

Philippe était très sérieux au volant de la Jaguar. Je m’inquiétais de ce silence, il me répondit qu’il avait peur de se perdre dans tous ces chemins. De temps en temps il jetait un coup d’œil au plan qu’il avait imprimé via internet. Le château de notre ami était a priori très retiré de toutes les grandes villes de la région.

« J’aime beaucoup la solitude, si celle-ci est partagée par une belle femme » disait William.

Il avait été en son temps un riche propriétaire terrien au Kenya. Puis après avoir vendu son entreprise de coton à l’un de ses associés, il s’était lancé dans le commerce du Thé. Il avait ouvert plusieurs centres de dégustation à Londres, Boston, New York, Tokyo et Paris faisait partie de ses prochains objectifs. Son affaire marchait très bien.
Homme politique il avait arpenté avant de prendre sa retraite les couloirs et les sièges de la Chambre des Lords à Londres. Anobli par la reine mère d’Angleterre suite à la campagne contre l’Argentine, il avait conservé dans ses agendas des contacts très importants et se vantait même.
Connaître intimement le premier ministre de sa royale majesté.

William était aussi devenu un atout précieux pour Philippe, qui de par ses activités dans
L’immobilier développait entre autres une clientèle britannique en France. C’est ainsi qu’est née entre nous une amitié singulière et souvent mouvementée. À plusieurs reprises William avait jeté des regards chauds sur moi. Il avait même félicité Philippe d’avoir une compagne comme moi. Il savait que nous étions un couple disons parfois un peu libertin, que nous aimions le piment et les saveurs du sexe. Mais nous ne lui avions jamais raconté nos aventures, dont les tournures érotiques étaient
Parfois très savoureuses. Je me pris en train de fantasmer et à avoir en cet instant un grand désir de câlin. Je poussais un soupir de frustration, que Philippe interpréta comme un soupir d’exaspération.

« On arrive bientôt mon cœur! Ne désespère pas, je sais que tu es un peu fatiguée. Veux-tu que l’on s’arrête prendre un café quelque part? »

« Non j’ai une envie de faire pipi, mais cela peut attendre et trouver un café dans ce coin perdu…Mission impossible… Nous arrivons bientôt m’as-tu dit? »

paragraphe 2 candy

Philippe me regarda en coin avec un air moqueur. J’aimais quand il prenait ces airs-là. Il avait un charme craquant. J’étais dans l’impossibilité de lui donner un age…Pas une ride, pas un cheveu blanc, un visage d’une douceur qui lui collait à sa personnalité. Philippe était un homme qui avait vécu. Baroudeur, homme des mers, aventurier il avait sillonné le monde entier. C’est un homme cultivé, prévenant, amoureux de moi autant que je l’étais de lui, respectueux de ma vie, de ma liberté, ce qui est rare chez un homme. Il était mon mari, amoureux, amant ! Je l’écoutais avec émerveillement lorsqu’il racontait ses aventures.

Au décès de sa première femme dans un accident d’avion, il avait tout abandonné pour aller vivre presque deux ans dans une tribu zouloue. Depuis que nous nous connaissons, je l’accompagne dans tous ses voyages à l’étranger. Nous sommes devenus
Des inséparables. Nous avons vécu des histoires érotiques chacun de notre côté parfois, cela fait partie de notre règle du jeu…Mais nous nous racontons tout sans oublier le moindre souffle, la moindre émotion issue de la luxure.
Je l’aime comme la prunelle de mes yeux, je bénis les dieux d’avoir favorisé le croisement de nos routes. Je sais d’expérience que peu de femmes peuvent se vanter d’avoir un compagnon dont la largesse d’esprit, n’entache rien au profond amour que nous nous portons.
Je fus tirée de mes pensées lorsque Philippe annonça que nous arrivions. Je redressais mon siège et observais avec plus d’attention la route que nous prenions, dont les virages succédaient aux virages. L’endroit était verdoyant parsemé de collines aux flancs abrupts et de rochers en suspension, parfois périlleuse, au-dessus de nos têtes. Quelques ruines de-ci de-là laissaient imaginer que jadis beaucoup de châtelains peuplaient cette vallée. Cette région avait une histoire qui remontait bien au-delà de la préhistoire.
Difficile de ne pas imaginer cette ambiance particulière qui s’échappait de chaque recoin, de chaque tas de cailloux, de ces cavernes à peine dissimulées par la végétation. Allait-on au-devant de l’homme des cavernes. Je souris à l’idée de voir notre cher William en homme de Néandertal, avec comme simple vêtement une peau d’ours sur les épaules…Et rien en dessous!

« Pourquoi souries tu, mon cœur? Demanda intrigué Philippe…Tu vas pouvoir enfin faire ton petit pipi? »

« Non! Une simple image! M’esclaffais-je ».

« Voilà le chemin qui conduit au château! »

Au fond de moi-même, je poussais un grand soupire de soulagement. J’étais quelque peu fatiguée par la route qui me semblait interminablement longue. La Jaguar emprunta une allée bordée de grands chênes. Au fond dans le contrebas, on apercevait la grande grille en fer forgé encadrée par deux immenses colonnes en pierre du pays. Enfin!

Quelques instants après nous étaient devant cette grille qui donnait sur une grande place bordée d’un plan d’eau absolument magnifique. Philippe donna deux coups de klaxon et la grille mue par un automatisme discret s’ouvrit devant nous libérant l’entrée de la propriété quelque peu cachée par deux grands cèdres du Liban dont les branches lourdes retombaient sur une pelouse méticuleusement bien taillée.

Un labrador vint à notre rencontre tournoyant autour de la voiture.
Philippe eut peur que celui-ci ne s’appuie sur l’une des portières au risque de rayer la peinture. Nous avançâmes lentement sur le gravier crissant sous nos roues jusqu’à la magnifique demeure en pierres de taille ornée de 6 tourelles.

« Somptueux remarqua Philippe en coupant le contact ».

« Dis donc il ne manque de rien notre ami William! Absolument splendide ce coin! »

Sur le grand perron un majordome en tenue avança vers nous. Très style anglais.

Le labrador fit fête à Philippe qui eut du mal à s’en débarrasser jusqu’à ce que le majordome en livrée, lui donne l’ordre de s’éloigner. Ce que fit le chien quelque peu vexé, la queue presque entre les pattes.

William sortit à son tour tirant sur une pipe. Il nous fit un geste de bienvenue de sa main, alors que Philippe laissait libre le coffre de la Jaguar au Majordome afin de charger sur un chariot nos
Bagages.

« Je m’appelle Justin…Pour vous servir madame Monsieur…Bienvenue au château. Notre maître vous attend, si vous voulez bien me suivre.

Nous allâmes à la rencontre de notre ami qui nous accueillit en nous serrant fortement dans ses bras. Je reconnus en passant son éternel parfum qui me faisait craquer.

«Entrez, entrez, venez vous détendre un peu dans le salon après on vous fera faire le tour du propriétaire ».

« C’est immense ! S’esclaffa Philippe en regardant les tableaux magnifiques accrochés dans le hall d’accueil ».

« Je vous présente ici mon grand-père qui a combattu avec Lord Mountbatten. Je lui dois il est vrai une partie de ma fortune personnelle. ! »

William me tenait par le bras en nous présentant ses aïeux.

« Pas trop fatiguée ma chère Bibi ? »

« Un peu si, j’ai hâte d’aller me rafraîchir quelque peu…Puis-je aller tout de suite dans la chambre que vous nous avez attribuée ? »

« Mais bien sûr ma chérie », John va prendre tes bagages et te conduire dans tes appartements. C’est au premier côté jardin.

Puis William héla John qui sortit d’un vestibule. C’était un jeune homme quelque peu handicapé qui vint prendre ma valise. Il me fit un grand sourire et balbutia quelques mots incompréhensibles en saisissant la poignée de ma valise. Je le suivis bien volontiers pressé d’aller satisfaire un besoin qui devenait urgent et me passer un coup d’eau sur la figure.
L’escalier en chêne était d’une beauté à couper le souffle, tout en montant on pouvait découvrir de magnifiques peintures de l’école flamande et des tapisseries d’Aubusson en parfait état de conservation. William était un homme raffiné qui aimait les belles choses et savait les mettre en valeur. Sur le palier un grand bureau ministre trônait au milieu d’un tapis iranien. C’était là que William devait travailler, vu l’épaisseur des dossiers disposés sur le plateau.
Je suivis John, qui était en short et en tongs. Il s’arrêta devant une porte en chêne sculpté, sur laquelle était écrite « Lady for ever ». Surprise, je me dis que j’allais en demander la signification à notre hôte. La chambre était immense avec un superbe lit à baldaquin au milieu. Par la petite porte sur la gauche on accédait à une grande salle de bains, équipée d’une baignoire sabot et d’une cabine de douche. Le carrelage était de bon goût. Je m’approchais de la fenêtre principale qui donnait sur un grand balcon clôt par des balustres à double corps. De là j’avais une vue sur le par cet sur la contre-allée. Je remarquais des écuries vers le fond de l’allée. Dans un pré on pouvait très nettement distinguer plusieurs chevaux, une dizaine comptait-je.
Je me retournais et croisais du regard John, mains croisées devant lui. Il attendait a priori un ordre.

« Dis-moi John tu pourras me conduire aux chevaux tout à l’heure ».

John me répondit par un grand sourire. Je pus m’apercevoir qu’il avait un sérieux problème de
Dentition.

« Tu peux me laisser à présent, je vais descendre ».

John à regret s’en alla en reculons. J’attendis que la porte fût fermée pour me précipiter aux toilettes. Puis je descendis après m’être soulagée et rafraîchie, rejoindre Philippe et William restés dans le grand salon.
« Alors ma chérie, tu as pu te refaire une santé ? » demanda William en soufflant une importante bouffée de tabac.

J’aimais l’odeur de la pipe et tout particulièrement de ce clan, que William préparait avec du miel et du whisky !

« Justement nous t’attendions pour te parler de l’organisation de votre séjour ! »

Je m’installais dans un fauteuil Louis XV face à la table basse où trônait déjà, du thé, des jus de fruit et des gâteaux anglais dont je raffolais particulièrement.

« Veux-tu du thé ? Oui ? Justin va te servir… »

« Ton tabac sent merveilleusement bon William ! »

« Je te remercie. Bon alors ce soir vous ne dormez pas ensemble, chacun à sa chambre, Philippe est au deuxième et toi tu es au premier… »

« Ah ? Tu nous sépares comme ça ! Au fait pourquoi sur ma porte il y a d’écrit « Lady for ever » ? »

« C’est une longue histoire ! Promis, je te la raconterai ».

« Pourquoi nous sépares-tu ? »

« Cela fait partie des surprises du séjour ma chérie. Nous souperons vers 19 heures dans la grande salle que tu peux voir sur ta droite. Demain nous avons une réception très britannique, nous serons demain soir une vingtaine de participants. Après-demain c’est la super surprise…Mais je n’en parle pas pour l’instant ! »

« Le Prince Charles vient nous voir ? »

« Tutute tu ne le sauras pas ! »

« William j’ai vu que tu avais une écurie, je me suis permis de demander à John de m’y conduire tout à l’heure…Tu veux bien ? »

« Tu es ici chez toi ma chérie, une belle femme comme toi on ne peut rien lui refuser ! »

Je bus mon thé,je n’avais qu’une hâte me dégourdir les jambes et faire un tour aux écuries. William et Philippe étaient déjà plongés dans une conversation sur la situation immobilière en France, programme qui ne m’intéressait nullement.

« Bon les garçons je vous quitte je vais faire un tour dans le parc et aux écuries ! »

William appela en anglais John qui ressortit de l’antichambre dans laquelle il regardait la télévision.

« John ! Tu fais visiter à cette belle blonde le parc et tu la conduis aux écuries. D’accord ? »

John grommela quelques mots toujours incompréhensibles et me fit signe de le suivre. Il était déjà sur le grand perron, dont les escaliers gigantesques, bordés de balustres s’ouvraient vers l’allée centrale. Je constatais que la Jaguar avait quitté sa place et que quelqu’un l’avait mise sur un parking derrière une haie de lauriers.

« On commence par où demandais-je à John. J’aimerais que l’on aille aux écuries tu veux bien ».

« Ouiii madame ».

« Appelle-moi Bibi ! »

« Ouiii madame Bibi ! »

« Tu as quel âge John ? Il y a longtemps que tu travailles ici ? »

« J’ai bientôt 17 ans, je suis né au village là-bas, je travaille ici depuis que ma mère est morte il y a 4 ans ! »

« Il y a beaucoup de personnel au château ? »

« On est 9 en tout dont 3 femmes de ménage et 1 intendante ! »

« Il est magnifique ce château ! »

« Ouiii »

Je suivis John, je m’amusais à regarder ses jambes frêles et son immense short. Nous arrivâmes devant un grand bâtiment principal qui était certainement réservé aux boxes à chevaux. L’odeur de paille et de fumier m’envahit dès que je franchis la porte principale.
Je fus surpris de la propreté de cette écurie, dans les boxes, les chevaux magnifiques se mirent à me regarder. J’étais émerveillée. Je m’approchais d’une barrière et me mis à caresser le museau d’un magnifique Alezan.

« Il s’appelle Janus… » dit une voix venant du fond à droite.

Je tendis la tête pour voir qui m’apportait cette précision. Dans la pénombre je vis un homme de dos en train de nettoyer la litière d’un cheval. Je m’approchais de lui, suivi par John qui en profitait pour verser quelques seaux d’avoine dans les boxes. À la hauteur de la barrière, je vis un magnifique cheval tout noir, que l’homme brossait à présent. Il devait avoir la quarantaine, le béret sur la tête, le visage buriné du lad.

« Comment s’appelle-t-il ? » demandais-je en caressant la tête du pur-sang !

« Bel Horizon ! »

« Il est beau…C’est un pur-sang ? »

« Un vrai de vrai…Vous êtes les amis de Sir William ? »

« Oui on vient d’arriver. Vous êtes le responsable de cette écurie ? »

« Le Palefrenier…Oui je m’appelle JO…Jonathan pour les non intimes ! »

« Moi c’est Bibi ! »

« Je sais Lord William m’a parlé de vous : »

« Ah, En bien, bien sûr ! »

« Bien entendu ! »

« J’aimerais bien entrer le caresser…Je peux ? »

« Soulever le loquet et tirez le vers vous… »

J’entrais quelque peu impressionner de me trouver à côté d’un magnifique pur-sang arabe. Il pencha sa tête vers moi tout en mâchouillant quelques brins de paille. Je tendis la main vers JO qui continuait à brosser le torse du cheval.

« Ne soyez pas surpris ce beau mâle est toujours très sensible quand il voit une femme » me dit il en me montrant le ventre du cheval. En effet son sexe énorme s’étirait laissant apparaître un gland impressionnant et rose.

« Je lui fais cet effet ! »

« Vous comprenez petite madame pourquoi les femmes fantasmes sur les chevaux ? »

J’étais comme tétanisée par ce sexe qui s’érigeait devant moi. Je sentais mon ventre se crisper et une chaleur m’envahir le visage.

« Baissez vous vous verrez mieux ». J’appuyais mes deux mains sur le flanc du pur-sang et me baissai.

« Vous savez qu’il y a des femmes qui font l’amour avec des chevaux ? »

« Non je ne crois pas ! »

L’homme sentait mon émotion et comprit mon excitation à la vue de ce mandrin qui sortait du ventre de Bel Horizon. Une envie folle de saisir dans ma main ce sexe me traversa l’esprit.

« Vous pouvez le caresser si vous le souhaitez…Je vous garantis qu’il aime cela ! »

Je me retins de tendre la main…C’est alors que je sentis l’homme me prendre ma main et la guider vers le sexe tendu d’où je pouvais voir s’écouler un liquide. Le cheval esquiva un pas sur le côté comme s’il comprenait ce qui allait se passer. Ma main étai minuscule dans la large main du palefrenier.

« Non c’est idiot ! Je ne peux pas ! »

« Allez vous en avez envie et personne ne le saura… Quelle femme n’a pas rêvé caresser le sexe d’un cheval..Laissez-vous faire ! »
Je sentis sa main se poser sur mon épaule et j’abandonnais ma main à l’homme qui la posa sur le membre impressionnant du cheval. Au contact je sentis que je me liquéfiais littéralement, mon sexe devenait eau, ma respiration se saccada…C’était impressionnant.
Alors que j’enserrai à moitié ma main sur le sexe du cheval, je sentis la main du palefrenier descendre dans mon dos et se poser sur ma hanche. Je ne pouvais plus réagir, comme sur une autre planète, ma main glissa jusque vers le gland du cheval. La pression de la main de l’homme sur ma hanche se fit plus marquée. Je sentais dans mon cou son souffle chaud. Je ne résistais pas lorsqu’il s’attaqua à la fermeture de mon jean. Quasiment baissée une main sur le flanc dont je sentais sous mes doigts les veines gonflées du pur-sang, l’autre caressant sur toute la longueur l’énorme verge noire, je sentis que l’homme baissait à présent mon jean sur mes jambes, libérant à ses yeux mes fesses blanches et menues.

J’étais dans une phase d’excitation totale, avec une envie indescriptible de me faire prendre là, comme cela par cet homme que je ne connaissais pas.
JO s’accroupit derrière moi afin de baisser mon jean sur mes chevilles. Il posa ses deux énormes mains calleuses sur mes fesses, les prenant ensuite. Je mouillais comme une fontaine, enivrée par cette odeur de foin, de transpiration des chevaux, par ce sexe dont je sentais les palpitations sous ma main. L’homme prit les rebords de ma petite culotte en coton que je portais souvent avant mes règles, puis doucement il fit descendre celle-ci dénudant à ses yeux mes fesses et mon sexe luisant de désir.

« Tu es vraiment belle, j’aime les femmes au sexe rasé ».

Puis sans attendre je sentis qu’il écartait mes fesses, mettant à sa vue, mon petit trou et les premiers abords de ma vulve.
Sa langue se posa sur mon anus, le léchant , l’embrassant. J’aimais qu’un homme me lèche ainsi. Je ne pus retenir un premier orgasme, je l’avais senti me crisper le ventre dans des pulsions terribles, il me coupa en deux au moment où sa langue descendit vers ma petite chatte à la recherche de mon petit clito tout tendu. Philippe aimait mon sexe parce qu’il ressemblait à celui d’une adolescente, mes lèvres sont comme des pétales de fleur. J’aime me les regarder souvent dans une glace, surtout lorsque je m’épile ; la langue du palefrenier fouillait à présent mon sexe, suçant toute la cyprine qui s’en écoulait abondamment. J’aime qu’un homme m’honore de cette façon.

« Tu mouilles super bien, pour un petit cul comme le tien… »

À cet instant présent alors que ma main s’était crispée sur le sexe du cheval, j’avais envie d’une pénétration…Mon sexe était littéralement en feu, la situation présente m’avait excitée au plus haut point. L’homme après m’avoir sucé une nouvelle fois se releva. J’entendis le cliquetis de son ceinturon qu’il dégrafait, puis le zip de sa braguette. J’allais être prise comme cela, par cet inconnu. J’avais envie de remonter ma culotte et me sauver, mais il fallait que l’on éteigne le feu allumé dans mon ventre. Je sentis se présenter entre mes fesses, un sexe que j’estimais impressionnant aussi. Son gland butait contre mon périnée détrempé…Je lâchais le sexe du cheval pour glisser ma main entre mes jambes emprisonnées par mon jean et ma culotte abaissées à mes chevilles. Si je ne le guidais pas il allait me déchirer.
Son souffle court et saccadé résonnait dans le box. Je saisis son membre hors norme et le présentais à l’entrée de ma vulve. Puis des deux mains à présent j’écartais mes deux joues de fesse afin de favoriser sa pénétration. Il me remplit totalement me pénétrant lentement. Bien que mon vagin soit abondamment lubrifié par mon excitation, je le sentais comme un bâton s’enfoncer jusqu’au fond de moi. Je poussais un cri lorsqu’il buta contre le fond de mon vagin distendu. Il mit ses deux mains calleuses sur mes hanches et je sentis ses bourses gonflées contre mon sexe. Il était à présent entièrement enfoncé en moi. J’aimais.
J’aimais cette prise de mon sexe. J’avais envie qu’il ressente combien j’avais à présent envie de jouir d’exploser sur ce membre planté de façon indécente en moi. Puis il se mit à me pilonner. Je sentais très distinctement son gland frotter contre la paroi excitée de mon vagin. Alors qu’il me secouait littéralement dans cette saillie , je pouvais apercevoir entre mes longs cheveux retournés devant mon visage, l’énorme sexe du cheval en érection. L’image intermittente, du sexe à ma vue et des poussées extraordinaires de l’homme déclenchèrent un nouvel orgasme, terrible dont je ne pus retenir un cri aigu. L’homme me besognait, frappant son ventre contre mes fesses, je sentais entre mes jambes battre ses bourses pendantes…J’avais envie de le sentir exploser en moi…Il accéléra le rythme me faisant comprendre qu’il était au bord d’une jouissance spectaculaire.
Mes fesses menues étaient défoncées par ce membre que je sentais prendre des proportions incroyables. Puis il me plaqua en poussant un cri rauque contre son ventre enfonçant au plus profond de mes entrailles, je sentis un soubresaut et il éjacula au fond de mon vagin avec une puissance que j’avais peu connue chez un homme. Il n’arrêta pas de me combler de son sperme qui tapissait avec une infinie douceur mon sexe enflammé. J’éclatais dans un nouvel orgasme qui me coupa le souffle. Les deux mains appuyées sur le flanc frissonnant du pur-sang lui-même excité par cette saillie sous ses yeux, je dégustais cette explosion.

C’était un pied incroyable que je venais de prendre alors que j’étais loin d’imaginer que cette situation particulière pouvait arriver. Je sentis le palefrenier se retirer de moi. Je me redressais et je sentis son sperme couler en longues dégoulinades de mon sexe et s’écraser sur ma petite culotte. Je mis ma main sous mon sexe afin de retenir le liquide qui à présent était de plus en plus abondant. Je lui demandais s’il n’avait pas un mouchoir avec lui afin que je puisse m’essuyer les fesses. Il me tendit alors qu’il avait déjà rajusté son pantalon de velours , un morceau de papier toilette. J’essuyais ce que je pouvais. L’odeur du sperme remontait jusqu’à mes narines. Je fis comme une couche avec un grand morceau de papier et je replaçais ma culotte . À cet instant j’entendis comme un ahanement venir de la porte du box et levant les yeux médusés je vis John, le sexe à la main, l’agitant dans une branlette me fixant de ses yeux exorbités. L’homme et moi nous avions oublié la présence de John à nos côtés…Il se branlait de plus en plus vite dégageant parfois un jeune sexe d’une grandeur très moyenne…John avait regardé notre saillie et voulait s’apaiser. Avant de refermer mon Jean, je l’entrouvris en le regardant, puis j’abaissais ma culotte blanche dévoilant mon pubis où seuls quelques poils blonds l’ornaient. Il me fixait avec frénésie, agitant sa main .Je savais que cela allait l’exciter et le faire jouir…Ce qui arriva, je vis un jet blanchâtre exploser de son gland et atterrir devant lui sur la paille. Il expulsait en trois jets une dose que j’estimais impressionnante de sperme. Lui aussi avait droit de prendre son pied.
Je m’approchais de lui alors qu’il remettait son sexe dans son short.

« Promets-moi John que tu ne diras à personne ce que tu as vu…Promis »

« Ouiii madame ».

Je me retournais vers l’homme qui avait repris son brossage de Bel Horizon.

« Je compte également sur votre discrétion ? »

« Vous pouvez compter sur moi et vous pouvez revenir quand vous voulez ! »

« Peut être : »

Je demandais à John de me faire à présent visiter le parc. L’odeur du sperme qui se séchait dans ma culotte pouvait trahir mon faux pas. Il fallait que je puisse rejoindre ma chambre sans que William ou Philippe me croise. John me fit comprendre qu’il y avait une entrée latérale qui menait au premier.

« Tu as déjà vu des gens faire l’amour comme cela John ? »

« Non Madame, mais vous êtes vraiment très belles »

« Tu te caresses souvent comme tu l’as fait devant moi ? »

« Quand je suis seul dans ma chambre »

« Tu as de quoi à présent meubler tes fantasmes… »

« J’aimerais bien vous revoir faire l’amour comme ça ! »

« Peut-être…Mais à présent montre-moi le parc s’il te plaît. »

À suivre…

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