Dans la même série
Cette soirée prenait des proportions qui commençaient à me séduire. J’essayais de voir si ma journaliste préférée était aussi attentive que tout à l’heure. À nouveau je me levais à demi de mon banc.
Elle était toujours là-bas en pleine discussion avec ses voisins. Au bout d’un certain temps elle leva la tête et m’aperçut. Mon cœur ne fit qu’un tour lorsqu’elle me fit signe de sa main. Le contact était noué, restait à prendre contact avec elle. Je n’en revenais pas, j’allais faire connaissance avec cette journaliste qui me faisait flasher à chaque fois que je la voyais à la télé. Je ne pus me retenir de prendre mon verre et de le lever à sa santé…Surprise à nouveau elle fit de même accompagné d’un grand sourire. Hervé avait vu la scène et me fit un signe de félicitation en levant son pouce.
« Jouisseuses Jouisseurs, nous allons passer au deuxième défi de la soirée avec nos amis Antonio et Alicia…Êtes-vous prêts ? Antonio ? »
« No problème ! »
« Alicia? »
« Quand il faut y aller, faut y aller ! »
« Parfait…Les serveurs vont nous apporter un fauteuil…Maestro remets-nous ta musique préférée… »
Le DJ s’exécuta et nous remit « Déshabillez moi »
« Les serveurs vont vous déshabiller et après je vous dirai quel sera votre défi.
Les deux serveurs se mirent à déshabiller Antonio et Alicia jusqu’à ce qu’ils fussent entièrement nus. Antonio avait un slip blanc et Alicia était à présent nue, un pubis rasé et épilé .Elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était agréable à regarder, avec des aréoles roses et des pointes bien marquées. Ventre plat et les reins bien cambrés, elle aussi était faite pour l’amour,avec une énorme sensualité qui se dégageait d’elle.
« Je vais demander aux conjoints ou amis de nos champions de venir nous rejoindre. Merci »
Le mari d’Alicia et la femme d’Antonio s’approchèrent de l’estrade.
« Voilà chacun d’entre vous va retirer la dernière barrière vestimentaire et nous allons faire le premier slow de la soirée…Objectif de Antonio conduire sa jouisseuse au 7 ème ciel par tous les moyens qu’il voudra. Êtes-vous prêts.. Allez retirer ce cache-sexe inutile ! »
Le slip de Antonio tomba dévoilant un sexe trapu et épais en quasi-érection.
« Vous allez danser ce slow à l’envers, c’est-à-dire Alicia derrière Antonio…Objectif faire jouir Antonio uniquement avec ta main et ensuite Antonio devra te donner du plaisir dans ce fauteuil…Le slow durant 2’ 30 on va voir si Alicia sera tenir la cadence…Maestro ! »
Les yeux des femmes du premier rang étaient rivés sur le sexe de Antonio. Le slow commença et Alicia se colla contre les fesses de Antonio et de sa main elle emprisonna tout de suite le sexe de Antonio. Le couple dansait au rythme de « Femme je vous aime ». Alicia imprima sur le sexe tendu une masturbation savante allant du gland gonflé à la base de la hampe. Antonio réagissait bien à cette caresse manuelle et avant la fin du slow, tout le monde put le voir se cabrer et en 3 jets vider ses bourses à même le carrelage dans un râle profond marquant son plaisir.
Toutes les femmes applaudirent à cette éjaculation en public même Bibi .
« C’est très excitant de voir un mec jouir comme cela devant tout le monde me dit-elle…Cette soirée est top ! »
Antonio prit Alicia dans ses bras et la déposa dans le grand fauteuil en cuir que les serveurs avaient disposé. Il disposa chacune de ses jambes sur les appuis dévoilant aux yeux de tout son beau sexe rasé et épilé. Les lèvres de Alicia étaient entre ouvertes et humides d’excitation. La lumière du spot laissait apercevoir cette douce humidité à l’entrée de son sexe.. Antonio vint se mettre entre ses jambes et avec deux doigts il écarta le sexe de Alicia l’offrant totalement à sa vue et il plongea sa bouche sur cette douce rose qui s’offrait ainsi à lui. Sa langue alla de son clito à la base de ses fesses, il joua avec beaucoup de dextérité avec le bout de sa langue sur son clitoris qui devait être en pleine érection…Alicia ondula du bassin sur le fauteuil, à mesure qu’Antonio de sa langue la conduisait au plaisir extrême et l’orgasme la fusilla devant toute l’audience.. Dans un cri aigu et saccadé…Écrasant contre son sexe en fusion la bouche de Antonio, plantant à présent sa langue dans son vagin et dégustant toute cette suave effluve qui s’écoulait du sexe béant d’Alicia.
« Je n’en peux plus me dit Bibi…J’ai besoin de faire l’amour, tout de suite »
« Tu es si excitée que cela ? »
« Attends c’est de la folie…Ils vont faire exploser la salle ! »
« Ces défis sont faits pour exciter tout le monde et les conduire à mieux faire l’amour tout à l’heure ».
« Moi je n’en peux plus, j’ai le ventre en feu Phil…Il faut faire quelque chose ».
« Qu’en penses-tu Laetitia ? »
« Je n’ai jamais vu un homme jouir comme cela, et la femme qui prend son pied c’est très excitant ».
« Tu vois…Ce n’est pas plus difficile que cela ! »
Valentin revint au centre de la salle avec son micro…
« Chères jouisseuses et chers jouisseurs…Vous venez d’assister au défi N° 2 . Vous pouvez prendre vos desserts sur place ou dans le salon.. Dès à présent la soirée commence…Les salles sont à votre disposition…Place à la danse et à minuit…Nous nous retrouvons ici et le défi N°3 est destiné à une toute nouvelle, elle est belle, elle est très sexy…Elle est blonde et chaude…Je vous donne rendez-vous avec….B..RI..GI..TTE
« Ah non ! Pas moi… » dit Bibi en faisant un signe négatif de sa main.
« Vous connaissez le règlement…Le défi est dédié à Brigitte. Rendez-vous à minuit…À présent place aux folies des corps…La soirée est à vous ! Maestro..musique ».
« Mon cœur tu vas devenir une vedette à minuit ! »
« Tu m’invites à danser, j’ai des fourmis dans les jambes ! »
Nous nous retrouvâmes sur la piste, enlacés dans un slow langoureux.
« Tu as prévu ta chasse ce soir mon cœur…Tu as ton vieux prétendant…Tu veux Fred…Et tous ces mecs qui louchent sur toi…Ta soirée va être très chaude ? »
« Dis donc le Henri Paul il est loin d’être timide ! »
« Tu as pris ton pied on dirait ? »
« Attends Phil…Entre lui qui n’arrête pas de me doigter et la scène de Fred…De toute façon, il faut que je m’assouvisse et vite car j’ai le ventre en feu. »
« Alors je te laisse à cette chasse…Je te conduis à ton vieux Prince charmant. »
« Je veux Fred ! »
« Tu as toute la nuit pour toi mon cœur ! »
« Je ne veux pas qu’une autre s’en occupe ! Et toi ? »
« Moi, j’ai Laetitia et je crois que j’ai un super ticket avec S……..la journaliste ».
« Promis, on se raconte tout ! Tu es d’accord Phil c’est notre pacte ».
« Promis mon cœur…Nous n’avons rien à cacher. Viens-je vais te mettre dans les mains de Henri Paul. »
« Tu es sûr ? Moi il ne me branche pas… Où est Fred ».
« Henri Paul , je vous laisse Bibi…Occupez-vous d’elle ! »
Henri Paul prit la main de Bibi et au lieu d’aller sur la piste de danse ils allèrent dans le salon bar. Curieux, je les suivis des yeux. Henri Paul voulait achever le travail au corps qu’il avait effectué sous la table. Je revins vers la table et sans demander l’autorisation à son ami, resté impassible sur son banc j’invitais Laetitia.
« Viens lui dis-je dans l’oreille, j’ai tant besoin de toi. »
« Elle regarda son ami, celui-ci lui fit un signe d’accord. Elle se leva et me prit la main. Je la conduisis dans le salon sur les traces de Bibi et de Henri Paul. Arrivé dans le salon je la pris dans mes bras et je l’embrassais fougueusement, profitant de ce moment d’abandon pour lui caresser les seins. Je sentis son souffle court signe de son excitation. Ses seins juvéniles étaient fermes et je pouvais sentir sous le tissu de son chemisier ses tétons se durcir.
(Bibi reprend l’écriture)
Je fus déçue que Phil me remette dans les mains de Henri Paul. Je n’avais qu’une envie, faire l’amour avec Fred. Me voilà avec Henri Paul qui m’entraînait dans le salon certainement à la recherche d’un coin calme pour me sauter.
En entrant dans le salon je vis le regard des hommes se poser sur moi. Savaient-ils que j’avais tant envie de faire l’amour d’avoir un sexe d’homme dans ma main, dans ma bouche dans mon sexe.
J’étais en feu et le spectacle de ce soir, ces défis m’avaient donné des pulsions extraordinaires dans le ventre. Certes Henri Paul en jouant de ses doigts dans ma chatte m’avait fait jouir. Mon orgasme avait été fulgurant. Que voulait-il de moi à présent. Henri Paul m’entraîna dans la salle du premier, salle couverte de matelas.
« Viens me dit-il…J’ai envie de toi…Tu m’as tellement excité tout à l’heure que je n’en peux plus ».
Je ne pouvais me résoudre à le tutoyer. Je n’aimais pas cet homme. Je m’en étais servi tout à l’heure pour me satisfaire, une masturbation dans la pénombre…Ce beau Fred. Certes j’avais caressé son sexe sous la table, je trouvais cela très excitant mais aller plus de l’avant ne m’emballait pas plus que cela.
Henri Paul m’entraîna donc dans la salle du haut. En entrant je pus constater que beaucoup de couples étaient déjà en action, j’entendais des gémissements qui me grisaient, des cris de jouissances, d’hommes et de femmes s’accouplant sur ces matelas verdâtres.
Henri Paul choisit un matelas resté libre et me demanda de m’allonger. Ce que je fis avec mille regrets. Il s’allongea près de moi et pencha son visage vers le mien.
« Tu vas avoir le plaisir que tu veux avoir…Laisse-moi faire…Je vais te mettre ce bandeau sur les yeux…Et je vais m’occuper de toi ».
Henri Paul avait certainement récupéré un bandeau sans que je m’en aperçoive des mains de Valentin. J’acceptais bien volontiers cette idée d’avoir les yeux bandés, cela ne pouvait que développer mon imaginaire. La salle était à peine éclairée et les gémissements de plaisir fusaient partout. Je sentis la bouche de Henri Paul effleurer la mienne. J’étais sur le dos. Il déboutonna mon chemisier, dégageant mes seins tendus d’excitation. Il les caressa doucement, pinçant les bouts durcis, déclenchant des pulsions incontrôlées dans mon ventre. Puis il abandonna mes seins pour aller vers ma jupe. Je sentis ses doigts dégrafer celle-ci. Il me demanda de soulever mon bassin afin de la dégager. Ma jupe glissa sur mes jambes et je me sentis étrangement nue…Offerte au regard de cet homme.
« Ton sexe est beau » me dit-il en prenant chacune de mes chevilles et en repliant mes jambes presque sous mes fesses.
« Écarte-toi et restes comme cela ! »
J’entendis Henri Paul qui défaisait sa ceinture et qui se déshabillait à côté de moi. J’étais ainsi les yeux bandés, les jambes écartées, le sexe en fusion. Mon souffle était court, j’avais l’envie d’être prise de sentir en moi, une bouche, une langue, un doigt, un sexe, une semence chaude et envahissante. Puis je sentis Henri Paul venir contre mon épaule.
« Prends-moi dans ta bouche me dit-il en présentant à mes lèvres son sexe à demi érigé ».
Je posais ma main sur son sexe…Je sentis dans le creux de celle-ci la grosseur de son gland et je revoyais le gland de Fred..ce sexe noueux. Cette image déclencha une pulsion dans mon ventre. C’est à cet instant que je sentis deux mains se poser sur mes genoux et m’écarter encore plus. Alors que je caressais le sexe de Henri Paul avec ma main et que je le sentais gonfler entre mes doigts, j’eus envie de le sucer. Qui était cet homme qui m’écartait ainsi les jambes. ? Sous mon bandeau j’imaginais Fred…Mon sexe s’inondait d’excitation…Mon ventre était fournaise. N’y tenant plus j’engouffrais le sexe à présent tendu de Henri Paul dans ma bouche. C’est alors que je sentis sur mon sexe inondé une langue passer sur toute la longueur de mon sexe jusqu’au haut de mon pubis. Le plaisir était intense je levais mon bassin afin de mieux sentir en moi cette caresse. Je me mis à sucer Henri Paul avec passion, le poussant parfois jusqu’au fond de ma gorge. Je l’entendais gémir de plaisir agrémenté de « oui » « oui continu » »continu ».
La langue de cet inconnu s’attardait à présent sur mon clitoris. Ses doigts écartaient ma vulve au maximum. Puis alors qu’il jouait en moi avec sa langue, je sentis un doigt s’insinuer dans mon sexe déclenchant un soupir de plaisir de ma part, puis un doigt se présenter au bord de mon petit trou. J’allais être doigté par mes deux puits d’amour.
J’adorais ces caresses. Je soulevais les fesses afin de faciliter cette pénétration. Je sentis que le sexe de Henri Paul émettait quelques gouttes salées qui envahissaient mon palais. J’adorais sentir un gland d’homme sous ma langue et forcer ainsi mon palais. L’homme qui était entre mes jambes allait me faire jouir je le sentais…Cela venait du fond de mes entrailles.. ; Comme une boule de feu incontrôlable..
« Je vais jouir…Je vais jouis…Je vais…Non…Non… »
J’explosais dans la bouche de cet homme inconnu qui me donnait ce plaisir. Il plaqua sa bouche contre mon sexe suçant inlassablement mes lèvres engorgées de sang et de plaisir…Il entra à nouveau un doigt dans mon vagin entraînant un deuxième orgasme simultané. Je repris de plus belle le sexe de Henri Paul dans ma bouche, déterminée à ressentir la chaleur du sperme sur ma langue, dans ma bouche…
Je le pompais avec douceur à présent jouant de ma langue sur son méat. J’avais le sexe en feu…Au moment où je sentis à nouveau deux mains sur mes genoux écartant mes cuisses au maximum…Là je sentis un sexe dur au bord de ma vulve…Un homme me prenait…J’en avais tellement envie. Je voulais un sexe dans moi pour éteindre le feu qui me tordait le ventre.
« Prends-la… » dit Henri Paul alors que je continuais à le sucer ma main crispée à la base de son sexe.
Je sentis le sexe se glisser en moi écartant délicieusement mes chairs excitées. Je levais mon bassin pour aller à son encontre. Les mains de l’homme étaient crispées sur mes genoux me faisant presque mal. Il s’enfonça et se mit à me pilonner. Je levais alors mes jambes et je m’enroulais sur les reins de l’inconnu. Ainsi ouverte, je le sentais merveilleusement bien dans mon vagin. Alors que j’appréciais le délice de cette pénétration, je sentis Henri Paul se tendre et avant que je puisse reprendre mon souffle il se mit à jouir en criant de plaisir dans ma bouche.
J’ai toujours aimé le goût du sperme. En fait chaque homme avait son goût…J’allais à nouveau jouir…La bouche pleine de sperme de Henri Paul…Je crus m’étouffer lorsque l’orgasme venu de mes entrailles me cassa complètement…Mon bassin n’était plus qu’automatisme…Voulant m’empaler sur ce sexe inconnu…Puis je le sentis exploser en moi alors que mon bassin était agité de mille pulsions…Il me remplissait, il m’empalait, il se vidait en moi…Le bonheur à l’état pur. Bon sang que c’était bon !
Henri Paul continuait à promener son sexe entre ma bouche ma joue, me caressait la tête. Je sentis l’homme ressortir de moi. Il soufflait très fort…Puis je sentis des mains me retourner sur le côté. À nouveau une main me saisit la cheville et écarta ma jambe vers le haut et à nouveau je sentis contre mes fesses, la présence d’un sexe dur, se présenter à mon anus…Puis glisser vers mon sexe débordant de sperme. Était ce le même homme…Je ne pouvais le savoir, sinon ce parfum qui m’arrivait aux narines et qui n’était pas le même que celui de tout à l’heure.
« Prends la dit Henri Paul elle est chaude… Défonce-la ».
Avant que j’aie pu réfléchir à la situation, l’homme qui me tenait la cheville s’enfonça dans mon sexe dilaté et gluant de sperme. J’entendais les flocs que faisaient les pénétrations au fond de mon vagin. Celui qui me prenait devait avoir un sexe plus long que la moyenne car lorsqu’il arrivait au fond de moi il déclenchait une légère douleur.. Puis je sentis un sexe se présenter à l’entrée de ma bouche. J’étais prise certainement par plusieurs hommes. En fait je bénissais d’avoir ce bandeau sur les yeux et ne pas voir qui me faisait l’amour.
L’homme derrière mes fesses s’agitait rapidement. Il me prenait en pleine excitation, faisant fi du sperme qui inondait mes fesses et son ventre. L’homme qui me présentait son sexe me prit ma tête dans ses mains doucement et força presque le passage.
Je n’étais plus qu’un sexe femelle se faisant prendre par des hommes dont je ne connaissais, ni la silhouette, ni l’âge…J’entendais l’homme qui me labourait le ventre ahaner. Je cédais à la pression de prendre dans ma bouche ce sexe inconnu. Il avait un goût particulier. Avait-il déjà joui…Ce goût me grisa et m’excita. Je me remis à le sucer avec des mouvements rapides de tête . Je fermais les yeux pour mieux apprécier sous mon bandeau cette situation…
L’homme contre mes reins se mit à jouir m’inondant une nouvelle fois mes entrailles… Mon sexe dégorgeait de sperme, celui-ci gluant et séchant me collait aux fesses. Il s’agita une nouvelle fois en moi et m’envoya une nouvelle giclée. Malgré ces rapports je ressentais parfaitement tout ce qui se passait en moi.
« Elle a vraiment un beau petit cul » entendis-je au-dessus de moi. « Sa chatte est extra ».
Puis avant que je puisse prendre conscience de la situation je sentis que l’on me prit sous mon bassin me soulevant presque et je me retrouvais sur ce matelas à 4 pattes., les fesses offertes aux regards inconnus. L’homme que je suçais revint à la charge me repoussant la tête en arrière et enfonçant son sexe dans ma gorge.
J’étais inondée, soumise, excitée. C’est alors que je sentis deux mains s’emparer de mes fesses et les écarter. Cette situation avait pour résultat de découvrir mon petit puits d’amour.
« Elle a vraiment un beau cul… » redit une voix grasse. Je sentis un doigt s’enfoncer dans ma chatte.
« Elle déborde… »
Puis le doigt humecté de jouissance se présenta au bord de mon anus et s’enfonça sans peine. Lorsque je suis excitée la pénétration anale est on ne peut plus aisée.
« Baise-la ..elle n’attend que cela. La bouche prise par le sexe de l’homme qui s’activait en moi., je sentis les deux mains appuyer sur mes reins pour mieux me cambrer. Je sentis à l’entrée de mon anus un gland étrangement gonflé.
« Je n’ai jamais baisé un si beau cul », redit l’homme qui me cassait littéralement les reins. Puis dans un « han » il s’enfonça dans mon puits d’amour sans ménagement déclenchant une vive douleur. Il s’enfonça au fond de moi.
Je sentis ses bourses frapper mes fesses. Puis il me laboura les reins…Entraînant une sensation particulière et indéfinissable…Je me mis à jouir tout de suite..un orgasme qui me fit recracher le sexe que j’avais dans la bouche. Cherchant l’air mes mains se mirent à cramponner le bord du matelas et je me surpris de crier :
« Encore..encore…Encore »
Encouragé par mon orgasme l’homme me pilonnait pratiquement à la verticale. Cela dura plusieurs minutes avant qu’un nouvel orgasme me plaque sur le matelas et que l’homme se vida par saccades dans mes chairs meurtries. Je sentais ses spasmes en moi…Il évacuait tout ce que ses bourses possédaient.
« Quel pied » commenta-t-il. Il soufflait encore plus fortement que l’autre partenaire de tout à l’heure.
Je sentis ses mains toujours sur mes fesses, puis il se retira laissant mon anus béant. Je sentais tout ce sperme couler le long de mes cuisses comme une fontaine.
« Prends-moi… » me dit l’homme que j’étais en train de sucer avant que mon orgasme me fusille.
Il me prit par le menton et me redressa le visage…
« J’en peux plus lui dis-je ..j’en peux plus…De grâce ! »
« Tu dois me finir…Tiens ».
Et avant que j’aie pu réagir il avait écarté ma bouche et enfouissait à nouveau son sexe dans la bouche. Je n’eus pas à le travailler trop longtemps, a priori il avait dû se masturber pendant que je jouissais des assauts de l’autre homme. Il explosa dans ma bouche déclenchant presque un haut-le-cœur. Il m’inonda la bouche.
« Avale tout… »
« Non je ne peux pas…Je ne peux plus. Je me mis alors à recracher le sperme qui était bloqué au fond de ma gorge. J’avais du mal à retrouver mes esprits. Je restais ainsi quelques instants la tête dans les mains, les fesses à l’air. Partout autour de moi…J’entendais des gémissements et des cris de jouissance.
C’est alors que je pris l’initiative de retirer le bandeau que j’avais sur les yeux. Je me mis à regarder autour de moi…J’étais seule. Sur les autres tapis des couples se faisait l’amour. Je passais une main sur mes fesses, elles étaient collantes de sperme. Je n’avais plus qu’une envie me lever et aller prendre une douche et me débarrasser de cette semence collante et gluante. J’avais mal partout. Ces hommes qui m’avaient prise m’avaient cassée. Les jambes flageolantes , je me levais péniblement. Ceux qui m’avaient prise avaient disparu…Qui pouvaient-ils être ? Et puis je m’en moquais. Je n’avais plus qu’une hâte retrouver Phil et boire un bon coca glacé.
En sortant de la douche, je tombais sur Fred, nu comme un ver le sexe énorme pendant entre ses jambes. Il me fit un grand sourire en surprenant mon regard rivé sur son beau sexe. Que faire ? J’étais irritée de partout, mon corps n’était plus qu’une loque.
J’osais alors le tout pour le tout.
« Tu es beau Fred ! Et sans que je puisse réfléchir à quoique cela soit, ma main saisit le sexe de Fred. Il me regarda surpris. Je le regardais droit dans les yeux, ma main crispée sur ce beau sexe noueux. Il mit de chaque côté de moi ses mains puissantes, se laissant ainsi caresser le sexe par cette inconnue. Il avait des yeux d’un bleu magnifique.
J’avais envie de son sexe et sans me faire prier je me laissais glisser le long de la paroi de la salle de bains, et assise sur mes chevilles la main toujours crispée à son sexe je me mis à le caresser doucement. J’avais rarement vu de ma vie un sexe aussi noueux gonflé de veines énormes. Je le décalottais afin de pouvoir mieux admirer ce gland fabuleux. De mon autre main je pris ses bourses lourdes et je me mis à les malaxer. Fred avait dû honorer plusieurs femmes ce soir, mais moi je le voulais.
Je le pris en bouche en écartant au maximum ma mâchoire. Je jouais de ma langue sur son méat. Je le sentais reprendre une forme active et j’en étais fière. Fred revenait en puissance comme un étalon. Il était à présent en pleine érection et je rêvais de ce sexe splendide. L’un des plus beaux que j’ai pu connaître. Il était maintenant dressé devant moi presque à la verticale…
Quelle force quelle puissance !! Alors que je continuais à malaxer ses bourses, Fred recula et me prit par les bras. Il me retourna contre la cloison, me mit les mains de chaque côté , passa sa main puissante sous mon ventre afin de faire ressortir mes fesses et sans que je m’y attente il me décolla de terre et je sentis qu’il me fit redescendre sur son sexe énorme. Celui-ci entra en moi et je me retrouvais empalée entre la cloison et Fred. Il me souleva de ses bras puissants imprimant ainsi sur son sexe un mouvement de va-et-vient.
J’étais comblée, il me remplissait de son pieu énorme dans mes petites fesses, j’étais fragile comparée à lui. Il me fit l’amour avec délice…Je me mis à avoir un orgasme puissant me cramponnant à ses bras, il accéléra son rythme…Puis dans un cri rauque comme celui qu’il avait produit tout à l’heure il éclata en moi par saccades convulsives.
Fred se vidait en moi et me ravissait. Il resta dans mon ventre, déclencha à nouveau un orgasme alors qu’il me redéposait à terre. Je sentis ses deux mains puissantes se poser sur mes seins. Je restais plaquée contre la cloison haletante, les cheveux détrempés. J’étais une femelle satisfaite. Fred s’en alla en me disant ;
« Merci, belle princesse. Tu es magnifique, j’ai beaucoup aimé ton initiative ».
Reprenant mes affaires, je m’assis au bord de la piscine et j’allumais une cigarette. Des hommes et des femmes nus, passaient devant moi sans que j’y prête attention. J’étais sur une autre planète. Je n’ai jamais pu imaginer qu’un jour j’allais me retrouver dans ce type de soirée. Je n’arrivais plus à compter le nombre d’orgasme que j’ai pu avoir. Fred m’avait prise comme cela à l’improviste. Mon vagin était plein de sperme de plusieurs hommes et mes entrailles avaient été honorées. Mon petit trou me faisait mal, j’espère que cela ne va pas me déclencher une crise d’hémorroïdes.
La dernière fois j’avais pas mal trinqué. Devais-je raconter tout cela à Phil ? De toute façon nous nous sommes promis de nous dire tout et d’écrire nos aventures érotiques. Phil était un homme génial qui a parfaitement compris l’importance du sexe dans une vie de femme. Nous nous aimons à la folie…Mais nos jeux érotiques sont importants pour notre équilibre. Je sais que je devrai faire plus attention à l’avenir…Mais je n’aimais pas les préservatifs. Mes amies ont raison, il faut que je fasse attention à l’avenir, mais je suis tellement amoureuse du sexe que le préservatif me coupe tous mes effets. C’est tellement jouissif de sentir un homme vous honorer et s’éclater en vous…Cette sensation dans notre vagin est tellement indéfinissable.
Mon esprit vagabondait. Quelle heure pouvait-il être. Je demandais l’heure à un inconnu qui passa devant moi, nu avec un sexe ridiculement petit et rétracté.
« 23 heures 15 »
C’est quoi ce défi que veut me faire faire Valentin…J’ai mon compte ce soir, comblée je n’ai vraiment envie de plus rien du tout.. Bonne mission retrouver mon chéri…Je vais me rhabiller autrement je vais encore me faire violer. En entrant dans le salon, je me dirigeais vers le grand canapé et je me laissais tomber lourdement. Dieu que j’avais mal aux fesses ! J’étais vraiment cassée de partout. Malgré la douche que j’ai prise longtemps, je sens encore du sperme couler de ma chatte. Je regrette franchement de ne pas avoir de culotte. Je pris une serviette de papier et sans m’occuper de qui pouvait me mater je m’essuyais pour la nième fois le sexe et les cuisses.
À suivre…
Ajouter un commentaire