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Les talents d’exhibitionniste de Brigitte Dix-huitième partie

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Brigitte exhibitionniste 

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Brigitte a mis plus d’une semaine avant de pouvoir s’assoir à nouveau, elle est obligée de mentir
au travail sur les vraies raisons de ses douleurs.
Cela fait maintenant deux semaines que la séance de torture s’est déroulée, je la regarde lire son
roman adossé au coussin dans notre lit. J’approche ma main de sa cuisse pour remonter sous sa
nuisette.

— Tu vas ou comme çà ?

— Cela fait deux semaines que je ne t’ai pas touché, je pensais que… ?

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— D’accord, j’ai moins mal. Mais tu y vas en douceur.

– Cooooool !

— Tu mets une capote.

— Mais pourquoi ????!!! Je suis ton mari et cela fait longtemps qu’il n’y en plus dans notre chambre.

— J’en ai acheté pour toi, je vais t’apprendre à bander pendant que je suis torturé. Monsieur éjacule
quand je cris de douleur.

— Pardon, je n’ai pas pu me maitriser.


Je saisis le préservatif qu’elle me tend.

— J’ai pris petite taille ça devrait aller ?

— Ha ha ha, trop marrant.

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Après quelques minutes à la caresser avec douceur, je descends mon visage entre ses cuisses. Ma
langue ouvre ses lèvres pendant que mes mains câlinent ses seins. Je pousse son clitoris avec le bout
de la langue.

— HOOOoooo ! C’est bon mon chéri, MMMmmm !!!!


J’embrasse son périnée et je descends sur son anus, elle se cabre quand ma langue glisse sur le
muscle.

— C’est encore sensible.

— Pardon ma chérie.


Après avoir joué de nouveau avec son clitoris, je m’écarte pour enfiler le préservatif. Elle rigole en
regardant l’ado qui essaie de mettre son caoutchouc.

— Quoi ?? Ça fait longtemps. Je n’ai pas oublié pour le reste.

— Je te fais confiance.


Je suis venu entre ses cuisses pour la pénétrer.

— Tu crois qu’une petite fourmi va me mordre le bout ?

— Concentre-toi ! Arrête de dire des bêtises !


Nous faisons l’amour depuis plusieurs minutes, quand je lui demande de se mettre sur les genoux.
Je la pénètre doucement, je regarde ma queue entrer et sortir. Je ne peux m’empêcher de repenser
au prêtre qui a pris du plaisir en tiraillant sa rondelle. Ma main se balade sur ses fesses, mon pouce
frôle son anus, je me rapproche doucement. Cela m’excite, je la prends plus rapidement. Mon pouce
tourne autour de son anus irrité. Elle se contracte et son vagin serre ma queue.
Il avait raison le curton. J’accélère un peu plus et j’accentue la pression sur sa rondelle.

— Arrête tu me fais mal !!


J’appuie un peu plus, je viens claquer ses fesses.

— C’est bon ma chérie !! Tu es serrée !!! Putain c’est bon !!

— Arrête Philippe, tu me fais mal !!!

— HOOOOooooo !


Je viens de remplir le préservatif et je m’assois sur notre lit. Brigitte quitte la chambre une main
sur les fesses, vexée et furieuse.

— Oups !! Je crois que j’ai fait une connerie.

— Je confirme, connard !!!!!!


L’ambiance est glaciale la semaine suivante à la maison. Je reçois un sms de Rémi, j’en informe ma
chérie.

— Je viens de recevoir un message de la ferme, il demande si on est dispo ce weekend ?

— Oui !!!

— Mais !! Après tout ce qu’il ton f…

— Oui !!!!!!

— Très bien.


Le silence dans la voiture est pesant, je m’y suis habitué depuis qu’elle m’a dit que j’étais aussi taré
que le prêtre.
A peine rentré dans la cuisine de la ferme, Black pose ses pattes sur la jupe de Brigitte, Rémi
caresse son chien.

— Calme-toi, elle vient juste d’arriver.

— Non ce n’est pas grave, il veut sa chienne. On peut aller dans votre chambre, Mr Rémi ?

— Oui bien sûr.

— Toi tu restes là !!


Rémi me regarde et suit Brigitte. Je les entends de la cuisine, elle fait exprès de parler fort.

— Vient mon chien ! Viens baiser ta chienne !! Monte-moi !!!


J’entends la respiration de Black qui accélère, il doit être sur le dos de ma femme à chercher
l’ouverture vaginale.

— HAA !!! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !


Black vient de la pénétrer, j’entends déjà les flops, elle devait être déjà mouillée avant de
commencer.

— OUI mon maitre !!!! Prends ta chienne !!!!


Les gémissements durent plus d’une minute, Black n’a pas sailli Brigitte depuis presque un mois et
ça se voit. J’aimerais tellement me masturber en la regardant, mais je ne dois pas la contrarier pour
qu’elle me pardonne.

— HAA !!!!!


Le nœud du chien vient de pénétrer son vagin violemment, les gémissements sont plus forts et
profonds. Mais après quelques secondes le silence se fait dans la maison, je suppose que Black est
bloqué en elle.

— Haaa ! Haaa ! C’est bien ma petite.


Maintenant elle suce le vieux avec le sexe du chien dans sa chatte, elle veut me faire perdre la tête.
Après un gémissement profond, je vois Black quitter la chambre et la queue rouge entre les pattes, il
disparait dans la pénombre du couloir. Rémi satisfait me rejoint en fermant son pantalon.

— Assis toi Philippe, tu veux un café ?

— Volontiers.

— Elle arrive, elle doit être dans la salle de bain.

— Pendant votre absence j’ai fait refaire la salle de bain à neuf avec une grande douche, une baignoire moderne avec les lumières les jets d’eau.

— Elle va être ravie.

— HAAAAaaaa !!!! Haaa !!! HAAAaaaaa !!!!

— On dirait que Black a remis ça. Il faut qu’elle se ménage j’ai besoin de vous après.

— As-tu déjà fait du théâtre ?

— À l’école, il y a longtemps.


C’est déstabilisant de discuter avec Rémi en entendant sa femme prise pour la deuxième fois par un
chien.
Brigitte réapparait avec un grand sourire qui disparait quand elle me regarde.

— Quelle santé ce Black, heureusement nous ne sommes pas restés bloqué quand il m’a à nouveau prise dans la salle de bain.

— Tu as la santé ma petite et j’ai besoin de vous. Dans la tonne de chasse, il y a actuellement un ami
avec son neveu à qui je veux faire une surprise. Brigitte, tu seras présentée comme une femme qui
travaille pour le conseil général et on va découvrir au fil de la discussion que tu es une écolo anti
chasse, OK ?

— Oui, ça promet être excitant.

— Mon ami est un nounours, c’est moi qui vais faire monter la tension. Quant à toi Philippe tu es son assistant, tu suis le mouvement.

— Il est bon qu’à ça ! Ne peux s’empêcher de rajouter ma femme.


Sur cette remarque, nous avons pris la direction de la fameuse tonne.


André nous informe pendant le trajet que Bernard, son copain, a bientôt 70 ans et son neveu Denis
doit avoir la quarantaine. J’ai bien compris que papy Rémi veut offrir ma femme à son copain, car il
m’a demandé si j’ai des préservatifs.


Rémi rentre le premier dans la tonne.

— Ho, Rémi, comment vas-tu ?

— Salut, Nanard, alors tu es bien dans ma tonne ?

— Regarde c’est beaux canards tirés ce matin.

— En effet bravo.

— C’est qui les deux jeunes que tu nous amènes là ?


Les deux hommes qui nous dévisagent sont habillés en treillis, Bernard à un bon ventre, le teint
viticole, les cheveux gris, une cigarette roulée collée sur le bord de la lèvre.
Il l’a saisi avec ses gros doigts pour la rallumer en penchant la tête. Denis, quant à lui, a le visage long et maigre des lunettes épaisses, comme son oncle il doit écumer les caves, ce qui lui donne le même teint écarlate.

— Mme Vallée travaille au conseil général, elle conduit une étude sociétale sur le monde rural et voici son assistant.


Ils n’ont rien écouté de la description de Rémi, car ils regardent ma femme avec sa jupe marron
descendant sous ses genoux et ouverte à mi-cuisse, les bottes noires montant jusqu’au haut du tibia.
Un chemisier blanc tendu par ses seins lourds, caché par une parka à capuche fourrée grise. Quant à
moi, ils n’en ont rien à foutre, je suis transparent.


Brigitte se déplace pour leur serrer la main.

— Bonjour, messieurs, nous sommes désolés de vous déranger pendant votre partie de chasse.

— Vous êtes la bienvenue, madame, on allait boire un petit coup. Denis offre donc un coup aux gens de la ville.

Denis sort trois verres pour que l’on trinque avec eux, il met un peu d’eau dans chaque, et les nettoie avec son doigt, les leurs sont déjà bien tachés de vin. Il remplit les cinq verres de vin rouge puis Bernard lève le sien.

— Et bin, à l’étude de la dame !


Bernard vide son verre cul sec et nous regarde, Rémi qui doit avoir l’habitude le descend comme lui.


Brigitte et moi dégustons ce breuvage épais et piquant.

— Alors les jeunes !! Il n’est pas bon mon pinard ?

— Si, si… Mais on n’a pas l’habitude.


Ils nous regardent vider les nôtres, Brigitte plisse les yeux à chaque gorgée. Quand on arrive enfin à
les finir non sans mal.

— Denis ! Fais le plein ! Alors vous venez pour une… étude, une étude sur nous ?

— Oui monsieur sur la vie rural en général.

— Vous êtes de la ville vous ?

— Oui monsieur.

— Vous voulez savoir quoi au juste ?

— Par exemple la chasse, vous chassez beaucoup ?

— Pendant l’ouverture, on chasse sur la commune ou les communes avoisinantes, des fois comme
aujourd’hui Rémi nous invite et on reste le weekend, il y a le lit de camp, une petite cuisine.

— Vous ne voyez pas vos femmes ?

— Ha non, que le dimanche soir quand on rentre. Et pi pas besoin de voir nos femmes, il y a de belles jeunes femmes qui passent nous voir. Un Didier ?! Nom de dieu fait le plein !

— Vous tuez beaucoup d’animaux pendant l’ouverture ?


Bernard qui rallume sa cigarette relève ses yeux vers la simili fonctionnaire, la phrase qu’il vient
d’entendre ne lui plait pas.

— Et un bien on tire différents gibiers, aujourd’hui on est au canard avec le neveu.

— Et vous en tuez combien dans l’année ?

— Jeune fille je n’aime pas trop votre vocabulaire ! Rémi c’est qui ces gens ?

— Je ne comprends pas, Mme Vallée répondez à Bernard !

— Et bien ??!!


Brigitte joue bien son rôle et me regarde confuse et cherche ses mots.

— Répondez !!

— Et bien monsieur je fais partie d’un parti écologiste et je milite pour la défense des animaux !!!

— Non de dieu de non de dieu !!! Ils se sont foutus de ta gueule mon Rémi !!

— Oui on dirait et je n’aime pas qu’on se foute de ma gueule !!

— Tant pis pour vous, je suis confortée dans l’idée que je me faisais de votre passion. Des tueurs
alcooliques.

— Quoi ??!!!!!

— Regardez ces pauvres canards, ils demandaient qu’à vivre et à voler et vous les avez tué,
assassins !!!!


Ma chérie est une comédienne formidable, Rémi doit apprécier le déroulement de la pièce.

— Bon Dieu !!!! Bon Dieu !!! Rémi chasse cette femme de ma vue.

— Attend mon Nanard, il est hors de question que je la laisse partir sans des excuses !

— Tu as raison, cette femme ne connait pas le respect. Denis fait le plein, je suis énervé !

— Il est hors de question que je fasse des excuses à une personne qui a tué de pauvres animaux sans
défense !

— Pas de regrets !! Et bien je vais vous punir !

— Vous ne me toucherez, monsieur, avec vos mains pleines de sang !


Nous sommes entrés dans la partie tragique de la pièce, Papy Rémi pose sa main sur le fusil de
Bernard.

— Mon Rémi ne fait pas le con et pose le fusil.

— Elle va venir à mes côtés et recevoir une fessée, une seule et elle va quitter la tonne avec son
assistant.


Bernard et Denis bougent leurs jambes pour cacher la tension dans leur pantalon de treillis. On
regarde tousser Brigitte, je prends la parole pour jouer un peu mon rôle.

— Fais ce qu’il dit et on rentre à la maison, je veux revoir ma femme et ma fille.


Le désarroi se lit sur le visage de Brigitte. La comédienne s’est levée, elle a retiré sa parka. Bernard
et Denis se repositionnent sur leurs chaises, ils vont voir les fesses de cette superbe jeune femme.
Elle approche de Rémi la tête haute pour montrer sa fierté.

— Posez les mains sur la table, je vais vous apprendre, vous la bourgeoise à avoir du respect pour les
citoyens des campagnes.

Bernard avale sa salive en regardant son copain Rémi lever la jupe de Brigitte et la poser sur ses
hanches, ses yeux exorbités contemplent le spectacle.

— Regardez-moi ça ! s’exclame Rémi avec un grand sourire.


Je me déplace et je constate que Brigitte ne porte plus de culotte et son entre-jambes est
totalement souillé, l’intérieur de ses cuisses brille, il y a des traces de sperme séché sur ses lèvres.

— C’est dégoutant, vous ne vous lavez jamais dans les villes ? Je ne peux pas travailler là-dessus !

Toi !!


Comment tu t’appelles ?

— Philippe.

— Et bien Philippe, nettoie ta patronne.


Je regarde autour de moi cherchant de l’eau et de quoi essuyer.

— Utilise ta bouche !!

— Monsieur, je suis marié et je ne veux pas toucher ma patronne !

— Mets-toi à genoux et nettoie ce sexe dégoutant sinon je te loge du plomb dans le cul.


Enfin je peux caresser ma chérie après une semaine d’abstinence, mais je suis moins gourmand
quand il s’agit de gouter au sperme de chien. Ma langue remonte à l’intérieur de ses cuisses, elle
décolle ses lèvres souillées. Brigitte se cambre et les hommes la regardant sortent leurs queues.
Rémi déboutonne son chemisier et ses gros seins pendants prisonniers du soutien-gorge.
Bernard approche sa main et presse un sein, il écarte le tissu pour sortir le mamelon de ma chérie.

— Sacrée génisse que tu nous as amenée mon Rémi, regarde Denis la taille des mamelles. Tu ne diras rien à ta tante ?

— N’ait crainte mon oncle.


Je nettoie ses lèvres souillées pendant que Bernard et Denis lui malaxent les seins. Je pousse ma
langue dans son vagin.

— Haaaaaaaa !!!

— Tu vas être bon pour nettoyer ta patronne plus souvent l’assistant ! Mon cochon, tu as vite oublié ta femme et ta fille.

— Ho oui mon Nanard, elle aime se faire lustrer la bourgeoise. On va aller voir plus en profondeur !


Rémi se présente la queue recouverte d’un préservatif.

— Pousse-toi mon petit, elle a besoin de plus qu’une fessée. Elle ne va pas oublier son passage à la
campagne.


Rémi glisse son gland à peine tendu entre les lèvres de ma femme et pousse sa queue dans son
vagin.

— MMMMmmmm !!!!!

— Tu as vu Nanard comme la citadine aime les bonnes saucisses de campagne, ça rentre tout seul dans la marmite. Prépare le lit de camp, elle va devoir s’excuser des insultes qu’elle t’a proférées.
Pendant que Rémi tape ses testicules sur les cuisses de ma femme, Bernard et Denis s’affairent à
positionner le lit de camp.

— L’assistant donne des plastiques à mes amis qu’ils se préparent à recevoir ta patronne, elle est
juteuse à souhait.


Bernard enfile le préservatif sur sa petite queue au garde-à-vous, les jambes à nue il s’allonge sur le lit de camp en jetant sa cigarette.

— Mon Rémi je suis prêt à recevoir ses excuses.


Rémi continue à la besogner tout en lui retirant son chemisier, il lui dégrafe son soutien-gorge.
Le vieux la saisie par ses cheveux et l’emmène à son ami.

— Viens par là !! Tu as des excuses à faires !!


Brigitte s’assoit sur le ventre poilu de Bernard, elle glisse et positionne le gland qui entre dans son
vagin.

— Haaaaaa !!!!!

— Tu n’as rien d’autre à ajouter ?

— Pardon ! Pardon ! Pardon ! Ha ! Ha ! Ha !


Bernard regarde les gros seins balloter sous ses yeux, il les saisit et les presse fort avec ses grosses
mains calleuses.

— Denis vient donc tirer du lait à la génisse !


Denis approche, il se penche et avale le téton de Brigitte. L’auréole disparait dans la bouche du
neveu à Bernard, le sein se soulève sous l’aspiration. Il relâche plein de bave et s’approche du visage de ma femme, et tente de forcer sa langue dans sa bouche, elle tourne la tête.

— Essaie avec ta bite.


Il se relève et approche son pénis de la bouche de ma chérie, il lui saisit le menton et tourne sa tête.
Le gland de Denis force l’ouverture de ses lèvres, son visage s’apaise quand son gland se pose sur la langue chaude de Brigitte. Il pousse la bite dans sa bouche, les poils lui piquent le nez, le gland force sa gorge. Elle le suce au même rythme que la bite qui la pénètre.
Il retire sa queue pleine de salive et lui tape sur la joue, il descend sur la poitrine de Brigitte les
cheveux collés à son membre. Il force le téton de Brigitte dans son urètre, le gland s’enfonce dans
son sein. C’est un pervers qui doit regarder beaucoup de porno. Même Bernard est surpris par le
spectacle que lui offre son neveu.

Bernard est plus doux, il la besogne avec douceur, sa petite queue reste dans un rythme routinier, il
se concentre pour ne pas éjaculer tout de suite et veut profiter de cette peau douce, de cette grosse
poitrine qu’il parcourt de long en large, il se sent bien la queue dans ce tunnel chaud. Sa tranquillité
est balayée par son neveu qui pousse Brigitte sur son torse.
Denis regarde la queue de son oncle pénétrer le vagin, il caresse les fesses de ma femme et glisse sur sa rondelle, elle se crispe sous le contact, sa mémoire lui évoque la douleur, le Père Marc, la torture…
Elle se relâche et laisse Denis lui caresser l’anus. Il regarde sur la table cherchant du lubrifiant, il saisit son verre de vin et plonge sa queue dans le vin rouge, il l’égoutte sur le bord. Bernard a le visage de Brigitte posé sur sa joue, il ne peut s’empêcher, il embrasse Brigitte sur la bouche et comme son neveu il force sa grosse langue entre ses lèvres. Denis positionne son gland sur le nœud et pousse. La douleur lui fait ouvrir la bouche et Bernard en profite pour s’introduire, sa salive viticole se déverse dans la bouche de Brigitte.


Denis continue à forcer sur le muscle contracté.

— Détend toi sale pute bourgeoise ma queue va t’ouvrir le cul.


Je regarde Denis tenir sa queue pour pas qu’elle plie et son gland rentre d’un coup.

— MMMMMMmmmmmmmmmm !!!!!!


Le cri est étouffé dans la bouche de Bernard. Denis positionne ses mains sur les fesses de Brigitte, il
sent l’anus qui serre la base de son gland, il se recule légèrement et enfonce sa queue d’un seul
tenant dans le colon lisse de ma femme.

— HAAAAAAaaaaaaaaaaa !!!!


Les canards s’envolent sous le hurlement de Brigitte. Denis me regarde la bite plantée dans le
fondement de Brigitte.

— Nous acceptons les excuses de ta patronne. Tiens, prend une photo.


Il me montre son portable sur la table, il soulève Brigitte pour lui saisir un sein et il tire sur ses
cheveux pour relever la tête, il me regarde avec un grand sourire et je prends la photo sans montrer
son visage.
Bernard a saisi l’autre sein de Brigitte et a accéléré le rythme quelques secondes. Il se fige dans le
vagin et remplit le préservatif qui doit être trop grand, car le sperme redescend sur son pénis et
enduit ses testicules. À chaque coup de queue, Denis vient encoller ses couilles du sperme de son
oncle.
Il veut se finir dans son vagin, il se retire et aide Brigitte à s’asseoir, la queue de Bernard sort, il se
relève le sperme coulant sous ses testicules. Denis aide Brigitte à se rallonger sur le dos.
Il pousse son clitoris avec son gland et regarde son visage, il veut voir une réaction. Elle sert les tubes du lit quand il descend entre ses lèvres, elle attend la violence de la pénétration. Denis tourne autour de son ouverture, elle bouge ses mains sur les tubes attendant le coup de pieu.

— HAAAAAAAAAaaaaaaaa !!!!!!!


Il vient de s’enfoncer d’un seul coup dans la grotte trempée, il la pistonne avec brutalité. Denis
regarde sa queue pénétrer la chatte de cette beauté à grosses loches. Il regarde la mousse blanche à
la base de son préservatif.

— Tu aimes sa te faire baiser la bourgeoise ! Tu vas jouir sous les coups de queue d’un chasseur
l’écolo !!


Denis accélère encore, les bruits de succion sont puissants dans la tonne. Brigitte mouille
énormément. Les couilles de Denis brillent sous l’exposition aux gouttes de jouissance.

— HAA !! HAa ! Haa ! Haa ! Ha ! Ha !


Brigitte est en sueur sous cette prise sauvage. Denis regarde la paire s’agiter en cadence avec ses
coups de bite.

— Balance-moi ton jus, bâtard de chasseur.


La phrase traverse le cerveau de Denis comme un éclair.

— Sale pute !!! HAAAAAaaaaaaa !!!!


Les couilles de Denis se vident dans le réservoir de la capote, la main sur le sein de ma belle. Il
continue à la baisé avec sa bite molle, plongée dans son sperme. Après quelques secondes à patiner
dans sa crème, il se retire enfin.


Je me suis rapproché d’elle avec ses vêtements et lui parle discrètement.

— Ça va ma chérie ?

— Tu ne t’es pas branlé en regardant ce cinglé me baiser ?

— Ce n’est pas dans le script de l’assistant.

— Aide-moi à me relever, il m’a défoncé le cul ce bâtard.


Les mecs se boivent un dernier coup de rouge le temps que Brigitte se rhabille. Rémi salue son
ami et le neveu.

— La conseillère !!! Tu leur diras que s’ils ont d’autres études à faire qu’ils passent nous voir, ha ha
ha ha !!!!


Nous avons quitté la tonne sous les rires moqueurs des chasseurs.


Nos rapports ont changé depuis cette fameuse séance de torture, et mon comportement.


J’ai juste eu le droit de passer de la crème sur l’anus de ma femme pendant quinze jours, cela a été le seul attouchement qu’elle m’ait autorisé, mais j’ai pu me masturber avec un préservatif pour ne pas la souiller.

À suivre

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