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L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie. Elle se passe en Juin 2004 lors d’un séjour en Casamance, au Sénégal. Ce déplacement professionnel de deux jours je le cumulais avec 15 jours de vacances.
Cette année-là nous avions, Brigitte et moi, pris la décision d’aller passer 15 jours dans un village club, non loin du fleuve de la Casamance, village doté d’une vue merveilleuse sur une plage d’or au sable brûlant.
Voilà deux jours que nous nous sommes installés dans ce complexe hôtelier, dans un petit bungalow en retrait de la piscine. Un vrai paradis de calme et de paix s’offre à nous et nous avons profité au maximum du soleil et de la plage depuis notre arrivée.
Ce soir nous nous retrouvons comme tous les soirs autour de la piscine, où sont disposées les tables de chaque participant, avec le buffet garni à l’extrémité de la piscine. Des flambeaux sont allumés et agrémentent chaque chemin et sentier conduisant aux différents bungalows.
Comme avant chaque repas un groupe folklorique sénégalais nous fait une démonstration de danse typique, puis c’est le tour d’un orchestre de nous animer la soirée. Il fait merveilleusement beau ce soir et la lune pleine illumine les sommets des cocotiers et se reflète sur l’océan.
Chaque table est attitrée et nous avons la nôtre près de la paillote centrale. Ce soir Brigitte est en beauté, robe blanche sur un corps déjà hâlé. Elle est merveilleusement belle.
Grande, mince les yeux bleu clair et les cheveux blonds très longs tombant sur ses épaules.
Cela fait plus de vingt ans que nous nous connaissons et notre vie sentimentale est déjà pleine d’aventures. Brigitte est une femme qui attire le regard des hommes. Elle le sait et en joue avec beaucoup de charme. Nous sommes tous les deux très complices. Nous aimons l’amour et nous aimons particulièrement le sexe. Ce qui nous a conduits à vivre parfois des aventures peu communes dont celle que je vais vous raconter et qui est l’une de nos plus piquantes et excitantes.
Nous nous étions servis au buffet une entrée de crevettes de la Casamance et de salade de poissons. C’est bien souvent à table que nous en profitions, pour faire nos petites confidences. Nous aimions particulièrement ces moments intimes et feutrés. Ce soir je sentais bien que Brigitte était absorbée par ses pensées.
« Dis-moi Philippe…Je peux te dire quelque chose ? »
« Oui, bien sûr…J’écoute ! »
« Ce soir je suis chaude et j’ai envie de réaliser un fantasme…Mon fantasme ! »
« Je savais que tu me couvais quelque chose… »
« C’est mon tour à moi d’avoir un fantasme. »
« Oui… »
« La dernière fois c’était toi…Ce soir j’ai mon envie…..à moi ! »
« C’est quoi ton envie ? »
« Je n’ai jamais fait l’amour avec un black…Et j’aimerais ce soir essayer.. »
« Ah… »
« Tu respectes nos accords… Philippe…On est bien d’accord ? »
« Pas de problème…Et sur qui tu as jeté ton dévolu ? »
« J’ai remarqué que notre chauffeur cet après-midi n’avait d’yeux que pour moi… »
« Tu veux dire Demba ? Je n’ai rien remarqué… »
« Tu sais, nous les femmes on ressent tout… »
« Et comment comptes-tu assouvir ton fantasme ? » Demandais-je le cœur en chamade
« C’est toi… mon cœur qui va faire le plan…Ce soir »
« Moi ?…mais comment ? »
« Tu vas tout simplement aller voir Demba et lui dire que j’ai envie de faire l’amour avec lui ! »
« Ben voyons ! »
« Tu n’as pas à avoir de crainte Demba ne s’en étonnera pas ! Crois-moi… »
« Et je lui dis quoi…Quel est ton plan ? »
« Ce soir tu lui dis qu’il me retrouve près de la pirogue cassée au bout de l’anse à 23 heures ».
« Et moi ? »
« Toi tu vas te cacher sous la pirogue et tu ne feras pas de bruit…Promis ? »
Je sentais monter, rien qu’à cette idée de mater le spectacle, une dose importante d’adrénaline dans mon corps. J’en tremblais.
« Tu as tout prévu ! »
« Alors Demba est là-bas près du bar…Tu vas le voir et tu lui expliques mes envies. Allez ! »
Je me levais quelque peu ému par cette mission et à l’idée d’aller dire à notre chauffeur que je lui prêtais ma Brigitte ce soir…Mais nous avions nos accords et je me devais de les respecter.
Je me dirigeai vers le bar. Me voyant arriver, Demba se leva avec un grand sourire. C’était un véritable colosse, beau, des mains puissantes et son arme était ce sourire d’où émanait une grande sympathie.
« Bonsoir Monsieur Philippe…Que puis je pour vous ? Vous désirez un punch ? »
« Bien volontiers ! » Lui répondis-je.
Ce punch ne pouvait que me donner du courage et j’en avais besoin.
Demba revint avec deux punchs coco et prit une chaise en face de moi.
« Demba…Mon ami, j’ai un service à te demander… »
« Pas de problème Monsieur Philippe…Que puis-je pour vous ? »
« Mon amie, Brigitte que tu connais…M’a chargé d’une mission auprès de toi ».
« Ah ? »
« Voilà…Elle aimerait ce soir faire… (Ma gorge se serrait) elle aimerait faire l’amour avec toi . Elle m’a charge de te demander de la retrouver près de la pirogue cassée à 23 heures… »
« J’en suis flatté, Monsieur Philippe…Mais c’est votre femme ! » dit-il étonner par ma démarche.
« Nous avons nos accords entre Brigitte et moi…Sois sans crainte. Elle a senti que tu t’intéressais à elle. N’est-ce pas ? »
« C’est une belle femme…Je l’apprécie en effet beaucoup ».
« Il en est de même pour elle, et je peux te dire qu’elle aime faire l’amour ».
« Vous pouvez lui dire que pour moi c’est okay , Monsieur Philippe ! »
Je quittais Demba les jambes flageolantes et je partis rejoindre Brigitte à notre table en pleine discussion avec une femme que je ne connaissais pas qui devait avoir dans les 45 ans.
« Je te présente Florence…Philippe mon ami. Florence est la femme de ce Monsieur que tu vois là-bas et qui est un industriel anglais en vacances comme nous ».
« Enchanté ». Je lui serrais la main tout en cherchant des yeux son époux. C’était un homme qui devait avoir la soixantaine, très distingué.
Florence nous salua et repartit rejoindre son époux à sa table.
« Je me suis fait une copine. Alors comment s’est passée ta mission ? J’ai vu que tu as bien sympathisé avec mon black ? »
« C’est un mec sympa… Une véritable armoire à glace ! Tu es sûre qu’il peut te convenir ? »
« Tu en auras la primeur…Tu pars avant moi et je te rejoins dans quelques minutes le temps de terminer ce délicieux dessert. Tu en veux ? »
« J’ai besoin de force ! Je crois que le spectacle sera très…Angoissant ».
« Chacun son tour d’avoir ses fantasmes mon cœur ! »
Après avoir terminé mon dessert, je me levais et je descendis vers le porche en bois qui donne sur la plage tout en veillant que Demba ne s’aperçoive pas de ma direction vers l’anse de la pirogue brisée.
Ce soir la lune était magnifique, l’océan était calme presque d’huile et le ciel était constellé d’étoiles. L’air chaud venait du large et apportait une agréable odeur d’algues et d’iode.
La pirogue cassée était à bien huit cents mètres de l’hôtel . Je constatais que l’endroit était désertique. Je regardais ma montre. L’heure du rendez-vous était proche et je me devais de me glisser rapidement sous la pirogue. J’avais en effet une vue horizontale de la scène et je me dis que je ne pouvais ne pas manquer le spectacle qui allait s’offrir à mes yeux. Le ressac de la mer rythmait l’atmosphère.
On y voyait comme en plein jour, la lune brillait de ses milles torches. C’est à cet instant que je vis arriver au loin Brigitte dans sa belle robe blanche, ses longs cheveux blonds libérés sur ses épaules. Elle était aux côtés de Demba. Ils se dirigeaient vers la pirogue. Seule Brigitte savait que j’étais là. Puis j’entendis très clairement leur conversation à mesure qu’ils se rapprochaient.
Mon cœur battait si fort, que je me dis qu’ils pourraient l’entendre. J’angoissais. A cinq mètres de la pirogue Brigitte s’arrêta et se retourna vers le noir.
« J’ai envie que tu m’embrasses ».
Demba ne se fit pas prier. Je savais ce que déclenchait chez Brigitte un baiser…C’était le détonateur de toute sa sensualité. Demba la prit dans ses bras et je pus constater à quel point elle paraissait malgré sa taille, minuscule dans les bras de ce colosse. Je ne vis que ses cheveux blonds qui dépassaient du bras du noir, ses mains énormes plaquées sur son dos. Elle se donnait à un long baiser. Puis je vis la main de Brigitte descendre le long du flan du Noir, et s’arrêter sur sa cuisse puissante. Toujours liée à lui dans ce long baiser, qui me semblait interminable, je la vis glisser sa main entre leurs deux ventres et se poser sur la bosse que faisait son sexe dans son pantalon. Je savais qu’à ce moment elle était excitée au plus haut point. Elle caressait sur le tissu un sexe qui ne demandait qu’à être libéré de sa prison. Elle s’attaqua avec habileté à la ceinture du pantalon de Demba qui s’était quelque peu écarté afin de lui faciliter la tâche.
La ceinture détachée elle réussit sans mal à descendre la fermeture éclair et elle reprit sa caresse au-dessus du slip blanc que portait Demba. Je la sentais haleter alors qu’elle plaquait sa tête sur le large buste du noir. Là elle ne tint plus et glissa sa main dans le slip à la recherche du membre. Elle le sortit et là, je vis un sexe d’une taille impressionnante noueux ériger entre leurs deux ventres. Demba pétrissait à présent de ses larges mains les fesses de Brigitte tout en essayant de remonter sa robe. La main de Brigitte semblait enfantine sur ce sexe énorme et déjà gonflé de désir. Elle le caressait, comme si elle voulait encore en augmenter la taille et le volume. Puis elle recula afin de baisser sur ses chevilles le pantalon du noir, dévoilant ainsi des cuisses d’une musculature d’athlète. Demba se débarrassa de son pantalon d’un coup de pied. Brigitte s’attaquait à présent à descendre le slip blanc dévoilant la totalité du sexe noueux dont un gland tout aussi impressionnant finalisait. De l’endroit où j’étais je pouvais distinguer très facilement les moindres détails de la scène. Mon cœur n’arrêtait pas de battre la chamade comme les tambours des musiciens de tout à l’heure. Mes yeux étaient comme rivés sur ce que je voyais.
À cet instant Brigitte se recula d’un pas. Elle était belle ma Brigitte. Je la sentais excitée à souhait à la vue de ce sexe géant, érigé comme un pieu devant elle, pour elle. C’est alors qu’elle se débarrassa de sa robe blanche en la faisant passer au-dessus de sa tête et elle la jeta près du pantalon de Demba.
Elle resta ainsi devant lui dans sa minuscule petite culotte blanche. Elle faisait gamine à côté de ce géant. Puis sans hésiter, elle abaissa sa culotte et d’un coup de pied comme l’avait fait le noir, elle la lança sur le sable. Elle était à présent nue face à Demba qui la contemplait le sexe palpitant. Il pouvait tout comme moi, voir ce ventre plat splendide et ce pubis que j’aimais tant, orné d’une toison parfaitement entretenue. Brigitte prenait un soin particulier à épiler son sexe. Elle ne gardait qu’un mince filet de poils, large comme un doigt sur son pubis. Le noir était comme fasciné à cette vue d’un sexe aussi beau garni à sa base de fines lèvres qui s’ouvraient comme les pétales d’une fleur lorsqu’elle était au paroxysme de son excitation.
Ils restèrent quelques secondes à s’admirer ainsi et à se désirer, puis Brigitte se rapprocha de Demba et s’accroupit devant lui face à son sexe. Elle l’enserrait de sa main. Je me dis qu’elle ne pouvait pas l’introduire dans sa bouche tant le gland était impressionnant. Elle le caressait à présent dans un lent va-et-vient approchant sa bouche vers la turgescence qu’elle regardait avec admiration. Elle allait enfin réaliser son fantasme. Je la vis tendre le bout de sa langue et effleurer l’extrémité du gland de Demba. Pas une parole ne s’échangeait entre eux. Seul le ressac de l’océan berçait le profond silence.
À présent Brigitte léchait le contour du gland qui palpitait devant sa bouche. Le noir légèrement renversé en arrière, les yeux fermés attendait l’hommage de cette belle femme blonde à sa virilité. Lorsque je vis la bouche de Brigitte s’ouvrir et faire pénétrer le gland dans sa bouche je compris qu’elle était à présent déterminée à lui offrir le plaisir qu’il attendait. À cet instant j’entendis Demba laisser échapper un profond soupir de plaisir. Il remonta ses deux mains puissantes derrière la frêle tête blonde de mon Brigitte et lui imprima des poussées régulières afin que le va-et-vient de sa bouche sur son sexe lui apporte un maximum de plaisirs. La fellation était un point fort de Brigitte…
« J’aime sentir un sexe d’homme dans ma bouche, me disait-elle souvent comme vous les hommes vous aimez déguster le sexe d’une femme et jouer de votre langue ».
À cet instant je savais que Brigitte ressentait dans son ventre les pulsions du désir. Je la voyais nue devant moi, cambrée sur ses talons avec dans sa bouche un monstre de sexe que seuls les noirs ont l’avantage. Je n’en avais jamais vu de ma vie. J’en avais la confirmation à cet instant. La salive de Brigitte faisait briller le membre et j’entendais avec netteté les sussions et les claquements que faisait le sexe en sortant de sa bouche lorsqu’elle reprenait sa respiration.
Le noir était tétanisé de plaisirs comme une statue. Il se laissait faire, pris de délice.
« Non arrête lui dit-il…C’est à moi maintenant ». Il se retira de la bouche de Brigitte quelque peu frustrée de cette décision. Il se pencha vers elle et la prit dans ses bras et la déposa délicatement sur le sable prenant soin de glisser son pantalon sous la tête de Brigitte et sa robe sous ses fesses. Puis il l’embrassa à nouveau avec avidité laissant glisser ses mains sur ce corps offert. À cet instant il descendit sa tête vers le pubis de Brigitte. Il prit ses deux jambes qu’il ramena sur son ventre exposant à ses yeux un sexe d’une réelle splendeur et luisant d’excitation. Il l’admira un instant et plaqua sa bouche sur sa vulve dont les lèvres gonflées de plaisir s’ouvraient, libérant la douceur de son intimité à la langue puissante du noir. Brigitte laissa échapper un cri de plaisir à cet hommage de cet homme à son sexe. Je savais qu’elle ne tarderait pas à jouir.
Je la connaissais par cœur ma Brigitte…Elle plaqua sa main contre sa bouche, comme pour étouffer le spasme qui montait en elle. Sa tête allait de droite à gauche, bouche ouverte elle sentait la jouissance envahir le bas de son ventre et remonter le long de sa colonne vertébrale. Jambes largement écartées vers le ciel, elle s’ouvrait au maximum à cette bouche avide qui la ravissait au sommet de son désir. À cet instant, elle fut secouée par un orgasme puissant. Elle leva inconsciemment son bassin vers cette bouche qui lui donnait tant de pulsions . Elle ne put retenir une succession de cris de femelle atteinte par la magie de cette langue qui s’enfouissait de plus en plus profondément dans son intimité. Je vis alors le noir glisser sous ses fesses sa main et tout en maintenant sa bouche plaquée sur sa vulve, il enfonça son index dans l’anus dilaté de Brigitte sans qu’elle se retire. Cette action lui provoqua un deuxième orgasme tout aussi puissant que le premier…Encore et encore le noir dégustait toute la liquidité qui s’écoulait du sexe gorgé de cette femme offerte à ses initiatives.
C’est alors que mon attention fut attirée par une ombre que je remarquais accroupie à quelques mètres du couple en pleins ébats. A priori un homme était en train de mâter et se délecter de la scène qui se passait devant lui. D’où il était il ne pouvait voir que les fesses de Demba et les jambes écartées de la femme blonde. Lorsqu’il se releva pour mieux appréhender le spectacle, je vis que c’était un noir adolescent mince. Il devait avoir une quinzaine d’années tout au plus. Il était vêtu d’un t-shirt blanc et d’un jean. Le couple ne s’était aperçu de rien. C’est alors que j’entendis pour la première fois Brigitte s’adresser à son noir.
« Viens. Viens en moi. Quand j’ai joui comme cela, j’ai besoin d’être pénétrée. Viens..je t’en prie ».
Se relevant sur ses genoux je revis l’énorme sexe de Demba relevé vers le ciel. Je me dis qu’il ne rentrerait jamais dans l’étroit conduit de Brigitte. Celle-ci écarta à nouveau les jambes prenant appui sur ses talons dans le sable, le sexe offert, brillant de salive et de jouissance.
Le noir s’approcha de son ventre tenant son membre gonflé d’une main et le présenta à l’entrée des lèvres ouvertes et résignées. Je le vis très nettement présenter son gland entre la vulve et l’enfoncer délicatement déclenchant un râle sourd de Brigitte. Elle se sentait à cet instant comblé. Elle replia sur le dos large et musclé du noir les jambes, l’attirant ainsi afin qu’il la pénètre dans le plus profond de son vagin distendu.
« Viens…Viens-je t’en prie »
Demba à présent s’enfonçait en elle presque à la verticale, pilonnant avec expérience le ventre excité de cette femme offerte à ses assauts. L’adolescent se redressait par moments pour mieux mâter cette prise de possession. C’était bien un adolescent au corps frêle dont je distinguais mal son visage du fait de l’angle de vue.
Brigitte poussait de petits cris qui m’indiquaient que son plaisir allait se transformer en orgasme dans peu de temps. Il éclata au moment ou le noir sentit monter en lui dans son ventre une pulsion extrême. Sa verge devait se tendre au plus profond du vagin lorsqu’il éclata dans un râlement incroyable. Je compris qu’il déversait de longs jets de sperme alors que Brigitte balayée par un orgasme puissant s’agrippa à la tête du noir, accueillant avec émerveillement cette semence chaude et voluptueuse dans sa plus grande intimité.
Un instant ils restèrent collés l’un à l’autre à rechercher leurs souffles. La jouissance les avait fauchés comme une tornade.
« Tu es un Dieu Demba lui dit-elle en respirant par saccade…Tu m’as donné un plaisir fou ».
« Toi aussi » dit-il, en se retirant du sexe de Brigitte. « Tu as une chatte merveilleuse ».
D’où j’étais je vis le sexe noueux, luisant, à demi tendu, se coucher sur la cuisse musclée.
« Puis-je te demander à mon tour quelque chose », demanda Demba
« Tout ce que tu veux, ce soir je suis à toi ».
Demba se redressa sur son coude et je vis qu’il se retourna vers l’ombre de l’adolescent pratiquement plaqué sur la plage.
« Je voudrais que tu inities mon neveu .Il est là et n’a jamais fait l’amour de sa vie. Tu es belle, il est jeune et beau, j’aimerais que tu lui apprennes les sensations pour qu’il devienne un homme. Tu es la femme idéale pour cette initiation ».
« C’est un enfant Demba ? Où est il ? Quel âge a-t-il ? »
« L’âge de devenir un homme. Acceptes-tu ma demande ? »
« Où est-il » s’inquiéta Brigitte se redressant sur ses coudes.
« Karim approche…Viens », cria Demba vers l’adolescent qui, intimidé, eut quelque peine à se décider d’approcher.
« Brigitte je te présente Karim… »
L’adolescent approcha très intimidé vers le couple nu. Il ne décrocha pas son regard du ventre et du sexe de Brigitte et vint se planter devant elle.
« Tu es beau » lui dit Brigitte. Elle remarqua la bosse qui déformait le Jean de Karim. « Tu nous as vus faire l’amour ? »
N’osant répondre, intimidé et se sentant coupable d’avoir ainsi maté les ébats il hocha simplement de la tête. Demba souriait à cette situation.
« Allez montre ton sexe.. » Lui ordonna Demba.
Puis s’approchant de son neveu il entreprit de dégrafer son Jean, de lui abaisser celui-ci sur les genoux ainsi que son slip dévoilant un sexe à demi tendu et fluet.
Brigitte regarda l’adolescent immobile et se mit sur ses genoux.
« Viens, approches toi », lui dit-elle doucement. L’ado fit un pas quelque peu embarrassé par son jean et son slip baissés sur ses chevilles.
« Retire ton pantalon » lui demanda Demba. Karim s’exécuta.
À genoux Brigitte tendit la main vers le sexe ainsi offert et l’enveloppa de sa main le décalottant et libérant un gland qui commençait à prendre des proportions plus appropriées. Elle le branla lentement sentant dans sa main se durcir la jeune verge.
« Viens lui » dit elle en l’attirant vers elle.
Elle le lécha avec précaution puis elle l’engloutit dans sa bouche. Les proportions n’étaient pas les mêmes que celles de Demba tout à l’heure. Elle s’appliqua à lui faire une douce fellation. À présent le sexe du jeune homme était à sa dimension maximale, offert à la chaude caresse de cette bouche de femme dont il désirait tant le corps.
Excité par la scène de tout à l’heure, il ne tarda pas à sentir monter en lui une sève puissante et chaude comme un torrent. Brigitte savait ce que cela voulait dire et elle n’eut pas le temps de reprendre sa respiration que Karim explosa en longues saccades dans sa bouche l’inondant de sperme qu’elle se mit à avaler sans hésitation en s’appliquant à recueillir les derniers soubresauts. Je vis alors que sur le côté Demba se masturbait. Le sexe à nouveau était en érection totale.
Karim n’avait pas bronché pendant qu’il jouissait. Seule sa bouche grande ouverte montrait son plaisir son premier plaisir avec une femme, blanche de surcroît. Alors Brigitte lécha et suça une dernière fois son gland d’adolescent, tout en le regardant de bas en haut, contemplant ainsi l’effet qu’elle faisait à ce jeune black inconnu. Celui-ci, sans se démonter lui dit :
« Moi aussi je veux aller dans vous Madame ? »
« Tu sais je suis remplie du sperme de ton oncle. Tout comme toi vous avez tous les deux de sacrées doses… »
« Fais-lui ce cadeau, dit Demba qui continuait à se masturber excité par cette scène ».
Alors Brigitte se retourna et se mit dans le sable à quatre pattes, tournant sa croupe rebondie et cambrée vers Karim offerte aux yeux et au désir du jeune black.
« Je dégouline de partout », dit-elle en posant sa tête sur ses bras tendus devant elle… « C’est affreux. Je n’ai jamais eu de ma vie autant de sperme dans ma chatte ».
Karim qui n’avait pas débandé malgré sa jouissance, vint se coller contre les fesses tendues et offertes de Brigitte. Elle passa sa main sous elle pour saisir le jeune membre et le guider vers l’entrée de son sexe. C’est alors que je vis Demba se rapprocher de ta tête de Brigitte tenant son sexe à pleine main.
« Prends moi aussi dans ta bouche… »
Brigitte tourna la tête vers le membre à nouveau énorme qui se présentait à sa bouche alors qu’elle sentit Karim crisper ses deux mains sur chacune de ses fesses et s’enfoncer dans son sexe dégorgeant de sperme.
Elle ouvrit la bouche et s’offrit une nouvelle fois à faire une fellation, pendant que son neveu se dépucelait dans son ventre.
Elle sentait monter en elle une excitation particulière qui signifiait qu’elle allait à nouveau avoir un orgasme violent. Elle sentait que Karim crispait encore plus ses fesses alors qu’il allait et venait en elle plus rapidement.
Son orgasme la surprit au moment où le jeune Karim explosa dans le fond de son vagin la remplissant à nouveau de longues giclées de sperme. Puis elle se remit à sucer le sexe de Demba excité par ce duo, il explosa à son tour dans la bouche de Brigitte rapidement éclaboussant sa joue.
Karim ne s’était pas retiré d’elle. Il restait comme prostré sentant couler sur ses cuisses le sperme qui s’échappait du ventre de la femme qu’il venait de posséder pour la première fois.
De mon côté je m’étais masturbé en silence, le cœur battant sous ma pirogue et me dis que le fantasme de Brigitte ce soir sous ce clair de lune avait été à son comble .Reprenant mon souffle je la vis courir vers l’océan et se jeter à l’eau afin de se laver de tout ce sperme qui l’avait honoré de façon exceptionnelle. Nous avions réalisé pour notre plaisir un fantasme extraordinaire. Nous en parlons encore souvent de cette expérience. Mais notre séjour en Casamance n’était qu’à son début.
À suivre…
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