Les talents d’exhibitionniste de Brigitte Neuvième partie

Brigitte exhibitionniste 

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Cela fait maintenant 1 mois que Brigitte et moi avons repris une vie normale. L’automne pointe son nez et nous restons le weekend au chaud tous les deux.

Rémi prend des nouvelles de temps à autre et je lui réponds à chaque fois, je ressens dans ses messages un certain regret, il est touché par l’absence de Brigitte dans sa vie. Malgré le peu de temps que l’on a passé ensemble, cela a été intense, l’épisode du camping l’a quelque peu frustré.

En effet les photos de ces hommes profitants de Brigitte totalement soumise, l’avait laissé espérer de bon moment pour lui.

Mon coup de téléphone au retour du camping lui annonçant que Brigitte et moi arrêtions nos rencontres dominicales, lui a mis un coup.

Je dois dire que cette expérience que nous avons vécue cet été a provoqué un tournant dans notre vie sexuelle. Je surprends Brigitte lors de nos sorties, au cinéma, à faire du shopping, à un rendez-vous… Sans-culotte. Elle me demande de passer mes mains sur ses fesses pour me le faire constater et elle me regarde en attendant une remarque : Cochonne, exhibitionniste…

J’en profite bien sûr dans notre lit conjugal, nos rapports sexuels sont devenus plus torrides et imaginatifs.

Aujourd’hui, nous avons une fête de famille, le départ en retraite d’une de ses tantes. Ma belle sort de la salle de bain légèrement maquillé avec une robe pull en tricot, ses jambes sont recouvertes de bas noirs.

— Tu es superbe ma chérie !

— Merci, mon chéri.

Je passe ma main sur ses fesses en l’embrassant.

— Il fait froid aujourd’hui, tu t’es couverte?

— C’est une fête de famille, je ne vais pas sortir les fesses à l’air.

Nous prenons la route, direction un restaurant à 30 min de chez nous.

— Tu sais, Rémi envoie toujours des messages pour prendre des nouvelles.

— Ha oui ! Et… Tu lui dis quoi?

Je la vois remonter son manteau et se frotter le genou.

— Simplement que l’on va bien et que la routine est installée, que nous restons tous les deux par ce temps gris.

— D’accord. Il n’a pas demandé à nous revoir.

— Si, au début, mais maintenant il demande juste des nouvelles.

Nous arrivons au rendez-vous, nous passons l’entrée en pierre de ce qu’il semble dans un grand domaine. Nous roulons sur un petit chemin de gravier blanc entouré d’une petite forêt, nous nous garons devant un superbe manoir.

Nous sommes accueillis par du personnel de maison qui nous libère de nos vêtements chauds. Nous sommes guidés à une salle de réception et des invités sont déjà à discuter.

Nous saluons les invités et remercions sa tante pour le cadre superbe de cette fête.

C’est un cocktail à la main, que nous discutons avec une cousine à Brigitte. Il faut mentir un peu quand on nous pose des questions sur nos vacances d’été et nos activités du weekend. On se regarde avec Brigitte avec un regard coquin.

Mon regard a été beaucoup moins coquin quand j’ai vu apparaitre dans la salle Mireille et Pierre, j’ai fait un signe de la tête à Brigitte, elle m’a regardé avec des yeux perdus, pleins de questions.

Quand Pierre est venu nous saluer avec Mireille, il a été très enchanté de nous voir. Il a posé sa main sur la hanche à Brigitte en lui faisant la bise.

— Ça fait plaisir de te voir Brigitte, tu es superbe.

— Merci Pierre.

Il lui a tenu l’avant-bras, la félicitant de sa beauté, tout en lui frottant le sein avec le pouce.

Après quelques cocktails nous sommes passés à table. Quelques chansons et remises de cadeaux, le repas ces terminés.

Nous avons continué la soirée au bar éclairé par les jeux de lumière de l’orchestre. Après une danse Brigitte m’a quitté pour les toilettes.

Occupé à discuter, je n’ai pas vu le temps passer. Inquiet, je suis parti à la recherche de Brigitte. Prenant la direction du hall, j’ai été surpris de la voir sortir d’une pièce du manoir.

— Cela fait presque 40 min que tu es partie et que faisais-tu dans cette pièce?

— On peut rentrer, je vais t’expliquer à la maison.

— OK…????

Après avoir salué la famille, nous avons pris la route. Arrivé à l’appartement, je n’ai pu m’empêcher de la questionner.

— Alors ma chérie, qu’est-ce qui a motivé ce retour si brusque?

— Viens ! On va se coucher.

Dans notre lit je me suis serré contre elle.

— Mais, qu’est-ce qui se passe?

— Quand je suis sorti des toilettes, il m’attendait dans le hall.

— Pierre?

— Oui.

Il m’a dit :

— Approche-toi n’ait pas peur.

— Je suis venu devant lui, je me suis senti en sécurité avec le nombre de personnes autour de nous. Il a pris ma main tout en ouvrant la porte de la pièce derrière lui.

— Viens ! Entre avec moi.

— Non ! Philippe m’attend.

— Regardant autour de lui, il est venu poser sa main sur ma fesse et c’est la que j’ai senti… J’ai senti… Une chaleur. Je l’ai suivi dans la pièce, il a refermé à clé.

L’écoutant attentivement, j’ai commencé à me tendre.

— J’ai regardé autour de moi, nous étions dans un bureau. Il m’a collé contre lui.

— Depuis le jour où tu es venu me consulter, je ne pense qu’à toi. Je me branle tous les jours pensant à tes seins ! Ta chatte !

— En m’expliquant cela, il a passé ses mains sur mes fesses, les pelotant fortement.

L’écoutant parler, je n’ai pu m’empêcher de me saisir la queue et de me masturber.

— Ce n’est pas bien Pierre, tu dois arrêter ! Je suis ta nièce.

— Quand tu es venu chez moi cela ne t’a pas posé de problèmes? Tu as écarté les cuisses ?!

— Non-Pierre je dois retourner voir mon mari.

— Maintenant, il n’est pas envisageable que je te laisse partir sans te baiser.

— Il a soulevé ma robe et passé sa main entre mes cuisses. Je… Je… Je… n’ai pas résisté et j’ai écarté mes jambes.

— C’est bien ma petite, tu aimes, tu es chaude. Retire ta robe.

— Je me suis exécuté, me retrouvant en sous-vêtements et bas devant lui. Heureusement que je portais une culotte, je serais passé pour une salope.

Entendant cette salope, j’ai relâché ma queue qui est venue claquer sa fesse.

— Mon histoire t’excite? Tu veux qu’il me baise?

— Il t’a baisé?

— Peut-être, tu veux que je continue?

— Oui !! Je veux savoir !

J’ai glissé ma queue entre ses cuisses pour me masturber avec son corps, impatient d’écouter la suite.

— Quand mon soutien-gorge est tombé, il a tout de suite saisi mes seins, les pelotant fort, j’avais mal. D’une main il a défait son pantalon et son slip les laissant tomber sur ses chevilles.

— Prends ma queue et caresse-la, ton corps est superbe, ton mari a de la chance de pouvoir jouer avec tes gros seins.

Au même moment où elle m’a expliqué comment elle a masturbé son oncle, j’ai senti ses doigts caresser mon gland et le frotter entre ses lèvres.

— C’est bien, caresse mes couilles doucement, je n’ai pas envie d’exploser tout de suite. Je veux les garder pleines pour ta chatte, ma nièce.

— Après 5 min, il m’a demandé d’enlever ma culotte et de m’asseoir sur le bord du bureau. J’ai écarté les cuisses, il a glissé son gland entre mes lèvres et poussé doucement sa queue tendue à l’intérieur de moi.

Écoutant le récit, j’ai fait de même, je me suis reculé et poussé mon pénis dans sa chatte et j’ai compris pourquoi elle était pressée de rentrer.

— Tu aimes me prendre mon chéri avec le sperme de mon oncle dans ma chatte?

— Putain, tu n’es qu’une cochonne ! Hein ??!! Tu n’es qu’une cochonne ???!

Je l’ai pilonné fort tout en lui disant cela.

— Oui !! Ho oui !!! Je suis une cochonne.

— Tu as aimé te faire baiser par ton oncle ! Tu as aimé?

Je l’ai pilonné encore plus fort.

— Oui, j’ai adoré me faire prendre par mon oncle.

— Tu veux que je t’offre à plein d’hommes, salope?

— Ho oui ma chérie !!! Offre ta salope à plein d’hommes !!!

Sur ces mots je me suis bloqué sur ses fesses me vidant les testicules en elle. Je suis tombé épuisé sur le dos, le cœur sortant de la poitrine. C’est la première fois que l’on a eu une relation aussi intense avec les actes et surtout des paroles aussi pervers.

Je comprends qu’elle est prête à tout quand elle se positionne à cheval sur moi et déverse le contenu de son vagin sur ma queue et mes testicules.

— Tu es dégoutante ma chérie !

Elle a descendu son visage à auteur de mon pénis, elle a relevé les yeux me regardant :

— Après m’avoir prise, mon oncle m’a demandé de le sucer pour lui nettoyer la bite.

Elle a ouvert la bouche, suçant ma queue flasque.

— Tu es une vraie cochonne ! Tu la sens durcir dans ta bouche? Je veux que tu me nettoies parfaitement.

— Oui mon chéri, je vais nettoyer tout ce sperme.

— Demain je vais appeler Rémi pour lui dire que sa bite te manque.

— Ho oui mon chéri.

— Tu veux recommencer comme cet été. Être prise par plusieurs hommes? Qui risque de t’insulter, t’humilier, certains seront peut-être violents.

— Oui ! Je veux être baisé et que tu éjacules en me regardant.

— Quel programme !!!

Entendant cela, je suis de nouveau tendu. Nous avons fait l’amour comme jamais.

Le lendemain j’ai appelé Rémi, c’est avec une forte excitation qui nous a demandé de passer ce dimanche après-midi.

Arrivé sur place j’ai garé la voiture dans la cour, on n’a pas eu le temps de descendre que Rémi était sur le pas de porte.

— Ça fait tellement plaisir de vous voir les jeunes, venez, entrez, il fait froid.

— Nous aussi, nous sommes contents de vous revoir.

— Suivez-moi, on va aller voir René. Il va être heureux de vous revoir.

Nous sommes rentrés dans la pièce où on avait aperçu les aquariums. René c’est tourné de devant son ordinateur avec plusieurs écrans.

— Bonjour René.

— Bonjour !!!

— Hé ben, vous voyez, devant vous, la passion de René.

René nous a présenté ses poissons, tortues, serpents, insectes… Après un quart d’heure de présentation, il nous a demandé de le suivre.

— Venez avec moi dehors.

On la a suivie dans la grange, il s’est arrêté et a soulevé une boite grillagée. Brigitte a poussé un cri en voyant le contenu.

— Écartez cette horreur !!!!

Elle a vu le rat piégé dans la cage.

— Parfais, de la bonne nourriture, rentrons au chaud.

Nous avons suivi René dans sa pièce, il fait tomber le rat dans un tube collé au vivarium et ouvert le tube, le rat est tombé dans le vivarium.

— Je ne peux pas regarder ça, je vous laisse les hommes.

J’ai été fasciné par le serpent approchant du rongeur terrifié, telle une flèche, le saisir et l’avalant doucement. Concentré sur le spectacle, je n’ai pas vu que Rémi n’est plus à mes côtés. Je me dirige vers la pièce principale pour découvrir Papy debout devant Brigitte, la salopette sur les Charentaises.

Brigitte malaxe la petite queue tendue et les testicules poilus.

André lui caresse le visage.

— Elle t’a manqué? Tu es contente de l’avoir à nouveau entre tes mains?

— Oui Mr Rémi.

— Tu te rappelles du gout qu’elle a?

— Je…???

— Allez, suce-la.

J’ai tout de suite frotté mon entre-jambes et voulu partager le spectacle, j’ai regardé René sur son PC.

— René ! Viens !

Venant à ma hauteur, il a pu voir son père en train de se faire sucer par ma chérie.

— Tu veux la toucher René ?

Il me regarde tout rouge les yeux bas, me faisant un signe positif de la tête.

— Va t’asseoir à côté d’elle et passe ta main sur son corps.

Il s’est positionné timidement sur le banc à côté de Brigitte. Rémi a demandé à Brigitte d’ôter son pull et son haut à bretelle. Ses yeux se sont bloqués sur les deux gros seins de ma femme.

Brigitte a retiré son soutien-gorge, ce qui a provoqué une forte tension dans le survêtement de René. Elle a sursauté quand René a posé sa main froide sur son ventre.

— Doucement René. Joues avec ses nichons, elle va aimer. Baisse ton jogging pour lui montrer que tu apprécies.

— D’accord papa.

André a passé sa main dans les cheveux de Brigitte en la regardant.

— Tu vas le sucer.

Elle a regardé la queue tendue de taille moyenne et les gros testicules qui pendaient entre les jambes de René avec un regard peu approbateur.

— N’ait pas peur de lui, il est gentil.

Rémi a pris doucement le visage de Brigitte pour le rapprocher de René

— Ouvre la bouche et suce-le !

Je peux voir sur son visage de la réticence, mais malgré tout le sexe de René a disparu dans la bouche de ma chérie.

Rémi s’est baissé pour déboutonner le jeans de Brigitte et lui retirer, elle s’est agenouillée sur le banc. Lui passant la main sur les fesses, il lui a descendu sa culotte.

La bite de René dans la bouche, elle a senti les doigts Rémi se promener sur son anus et ses lèvres. André se masturbe en même temps qu’il l’excite avec ses doigts sur sa vulve.

Pour la première fois je vais voir papy Rémi prendre ma femme, Il glisse son gland entre les lèvres de Brigitte et pousse sa petite queue qui rentre facilement dans son vagin.

Cela fait même pas 5 min que Brigitte suce René, qu’il se vide les couilles dans sa bouche, je la voie les joues gonflées. Elle ouvre la bouche et je peux constater que sa bouche est pleine d’un sperme épais, elle doit s’y reprendre à deux fois pour tout avaler.

— C’est bien mon grand, tu lui as fait gouter ta crème. Regarde papa en train de la besogner, c’est une jeune femme qui aime les queues. Tu aimes les queues, ma petite ?!

— Oui ! Mr Rémi, surtout la vôtre. Ha ha ha ha… !!!

Je me suis rapproché pour regarder la queue de papy sortir et entrer du vagin de ma femme.

Elle a relevé le buste et papy et René lui ont malaxé la poitrine, c’est à ce moment que j’ai éjaculé sur sa hanche, Rémi a suivi quelques instants plus tard. Il sait figer contre ses fesses pour se décharger dans son vagin.

— HAAAaaaaaa… !!!! Tu es bonne fille !! Prends mon jus !!!!

Rémi a claqué des doigts et Black s’est approché, je vois le sperme de Rémi s’écouler du vagin de Brigitte et Black le lécher au sol.

— Attends ma petite il va te nettoyer.

— Non !!!!! Monsieur, non ! S’il vous plait !!

Elle s’est approchée de moi en panique.

— Pas le chien, pas le chien.

— Désolé Rémi, mais elle a peur.

Il m’a répondu avec un air très contrarié. Baissant la tête.

— Ce n’est pas grave, ce n’est pas grave.

Le temps que Brigitte fasse un brin de toilette et se rhabille, Rémi a retrouvé le sourire.

Papy nous a offert une boisson et ont a vu Rémi revenir la bite toujours tendu dans le survêtement.

Gêné, Rémi a remercié Brigitte d’avoir fait plaisir à René.

— Merci, ma petite, tu es très gentil. Il a du mal à s’en remettre on dirait, à chaque fois c’est pareil.

Il a rigolé. Nous avons été surpris par ses mots.

— J’ai quelque chose à vous avouer. C’est grâce à vous si René a pu s’acheter le matériel pour ses bestioles ainsi que son gros ordinateur. Explique leurs René.

— J’ai créé un site internet ou j’ai publié les photos et films que vous m’avez envoyés.

— Tout le monde peut nous voir ????

— Non c’est sur un serveur basé à l’étranger et j’ai flouté vos visages comme papa me l’a demandé.

— Content de l’entendre.

— Il faut payer pour y accéder, mon fils est un génie.

— Oui il faut payer et le nombre d’inscrits grandit tous les jours, il y a plein de demandes sur le chat.

— Comment ça des demandes ??

— Les personnes voudraient voir madame Brigitte dans différentes situations et ils sont prêts à payer.

Nous sommes tombés des nues.

— René et vous souhaitez que Brigitte réponde à ces demandes?

— Et bien, oui. Bien sûr on partage l’argent.

Brigitte m’a regardé pour ensuite demander à René :

— Ils veulent quoi ces gens?

— Et bien par exemple : Un couple m’a demandé si vous pouviez faire plaisir à leurs fils qui est handicapé suite à un accident de la route. C’est ce genre de choses.

J’ai regardé Brigitte.

— Tu feras cela?

— Mr Rémi, vous voulez que je le fasse?

— Ce serait généreux de ta part d’aider cette famille.

— Si vous le voulez, je le ferais. D’accord Philippe?

— D’accord.

Je vois déjà dans ma tête la situation et mon pantalon le confirme.

— René va demander des informations à ces gens, pour que tu sois en sécurité.

Nous sommes retournés plusieurs fois chez Rémi pour vérifier l’avancement du projet et papy en profite pour obtenir une gâterie de ma chérie.

Presque un mois plus tard nous sommes dans le train pour le Massif central, le couple qui a sollicité Brigitte a payé le voyage ainsi que l’hôtel.

Nous arrivons à la gare et c’est une femme qui nous attend.

— Brigitte et Philippe ?

— Oui bonjour madame, vous êtes Monique ?

— Oui, je vous remercie de venir nous aider.

Monique est une petite femme de 40 ans passés, boulotte, les cheveux teints cuivre. Elle nous explique qu’elle et sont mari Paul s’occupe de Joseph leur fils handicapé, suite à un accident de moto. On ressent la tristesse et la fatigue dans son récit.

Nous arrivons devant un pavillon modeste, il y a des travaux commencés un peu partout sur le terrain.

Une fois rentrée dans la maison, Monique nous présente Paul son mari.

— Bonjour à vous, je suis le papa de Joseph.

Nous avons salué l’homme, il m’a indiqué qu’il est couvreur, je l’ai senti quand il m’a serré la main. Sous son pull en laine, il cache un bon ventre, il a des épaules larges avec un visage marqué.

— Monique et moi, nous vous remercions d’avoir fait le voyage pour venir donner du… dû… du plaisir à Joseph.

— Nous sommes contents de vous aider, Philippe va installer le matériel vidéo comme convenu et la moitié des gains obtenus par le film vous seront reversés.

— Cela va beaucoup nous aider sachant que je suis ouvrier du bâtiment et Monique ne travaille pas, pour s’occuper de Joseph. D’ailleurs, venez, nous allons vous le présenter.

Nous sommes entrés dans la chambre de Joseph, je peux voir le jeune homme allonger, les mains recroquevillées, le regard perdu.

Brigitte s’est dirigée vers lui, lui serrant la main et l’embrassant sur le front.

— Salut, Joseph, je m’appelle Brigitte, on va passer un peu de temps ensemble et j’espère te procurer beaucoup de plaisir.

Ces parents ont été émus de voir Brigitte discuter avec douceur à Joseph.

Pendant que j’installe le matériel vidéo, Brigitte continue la conversation avec Joseph et ses parents.

J’ai tiré un câble jusqu’à leurs télévisions pour voir en direct ce qui se passe dans la chambre.

Patrice et moi rejoignons le salon pour regarder les femmes avec Joseph, Monique explique à Brigitte pourquoi ils ont contacté le site de René.

— Je pense que les personnes handicapées ont le droit à une vie sexuelle, nous n’avons pas les moyens de payer une prostituée. Nous sommes donc contents que vous soyez là. Si on récolte assez d’argent, on achètera un lit médicalisé.

— Monique ? On procède comment?

— Quand je lui fais sa toilette, il a des fois des érections. Mon chéri ! Tu vas avoir ta toilette avec mon assistante, Brigitte. Voici de l’eau chaude savonnée.

Monique a ouvert le haut de pyjama de Joseph et lui a retirer et ensuite son bas.

— On va pouvoir commencer ! Je vais te frotter le torse mon grand.

Brigitte a plongé sa main dans la bassine et la pose sur le torse de Joseph, pour le frotter avec délicatesse. Les mains douces de Brigitte ont provoqué une réaction sur son visage.

Elle a savonné son visage en lui parlant.

— Brigitte ? Tu veux bien retirer ton chemisier?

— Oui bien sûr, viens me le défaire s’il te plait, j’ai les mains trempées.

Monique lui a déboutonné et retiré son haut et Brigitte a continué la toilette en soutien-gorge, mais après 5 minutes elle a senti les mains de Monique dans son dos, lui dégrafant son soutien-gorge.

Posant le soutien-gorge de Brigitte, elle est revenue saisir les seins de ma chérie.

— Tu as vu Joseph ! Les gros lolos de Brigitte.

Monique a regardé la caméra tout en malaxant les seins de ma femme, Paul a dû se repositionner sur sa chaise pour cacher son érection.

A suivre !

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