Humiliante canicule
Le journal intime d’Elodie.
Je vous livre des tranches de vie, pour l’excitation d’exhiber mon intimité, et
votre plaisir…
18 Juillet
Il m’est arrivé une aventure incroyable que je dois absolument raconter ici. Je vais essayer d’être la plus fidèle à mes souvenirs.
Dans le sud de la France un jour de canicule, je reviens d’un RDV chez un client, il est autour de 17 h, et pour une fois je me dis que je peux être contente de ma journée. Je décide de ne pas passer par le bureau, et d’aller me promener en bord de Drôme, me détendre et chercher un peu de fraicheur…
Je me gare vers un coin tranquille. Pour être plus à l’aise pour marcher, je laisse mes escarpins et mets une paire de claquettes. Je m’engage dans un petit chemin et tombe par hasard sur une petite plage naturelle avec une petite retenue d’eau.
L’endroit a l’air tranquille, il y a bien ce pont pas loin, mais il ne semble y avoir personne.
Je m’installe, allongée dans l’herbe, avec un livre que je sors de mon sac. Je suis bien, il y a un peu d’air, et le soleil me fait du bien, il me détend en cette fin de journée. Il n’y a que ma petite combi short noire qui me gêne… je suis littéralement là où le soleil se pose sur l’étoffe… la couleur est peu adaptée pour rester en plein soleil… je l’enlève vite pour me sentir vraiment à l’aise. Seul petit souci, comme souvent, je n’ai pas mis de culotte ! Mais après tout… il n’y a personne, allons-y ! Et puis… ça ne m’a jamais vraiment dérangée (au contraire) de me retrouver nue en public ! Les poissons et les lapins de passage profiteront de regarder ma chatte…
Ni une ni deux, ma combi sert de serviette, étendue sur l’herbe, et j’enlève aussi mon soutien-gorge. Je m’allonge nue. Je me laisse aller, somnolant de longues minutes, quel bonheur ! Je sens le courant d’air sur ma peau, ça fait vraiment du bien…. Le vent frais fait comme une caresse invisible entre mes jambes, une main toute douce et discrète qui effleure ma chatte… Le bruit de l’eau me donne envie de me rafraîchir, je me lève et me rapproche de l’eau. À l’aise et détendue, je me laisse aller à marcher un peu dans l’eau fraiche et m’éloigner de mes affaires. Je suis seule, de toute façon, pourquoi m’inquiéter ?
Le fond de la rivière est glissant et par endroits vaseux, je choisis de ne pas me baigner. L’eau est froide, accroupie dos au rivage, je m’asperge d’eau fraiche…
Quel délice de se laisser aller ainsi, nue dans la nature, sentant la brise sur ma peau et chaque partie de mon corps ! j’en ai des petits frissons, et mes petits tétons pointent de bonheur !
L’eau froide coule sur ma peau, le long de mon dos, entre mes jambes ouvertes. Je regarde le bas de mon ventre, mon sexe est tout ouvert tout près de l’eau… Je me relâche et laisse échapper un filet de liquide chaud… je me vide lentement et sens l’eau se réchauffer entre mes pieds… C’est excitant…
Sans m’en rendre compte je me suis éloignée de mes affaires, à tel point qu’en revenant, j’ai beau chercher, je ne retrouve rien ! j’ai beau tourner et retourner partout en essayant de me souvenir : mais oui, j’étais bien installée là, je vois encore l’empreinte sur l’herbe, et plus rien !
Mon sang ne fait qu’un tour… je suis là, toute nue, à 20 km de chez moi, plus de sac à main, pas de clé de voiture, pas de téléphone, et surtout à poil !!!!!!
Je reprends mes esprits… il y a ce pont là-bas.. Si je vais dessous, cela me permettrait de me cacher un peu. Je m’avance, et, m’approchant, découvre qu’entre les arbres il y un comme un campement sauvage, des toiles tendues, des tôles… sans doute des SDF ou vagabonds… que faire… j’y vais ?
Peut-être qu’ils m’observaient et ont volé mes affaires ? J’ai encore moins le choix, mes affaires doivent être auprès d’eux !
Je décide de m’approcher, ne serait-ce que pour leur demander une serviette ou autre pour cacher ma nudité…
Bizarrement, en avançant, je me rends compte que j’ai des petites palpitations dans le bas ventre, que je commence à mouiller… Je n’y crois pas, cette situation burlesque est en train de m’exciter alors qu’elle devrait m’effrayer !!
Je n’ai pas le temps d’appeler pour voir s’il y a quelqu’un que deux hommes se montrent : ce sont bien des marginaux, des hommes qui semblent vivre en parallèle de notre société, la cinquantaine, ou plus, ou moins, les années de vie dans ces conditions sans doute rudes semblent avoir marqué leur physique et leur apparence.
Je commence à vouloir m’expliquer quant à ma tenue, cachant grossièrement mes seins et mon sexe avec mes mains, mais ils m’interrompent : « t’te bile pas ça fait un moment qu’on t’observe, t’es chez nous ici, et tout ce qui est ici nous appartient, c’est pour ça qu’on s’est servi, et toi aussi tu nous appartiens, donc on va se servir… »
Et là ce n’est plus deux hommes, mais cinq ! trois autres sont arrivés derrière moi sans bruit. Je suis encerclée ! tétanisée… et pourtant je sens que je mouille de plus en plus…
« Et petite salope, tu crois qu’on t’a pas vue tout à l’heure à poil passer la main entre tes cuisses ? Tu t’es caressé la chatte devant nous, chez nous, tu crois qu’on te voyait pas ? »
Oui c’est vrai, maintenant je me souviens que quand je me suis laissée aller à une petite somnolence, je me suis masturbée dans mon sommeil…. quelle conne ! ils m’ont vue !!
Et là ça va très vite. Deux d’entre eux m’attrapent, les trois autres m’attachent poignets et chevilles, je n’ai même pas le temps de dire ouf ou de crier ! de toute façon, qui m’entendrait ? J’essaie de me débattre, me retourner, replier les jambes, mais ils sont trop nombreux et trop forts. Petit à petit, entre leurs bras je cède et me laisse faire comme un pantin. Je me sens leur appartenir, soudainement, ça renforce ces frissons que je sentais déjà dans mon bas-ventre…
Je me retrouve attachée, sur le ventre, sur une table, qui fait la longueur de mon buste. Je suis debout sur mes jambes, cuisses bien écartées, le buste posé, et ma tête au bord de l’autre côté. Je ne peux pas bouger, je suis complètement offerte : sexe, anus, et bouche.
Ils sont assez repoussants, ils ont l’air sales et vieux, mal rasés, pas soignés, je suis terrifiée… Ils vont abuser de moi, c’est clair. Je ne suis pas allongée et entravée ainsi pour leur seul plaisir de regarder mon corps. L’idée de devoir les sucer me fait frissonner… Mais est-ce de peur ou de plaisir ?
Le temps s’arrête, je prends conscience de mon cul ouvert devant eux, ma peau, douce et lisse, leur physique, brut et usé.
L’un d’entre s’écrie « mais tu mouilles salope !! t’as un super cul, tu vas prendre cher, t’inquiètes ! tu vas prendre tellement cher que tu vas en redemander petite pute »…
Il n’a pas fini sa phrase que je le sens entrer en moi brutalement. Je mouillais tellement qu’il me pénètre sans peine jusqu’au fond. J’imagine sa grosse queue sale s’enfoncer dans ma chatte rasée, ressortir toute luisante… Une main saisit mes cheveux et une bite s’enfonce dans ma bouche jusqu’à la gorge. Elle a un goût amer, qui s’atténue plus il va et vient, laissant à chaque fois des gouttes
visqueuses sur ma langue.
Passé la première appréhension, je sens des vagues de plaisir m’envahir. Je me sens comme leur chose, leur objet sexuel. « Regardez les gars comme elle mouille ! z’avez vu comme elle aime ça ? C’est du cul de luxe, de la pute de luxe !!! »
Les yeux fermés je perds le fil de ce qui m’arrive… Pendant qu’un homme me bourre, je sens des doigts qui écartent mon cul. Il m’étire la rondelle, m’ouvre plus grand. C’est douloureux, mais c’est si bon ! Je suis écartelée ! Il passe de ma chatte à mon cul, et me sodomise sans ménagement. « Salope, salope, petite pute, tu vas voir ce qu’on fait à des salopes comme toi !! ». Pendant qu’il m’encule, un autre raidit dans ma bouche, est pris de spasmes, puis jouit violemment. Je peine à suivre et à avaler tout ce qu’il envoie en moi. « Tu aimes ça, raclure ? » Il se replonge en moi, encore dur, et m’étouffe avec sa grosse queue qui se contracte à nouveau. Il va encore jouir, me dis-je… Non, il m’inonde d’urine. Il ressort de ma bouche en urinant et arrose mon visage.
Celui qui me sodomisait s’enfonce lui aussi dans ma bouche, je sens le goût particulier du cul dont il vient de sortir, mon cul à moi, mélangé à son sperme.
Je perds totalement la notion du temps, ballottée de sodomie en fellation, j’avale tout ce qui entre dans ma bouche, j’écarte les jambes pour que tout entre dans ma chatte et mon cul.
Ils m’introduisent des objets chaque fois plus gros, plus douloureux à faire passer… je crie, je hurle de jouissance. Je me souviens du contact lisse et froid en moi, ça devait être des boîtes de bière, elles semblaient énormes. Un type l’enfonce dans mon cul totalement dilaté, trempé de sueur et de sperme. Je sens ma rondelle résister, je crie, quand soudainement, poussant plus fort, il réussit à l’enfoncer. Un autre enfonce sa main dans ma chatte… Cette sensation d’être une chose, à leur merci, c’est incroyable !
Il fait nuit maintenant. Ils continuent à me prendre et jouir sur moi… Ils m’ont retournée sur le dos, les jambes ouvertes, repliées. Je suis comme une tortue retournée, vulnérable et impuissante. L’un d’eux écarte mes jambes, me sodomise profondément et au lieu de me défoncer, reste en moi. Je sens des contractions, puis, quand je l’entends soupirer, quand je sens mon ventre se remplir, chauffer de l’intérieur, je comprends qu’il se soulage dans mon cul, comme s’il avait un urinoir. Ça dure, ça dure une éternité, et je sens mon ventre gonfler de sa pisse. Il me remplit comme une baudruche, je sens le liquide remonter en moi… Il reste en moi et fume une cigarette, les cendres tombent sur ma chatte trempe. Quand enfin il ressort, je me vide, comme une bassine qui se renverserait. J’entends le flot de liquide couler, se répandre sur le sol.
« Attendez, on ne va pas laisser tout ça se perdre !! » un homme amène un seau qu’il place sous mon cul encore coulant. Mes spasmes de plaisir éjectent des filets chauds de mon cul… Je me vide jusqu’au fond de mes entrailles.
Un autre se plante en moi et me remplit de pisse pendant que le premier me fait sucer sa bite encore imprégnée du goût de mon cul ; je me sens à nouveau gonfler, mes entrailles accueillent le liquide… Cette fois il ressort, ayant à peine fini, et pendant que mon cul se vide, il termine dans ma chatte… Je me laisse bercer, sur le dos, jambes ouvertes, au rythme de ses coups de reins, quand je reçois une douche chaude et salée sur le visage… Ils m’ont renversé le seau sur le visage. « Tu sembles aimer ça, tu jouis chaque fois qu’on te pisse dessus, petite pute dépravée ! »
Ils se soulagent sans fin en moi, puis entre mes jambes ouvertes, sur mes seins… je dégouline de pisse et de sperme, ces types ont dû passer des années sans baiser, c’est des vraies usines à foutre. Et moi je suis là pour les avaler ! Je suis souillée, humiliée, encore et encore…
« Avale, petite pute, avale mon foutre ! attends, je vais te pisser dessus, tu vas aimer ça ! » J’aime ça, j’adore ! La tête retournée, je reste la bouche béante, un trou pour leurs offrandes qu’ils me déversent dessus, dedans…
Quand ils se mettent à deux pour éjaculer dans ma bouche, je manque d’étouffer. Le foutre déborde et coule le long de mon visage. Je jouis sans pouvoir me retenir de me sentir ainsi prise de partout, utilisée… je suis leur jouet pendant de longues heures encore… Ils abusent de mon corps, m’humilient « petite pute, ton cul déborde de foutre… attends !!! » je sens qu’il enfonce une main en moi et vide mon trou, dans son autre main, je pense… un liquide chaud coule le long de mon cul, il y en a tellement que ça déborde… il redresse ma tête, pince mon nez pour que j’ouvre la bouche et vide un verre de jus salé, tiède et gluant dans ma bouche. Je dois réprimer un spasme de rejet, la bouche pleine. Il maintient ensuite ma bouche fermée jusqu’à ce que j’aie tout avalé. J’ai l’impression d’être une souillon, leur souillon, et je ne peux m’empêcher de jouir encore plus bruyamment, ce qui multiplie leurs assauts. Sans cesse, ils boivent de la bière et urinent en moi, me forcent à avaler leur pisse, leur sperme, et encore leur pisse…
Toute la nuit, ils me prennent toute entière, l’un me pénètre pendant que le deuxième me sodomise, et deux autres bites m’étouffent dans ma bouche. Ils urinent, éjaculent, j’avale des litres de foutre, de pisse… Je ne sais combien de fois je hurle de jouissance. Ils me gardent ainsi toute la nuit, je ne suis plus que 3 trous béants, l’estomac plein de tout ce que leurs queues me donnent. Quand ils ressortent de moi, c’est pour exploser mes trous avec des objets toujours plus gros « regarde sa chatte, elle reste ouverte, y’a les lèvres qui pendent dans le trou !! ». Ils enfoncent sans ménagement tout ce qui entre en moi, j’ai les entrailles retournées.
Je sombre parfois dans une torpeur, et me fais réveiller brutalement par une queue, dans ma bouche, ou plus tard un objet qu’ils enfoncent en moi pour me dilater, ou le grognement de satisfaction d’un homme en train d’uriner sur mes seins…
Plus tard encore, je sens un contact inhabituel contre ma chatte. C’est comme des petites caresses humides… émergeant de ma béatitude, je perçois un souffle animal, rauque… « C’est bien Jacky, lèche-la cette chienne ! Lèche-la, elle est pour toi !! » Un chien est en train de lécher ma chatte et mon cul… « Tu veux la prendre, Jacky ? Tu veux ? » Les coups de langue cessent… Je m’attends au pire.
Des hommes, oui, mais pas un chien. Pas un animal ! Je tente de me débattre, mais les cinq hommes m’immobilisent… de toute manière je n’ai plus la force de rien ! Le chien ne semble pas intéressé et se détourne de moi « Allez, Jacky, prends cette chienne, elle est en chaleur pour toi !! » « Vient Jacky, c’est un petit trou juste pour toi !! ». Alors que je soupire, je me sens dilatée à nouveau : un homme commence à me fister de toute sa main. Là, je crois que je perds connaissance.
Enfin, lorsque le jour est bien levé, tour à tour ils mettent leur queue dans ma bouche et m’ordonnent de la sucer pour la nettoyer. « Lave ma queue, trainée, rend-la bien propre ». Enfin ils me libèrent… cela faisait longtemps que mes liens étaient défaits, mais il ne me serait jamais venu à l’esprit de m’échapper à tant de jouissance !
Je me redresse, fourbue, brisée, dégoulinante de sperme, les cheveux collés, un goût indescriptible dans la bouche. Je sens couler entre mes jambes les restes de leurs ébats. Mon cul, ma chatte sont anesthésiés par les heures passées à se faire défoncer, j’ai l’impression d’être béante.
Ils me rendent mon sac et mes clés en me disant : « à bientôt petite pute, on est certain que tu reviendras, tu as aimé ce qu’on t’a fait, parce que t’es une salope et que tu ne sers qu’à ça ». Un instant je reste debout, surprise qu’ils ne me rendent pas mes habits. Nue, souillée, je sens le liquide couler de mon cul encore dilaté, de ma chatte, le long de mes cuisses. « Tu crois quoi ? Une salope comme toi, elle rentre à poil chez soi. Que toute la ville voie que tu es une souillure publique ! » « On te l’a dit, tu es à nous ! »
Honteuse, humiliée, je réponds « oui, merci, je suis votre pute, je reviendrai vous vider… » et repars titubante jusqu’à ma voiture. Je marche les jambes serrées, cuisses mouillées… Leurs déjections coulent hors de moi jusqu’à mes pieds. Quand j’enjambe une barrière, je sens encore un flot de liquide sortir de mon cul. Je suis pleine et je n’arrive pas à empêcher tout ça de couler hors de moi. Je m’accroupis près de ma voiture et achève de me vider. Les restes de pisse et de sperme coulent sur mes pieds, c’est chaud, l’odeur me replonge dans des vertiges de volupté violente…
Encore dégoulinante, je m’installe dans ma voiture… L’odeur m’accompagne.
Il va falloir rentrer, nue jusque chez moi, traverser ma ville, croiser des collègues, des voisins. Ils me verront, vulgaire comme une pute, exposée à tous, remonter l’allée jusqu’à ma porte…
Ils me prendront pour une traînée, une chienne en chaleur, une salope, un sac à
Foutre, un trou à bites, une vulgaire chiotte…
… que je suis, moi, Elo la Pute !
Ce récit relève d’un fantasme ou d’une expérience que tu as vraiment vécue Elo ??? Rêves tu de te faire dominer et abuser comme cela par plusieurs hommes ? Est-ce que cela t’est déjà arrivé ?
Le récit est très glauque et pourtant très excitant… j’aimerais te voir te faire abuser comme cela par plusieurs hommes, voir tes trous dilatés, te voir degoulinante de sperme et d’urine…
Et j’aimerais pouvoir profiter de toi comme cela…
Oui déjà arrivé….
Alors du coup, c’est encore plus excitant de savoir quc’est st vrai… oh la la, quand je vois ton corps sur tes photos, j’adorerais comme cela te défoncer ta petite chatte et ton anus, bien les dilater… être plusieurs à s’occuper de toi pour que tu aies toujours 2 queues en toi et et 2 ou 3 à sucer et branler… jouir en toi et sur toi pour que tu sois pleine de foutre… une vraie salope en résumé…
Wow … oui ……
C’est exactement ça !!!! :)))))))))))))))))))))
J’aimerais voir une photo de ton anus complètement dilaté et dégoulinant de sperme…
Dilaté j’ai
Avec du sperme pas encore, à faire. ‘.
Hummm… j’aimerais te prendre le cul pour bien le dilater… mais comme j’aime partager, j’adorerais que tu mettes un bon gode ceinture, que tu me mettes à 4 pattes et que tu me prennes aussi le cul pour bien me défoncer… ensuite, je recommencerais à te prendre jusqu’à ce que ton petit anus deborde de sperme…