Brigitte exhibitionniste (1)
L’histoire que je vais vous raconter se déroule au début de notre mariage.
Avec Brigitte cela fait maintenant 2 ans que l’on est mariés. Je m’appelle Philippe j’ai 25 ans et Brigitte a 22 ans, elle est blonde, les cheveux mi-longs, les yeux verts, elle est très jolie du haut de son mètre 70, ce qui me plait particulièrement chez elle c’est sa grosse poitrine et son corps de sportive, mais pas trop musclé.
Pour ma part je mesure 1 m80, je suis brun, les cheveux courts, je suis également sportif.
Nous n’avons pas d’enfants, nous travaillons tous les deux. Nous vivons dans un appartement dans une ville de 6000 habitants environ, dans un département du Grand Est.
Sexuellement nous sommes normalement actifs, mais le temps est passé et je ressens une certaine lassitude dans cette routine qui s’est naturellement installée, lassitude que ne m’a pas exprimée Brigitte. Sur ce sujet elle est assez classique, pour ma part j’aimerais passer à autre chose, montrer ma femme à quelqu’un d’autre, je ne pense pas qu’elle va être d’accord si je lui demande de but en blanc.
Dans un premier temps je dois faire sortir nos ébats amoureux du cadre de notre appartement, pour cela il faut que je trouve le lieu idéal, calme et discret. J’ai regardé autour de notre ville s’il y avait des petits coins de campagne propice. Après quelques jours de prospection, je me rends tout seul dans l’endroit que j’ai trouvé à 15 min de chez nous.
Après 10 min de route, je sors de la départementale et je m’engage sur une route de remembrement.
Je suis bien dans un endroit paumé, c’est parfait. Cela fait 2 ou 3 minutes que je roule au pas et j’aperçois un petit chemin entre un bois et un champ de maïs, derrière le champ j’aperçois une petite ferme au loin, je décide de m’y rendre. Cela à l’air toujours en activité, mais en piteux état, cela ne devrait pas poser de problème.
Maintenant le plus dur reste à faire, je dois amener Brigitte dans ce lieu et l’engager dans mes fantasmes sans casser ce que nous avons construit tous les deux depuis deux années.
Je décide de choisir un dimanche en début d’après-midi avec si possible une météo pas trop ensoleillée pour éviter les promeneurs.
Après plus d’une semaine d’attente, je décide de faire le pas, nous sommes à table.
– Ma chérie, sa te dirait d’aller te promener après mangé.
– Tu veux aller où ?
– Je ne sais pas on verra.
– OK.
30 minutes plus tard, nous sommes dans la voiture, je prends la direction de mon coin de campagne tranquille. Brigitte s’est habillée avec une jupe et un teeshirt, car il fait doux aujourd’hui.
Grâce à mes repères, j’aperçois la route de graviers orange, je mets mon clignotant.
– Mais !!! Tu nous emmènes ou???
– Je ne sais pas, je roule un peu au hasard.
J’ai senti qu’elle me regarda avec un air perplexe. J’ai continué sur le chemin.
– Tu n’es pas un peu perdu mon chéri???
Là, j’aperçois le petit chemin entre le bois et le champ de maïs qui a poussé depuis mon premier passage, je ne vois plus la ferme. Je me gare et coupe le contact.
– Si tu as perdu ton chemin, il va falloir faire demi-tour, on ne capte rien ici.
– Non, je suis venu ici volontairement.
– Ben !!! Pourquoi !!!
– Jeeee… voudrait qu’on aille se promener à proximité de la voiture dans le bois par exemple eeeet… qu’on fasse l’amour. Là j’ai baissé les yeux.
Elle m’a répondu calmement en rigolant.
– Tu es fou, quelqu’un pourrait nous voir.
– J’en ai bien conscience ma chérie, mais je veux juste pimenter notre vie amoureuse qui me semblait monotone. J’ai baissé les yeux l’air triste histoire de la culpabiliser.
– Non, je suis désolé mon chéri, mais je ne pourrai pas faire se genre de chose.
Mes plans semblent compromis, il va falloir ruser.
– Mais si on reste dans la voiture, sa te vas ? S’il te plait, s’il te plait, s’il te plait !!!
Elle avait les yeux figés sur le pare-brise, le visage plein de doute. Après quelques secondes interminables, elle m’a dit :
– OK.
J’ai explosé intérieurement.
– OK, mais si quelque chose ne me plait pas on rentre direct à l’appart.
– Très bien, merci ma chérie.
Je me suis approché d’elle pour l’embrasser en la complimentant :
– C’est grâce à ce genre de discussion que notre couple va de l’avant.
– Tu es surtout un gros cochon alors fait moi l’amour après on rentre.
Je l’ai regardé avec un sourire innocent comme savent le faire les hommes.
J’ai posé ma main sur sa cuisse pour la caresser doucement tout en remontant jusqu’à sa culotte, j’ai fait des aller-retour sur son bas ventre, je l’ai regardée elle avait les yeux fermés ce qui ait une bonne chose sachant le contexte qu’elle n’apprécie pas beaucoup.
J’ai plongé ma main dans sa culotte, mon doigt est venu s’insérer entre ses deux lèvres, sous mon va-et-vient j’ai senti l’humidité arriver, sa bouche s’est entrouverte, elle a toujours les yeux fermés, on entend les oiseaux pendant que je la masturbe, elle a l’air en confiance.
Je lui insère doucement un doigt dans le vagin humide, j’accélère le mouvement de pénétration, de petits cris, sortent de sa bouche. De l’autre main, j’ouvre mon jeans comme je peux, elle l’entend et commence à se pencher sur moi, elle ouvre les yeux et regarde autour d’elle pour me rassurer.
Elle finit de baisser mon jeans et mets la main dans mon boxer et sort mon pénis je sens ses lèvres frôler mon gland et maintenant sa langue en fait le tour, ma femme est en train de me sucer en pleine nature, je suis aux anges.
Je soulève sa jupe laissant apparaitre ses fesses que je lui caresse sans ménagement, le summum c’est quand je lui écarte sa culotte, laissant apparaitre sa vulve a toutes personnes qui passerait par la, elle n’a pas dû calculer son exposition, car elle continue à me sucer.
Je passe ma main dans son dos puis sur son ventre pour finir sous son soutient gorge que je relève avec soins pour laisser tomber ces gros seins. Je commence à les malaxer chacun leurs tours sous son teeshirt, j’ai laissé sa jupe relevée son vagin à la vue de tout le monde, je suis surexcité.
Elle se relève en regardant autour d’elle. Elle est toujours inquiète.
Elle vient sur mes genoux face à moi et m’embrasse.
– Tu es content, je fais ce qu’il te plait, mon cochon adoré. Me dit-elle avec un grand sourire.
– Je t’adore ma chérie
Elle saisit mon pénis et le présente entre ses lèvres en se laissant tomber sur mes cuisses, le dos posé sur le volant elle commence des va-et-vient la tête en arrière, malgré le lieu je sens en elle l’excitation, pour ma part je vais exploser, j’ai réussi à exhiber ma femme.
Cela fait maintenant 15 minutes que nous faisons l’amour sur le siège conducteur quand tout à coup je vois passer doucement au fond du chemin, heureusement dos à Brigitte, un tracteur entre le champ de maïs et le bois, c’est trop loin on ne peut entendre le bruit du moteur.
Cette vue soudaine n’a fait qu’augmenter mon excitation, je soulève le teeshirt de ma chérie laissant apparaitre ses gros seins blancs à la vue de tout le monde, j’accélère le rythme, ses cris sont de plus un plus fort ainsi que mon souffle, je fais une ultime accélération et j’éjacule au fond de son vagin.
L’acte terminé, Brigitte s’est immédiatement remise à sa place tout en se rhabillant rapidement en regardant autour d’elle et en me disant :
– On rentre maintenant ?
– Oui on y va.
Tout en démarrant la voiture, j’ai repensé à ce paysan qui aurait pu voir ma femme nue, j’étais de nouveau tendu.
Sur la route du retour, je l’ai remercié à nouveau, tout en lui demandant :
– Tu as quand même été excité par le risque que tu as pris, ne mens pas je l’ai ressenti. Lui dis-je avec le sourire.
– Oui c’est vrai, cette nouvelle expérience m’a amené de l’excitation à travers la peur d’être vu.
– Tu voudras recommencer.
– Je ne sais pas, laisse-moi me remettre de mes émotions.
Nous sommes rentrés tranquillement jusqu’à l’appart, je n’ai bien sûr pas évoqué le passage du paysan sur son tracteur, trop dangereux pour que je la persuade de réitérer l’expérience.
Quelques jours se sont passés et j’avais toujours ce tracteur en tête, il faut que je sache si il provient de la ferme près de notre petit chemin.
En rentrant du travail, je décide d’aller vérifier, je m’engage à nouveau sur le chemin de graviers, l’excitation est au rendez-vous quand je me remémore les ébats avec Brigitte. Arrivé devant la ferme, je reconnais le tracteur, je suis content de voir qu’il vient de cette ferme, c’est qu’il y a quelqu’un.
La ferme est entièrement entourée d’un mur en pierre d’environ 2 mètres, je me gare devant. Le portail en bois est ouvert, je m’engage dans la cour devant moi il y a une grande longère en pierre avec des volets bleus en piteux état, on se croirait dans les années 50. Sur ma droite il y a un hangar en bois avec du vieux matériel agricole, sur ma gauche je crois reconnaitre une petite porcherie en pierre. Je m’avance dans la cour en terre parsemée de pavés.
Tout à coup un chien allongé prêt de la porte se lève et vient vers moi en aboyant je suis surpris et je fais un pas en arrière, il est posté devant moi et continue à aboyer, il n’a pas l’air d’être méchant c’est une bonne chose, c’est un border collie.
La porte vitrée de la maison s’ouvre
– Que voulez-vous monsieur, black viens ici.
Le chien c’est tut et a exécuté les ordres de son maitre, un papy d’environ 75 ans tout maigre et pas bien grand avec une chemise, une salopette verte typique des agriculteurs et une paire de bottes. Il ne lui reste plus beaucoup de cheveux blancs sur la tête.
Il a répété une nouvelle fois :
– Que voulez-vous, monsieur
En m’approchant doucement, je lui est répondu :
– Il y a quelques jours, dimanche précisément, je suis venu avec ma femme me promener dans votre chemin, vous avez peut-être vu notre voiture, car j’ai aperçu votre tracteur au bout du champ de maïs.
– Oui peut-être…??
– Je vous dis cela que j’espère que l’on ne vous a pas causé de désagrément.
– Non
– Avec ma femme, nous aimons les coins tranquilles, j’espère que cela ne vous dérange pas si on revient un dimanche.
Il ne m’a pas répondu.
– Je vous souhaite une bonne journée, vous avez un très beau chien, bien dressé.
Sur ces paroles j’ai tourné les talons et pris la direction de la voiture, j’espère qu’il a compris les sous-entendus que j’ai évoqués, cela ferait un voyeur idéal.
Je suis reparti exciter à l’idée que ce papy pourrait regarder ma chérie nue.
Pendant le diner je suis revenu sur la journée de dimanche :
– As-tu réfléchi à ce que je t’ai demandé dimanche ?
– De quoi tu parles ?
– Et bien je voudrais savoir si tu veux bien retourner dans le petit chemin tranquille?
– Je ne sais pas, j’ai peur que l’on puisse nous voir.
– Je sais bien ma chérie, mais cette peur t’a provoqué une certaine excitation.
– Oui c’est vrai, c’était très excitant…
– Tu veux bien y retourner pour ton chéri ? Lui dis-je les yeux mielleux.
– OK d’accord, je ne peux rien te refuser.
Le jour J est arrivé, nous sommes sur la route, Brigitte est habillée avec un short en jeans et un haut blanc court, moulant sa grosse poitrine et d’une culotte et soutient gorge en dentelle blanche.
Arrivé sur place, je décide de m’aventurer un peu plus loin dans le chemin afin d’être vu plus facilement par le papy.
– Tu ne vas pas au même endroit que la dernière fois ?
– Oui, c’est pour éviter d’être repéré.
Il fait très beau aujourd’hui et chaud, je me gare de façon à que se soit le côté de Brigitte qu’il soit visible, les vitres sont légèrement entrouvertes pour laisser passer l’air.
– Tu veux que l’on sorte de la voiture aujourd’hui.
– Non, je veux que l’on reste à l’intérieur, j’aurai trop peur à l’extérieur.
– OK.
Je commence par l’embrasser tout en passant ma main sur son ventre, elle semble détendue, je déboutonne les boutons de son short laissant entrevoir la dentelle de sa culotte. Avec mon autre main je passe dans son dos dégrafant son soutient gorge.
Je rentre ma main dans sa culotte venant jouer avec son clitoris. Elle a la tête en arrière les yeux fermés.
Tout à coup en levant les yeux j’aperçois une personne au bout du chemin, Brigitte a toujours les yeux fermés, il se rapproche et je reconnais le papy de la ferme. J’attends qu’il soit à une dizaine de mètres et je dis à vois basse :
– Attention!!! Voilà quelqu’un!!!
Je pose ma main sur le short ouvert de Brigitte pour cacher sa culotte. Le papy est habillé comme la dernière fois que je l’ai vu, mais avec une casquette. Il a une cigarette roulée collée à la bouche. Il s’approche de la vitre à côté de ma femme.
– Alors jeunes gens on est perdu ?
Brigitte surprise reste bloquée dans son siège, je ressens qu’elle a eu très peur.
– Bonjour Monsieur, moi et ma femme nous nous sommes arrêtés là, car c’est un coin très tranquille.
Je ne sais pas s’il fait exprès, mais il me parle comme si c’était la première fois qu’il me voyait. Il regarde ma femme de haut en bas. Je retire ma main de son short, il regarde la dentelle de la culotte laissant apparaitre la toison blonde de Brigitte.
– C’est joli tout ça. Dit-il.
Brigitte comprend et pose ses mains sur son short.
– On peut partir maintenant. Me dit-elle.
– C’est juste un petit papy, il ne nous fera pas de mal. Lui dis-je à voix basse.
– Vous êtes sur mes terres, pour cela j’aimerais en voir un peu plus.
– Enlève tes mains ma chérie c’est juste un petit papy.
– Non je ne veux pas me montrer à un vieil inconnu.
– Il serait dommage que j’appelle la gendarmerie et que vous soyez dans le journal de demain avec la photo de votre voiture.
Cela a fait un déclic chez elle.
– Non ne faites pas sa !! lui a-t-elle dit tout en retirant ses mains.
Le papy était aux anges de ce corps superbe.
– Continuez ce que vous étiez en train de faire, ne vous souciez pas de moi.
J’ai approché ma main doucement du ventre de Brigitte, quand je l’ai posée sur son corps j’ai senti le stress intense, j’ai rentré ma main dans sa culotte, le papy se malaxait la braguette.
Après quelques minutes de masturbation j’ai senti qu’elle se détendait, j’ai retiré ma main de sa culotte et commencé à descendre son short, elle a émis aucune objection. La culotte en dentelle blanche totalement apparente, le papy était dans tous ses états et a ouvert sa braguette pour en sortir une petite queue flasque. Brigitte la vue et n’a rien dit. J’ai repris la masturbation, j’ai senti rapidement mes doigts s’ humidifier, je fus surpris de la voir regarder le papy se masturber avec vigueur, sa queue était plus longue et plus raide, on l’entendait grogner à travers l’ouverture de la vitre.
J’ai inséré un doigt puis deux dans le vagin de Brigitte en appliquant directement une fréquence de va-et-vient assez forte, elle a commencé à émettre de petits cris en fermant les yeux. J’ai regardé le papy qui avait le pénis tendu à la main, les yeux scotchés sur Brigitte, je l’entendais marmonner.
Je fus étonné par cette vigueur vu son âge. J’étais tellement excité par cette vue de Brigitte quasiment nue devant ce vieux voyeur que j’ai sorti mon pénis et pris la main de Brigitte pour qu’elle me masturbe, ce qu’elle a fait directement.
Le vieux était à bout, il ma montré d’un signe de la tête la poitrine de ma femme, quand il a vu que je passais ma main sous le soutient gorge dégrafée de ma femme il accéléré sa masturbation, je l’ai soulevé et les gros seins blancs avec les auréoles foncées de Brigitte lui son apparus il a immédiatement éjaculé un liquide jaunâtre avec un cri rauque sous les yeux.
Voyant cette scène ahurissante j’ai moi-même éjaculé recouvrant la main de Brigitte, j’étais sur un nuage de plaisir.
J’ai retiré mes doigts trempés de sa culotte tout en regardant le papy qui avait la main sur le cœur et le souffle intense et cour, j’ai cru qu’il allait nous faire une crise cardiaque.
– Merci les jeunes pour c’est fortes émotions. Nous a-t-il dit avec le souffle couper entre chaque mot.
Il a ramassé son pénis et il est reparti d’où il était venu.
Brigitte a pris une lingette dans la boite à gangs pour se laver les mains, elle avait le regard triste. Je venais de l’exposer à un homme sous des menaces.
– Ça va ma chérie ?
– Non !!! Je viens de me montrer nue devant un homme vieux, repoussant et… J’ai pris du plaisir, j’ai honte.
– Il ne faut pas avoir honte, tu as juste découvert une facette de ta sexualité que tu n’imaginais pas avant cette expérience… Quelque peu forcés… On l’a partagée tous les deux, on a pris du plaisir tous les deux.
– Maintenant, rentrons. Me dit-elle perdu dans ses pensées.
– Très bien ma chérie.
Je l’ai rassuré pendant le trajet, mais arriver à l’appartement, elle semblait toujours perturbée.
Le lendemain matin je l’ai embrassé avant qu’elle parte au travail, elle me la rendu avec un petit sourire. J’étais soulagé.
Au diner c’est elle qui a évoqué le sujet de la journée précédente.
– Concernant hier j’ai réfléchi et j’ai aimé me faire regarder par quelqu’un d’autre que toi.
– Et bien si tu veux on pourra recommencer.
– Pas pour l’instant, je dois être sûr de mon envie.
J’ai laissé passer un peu de temps avant d’évoquer ce sujet avec Brigitte, mais à ma surprise c’est elle, 2 semaines plus tard qui m’a demandé si on pouvait retourner au petit chemin.
– Tu es sûr de vouloir réitérer l’expérience ? lui dis-je pour jauger son envie.
– Oui je le veux.
J’étais tout excité d’entendre c’est paroles, par contre hors de question que je laisse la chance au hasard, pour cela dans la semaine je me suis rendu à la ferme de notre papy pour le prévenir de notre présence.
Arrivé sur place, je l’ai aperçu dans la cour à bricoler, le chien à de nouveau aboyé. Il était toujours habillé de la même façon, je doute de son hygiène.
– Bonjour, Monsieur, vous me reconnaissez ?
Je me suis approché pour lui serrer la main, étant proche j’ai pu voir qu’il n’avait plus beaucoup de dents et le peut qu’il restait avait une coloration assez dégoutante. Il avait des sourcils très longs et de longs poils dans les oreilles.
– Oui, la dernière fois j’ai bien aimé le spectacle de votre dame.
– Content que cela vous ait fait plaisir, je venais vous prévenir que nous allions revenir ce weekend.
– Je suis pressé de revoir votre femme.
– Je n’en doute pas, mais je compte sur votre discrétion et bien sûr on ne sait jamais vu.
– J’ai compris le message n’ayez crainte, de toute façon il n’y a personne dans le coin je suis seul avec mon fils.
– OK bonne journée à ce weekend.
Le vieil homme est directement parti vers la longère, cette invitation a dû lui redonner de la vigueur.
Nous sommes dimanche, je n’ai rien dit à Brigitte concernant sa tenue, je souhaite voir son choix et je ne suis pas déçu, une simple robe d’été blanche à fleurs avec un grand décolleté et des sous-vêtements blancs unis, classiques, mais excitants, je lui fais remarquer en me collant à elle.
– Patience. Me dit-elle avec le sourire.
Je suis content de voir qu’elle est toujours enthousiaste pour cette nouvelle expérience de voyeurisme.
Nous prenons la route, direction le chemin de la débauche.
Arrivée sur place, elle me demande :
– Tu crois que le petit vieux va venir ?
– Je ne sais pas, tu ne veux pas qu’il te regarde ?
– Si !!??… Enfin on verra.
Je me gare au même endroit que la dernière fois à l’ombre, les fenêtres un peu plus ouvertes, car il fait chaud aujourd’hui. Elle a gardé ses lunettes de soleil, peut-être que sa lui donne l’impression d’être plus discrète.
Je regarde autour de moi pas de papy, tant pis on va commencer sans lui.
Je m’approche de ma chérie et pose ma main sur son ventre et je commence à le caresser, elle me regarde avec un petit sourire. J’ai envie de la voir se faire plaisir tout seul, pour cela je prends sa main et la positionne entre ses jambes pour la masturber à travers ses vêtements.
Super, je suis impatient de vous lire pour une suite encore plus excitante.
j’ai recu la suite, on s’en occupe !
Chaque jour, une suite, longue série à venir, j’espère qu’elles vous plairont !
Merci à toi Lucie et à Frank!
Merci Harold38
Chaque jour une suite, en espérant qu’elles seront toute aussi excitantes ? Bonne lecture!
Brigitte et Philippe