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Les plaisirs et les Vices de Brigitte Partie 1

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Comment suis-je tombée dans ce monde complètement axé sur le sexe où plaisir et vice se côtoient étroitement ? Comment la femme à la sexualité éteinte que j’étais, il y a encore quelque temps avait-elle pu laisser la place à celle que j’étais devenue, je me le demande encore.

Mais permettez-moi de me présenter Brigitte, 44 ans, mère de deux enfants, devenu grands et ne faisant plus que bref passages, mariée à un homme charmant avec qui je coulais des jours heureux et paisibles, pleins de complicité et d’affection, mais où la passion des débuts de notre mariage avait fait place à une tendresse infinie. Autant dire que nos rapports avaient bizarrement pratiquement disparu sans que nos sentiments aient changé et que je me surprenais à m’astreindre à rejeter systématiquement tout ce qui touchait de près ou de loin à l’attirance sexuelle et ses plaisirs.

Je travaillais dans une petite agence bancaire située dans un centre commercial. Sur le plan physique, je suis une brune aux yeux noirs, d’un mètre soixante-neuf, pas trop mal, ceci dit sans aucune vanité, même si à l’époque, je ne faisais rien pour me mettre en valeur, plus de maquillage, plus de coiffeur, j’essayais même de cacher ma poitrine (un 95C mythique) sous des vêtements passe-partout. Bref je coulais des jours heureux, tranquilles, sans surprise même si maintenant, et sans les renier, je trouve que cette vie était bien terne et monotone.

Tout a commencé par le départ pour promotion de mon chef d’agence. Celui qui le remplaça était assez jeune, la trentaine, célibataire, plutôt pas mal de sa personne et je le cataloguais immédiatement comme étant du genre séducteur. Je ne fus pas la seule, car Virginie, une collègue, belle métisse antillaise dont je jugeais sévèrement la tenue (jupe courte, voire très courte, chemisier ouvert, trop ouvert, débardeurs etc..) déploya une belle énergie pour attirer le nouveau venu dans ses rets, apparemment en pure perte. Notre apparence était, même si nous nous entendions très bien, à l’opposé, comme le feu et la glace. Elle bien entendu, était le feu tout charme déployé et moi la glace, très prude dans les propos et la tenue. Elle plaisantait souvent, me disant que si je n’étais pas mariée, j’aurais fini dans un couvent, que j’étais sexy comme un fer à repasser, etc.… La seule chose qu’elle m’enviait était justement ce que je cachais : mon tour de poitrine. Elle soupirait souvent que la vie était mal faite, et qu’avec des seins comme les miens elle aurait fait bander tous les hommes.

La jolie Virginie s’interrogeait même sur les mœurs du chef, voyant ses efforts non payés de retour. Daniel, il se prénommait ainsi, s’avéra un bon chef d’agence, compétente dynamique avec des initiatives intéressantes, comme celle de suivre commercialement quelques dossiers clients afin de ne pas nous cantonner dans un rôle strict au guichet de la banque où avec Virginie et Catherine (une autre collègue à la vie en perpétuelle agitation du fait de ses cinq enfants – des jumeaux et ensuite des triplés).

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Un beau jour, où, justement je n’étais pas au guichet, Daniel me demanda :

« Brigitte, vous pouvez venir que nous étudions le dossier Mercier ».

Courtoisement, il me fit prendre place à une table de travail et vint s’asseoir à mes côtés et nous commençâmes à compulser les éléments du dossier. Au bout d’un moment, et je m’en souviens comme si cela venait de se passer il y a quelques minutes, Daniel m’ordonna:

« Brigitte, ôtez vos lunettes »

Je portais effectivement des lunettes, non pas que j’en eusse vraiment besoin, elles étaient surtout faites pour la conduite, mais j’avais pris l’habitude de les garder, sans doute pour éviter d’avoir à me maquiller les yeux et puis, cela complétait mon “look” d’institutrice comme me le faisait remarquer Virginie. Je sursautais et prise de court, j’obtempérais.

« C’est bien ce que je pensais, vous avez de beaux yeux » reprit-il en souriant avant d’ajouter :

« Ouvrez votre chemisier ».

Je le regardais, stupéfaite, sans voix.

« Vous ne m’avez pas comprise, ouvrez votre chemisier, allez, hâtez-vous ! »

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Quelle raison m’a fait, ce jour-là accepter d’obéir à cette demande étrange, j’avoue que je n’en sais rien, mais toujours est-il que, les yeux baissés je déboutonnais mon chemisier.

« Bien., maintenant ôtez le, ainsi que votre soutien-gorge »

Là encore, comme un automate, je retirais mon chemisier et devant mon hésitation, il somma de plus belle :

« Le soutien-gorge ! Allez pressez-vous, vous avez peur que tout cela s’écroule ».

Totalement subjuguée, je passais mes mains dans mon dos pour dégrafer le sous-vêtement et puis rapidement je croisais les bras dans un réflexe de pudeur.

Depuis mon mariage, et à part le médecin, personne n’avait vu ma poitrine nue. Il se leva, alla verrouiller la porte de son bureau, et sans un mot, il me prit par le bras, me fit lever, décroisa mes bras, me dirigea vers un de ses fauteuils, m’y fit asseoir et, me faisant face, ouvrit tranquillement sa braguette, sorti son sexe. Il s’agenouilla sur le fauteuil, de part et d’autre de mes cuisses et plaça son membre entre mes seins. Puis les saisissant à pleines mains il les utilisa, fort bien d’ailleurs, pour se masturber. J’aurais dû me rebeller, le faire cesser. Mais non, rien. Je sentais sa verge grossir, mes seins durcir, il y avait bien longtemps qu’ils n’avaient pas été autant sollicités et c’en était presque douloureux, enfin presque ! Et aussi très agréable.

Malgré moi et comme une sensation oubliée, je sentis une stimulation que je n’avais pas ressentie depuis des années.
Brusquement, il délaissa ma poitrine, me prit par la nuque d’une main et de l’autre présenta sa verge à mes lèvres en disant simplement “Suce” Toujours aussi inerte, je laissais son sexe envahir ma bouche et après plusieurs va-et-vient, il éjacula. Comme il me maintenait toujours, je n’eus pas d’alternative, j’avalais pour la première fois de ma vie. J’avais toujours refusé cela à mon mari et autrefois lorsque je lui pratiquais une fellation, j’avais soin de le faire exploser en dehors de ma bouche ou si je lui offrais ce réceptacle, de recracher cette substance aussitôt après. Mais là non morte de honte j’ingurgitais ce qu’il m’imposait. Il me libéra la bouche, se réajusta, en disant.

« Je vous remercie c’était très bien ».

Le plus rapidement possible je me rhabillais et confuse je quittais presque en courant le bureau pour aller m’enfermer dans les toilettes pour y reprendre mes esprits. Le soir en regagnant le domicile, je fulminais, Ah l’immonde personnage, l’obsédé. J’allais immédiatement en parler à mon mari, il lui casserait la figure, j’écrirais au PDG et il serait viré, condamné pour harcèlement. Il allait voir. Il allait….j’allais……je n’allais rien faire du tout et s’il voulait recommencer.

Les jours passèrent et inconsciemment (pas qu’inconsciemment d’ailleurs) je souhaitais être à nouveau être convoquée. Mais non, rien ne se passait, bien qu’il m’eût semblé qu’il me regardait parfois à la dérobée, mais je me faisais sûrement des idées. Un après-midi alors que j’étais au guichet de la banque, il me dit “Brigitte, pourrait me faire cette lettre à la fermeture, j’irais ensuite la poster, je désirerais que cela soit envoyé aujourd’hui” C’est vrai que ce jour-là, Virginie étant absente, j’étais la seule pour faire fonction de secrétaire ou en tout cas la plus performante sur ordinateur.

À l’heure requise, je fermais donc l’accès aux clients et m’installais pour taper cette courte lettre et l’imprimer. Ce fut vite fait et je frappais à la porte de mon chef pour lui faire signer. Il était assis à son bureau un peu sur le côté et tendit la main vers moi pour que je lui donne la lettre. Je contournais donc le bureau pour me trouver en face de mon patron, pantalon ouvert, le sexe tendu vers moi et il ordonna :

« Brigitte, pendant que je relis cette lettre, sucez-moi ».

Interdite et sans réaction, sans doute rougissante je lui tendis la lettre et m’agenouillais entre ses jambes. Timidement je saisis sa verge d’une main et commençais à la presser. D’une légère, oh très légère, pression de sa main sur ma tête, il m’encouragea à lui prodiguer la caresse buccale qu’il souhaitait. J’arrondis donc mes lèvres et l’embouchais. Toujours en le caressant, je le faisant aller et venir dans ma bouche. Surprise, la première fois, je n’avais pas fait attention, mais là, bien qu’en ayant un morceau dans la bouche, j’avais encore de quoi caresser.

En fait, il avait une verge, plus imposante que celle de mon mari, plus longue et plus grosse aussi. Cette pensée commença à m’embraser le ventre et je m’appliquais à ma tâche. Comme pour me prévenir de ce qui allait survenir, il me posa simplement la main sur la tête. Je compris. Et il n’eut pas, cette fois, besoin de me maintenir la tête, il jouit par long jet que je déglutis docilement. Quand j’eus avalé la dernière goutte, je me relevai. Il commenta :

« Vous ne sucez pas mal du tout, vous serez bientôt parfaites, je vous remercie à demain ».

Comme j’allais franchir la porte de son bureau il me lança :

« Brigitte ! La prochaine fois, je vous prendrai »

Éberluée, ébahie que venait-il de se passer, qu’avait-il dit. Je n’étais pas sûre d’avoir bien compris.

Je partis comme un robot, mais un robot dont la culotte aurait été mouillée par l’excitation… quelle honte ! Très émoustillée, ce soir-là je tentais des approches auprès de mon mari. Hélas pour moi ce soir-là le Réal de Madrid rencontrait je ne sais qui pour je ne sais quelle coupe si bien que je me retrouvais seule au lit et pour la première fois depuis des lustres, je me caressais jusqu’à l’orgasme en pensant à ce gros membre qui avait-il promis allait de nouveau prendre le chemin de mes lèvres et aussi celui de mon ventre. J’en ai rêvé cette nuit-là.

Le lendemain, dégrisée, je me ressaisis, j’allais aller voir mon chef et lui expliquer que j’aimais mon mari, que j’avais été deux fois surprise, mais que j’étais une femme honnête, fidèle à son conjoint et que j’étais décidée à…à….. à accepter tout ce qu’il avait promis. Il mit au point un nouveau système de fermeture de l’agence. Catherine, Virginie et moi n’aurions plus de semaine de fermeture, mais nous le ferions un jour sur trois, Julien le commercial étant dispensé de ce travail. Daniel se réservant la mise en route de l’alarme une fois tout le monde parti. Je pensais, alors, avec confusion, que j’allais être seule avec lui tous les trois jours. Je fus vite déçue, pendant plusieurs semaines il ne se passa rien, je commençais à le déplorer ainsi qu’à espérer tous les jours.

Un samedi, alors que j’avais fermé les portes, éteint l’éclairage de l’accueil et du guichet j’allais me diriger vers les bureaux……je sursautais. Il était derrière moi. Sans que j’aie pu faire un geste (l’aurais-je voulu) il m’enlaça, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força le barrage de mes lèvres, pour s’enrouler autour de la mienne. Fiévreusement, je lui rendis son baiser. Il m’entraîna vers mon propre bureau, m’y appuya, m’embrassa de nouveau, ses mains caressaient ma taille, se baissant, il saisit l’ourlet de ma jupe et commença à la relever. Il laissa échapper :

« Ha! J’aurais dû m’en douter, tu portes ses saloperies de collant »

Puis me poussa, m’obligeant à m’allonger le dos sur mon bureau, me releva les jambes, d’une main experte il saisit mon collant et mon slip qui finirent sur la moquette. Il m’écarta ensuite les jambes, sorti son sexe qu’il frotta le long de ma fente qui se trempait de plus en plus.

Et avec infiniment de douceur me pénétra. Je sentis sa verge brûlante se frayer un passage dans mon vagin qui n’avait pas été visité depuis si longtemps et jamais par un sexe de cette dimension. J’avais honte, je me laissais sauter comme la première secrétaire venue mais qu’est-ce que j’étais bien. Il me dit “On sent qu’il y a longtemps que tu n’as pas fait l’amour, toi, quel gâchis ! Je vais remédier à cela.” Il me pénétra fond avec douceur, m’envahissant complètement, puis il se mit lentement à aller et venir. Ses mains relevèrent mon pull et il me caressa les seins, que c’était bon. “Ouvre les yeux que je vois que tu aimes cela” ordonna-t-il.
J’obéis, le penchai sur moi pour m’embrasser. Sa langue envahissait ma bouche, ses mains me parcouraient, son sexe m’envahissait aussi, je m’offrais.

Ses va-et-vient augmentèrent d’intensité et je sentis que j’allais jouir. Mon Dieu, moi, la femme sage depuis des années, jouir sur le coin d’un bureau. Je tentais de résister à cet orgasme et , comme s’il lisait en moi, il me dit :

« Laisse-toi aller, ça va être bon »

Et il se mit à me pilonner de plus belle, et là je me rendis, je me laissais aller en une jouissance muette pendant que lui, sous le coup de contractions de mon vagin prit son plaisir sans retenue, m’inondant véritablement. Galamment il m’aida à me relever et me demanda :

« Tu es toujours aussi peu démonstrative ? » et sans me laisser le temps de répondre, il ajouta :

« Je vais te prendre en main, tu es faite pour l’amour. Dis-moi tu as aimé au moins »

Je ne comprenais plus rien du tout – comment ça fait pour l’amour ? Comment ça me prendre en main ? Toujours est-il que je m’entendis répondre, que oui, j’avais beaucoup aimé . Après m’être rajustée nous nous séparâmes non sans nous être longuement embrassés.

En rentrant à la maison, j’avais honte comme jamais je n’avais eu honte, j’avais trompé mon mari et le pire c’est que j’avais aimé cela. Le lendemain, le dimanche s’écoula lentement, je n’arrivais pas à me décider, rompre, recommencer, recommencer, rompre tout cela se mélangeait dans ma tête et aussi m’échauffait les sens, éperdus, je faillis même tout avouer à Philippe mon mari, mais je me retins. Je passais une mauvaise nuit demain, il faudrait que je tranche. Ce lundi, jour de fermeture de l’agence, mon mari parti travailler et je me mis en devoir de faire un grand ménage. Cela allait m’occuper l’esprit, en chemise de nuit je m’attelais à cette tâche. La sonnette retentit. J’ouvrais. La foudre tombant à mes pieds ne m’aurait pas fait plus d’effet, je demeurais immobile, muette tétanisée. Il était là devant moi. Il entra referma la porte derrière lui et me pris dans ses bras. Sa bouche s’écrasa sur la mienne, je lui offrais mes lèvres, ma langue, je lui rendis farouchement son baiser. Ma chemise de nuit s’envola, j’étais nue contre mon amant. Il me dit “J’ai pensé à toi tout le dimanche, tu sens ? Oh oui ! Je sentais cette bosse contre mon ventre Oh oui je savais qu’il allait me faire l’amour et que je n’attendais que cela, être à nouveau possédée par ce sexe imposant.

Il s’écarta et me tendit un sac qu’il avait amené avec lui. “Enfile cela” me dit-il interrogative, je pris le sac, l’ouvrais, il contenait une paire de bas noirs et un porte-jarretelles de même couleur. J’étais outrée me harnacher pour faire l’amour, lui aussi était friand de genre de chose. En fait, je fus outrée une fraction de seconde, la suivante je ceignis le porte-jarretelles et laissais Daniel, confortablement assis dans un fauteuil, assister à mon humiliant habillage. Lorsque les nylons furent tendus il ordonna :

« Va t’arranger en peu et chausse-toi ».

Incapable d’avoir une réaction, j’obéis sans savoir pourquoi. Un petit trait de crayon, un peu de brillant à lèvres, (je n’avais plus rien d’autre pour me maquiller) je mis ma paire de chaussure la plus haute qui devait bien culminer à deux centimètres et rejoignis Daniel. Toujours assis dans le fauteuil, il me considéra et dit :

« Je souhaite que tu portes des talons aiguilles, j’adore cela, en attendant viens me sucer ».

Des talons aiguilles ! Et puis quoi encore ! Oui promis juré, demain j’en achèterai et le plus haut que je pourrais trouver. Je me laissais couler entre ses jambes ouvrit le pantalon, lui ôtais ainsi que son slip qui contenait difficilement son érection et embouchais le pénis tant désiré. Je le fis coulisser entre mes lèvres, le léchais, m’appliquant du mieux que je pouvais. Au bout de quelque instant, il demanda :

« Arrête un peu, où est ta chambre? Que je te fasse l’amour ».

Je le pris par la main et le guidais vers la chambre. Il m’enlaça en demandant :

« Tu veux ? »

« Oui” répondis-je dans un souffle. Le reste se passa vite et je me retrouvais sur le dos, Daniel ma pénétra et s’allongea sur moi. Que c’était bon de se sentir ainsi écrasée sous son amant. Son sexe m’envahit de toute sa longueur, quelle sensation ! Très lentement, il se mit en mouvement avec beaucoup de délicatesse mais en même temps très virilement, j’adorais ! Je sentais mon vagin littéralement fondre, mon ventre me brûlait, une boule s’y format, enfla, enfla, c’est y était, j’allais jouir, je me contractais, et tremblant de partout j’eus un premier orgasme.

Restant en moi, il me laissa reprendre mes esprits, puis recommença ses va-et-vient en disant

« Remonte tes jambes sur mes épaules, je pourrais te prendre plus profondément et cette fois-ci je veux t’entendre jouir, compris. »

J’acquiesçais en m’offrant de mon mieux à ce membre qui effectivement me pourfendait en vérité, si gros, si long, si loin, je commençais même à laisser échapper quelques gémissements qui eurent l’air de le ravir. Lorsqu’il sentit qu’il allait à nouveau me faire atteindre le plaisir, il dit :

« Je sens que tu vas jouir, dis-moi que tu jouis. »

« Oh oui, je vais jouir » murmurai-je « Plus fort « « Je jouis. » « Encore plus fort ! C’est bon ? « Oh oui c’est bon…je jouis » m’écriai-je en rallant « Moi aussi, tiens prends. »

Et je sentis son pénis gonfler et exploser et se déverser en moi, que c’était bon. Il se retira et nous prîmes un temps pour récupérer, ce qu’il fit en me complimentant de mon laisser-aller à exprimer ma jouissance. Ce laps de temps fut en fait très court, car bientôt, il me prit à nouveau dans ses bras, m’embrassa longuement. Sans retenue je lui offris ma bouche et ma langue, ses mains me parcoururent enfin. Il s’attarda longuement sur mes seins, les léchant, les soupesant, en faisant rouler les extrémités, les suçant, puis il me caressa les flancs, la taille, dos mais aussi les fesses et les cuisses. Mon corps répondait à ces caresses, je recommençais à mouiller et un peu timidement je le caressais également. Son sexe se redressa et il me demanda de le prendre dans ma bouche. Vu où il avait été auparavant, j’hésitais, il devait être imprégné de sa semence mais également de mes propres sécrétions.

Devant mon hésitation, il devint plus directif :

« Allez ne me fait pas attendre, tu vas voir, elle a du goût maintenant, c’est comme quand tu te masturbes et que tu te lèches les doigts après. »

Éperdue, je n’osais lui dire que jamais je ne m’étais léché les doigts après m’être caressée, il faudrait peut-être que j’essaie.
Pour ne rien avoir à répondre, je fis ce qu’il me demandait et j’embouchais son membre tendu. Je pris bien mon temps pour lui donner le maximum de plaisir, le faisant coulisser entre mes joues serrées, l’embrassant sur toute la longueur, léchant avec délice son gland pendant que je pressais ses testicules, qu’est-ce qu’il m’emplissait bien la bouche. Il m’annonça qu’il voulait me rendre la pareille. Il me fit placer à quatre pattes, tête-bêche au-dessus de lui en position de 69. Ce fut réellement divin, c’était la première fois que sa bouche se posait sur mon sexe et que sa langue pénétrait mon intimité – Divin ! Tellement divin que sous la conjugaison de ses lèvres qui aspiraient mon petit bouton et de ses doigts j’eus droit encore une fois à un bel orgasme. Mon amant, car c’était bien de cela qu’il s’agissait, me repoussa, me fit mettre sur le dos et me pénétra d’une seule poussée que j’accueillis avec un petit cri. Il se mit à me pistonner d’une façon que je qualifierai de sauvage et je passais mes jambes autour de ses reins pour mieux m’offrir.

« Tu aimes quand je te baise ? » demanda-t-il

« Oh oui ! » « Dis que tu aimes ! » « J’aime quand tu me fais l’amour Daniel ! » « Dis que tu aimes quand je te baise » « J’aime que tu me baises ! ».

Laissais-je échapper avec honte car employer des termes un peu crus ne faisait pas partie, non plus de mes habitudes. Mais là, je me sentais prête à tout, même dire des insanités dans le lit conjugal avec un amant qui me…qui me…qui me baisait et bien de surcroît. Si bien que je me laissais aller à annoncer ma jouissance.

« Oh je vais jouir…continue…c’est bon. Je pars oooooh! ».

Il m’acheva des quelques coups de reins puissants et je sentis sa verge grossir puis sa semence m’inonder le vagin, il s’écrasa sur moi en disant :

« C’était super bien, tu vas devenir un bon coup ».

Vu l’heure je lui proposais de manger un petit quelque chose. En riant il me demanda :
« Tu veux que je reprenne des forces pour t’en remettre une petite dose ».

Comme rougissante je ne répondais rien, il continua en m’enlaçant :

« Tu en veux encore, n’es ce pas ? Dis-moi que tu en as envie, cela, se vois à la façon dont tu me regardes la queue ».

Timidement j’avouais que « Oui j’en avais encore envie » un peu estomaquée de cette façon triviale qu’il avait de s’exprimer mais qui quelque part me troublait un peu. Il me demanda, par contre, de rester dans la même tenue et c’est en porte-jarretelles que sous ses regards appuyés que je préparais rapidement à manger. Pendant le repas, assis à mes côtés il ne cessa pas de me caresser, de me complimenter sur mes seins, la douceur de ma peau, la façon de le sucer. Il me dit ensuite que nous allions vivre une aventure d’une sensualité exacerbée si je le souhaitais.

Que pouvais-je répondre, surtout avec deux doigts dans le vagin à ce moment précis, à part que c’était fou mais oui.oui.oui Il me fit promettre de m’arranger un peu pour aller travailler, me disant qu’il adorerait me contempler sachant qu’après je serais à lui. Il me fit promettre également de dire des mots crus, m’expliquant qu’il adorait les femmes bien élevées, qui proféraient des insanités en baisant.
Pendant que je débarrassais la table, il vint se coller derrière moi pris mes seins à pleines mains, m’embrassa dans le cou en me disant : “J’ai très envie de te prendre en levrette, tu veux ?” Oui je voulais, oui ! Il m’entraîna à nouveau dans la chambre me fit prendre la position qu’il souhaitait se plaça derrière moi, frotta son sexe contre ma vulve et mon clitoris et positionnant son gland contre mes petites lèvres m’investit bien à fond. Quels moments délicieux il me fit passer solidement emmanchée, il me caressait le dos les hanches, les cuisses, l’entrejambe Humm, les fesses, les épaules, la poitrine re-humm. Pour mieux me perforer à sa guise, il me tenait par la taille, ou s’agrippait à mes cheveux qu’il tirait doucement en arrière pour mieux me faire cambrer ou bien encore me saisissait par les seins qu’il malaxait véritablement me faisant tourner la tête pour un farouche baiser retourné. J’étais “aux anges” ou plutôt “au diable” mes soupirs semblaient le déchaîner, sous ses efforts j’ahanais littéralement. La jouissance allait me submerger, je l’encourageais, allant au-devant de ses coups de reins :

« Plus fort…plus fort…encore. » « Comme ça, tu la sens bien hein ! Dis-moi que tu la sens » « Oui, je la sens, elle me remplit, j’aime » répondis-je et brusquement je criais, oui, je criais, moi et mes principes, moi et mon rejet de la sexualité, je criais, je criais ma jouissance à mon amant et cela sembla l’exciter au plus haut point. Les doigts enfoncés dans mes hanches il éjacula bruyamment et attendit que son membre perde de l’arrogance avant de se retirer.

Nous reprîmes nos esprits et nous nous levâmes pour aller nous rafraîchir à la cuisine. Tout en prenant un verre, il me passa le bras autour de la taille et mine de rien recommença à me caresser. Il me demanda à quelle heure revenait mon mari. Jugeant que le temps qui nous était imparti était suffisant il dit :

« Bien, ce sera suffisant, tu vas me faire une petite gâterie avant que je parte »

Décidément, il était infatigable. Il m’entraîna dans le salon, s’installa confortablement dans un fauteuil et m’apostropha :

« Allez, à genoux, suces ! »

Toujours sans savoir pourquoi mais totalement obéissante je m’agenouillais entre ses jambes et me mis à le sucer avec application. Sous mes caresses et ma langue son pénis se raidit et je redoublais de sensualité dans ma fellation.

Au bout d’un moment de ce traitement il demanda :

« Je vais te jouir dans la bouche, tu vas tout avaler Brigitte ? » « Oui, je vais tout avaler, jusqu’à la dernière goutte » le rassurai-je, consternée de mes propos. L’éjaculation fut importante, mais comme promis j’ingurgitais ce liquide chaud et épais auquel il me semblait que je commençais à prendre goût. Il me demanda si je suçais mon mari. Je répondis par l’affirmative omettant de dire que c’était qu’il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Il me dit qu’il fallait que je continue et que cela me ferait un excellent entraînement pour mieux le sucer, lui. Puis il se rhabilla et après un très long baiser, il partit.

Aussitôt seule, je lavais mes souillures et me couchais épuisée. C’est au lit que mon mari me trouva – malade. Il ne fut pas étonné, me faisant remarquer mes yeux cernés et mon front brûlant, pour lui, je devais couver quelque chose. Plein de gentillesse et de prévenance, comme à son habitude, il s’occupa de moi. J’en avais les larmes aux yeux et faillis lui avouer mes turpitudes de la journée. Le démon qui était en moi m’en dissuada et je savais que des après-midi comme celle que je venais de vivre, il y en aurait d’autres……..

À suivre…

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