Brigitte exhibitionniste
Quand je rentre du boulot à 19 h, Brigitte est dans le canapé. Je m’assois à
côté d’elle assez brusquement.
— Salut ma chérie.
— Aïe !!!
— Tu es blessée ?
— Oui, au cul.
— Tu es tombée ?
— Non, j’ai été sodomisée.
— Quoi ?
— Le maire qu’on a escroqué, pour Mr Rémi. Il est passé me voir…
— Tu l’as laissé te sodomiser, alors que moi je n’ai jamais eu le droit !
— Oui !!! Je me suis mise en mode soumise ! Comme tu l’aimes !! Et… oui !!! Il m’a sodomisé.
— Trop dégouté !!!
— Tu es triste mon petit cochon.
— Fous-toi de ma gueule.
— Pour me faire pardonner, je vais te laisser me passer de la crème sur les parties douloureuses.
Le soir dans notre lit, elle s’est mise nue sur le ventre.
— Bonsoir docteur, je viens vous voir, car j’ai mal au cul !
— Et bien nous allons voir cela madame cochonne.
Je lui ai caressé les fesses avec douceur et mon doigt a glissé de son dos vers sa vulve.
— Aïe, aïe, aïe… !!!!
— Je crois que j’ai trouvé l’origine de la douleur.
— Vous pouvez faire quelque chose docteur ?
— Je vais vous passer une crème apaisante.
J’ai mis de la crème sur le bout de mon doigt et je suis venu le poser sur la rondelle enflammée.
— Ouuuuu !!! Ça fait du bien !!!!
— Tu aimes sentir mon doigt passer sur ton anus ?
— Oui mon chéri, c’est bon !
J’ai baissé mon caleçon pour me frotter la queue en la regardant se trémousser sous mon doigt faisant le tour de son anus.
— J’ai envie de te sodomiser.
— Non, pas ce soir. La queue du maire était toute petite et elle m’a fais mal, alors toi, oublie pour l’instant.
Je veux bien que tu rentres ton doigt pour me passer de la crème.
— D’accord. Tu me laisseras te prendre quand ça ira mieux ?
— Promis !
J’ai continué à faire le tour avant de positionner le bout de mon doigt à l’entrée et pousser doucement.
— Ho !! C’est bon, mon chéri.
— Tu n’as pas mal ?
— Si, mais c’est bon quand même.
J’ai tourné mon doigt pour lui passer de la crème sur tout le pourtour et la voyant me relâcher, j’ai poussé doucement, l’enfonçant phalange par phalange. J’ai ressorti mon doigt, pour lui enfoncer à nouveau.
— Haaaaaa… Doucement.
— Pardon, ma petite cochonne, mais tu m’excites. Je vais éjaculer sur tes fesses.
J’ai retiré mon doigt et voyant le trou légèrement ouvert j’ai éjaculé dessus, regardant mon sperme entrer dans son corps.
Nous n’avons rien dit à Rémi concernant l’épisode avec le maire. Nous sommes tout de même restés tranquilles le temps que les fesses de Brigitte soient moins douloureuses.
Après deux semaines d’une vie socialement normale, nous avons rendu visite à notre cher Papy Rémi.
Il a demandé à Brigitte de trouver des vêtements très sobres et sombres. Et aussi de se faire des couettes.
Rémi la regarde entrer dans la cuisine.
— Parfait, j’espère que je ne t’ai pas ennuyé à trouver ces vêtements.
— Non, ce n’est pas grave.
— Tiens voici un gilet qui appartenait à ma femme.
Je regarde Brigitte de bas en haut avec ses sandales en cuire noir, des socquettes blanches, une jupe grise lui tombant sous les genoux, une chemise blanche et pour finir le gilet gris en laine que vient de nous donner Rémi ;
Avec ses couettes elle ressemble à une écolière.
— Brigitte, ma petite, tu veux bien m’accompagner chez mon ami ?
— Oui, d’accord.
Je suis resté avec René, il m’a montré comment il monte les vidéos et les nouveaux projets.
Brigitte et Rémi ont pris la direction d’une commune avoisinante. Arrivés sur place, ils se sont garés sur un parking.
— Mon ami travaille pour la paroisse.
— C’est un homme d’Église ?
— Oui, c’est le prêtre du canton.
Intriguée, elle n’a pas posé plus de questions.
Rémi a frappé à la porte d’une petite maison d’époque. Un homme grand et fin a ouvert la porte, le visage allongé et dégarni, la cinquantaine. Il est entièrement vêtu de noire avec une chemise à col romain.
— Haaaa… Mon ami Rémi, comment vas-tu ?
— Très bien. Brigitte, je te présente le père Marc, un ami de longue date.
— Bonjour mon père.
— Enchanté ma petite. Entrez, vous allez choper la mort.
Une fois entré, Rémi s’est assis sur une chaise en osier et le prêtre a fait de même de l’autre côté de la table. Quand Brigitte a voulu s’assoir, elle a eu une remarque du prêtre.
— Tu peux rester debout tu es jeune.
Ils ont tous les deux rigolé.
— Vient à mes côtés ma petite, Rémi m’a dit que tu n’obéis pas ?
Brigitte s’est déplacée à côté du prêtre.
— Je t’ai posé une question Brigitte, des fois tu n’obéis pas ?
— Mais… Et bien… Je.…
Elle regarde Rémi, souhaitant de l’aide.
— Il faut lui répondre Brigitte.
— Elle a beaucoup de problèmes d’obéissance ?
— Au début non, mais tu vois Marc je trouve que ça s’accentue.
— Alors Brigitte ce n’est pas bien, tu es méchante aussi avec ton papa et ta maman ?
— Ce n’est pas sa ! J’ai peur avec le chien !!
— Ne cherche pas de prétextes, il faut obéir. Pose tes mains sur la table Brigitte.
Rémi, tu peux nous servir un verre de vin ?
Le père Marc s’est levé en remontant ses manches, il a posé sa main sur le dos de ma chérie, la penchant un peu plus.
– Bon ! Je vais devoir faire quelque chose que je n’aime pas, mais Rémi m’a
demandé de l’aide.
Le père Marc a saisi la jupe de Brigitte, la remontant doucement le long de ses jambes, jusqu’à découvrir la culotte blanche à fleurs bleues cachant les fesses de ma chérie.
Il a posé sa main et caressé le tissu fin de la culotte, son entre-jambes s’est
tendu immédiatement.
Il a levé la main et il a donné une petite fessée, puis une deuxième, une troisième un peu plus forte. Brigitte a laissé entendre un petit son de douleur.
– Alors Brigitte!!! Vas-tu obéir à Rémi ?!
– Dis-lui et on rentre.
– Mais Mr Rémi je… je… je… le chien.
– Bon, bon, bon, on va continuer ! La demoiselle est têtue.
Le père Marc a pris une gorgée de vin, il a saisi la jupe de Brigitte et lui à retirer.
Il a levé le bras et lui claqué la fesse.
– Haaaaaa !!
Il a de nouveau levé le bras pour lui asséner trois claques sèches sur la même fesse.
– Toujours pas de oui !!!
Le père Marc a saisi l’élastique de la culotte et la descendue à ses chevilles.
– De si belles fesses, je ne voudrais pas les abimer, mais on dirait que la demoiselle ne veut rien savoir.
Il lui donne plusieurs fessés de plus en plus fermes et appuyées, Brigitte regarde Rémi en plissant les yeux à chaque coup.
– Cette petite à les fesses toutes rouge et elle ne veut rien savoir.
Le père Marc a posé sa main sur la hanche de ma chérie pour glisser sur son ventre et remonter jusqu’à son soutien-gorge, il l’a enlevé, laissant tomber sa poitrine.
Il prend un sein dans sa main.
– Ce sont de grosses mamelles que tu as, elles sont sensibles ?
Il a pris le téton entre les ongles et l’a pincé fort.
– Aie !!! Aie !!! Aie… !!! Vous me faites mal.
– Cela tient qu’à toi que l’on arrête.
Il fait exprès de ne pas trop la martyriser, il veut profiter de ce corps le plus longtemps possible. Il se dirige vers le buffet et ouvre un tiroir et en sort un Plug Martinet en cuir marron avec un manche composé de plusieurs boules de la plus petite à la plus grande.
Il s’est de nouveau positionné derrière Brigitte et s’est baissé, positionnant le manche du martinet entre ses jambes, il a poussé sur le martinet lui intimant d’écarter les cuisses.
– Rémi ?! A-t-elle d’autres comportements que tu veux me signaler ? A-t-elle besoin de se confesser?
– Oui malheureusement, elle a des rapports sexuels régulièrement avec beaucoup d’hommes et elle y prend du plaisir.
Le prêtre passe le manche de son martinet entre les lèvres de sa vulve et le regarde luisant.
– Je vois qu’elle y prend du plaisir, je vais passer au stade supérieur, calmer cette adepte de la luxure. Saisis-lui les poignets Rémi.
Le père Marc a caressé les fesses de Brigitte avec les liens en cuir du martinet et sans prévenir l’a fouetté durement.
– Haaaaaaaaa !!!!!!
– 1
– Haaaaaaaaa !!!!!
– 2
– Haaaaaaaaa !!!!
– 3
– Haaaaaaaa !!!!
– 4
– Haaaaaaaaa !!!!
– 5
Brigitte regarde Rémi les yeux pleins de larmes.
– Il te suffit juste de dire oui.
– Nous allons devoir faire une nouvelle série, qu’en penses-tu Brigitte? Ton silence est un oui, je présume.
– 1
– Haaaaaaaaa !!!!!
Pour ne pas laisser de traces permanentes, il frappe maintenant le haut de ses cuisses, mais certains liens en cuir frappent ses lèvres.
– 2
– Haaaaaaaaa !!!!
Rémi regarde avec un petit sourire le visage de Brigitte quand il entend claquer le fouet.
– 3
– Haaaaaaaa !!!!
– 4
– Haaaaaaaaa !!!!
– 5
– S’il vous plait ! Arrêtez ! S’il vous plait.
– Je n’entends pas le mot magique, tu entends quelque chose Rémi ?
– Que des jérémiades.
– On est bien d’accord.
Le père Marc a saisi son verre de vin et l’a vidé cul sec.
– Tu veux bien me faire le plein Rémi.
Le verre rempli, il a trempé le manche du martinet dans celui-ci, répandant du vin sur la table.
Il a passé le bout du manche entre les lèvres de sa vulve et la poussée dans son vagin, trois boules l’ont pénétré et il l’a pilonné fortement.
Il a de nouveau passé une main dans son chemisier pour lui caresser les seins et lui tirer sur les tétons.
– Tu aimes sa, catin !! Cette mégère elle dégouline, elle me dégoute !!!! Fini le plaisir, je vais te faire plier !!!!
Il a sorti le manche du vagin de Brigitte, il a positionné sa jambe pour que les cuisses de ma chérie restent bien ouvertes.
– Tiens la bien Rémi. Son trou de plaisir a aimé le manche, on va voir ce qui en est de l’autre.
Il a positionné la première boule luisante sur l’anus de Brigitte et il a poussé doucement. Rémi a regardé le visage se plisser et elle a ouvert la bouche en soufflant fortement quand la première boule est passée et de nouveau quand il a poussé sur le manche pour y entrer la deuxième Rémi a regardé le visage se tendre.
Elle a pensé :
– La bite du maire vient de passer !! Qu’il aille se faire foutre le curton, je ne dirai pas oui.
– Encore quatre !! Brigitte ! Je ne suis pas un salaud, je vais aider un peu.
Il a craché sur le manche du martinet, la salive est descendue le long du manche. Il a de nouveau poussé.
– Tu es sur ? Pas de réponse ?
Il a poussé doucement, regardant les fesses de ma femme se contracter. Il a tourné tout en poussant, en poussant, en poussant. Quand la troisième boule est passée, les yeux de Stéphanie se sont écarquillés, la bouche grande ouverte.
– Et bien dis donc Rémi, c’est une dure à cuire celle-là. Ce n’est quand même
pas dur de dire oui, je vais obéir à ce qu’on me demande !!! Ce n’est pas grave,
on a le temps.
Le père Marc s’est reculé, il a saisi son téléphone sur le buffet et il a pris une photo de Brigitte avec le martinet dans le cul.
– Une belle petite jument ! Continuons.
Rien que de saisir le manche du martinet a provoqué une forte douleur. Il a de nouveau tourné et poussé, regardant l’anus s’ouvrir.
– Sa rondelle va se déchirer, pas grave.
Brigitte serre les dents sous la douleur, les larmes coulent sur ses joues.
Le père Marc regarde l’anus s’écarter.
– Stop !!! Stop ! Stop !
– Stop quoi !!!
Il continue à pousser.
– Je vais obéir ! Oui !! Je vais obéir !!
– Et bien voilà !!!!
Content que le prêtre ait doucement tiré sur le manche, cela a été aussi douloureux qu’à l’introduction pour Brigitte. Il a posé le martinet sur la table et de nouveau bu son verre cul sec en regardant l’anus béant.
– Ne bouge pas je reviens.
Il est réapparu avec un tube de gel.
– C’est du gel, tu vas sentir le froid qui va t’apaiser.
En effet elle a été soulagée, il n’a eu aucun mal à entrer son doigt pour badigeonner le pourtour.
– Tu as été une fille courageuse et je vais te récompenser parce que tu aimes.
Le père Marc à laisser tomber son pantalon à ses chevilles. Brigitte a senti un membre glisser entre les lèvres et s’introduire dans son vagin.
– Elle te plait ?
– Oui, elle est longue mon père.
– Tu vas obéir à Rémi maintenant ? Si on doit se revoir, c’est pour la quatrième boule, d’accord ?!
– Oui, je vais obéir
Le père Marc l’a pilonnée pendant plus de cinq minutes.
– Tu jouis petite catin ! Tu aimes ma queue de diablesse.
– Ho oui !!!! Mon père !!! Votre queue est si longue !
Rémi regarde son ami prendre sa soumise en sirotant son vin.
Le père Marc a accéléré et c’est brusquement retiré en se vidant les bourses sur les fesses de Brigitte. Il l’a regardé exténuer sur la table et s’est baissé pour lui remonter sa culotte.
– Tu vas garder ma crème dans ta culotte, cela va te faire du bien.
Ajouter un commentaire