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Nous avons dû en Mai 2005 Brigitte et moi prendre le train pour aller en Belgique chercher une voiture ; une Jaguar de toute beauté achetée, candide, sur internet via E bay. Je suis un amoureux fou des Jaguar. C’était ma 3 éme . Je me suis fait une fête de me faire ce petit cadeau, d’autant peu que le prix d’achat était fort attractif et convenait à mon budget.
Le véhicule que je devais aller chercher était à Charleroi. J’avais fixé rendez-vous au garagiste quelques jours auparavant.
En fait, Brigitte et moi nous avions projeté de partir vendredi, de récupérer ma Jaguar puis de redescendre en France par la côte tranquillement, histoire de se familiariser avec celle-ci. Brigitte ma secrétaire, et moi comme directeur, je m’étais dit que quelques jours de repos nous feraient le plus grand bien.
En arrivant à Charleroi, une gare d’une tristesse pas possible, nous prîmes un taxi pour aller jusqu’au garage. J’avais quelque peu d’anxiété. Je me demandais, si cette transaction était bonne ou mauvaise…Les Belges dans le domaine du trafic de voitures sont réputés jusqu’aux confins du Sahara et bien au-delà du Kalahari !
En arrivant devant la vitrine du garage, nous fûmes quelque peu rassurés. Le garage avait pignon sur rue. Ce qui n’était pas négligeable !
En entrant dans le hall « show room » du garage, je reconnus ma Jaguar bleu marine intérieur cuir blanc, un vrai bijou ! Elle était magnifique .Je m’approchais d’elle suivi de Brigitte, ses grands yeux bleu clair admiratifs et grands ouverts.
Je me penchais par la portière pour en admirer l’intérieur et faire une rapide inspection. Nickel !
« Elle vous plaît une fois ? » Me demanda une voix grave venant du fond du hall.
Surpris, je me retournais et vis un homme derrière un bureau, encombré de canettes de bière et de cendriers remplis à ras le bord.
Les deux pieds posés sur le bureau, une canette à la main et un téléphone portable à l’oreille ,
Je découvrais un homme d’une quarantaine d’années, les cheveux très courts pratiquement rasé à la Bartès !.
« C’est toi le français », me dit-il avec un grand sourire, entre deux mots au téléphone ?
« C’est toi le Belge ? » répondis-je sur le même ton, surpris par le tutoiement du garagiste.
« C’est en effet moi le Belge », répondit-il en nous montrant les deux fauteuils en face de lui.
« Enchantés ! »
« Asseyez-vous les amis, je suis à vous. Je termine avec ce client râleur et je suis à vous, promis…Vous voulez une bière, un café, un thé ? »
« Je veux bien un thé », répondit Brigitte
« Moi un café…Dis-je surpris par le bazar qui régnait sur le bureau.. »
« Je vous commande cela tout de suite, dit-il en hurlant après sa secrétaire…Tu te magnes un peu au lieu de faire la belle avec mes mécanos…Mes clients ont soif ! »
La conversation avec son client, a priori sur une voiture de Rallye, semblait très chaude. Brigitte et moi étions quelque peu gênés d’assister à cette prise de tête et soulagés lorsque la secrétaire rondelette à souhait, certainement à cause d’excès de frites et de bière, nous apporta notre collation, agrémentée de célèbres « Spéculos ».
« Je suis à vous mes amis ! Pas trop fatigués par le voyage ? »
« Un peu..mais bon ! » répondis-je
« C’est ta femme ? Me demanda-t-il en regardant Brigitte entre deux rasades de bière
« Oui..mon amie. Nous ne sommes pas mariés ».
« C’est pareil ! Tu sais le mariage…Pfft, c’est dépassé crois, moi, d’expérience ».
« Chacun peut avoir son opinion ! »
« Tu t’appelles comment belle jeune femme ? »
« Brigitte », répondit-elle quelque peu surprise et intimidée par l’aisance du garagiste
« Tu es belle Brigitte ! » Puis il partit dans un grand éclat de rire.
« Merci ».
« Alors Brigitte, tu aimes la belle auto que ton homme a achetée ? »
« Je vous dirai cela quand on l’aura essayé ! »
« C’est une belle mécanique, c’était un pépère de Mons qui l’avait. Il l’a bichonné mieux que sa femme ! Ah ah ah »
Décidément l’humour belge était très particulier.
« Bon voilà les clés de ta voiture…Les papiers…La garantie…La carte grise provisoire. J’ai fait mettre 4 pneus neufs…Tu n’as plus qu’à faire ton chèque de solde et tout va bien ! »
« C’est sympa ! Merci ».
« Vous connaissez la Belgique ? »
« Moi j’y suis venu deux ou trois fois, surtout à Bruxelles »
« Et moi mon père est d’origine belge », précisa Brigitte.
« Tu es presque une enfant du pays, toi, une fois ! »
« Si on veut ! Mon père est né à Menin, puis après la guerre il s’est installé à Lille. Il est devenu à ses 20 ans boulanger à Reims ! Moi je suis née à Reims. »
« Super…Superbe. Et avec la belle auto, vous allez passer quelques jours en Belgique j’espère ? »
« Non. Répondis-je. Nous n’avons rien réservé et puis nous pensons redescendre en longeant la côte Belge ».
« C’est dommage ! Excusez-moi c’est ma femme qui m’appelle : pardon mon intendante !
Ah haha ah !!! »
« Je vous en prie »
Le Belge parlait fort, tout en ouvrant une nouvelle canette de bière écrasant l’ancienne entre ses doigts.
« Chérie…Je suis avec nos deux petits Français…Tu sais.. ; Ceux qui ont acheté la Jag de Moisson… »
« …. »
« Non…Ils rentrent en France ce soir ! »
« …. »
« S’ils veulent connaître le nord ? Attends je leur pose la question. Ma femme me demande si vous ne voulez pas venir passer le week-end chez nous à Knokke ? »
« Ben…C’est que… »
« Ça vous plairait de connaître une belle station ? Vous connaissez Bruges ? »
« Non pas du tout ! Répondîmes en chœur Bibi et moi »
« Chérie, tu prépares à nos amis la chambre des parents…Ils sont sympas nos Français..comme cela, ils pourront tester leur belle auto !! »
« Nous ne voulons pas vous déranger ! »
« Dis donc le Français…En France c’est toi le patron en Belgique une fois…C’est moi ».
« Si vous…Tu le dis ! »
« Allez tutoies moi…En Belgique c’est une tradition ! » dit-il en aspirant de sa canette une grande rasade de bière belge. Chérie, tu réserves au restaurant chez Josiane en face de l’appart…Okay ma poule ? Pour 20 heures…Le temps de se retourner ».
« Voilà une organisation à la belge…Vous allez connaître notre Belgique…Il est 5 heures nous en avons pour 200 Kms…Josiane ma femme est déjà sur place depuis tantôt…J’ai deux, trois coups de fil à passer…Je fais sortir du « show room » votre belle auto et on file…Au bord de la mer ! Vous avez des bagages ? Je fais faire le plein, mon cadeau ! »
« Oui ».
« Allez les mettre dans le coffre…J’arrive tout de suite ».
Le chef d’atelier sortit la Jag. Je me délectais du son que produisait le moteur. Le 6 cylindre était feutré. J’avais gardé un très bon souvenir de mon coupé V12…Une bombe. Je savais que Brigitte n’était pas très Jaguar et que ses préférences allaient à Mercedes.
Mais elle avait été séduite par la ligne de ce très beau Sovereign bleu marine. Notre baptême se fit sous la pluie. En ce mois de mai le printemps n’était pas au rendez-vous.
« Au fait je ne me suis pas présenté… » dit le Belge en se dirigeant vers son cabriolet gris foncé un 500 SL de toute beauté… « Moi c’est René ! »
« Moi c’est Phil…Philippe…Et Brigitte… »
« Bienvenue en Belgique…Je passe devant…Nous allons prendre l’autoroute tout de suite à gauche en sortant à nonante mètres ».
« Si on se perd ? Avec cette pluie ? Je ne connais pas la route ! »
« Tu gardes ton GSM ouvert…Comme moi, okay ? »
Nous grimpâmes dans la Jag, je réglais mon siège. Brigitte fit le tour d’horizon de la place passager. Vide-poches, thermostat, miroir de courtoisie…
« Elle te plaît ? »
« Superbe.. ; Elle est très confortable… »
« En route…L’aventure nous attend ! »
« Tu le trouves comment le René ? »
« Spécial, mais sympa…On ne se connaît pas et il nous invite à passer le week-end chez lui à Knokke…On verra bien de toute façon nous avons quelques jours devant nous ! »
« Elle est belle sa Mercedes ! »
« Dis donc tu as remarqué comment il te mate ? »
« C’est un homme à femmes…Cela se sent ! »
« Ahhh il te branche ? »
« Pas spécialement…Il est plutôt bel homme, tu ne trouves pas ? »
« Tu sais moi les mecs !!! »
Nous arrivâmes après un peu plus de deux heures de route à Knokke. La pluie entre-temps avait cessé. Il faisait nuit lorsque je garai ma Jaguar sur le parking de la résidence de René.
« Venez ! Je vais vous présenter à ma Josiane.
Nous grimpâmes dans l’ascenseur. L’immeuble semblait luxueux.
« Nous sommes à 150m de la plage…Nous irons faire un tour sur la levée, tout à l’heure en allant à notre restaurant ».
Au troisième nous attendions sur le palier, Josiane. Grand sourire d’accueil, belle, mince, brune, bien faite, d’un premier coup d’œil j’estimais que c’était une femme qui avait beaucoup de classe. L’accueil fut chaleureux elle embrassa Brigitte comme si c’était une amie de toujours.
« Moi c’est Josiane ou Josi …Cela dépend de l’humeur de René… »
« Moi c’est Brigitte ! Bibi pour les intimes… »
« Alors bienvenue chez nous Bibi…Et ? »
« Moi c’est Philippe ! Mais Bibi m’appelle toujours Phil… »
Elle se dirigea vers moi et me fit la bise sur les deux joues en prenant ma petite valise.
« Venez déposer vos affaires…Si vous désirez vous rafraîchir …N’hésitez pas ! »
L’appartement de nos nouveaux amis était particulièrement splendide. Moderne. Nous traversâmes un couloir où de très belles toiles de peinture de maîtres inconnus de moi étaient suspendues et éclairées de spots minuscules.
« Voilà votre chambre », précisa la maîtresse de maison en allumant la chambre. De dos je pus constater ses formes agréables et parfaitement proportionnées…C’était une femme qui sait s’entretenir, pensais-je. Elle devait avoir la quarantaine tout au plus. Je remarquais sous le satin de son pantalon l’étroite marque d’un string, finement apparente…
« Sexy la dame » , pensais-je. Son parfum très fin et subtil était envoûtant.
La chambre était merveilleusement bien décorée, dotée d’un lit qui me semblait immense, hors normes.
« Superbe, ne put s’empêcher de s’esclaffer Bibi en entrant. Elle semblait fascinée par le décor de cette chambre et du mobilier qui l’équipait.
« Là vous avez l’éclairage. Ici, vous avez le réglage de la chaîne stéréo. Si vous voulez écouter de la musique, là vous avez la télécommande de la télévision. Elle se dirigea vers une porte.
« J’aimerais tant avoir une chambre comme celle-là, me glissa Bibi l’oreille… »
« C’est magique, tout est de très bon goût, lui répondis-je »
« Ici c’est votre salle de bains …Le réglage de la radio est ici, précisa-t-elle en montrant les commandes …Pour régler la balnéo…Vous avez tous les boutons sur la baignoire…Voilà les serviettes…Et tous les produits de soin…Rejoignez-nous dès que vous serez prêts. D’accord ? »
« À tout de suite Josi » , dis-je en retirant ma veste.
Entre-temps après la sortie de Josi de la chambre, Bibi testait le lit en sautant afin de ressentir le moelleux du matelas :
« Il est géant ce lit !!! »
« Un lit à câlins mon cœur ! »
« Hummm des promesses…Toujours des promesses…Tu sais j’en ai envie ! »
« Tu es insatiable chérie ».
« Je m’habille comment ce soir ? Je mets ma robe blanche et mon pull que tu m’as offert ? »
« Tu as raison…De mettre un pull. Il fait un peu friquet. Nous sommes en bord de mer ».
« Je vais prendre une douche… »
« Vas-y », dis-je en branchant la télé. Je me mis à zapper toutes les chaînes…Alors que déjà Bibi était sous la douche sous une musique douce de Neil Daimond.
J’étais surpris de tout ce qui nous arrivait. Était-ce un rêve ? Nous voilà au bout de la Belgique dans une station balnéaire, dans un appartement luxueux avec des amis inconnus ! C’était vraiment surprenant, pensais-je ! Qu’est-ce que cela peut bien cacher ? Bof après tout on s’en moque…Profitons en au maximum. Et puis vaille que vaille !
Quelques minutes après, rafraîchis et pomponnés nous rejoignîmes nos hôtes dans l’immense salon.
« Nous avons fait un feu de cheminée…Je trouve que cela nous fera le plus grand bien…Le temps est humide en plus…Vous prenez quoi ? » demanda Josi en se dirigeant vers la table roulante, sur laquelle trônait une multitude de bouteilles d’apéritif.
« Que prends-tu ? Me demanda René, en se levant du confortable canapé dans lequel il était profondément enfoncé.
« Si tu as un whisky, avec plaisir ! »
« Moi je prends une bière chérie…Et toi Josiane tu veux quoi ? »
« Un martini ».
« Tu es magnifique Brigitte », dit René en la prenant par le bras…Tu es une femme qui plaît beaucoup aux hommes.
« Merci ». Répondit Bibi quelque peu intimidée… « Vous avez également une belle femme..Josiane pardon Josi , elle est très sexy ! »
Un coup d’œil vers la scène, me fit comprendre que notre ami Belge semblait en pincer pour ma petite femme.
« Cette robe te va à merveille », lui dit-il en la faisant tourner comme une danseuse.
Josi les rejoignit avec les verres à la main.
« Véro…Fais attention…René est un dragueur de première… »
« Tu n’es pas jalouse ? »
« Crois-tu que je puisse lui mettre un fil à la patte ? Asseyez-vous les enfants ».
Bibi prit la décision de s’asseoir dans le large fauteuil, face à René. Josi devant se lever souvent, sur le large bras du canapé. Moi, je me mis à côté de notre ami. En s’asseyant, la robe large et légère de Bibi remonta sur ses genoux, bien au-delà même, dévoilant le bas de ses longues et minces cuisses. René n’avait rien manqué du spectacle. Tout en savourant sa bière à la bouteille, méthode belge, il ne lâchait plus Bibi des yeux. Toute la conversation était dirigée vers elle. Josi sentant que j’étais un peu mis à l’écart se mit à me parler et à raconter leur vie…Comment ils s’étaient connus après chacun un mariage raté. Elle avait un fils qui était ce week-end chez sa grand-mère à Charleroi…Elle avait 41 ans et aimait la vie. Elle exerçait le métier de décoratrice entre Charleroi, Mons et Bruxelles.
Pendant qu’elle parlait je regardais ses mains, magnifiquement belles et fines avec des doigts d’une grâce merveilleuse. J’eus une image érotique en imaginant que le verre qu’elle enserrait en cet instant était un sexe, mon sexe tendu entouré de son pouce…Elle était très agréable à écouter. Elle avait une poitrine menue mais bien proportionnée…Bronzée, elle m’avoua qu’elle allait deux fois par semaine chez l’esthéticienne. Elle faisait régulièrement des séances d’UV d’où ce teint merveilleusement hâlé.
Nous faisions connaissance, chacun de nos côtés…René et Bibi papotions…Moi et Josi , nous apprécions nos découvertes et les étapes de nos vies.
Visiblement l’ambiance était on ne peut plus agréable. Bibi et moi nous étions aux anges et nos amis Belges très prévenants. René semblait de plus en plus sous le charme de Véro. Je la connaissais très bien pour comprendre à ses mimiques et à ses sourires, qu’elle jouait de son charme auprès de lui. Lorsqu’elle tortillait ses longs cheveux blonds,de sa longue main fine, je savais que Brigitte était en train d’imaginer des scènes certainement coquines.
« Bon, il est temps d’aller à notre restaurant, dit Josi en se levant et en posant son verre. Je vais chercher mon manteau.
Quelques minutes après nous nous retrouvions sur l’allée qui longe la plage de Knokke. René tenait Bibi par le bras, Josi avait glissé sa très belle main sous mon bras droit…Nous nous dirigeâmes vers le restaurant. Drôles de circonstances, m’étonnais-je. Est-ce cela l’hospitalité Belge ? Pour ma part, j’appréciais la présence à mes côtés de Josi . J’étais envoûté par son parfum. Cette brune aux cheveux courts était une femme de tête. J’avais le flair pour jauger et juger très rapidement les caractères des personnes, surtout des femmes.
« Tu ne trouves pas qu’il fait froid ce soir , Philippe ? » Me dit-elle, en me serrant un peu plus mon bras avec une certaine douceur. Elle marquait sa présence. Avais-je le ticket ? Je connaissais trop bien les femmes pour connaître leurs signes et messages subtils.
« Je n’aime pas le froid humide…Tu sais je suis un homme des îles …Le froid et moi…On n’est pas trop copains »
« Ton île Maurice, ne te manque pas ? » Me demanda Josi , très attirée par mon pays.
« Si…Maurice et moi, c’est un grand amour…Mon pays me manque quotidiennement ».
« Nous voilà arrivés », précisa René en s’effaçant devant la porte.
« Et galant en plus », pensais-je.
On s’installa à notre table réservée. Il y avait peu de monde dans la salle. René et Bibi choisîmes la banquette. Josi et moi, nous optâmes pour des chaises confortables. Je constatais que René fumait beaucoup depuis notre rencontre il venait d’ouvrir son deuxième paquet.
« Tu fumes beaucoup ? » M’inquiétais-je
« Oui depuis mon accident de voiture ».
« René a eu un grave accident de voiture il y a 3 ans …avec un mort… »
« Josiane choisie, s’il te plaît ! Ce soir, nous ne sommes pas là pour penser aux choses mauvaises ! N’est ce pas Brigitte…On est là pour vivre, pour s’éclater ! Qu’en penses-tu ? »
« Tu as raison…Laissons le passé au passé ».
Nous passons la commande et René nous offrit le champagne.
« À notre belle soirée… Délicieuse en votre compagnie », dit-il en trinquant avec nous et en finissant avec Brigitte cognant étrangement longtemps sa coupe contre la sienne.
« Mais il la drague le salaud ! » Pensais-je en observant les véritables avances que faisait René à Véro. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort, c’était comme cela lorsque je tombais sous l’emprise de l’émotion. Je savais qu’elle entrait dans son jeu…Je la connaissais à merveille…Comment allait se passer cette soirée ? Tout cela était étrange et devenait excitant. La curiosité de la suite des évènements m’envahissait. Les yeux de chacun d’entre nous brillaient aux flammes des bougies disposées sur notre table. J’aimais cette ambiance feutrée et intime. Alors que je tendais la corbeille de pains à Josi , je surpris Bibi en train de sursauter. Ce qui se passait, elle me le raconta bien plus tard au fond de notre lit.
******************
« Tu as sursauté un certain moment pourquoi ? »
« J’étais en train de manger, quand j’ai senti la main de René sur ma cuisse ».
« Je n’ai rien vu. Tu aurais pu me faire un clin d’œil ! »
« Tu sais nous étions enfoncés dans la banquette ».
« Et alors ? »
« Il est resté un moment comme cela. Je n’osais pas bouger, ni lui retirer sa main. Je me suis sentie toute chose et cela m’a vite excitée. J’ai sursauté.
« Raconte ! »
« Eh bien pendant que tu parlais avec Josi , il a remonté ma robe sur le côté… »
« Hum ! »
« Puis sa main est remontée entre mes jambes très lentement ».
« Tu les as serrées ? »
« Non. J’avais envie qu’il me caresse. J’ai légèrement ouvert les cuisses pour qu’il puisse accéder à ma petite culotte ».
« Cochonne…Tu m’excites…Et alors ? »
« Alors au moment où le serveur nous a apporté le fromage, il a glissé un doigt entre ma cuisse et ma culotte ».
« Tu étais mouillée ? »
« Inondée. Il m’a caressé ainsi le sexe. Je n’en pouvais plus. J’étais chaude ! Tu ne t’es aperçu de rien ? De toute façon tu étais trop absorbé par Josi » .
« Oui. Il faut dire que nous sommes tombés sur un drôle de couple…Tu sais que Josi aussi m’a caressé ? »
« Non ? »
« Si ! Je pense qu’ils étaient tous les deux de connivence ! Ils avaient décidé de faire l’amour avec nous…Les regards de René dès notre arrivée au garage étaient chauds. J’ai compris que c’étaient des échangistes ! »
« C’est assez excitant »
« Et après ? »
« Il est resté en moi, son doigt s’agitait dans mon sexe ».
« Tu es restée stoïque ! »
« J’ai aimé cette situation très érotique.
« Tu t’es levée un certain moment ».
« Oui j’avais envie d’aller aux toilettes…Et surtout me calmer ».
« Lorsque tu t’es levée j’ai vu René faire un clin d’œil au patron du restau ! »
« Je ne m’en suis pas aperçue ».
« Tu es restée longtemps aux toilettes ? »
« Figure-toi que j’ai demandé au patron où se trouvaient les toilettes, il m’a dit qu’il fallait prendre l’escalier derrière la porte des cuisines ».
« Et alors ? »
« Alors je suis descendue aux toilettes. Je suis allée faire pipi et en sortant il y avait derrière la porte le patron qui était là ».
« Que faisait-il ? »
« A priori, il m’attendait En sortant il me regardait de façon bizarre ».
« On dirait Quasimodo ! »
« Comme tu le dis. Sans que je m’y attende il m’a poussé et plaqué sur la porte des toilettes ».
« Tu n’as rien dit ? »
« Je lui ai dit de me lâcher, de me laisser tranquille. Il puait la transpiration ».
« Quel salaud ! »
« Là il m’a glissé sa main sous ma robe et il m’a dit que je l’excitais ».
« Il ne manque pas de souffle ce mec ! »
« Je lui ai dit qu’il n’était pas mon genre d’homme et que j’étais attendue ».
« Je veux toucher ta chatte ! » me dit-il en essayant de passer sa main entre mes jambes.
« Non je n’en ai pas envie, laissez-moi ! »
« Il t’a laissé partir ? »
« Non il m’a fait mal au bras et il a réussi à baisser un peu ma culotte. Il m’a caressé mon sexe et a introduit son index. Il m’a plaqué son autre main sur la bouche. Il puait la transpiration et l’alcool ».
« Tu ne vas pas me dire qu’il t’a violée ? »
« Il s’était débraguetté. Il a sorti son sexe mais il bandait à peine. En fait j’ai été sauvée lorsque la serveuse est descendue pour aller aux toilettes. Il s’est enfermé dans les Wc, j’ai eu le temps de remonter ma culotte et de remettre de l’ordre dans mes vêtements ».
« Ben dis donc…Tu l’as échappé belle ! »
« Il m’aurait violée ».
« J’ai remarqué qu’il avait changé d’attitude jusqu’à la fin du repas ».
« Tu penses que René lui a donné le feu vert ? »
« Son clin d’œil m’a intrigué. À présent je comprends mieux ».
« Lorsque tu es revenue René a continué son jeu avec toi ? »
« Oui . Lorsqu’il a commandé une autre bouteille de vin, il a remis après sa main sur ma cuisse et il est revenu vers mon slip. Mais j’étais sèche..la séance du patron m’avait refroidie. Mais il a fait des va-et-vient avec son doigt dans mon sexe et je me suis mise à remouiller. J’avais envie de faire l’amour. J’ai écarté les cuisses sous la table et j’ai apprécié cette masturbation ».
« Tu as joui ? »
« Non mais c’était plaisant. C’était très érotique . Et toi ? »
« Lorsque tu es partie aux toilettes, Josi a posé sa main entre mes cuisses et avec son index elle a caressé mon sexe sur mon pantalon ».
« Tu bandais ? »
« Comment résister à cette caresse. Je pensais que cette femme très classe était incapable de cette situation. Je ne connaîtrai jamais assez le comportement des femmes. Vous êtes un vrai mystère ! »
« Et toi tu l’as caressée ? »
« Non. Mais un certain moment j’ai posé ma main sur la sienne et je l’ai appuyée sur mon sexe, lui montrant que j’aimais cette situation particulière. Alors de ses deux doigts elle a moulé mon sexe sur sa longueur ».
« Arrêtes-tu m’excites ! »
À la fin du repas, nous sommes ressorties sur la levée. Il faisait presque doux. En revenant vers l’appartement de nos amis nous étions par couples légitimes. Je tenais Bibi Par la taille, nous avions besoin de respirer un peu. Je ne savais pas ce qui s’était passé sous la table et aux toilettes. Je trouvais Bibi silencieuse et perdue dans ses pensées, certainement avec le recul en train de se remémorer ces scènes érotiques du restaurant.
« En fait j’étais très excitée et si je m’étais écoutée je serai repartie aux toilettes ne serait-ce que pour voir jusqu’où ce sagouin de patron pouvait aller ». M’avoua-t-elle par la suite.
En arrivant dans l’appartement, on fut mis dans l’ambiance tout de suite. Josi choisit un éclairage très intime. René après s’être servi une canette de bière dans le frigo dit à Véro
« Veux-tu voir ma collection de voitures miniature Bibi? »
« René collectionne des voitures miniatures depuis plus de 10 ans », précisa Josi
Bibi se leva et sans me demander si je voulais venir suivit René dans le couloir qui menait à une pièce du fond. J’entendis simplement la porte se refermer derrière Véro. Mon cœur se mit à battre la chamade.
Ce qui arriva par la suite c’est Bibi qui me le racontai plus tard.
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« Je suis entrée dans la pièce. Il y avait une multitude de petites voitures exposées dans différentes vitrines. Je me suis attardée à en regarder quelques-unes. René était appuyé contre un bureau et terminait sa bière.
« Déshabille-toi me demanda-t-il ! »
Surprise, je me retournais et René avait sorti son sexe de son pantalon et se branlait pour le raidir. Je ne m’attendais pas à un tel spectacle. Son sexe était de taille normale, rose. Rien à voir avec le tien qui est très bronzé.
« Allez déshabilles toi ! » m’ordonna-t-il une deuxième fois.
Je le regardais presque tétanisée en train de se branler. Voir un homme se branler m’excite au plus haut point. Tu le sais. J’avais trop envie de faire l’amour, avec lui ou quelqu’un d’autre. J’avais besoin de me calmer et les caresses de René sous la table m’avaient mise en ébullition. Même la tentative de viol du restaurateur à cet instant me revenait à l’esprit. Je sentais que je mouillais à nouveau. Mon ventre se tordait presque d’envie. Alors j’ai retiré mon pull, puis j’ai passé ma robe par-dessus mes épaules.
René à présent bandait pleinement. Tout en me déshabillant je n’arrêtais de regarder son sexe. J’avais envie de le prendre dans ma main, de le glisser dans ma bouche, de le sucer.
«Tu t’es inquiété de ce que je devenais ? »
« Non. En fait je ne pensais qu’à faire l’amour. Tout mon corps en avait envie ».
Je suis restée ainsi devant lui, en slip les seins à l’air. Il continuait à se branler tout en baissant son pantalon.
« Fais-moi voir ta chatte ! » me demanda-t-il
Alors j’écartais sur le côté mon slip en lui dévoilant mon pubis et les lèvres de mon sexe. Je voulais l’exciter encore plus.
« Tu t’épiles ? »
« Elle te plaît ? »
« Elle est belle. Retire ta culotte ! »
« Tu regardes mais tu ne touches pas ! »
« C’est moi qui décide ! Allez, baisses moi cette culotte ».
Je sentais que je mouillais de plus en plus. J’ai fait descendre ma culotte sur mes chevilles puis toujours le regard rivé sur son sexe tendu, je me suis redressée.
« Assieds-toi par terre et écarte tes cuisses je veux te voir »
Je me suis mise sur le dos, allongée sur le tapis et je me suis mise en face de lui et j’ai écarté mes cuisses m’offrant ainsi à son regard. Il continuait en fixant mon sexe ouvert à présent, à se masturber. Allait-il jouir ainsi ? Si oui, je me sentais frustrée ! Il me regarda longtemps comme cela puis je fus attiré par deux déclics…Levant la tête René m’avait prise en photo dans cette posture très érotique.
« Je vais faire une macro de ta chatte » me dit-il en approchant son objectif à quelques centimètres de mon sexe. À nouveau l’appareil crépita au moment où je passais ma main sur mes lèvres mouillées afin de les entrouvrir encore mieux. Ma petite corolle lui semblait divine. René mitraillait à présent mon sexe, inondant la pièce de ses flashs.
« Lève-toi et viens »
J’exécutais l’ordre sans broncher et je me mis devant lui, tremblante d’émotion.
« Suce-moi » me dit-il en appuyant sa main sur ma tête, afin que je m’abaisse à ses pieds.
« Tu aimes sucer ? Non ? »
« Je ne répondrai pas à cette question, lui répondit. »
Il dirigea son sexe relevé vers ma bouche le présentant à mes lèvres.
« Fais-moi jouir j’en ai envie. Suce-moi doucement »
Il avait une odeur assez forte au début. Je repoussais entre mes doigts sa peau, dégageant son gland. J’aime regarder le gland des hommes. J’aime leur douceur…Puis avec ma langue j’aime écarter le méat et me glisser dedans. Cela conduit toujours les hommes à fermer les yeux et à attendre la suite qu’ils savent imminente.
J’ai pris son gland dans ma bouche pour l’humecter de salive. À cet instant j’entendis René gémir de plaisir. J’aimais sentir un sexe d’homme dans ma bouche. J’adore la fellation. C’est indescriptible comme sensation. Une fois que l’on commence à sucer c’est comme si on était scotchée. Alors je me mis à le sucer doucement tout en me caressant afin de maintenir mon sexe en attente aussi de plaisir. Je poussais son gland au fond de ma gorge, je le sortais de temps en temps, pour admirer l’effet que je prodiguais, puis je l’engloutissais à nouveau. René avait posé ses deux mains de chaque côté de ma tête et appliquait une pression pour me donner le rythme à son plaisir.
Son sexe avait gonflé et avait trouvé une taille pleine, parcourue de veines épaisses qui apportaient à celui-ci, une rigidité extrême. J’ai senti sur ma langue un goût légèrement salé, preuve de son excitation et d’une prochaine jouissance. D’expérience je sais que rarement le goût du sperme des hommes est identique. Alors que je le suçais je me faisais un vrai plaisir de le sentir sur ma langue…À la pression que René faisait à présent sur ma tête et le fait qu’il s’attarde à m’enfoncer encore plus profondément son sexe dans ma gorge je savais que sa jouissance approchait. Je l’entendais haleter plus fortement.
« Je vais jouir Véro…Ça vient…Continu…Avale-moi »
À cet instant je sentis qu’il se raidissait il bloqua ma tête en arrière afin de mieux s’éclater dans ma bouche. Une, puis deux, puis trois jets chauds et doux sortir de son sexe inondant mon palais. Si je n’avalais pas tout de suite une gorgée, j’allais étouffer ! Sa quantité de sperme était impressionnante. Acre, salée, chaude et visqueuse elle descendit dans ma gorge par saccade, la tapissant de voluptés.
J’aimais cette offrande. Je n’ai jamais compris les femmes qui n’aimaient pas avaler le sperme d’un homme, c’est si particulier, si torride à la fois ! Je levais les yeux vers René pour admirer son plaisir. Bouche ouverte les yeux fermés il était pris de tremblements de plaisir. Je me mis à nouveau à le sucer, aspirant les dernières perles qui sortaient de son sexe qui commençait à ramollir. Je me relevais vers lui.
« Alors..toujours aussi autoritaire le René ? »
« Tu es douée Véro…Tu es divine »
« Dis donc il y a longtemps que tu n’as pas joui on dirait ? »
« Pourquoi dis-tu cela ? »
« J’ai rarement avalé autant de sperme ! »
« Oui mais de qualité belge! »
« Faut dire que tu es un peu salé… »
« Tiens finis ma bière » me dit-il en me tendant le fond de sa canette.
Je ne refusai pas cette proposition j’avais envie de faire passer le goût de cette semence qui me tapissait toute la gorge à présent.
« Merci René… »
« Tu aimes ma queue ? »
« Je n’en connais qu’un effet ? »
« Viens assieds, toi, sur ce fauteuil et écartes les cuisses. J’ai envie de revoir ta chatte ».
Excitée et en attente de pénétration je m’exécutais. Calée au fond du grand fauteuil blanc je reposais de chaque côté sur les accoudoirs mes pieds offrant à la vue de René dont les yeux brillaient de désirs lubriques ma vulve détrempée.
« Tu mouilles comme une fontaine ! Tu es excitée on dirait ? »
« Après tout ce que tu m’as fait au restau et ici…Je ne suis pas insensible ».
« Dis donc le patron du restau il en avait après toi ? »
« J’ai failli être violée si sa serveuse n’était pas descendue aux toilettes ! »
« Ton sexe est beau…Petit comme je les aime ». Me dit-il en m’écartant les grandes lèvres découvrant mes muqueuses mouillées. Il passa un doigt en remontant de mes fesses vers mon vagin. Puis il introduisit un doigt, son index au plus profond de moi.
« Tu es chaude…Tu aimes le sexe on dirait ? »
« J’adore…J’adore ».
Puis il retira son doigt et présenta le bout de sa langue sur mon clitoris qui n’attendait que cette douceur.. Une vague de chaleur envahit mon bas-ventre. Je me surpris à écarter encore plus les cuisses. René voyant ma demande déposa sa bouche et goba entièrement mon sexe puis introduisit sa langue douce dans les replis de mon vagin déclenchant un cri de jouissance de ma gorge encore sous l’effet de sa semence et de ces relents qui remontaient de moi. Puis je sentis qu’il enfonçait son index dans mon anus tout ouvert d’excitation. J’adore lorsque l’on me doigte !
« Tu es ouverte ma chérie. Me dit-il avant de reprendre avec sa langue les titillements que j’adorais.
Son index entièrement entré dans mon petit trou, il me branlait avec beaucoup de douceur, tout en me suçant avec volupté le sexe en fusion.
« J’aime ton goût , ton sexe sent bon…Tu es belle…J’ai envie de toi »
Je tentais de retenir les pulsions qui venaient du fond de mon ventre comme une décharge progressive d’électricité. Je savais que j’allais jouir il ne fallait pas que je me retienne…Alors je poussais mon bassin plus en avant, plaquais la tête de René sur mon sexe ouvert, l’écrasant au moment ou l’orgasme m’atteignait de plein fouet, inondant sa bouche de ma liqueur de femme.
Je sentais que René, avalait et suçait tout ce qui sortait du fond de moi. J’entendais ces petits suçons et il remit en action sa langue voulant encore plus de moi. Mon clitoris était sensible, j’essayais de repousser la bouche de René, mais celui-ci continua de plus belle déclenchant un deuxième orgasme tout aussi torride que le premier. Je me mis à crier de plaisir telle une femelle satisfaite et comblée. Mon ventre fut pris de spasmes pendant quelques instants… René déposa un bisou sur mon sexe, je mis ma main sur celui-ci, comme si je voulais le protéger.
« De grâce…De grâce je n’en peux plus prends, moi,…Prends-moi j’en ai trop envie ! Maintenant. , Viens en moi »
Je sentis son sexe grossir dans ma main
« Tourne-toi », me dit-il toujours de ce ton autoritaire.
J’avais trop envie d’être pénétrée, je ne cherchais pas à discuter, je me retournais lui offrant mes fesses tendues, je me cambrais au maximum, telle une femelle en chaleur, la tête dans le fauteuil et les mains sous mon menton.
« J’adore tes fesses », dit-il en me caressant chacune de mes joues, puis les écartant, dévoilant ainsi à ses yeux mon petit trou rose et mon sexe inondé.
« Tu sens la femme en chaleur….Puis il plaqua sa bouche contre mon anus et lécha son pourtour avec douceur. J’adorais que les hommes me lèchent l’anus. Cela développe en moi une multitude de courants électriques. Puis après avoir longuement satisfait son voyeurisme, après avoir à nouveau glissé un doigt dans le fond de mon anus en le tournant, il écarta à nouveau mes fesses et je sentis son sexe à l’entrée de ma vulve.
Cela déclencha une pulsion à nouveau dans mon ventre et il fut surpris de mon mouvement de bassin qui fit entrer son membre dans mes chairs secrètes. Ses deux mains crispées sur mes fesses il enfonça son sexe jusqu’au fond de moi, déclenchant un cri de plaisir, de satisfaction. Les femmes adorent ressentir le volume d’un sexe dans leurs entrailles. J’aimais autant la pénétration que les jeux de langues sur mon clito.
J’entendis battre contre mes fesses son ventre et je sentais ses bourses frapper contre mon clito à chaque va-et-vient. Je le sentais en moi, comme un corps étrange et remplissant chaque partie de mon ventre…Il sortit au moment ou je commençais à ressentir les avants gardes de l’orgasme son sexe humide de mon vagin…Puis il écarta à nouveau mes fesses au maximum distendant ainsi mon sexe et mon anus. J’ai constaté qu’en levrette les hommes aimaient agir ainsi ! Je fus surpris de sentir son gland contre mon anus. L’horreur ! Ce que je n’acceptais jamais !
« Non René pas cela…Je ne veux pas »
« Tu as déjà essayé ? »
« Une fois cela m a suffi ! »
« Tu es ma chose ce soir et c’est moi qui décide »
« Non je t’en prie…Je t’en prie »
« Philippe t’a déjà prise par là ? »
« Pas lui..un autre…je ne veux pas »
Et sans que je puisse m’y opposer plaquée dans le fauteuil par René je sentis son gland s’enfoncer dans mon petit trou, l’écartant, me clouant de douleur.
« Non arrête…Tu me fais mal.. Arrête je te dis »
Mais René pris dans son excitation de me posséder entre mes reins, n’écoutait plus mes supplications.
Il glissait à présent dans mon ventre me remplissant de son sexe. Il s’arrêta un instant le temps que je me calme. Je fus surpris de constater qu’il avait réussi à entrer la totalité de son sexe dans mes fesses. La douleur disparaissait à présent, au profit d’une certaine chaleur et de plaisirs, sensations que je ne connaissais pas et qui me satisfaisaient… Il se mit alors en mouvement, me pilonnant l’anus distendu à présent et sans que je puisse prévoir son arrivée, un orgasme terrible me plia sur le fauteuil, incitant René à accélérer la cadence, me cassant véritablement en deux, les fesses totalement cambrées à sa pénétration…Je hurlais dans mes mains, couvertes de larmes…
René en transpiration me sodomisait et j’y prenais un réel plaisir ! C’était la première fois qu’un homme m’empalait de la sorte… Son sexe tendu au fond de mes reins …Un soubresaut, puis un deuxième et je sentis qu’il jouissait m’inondant d’un fleuve de sperme que je sentais se déverser en moi.…J’étais en transpiration aussi…René se retira et je sentis son sperme couler sur mon mollet. Je venais de prendre un super pied.
C’est alors que j’entendis à nouveau le déclic de l’appareil photo de René . Il me photographiait les fesses et mon petit trou d’où s’écoulait lentement sa semence brillante.
Complètement cassés, nous étions assis sur le tapis reprenant notre souffle…
« Alors Belle, ne dis pas que tu n’as pas aimé. ? »
« Tu as vu la grosseur de mon petit trou et de mes fesses, comment veux-tu qu’un engin comme cela peut entrer ? »
« Je suis entré comme dans du beurre ma chère ! Pas besoin de forcer beaucoup…J’ai pris un super pied…Tu es très serrée et j’aime sentir ton anus serrer fortement mon gland et mon sexe ».
« Vous autres les hommes vous ne pensez qu’à cela ! »
« Tu sais lorsque l’on a la chance comme moi de s’occuper d’un si beau petit cul comme le tien..il serait dommage de ne pas en profiter ».
« Dis donc on a complètement oublié Philippe et Josi ! »
« Ne t’inquiète pas pour eux ils sont certainement en train de s’occuper ».
« Allons les rejoindre » lui dis-je en essuyant mon sexe et mon anus qui n’arrêtaient pas de rejeter la semence de René. Je me rhabillais, le ventre encore parcouru de sensibles pulsions, un léger sourire aux lèvres, une femme satisfaite.
À suivre…
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