Brigitte exhibitionniste
Je suis toujours étonné par cet engouement pour le vieux, surtout après ce qu’elle a subi hier.
Nous sommes arrivés à la ferme en début d’après-midi, le soleil nous réchauffe
le visage, mais le froid est toujours présent en ce mois de janvier.
Rémi nous ouvre.
— Bonjour les jeunes, gardez vos blousons nous allons promener Black.
— Bonjour, Mr Rémi, on vous suit.
— Je ne vous ai jamais fait visiter mes terres ?
— Non Rémi.
— Vous connaissez déjà le bois devant la ferme ?!
Il a rigolé.
— Oui en effet.
— Les parcelles, jusqu’à la colline que vous voyez devant vous, sont à moi.
Du bout du doigt, il nous a délimité ses terres. Il a détaché Black qui est parti comme une fusée sur la route de gravier. Il nous a fait longer les haies pour nous mettre à l’abri du vent froid.
André s’est approché de Brigitte, il lui a posé la main sur les fesses.
— Tu connais la chasse à la tonne ma petite ?
— Non-Mr Rémi.
— Je vais vous faire voir. Vous voyez sur votre droite le marais, les terres recouvertes d’eau.
— Oui.
— On va en prendre la direction.
Rémi a sifflé et Black est apparu. L’ancien nous a fait suivre un sentier, nous avons descendu trois marches pour arriver devant une porte métallique.
— C’est un container que j’ai acheté il y a longtemps, il est enterré au 2/3 et parfaitement fondu dans la végétation. Entrez. L’odeur de renfermé est forte.
— Les chasseurs dorment tout le weekend à l’intérieur, il y a l’électricité. Moi, je ne chasse plus, je le loue au club de chasse de la commune. Il a ouvert une trappe pour aérer.
— Vous voyez, on a les yeux presque au niveau du marais.
Brigitte s’est approchée pour regarder, Rémi l’a collée et ouverte son blouson. Il a posé sa main sur la robe tricot et peloté ses seins.
— Tu entends ce calme ma petite ?! La nature est si belle.
Elle a posé ses mains sur le rebord de l’ouverture.
— Oui c’est superbe.
Rémi a descendu sa main sur le ventre de ma femme et lui a caressé l’entre-jambes, il a continué son chemin sur la cuisse et sa main a disparu sous la robe.
Brigitte a sursauté.
— Quelque chose ne va pas ?
— Vous avez les mains, froid Mr Rémi.
— Tu ne portes pas de collants par ce froid ? C’est pour faciliter l’intrusion de ma main dans ta culotte ?
Elle a baissé ses yeux de cochonne, pour montrer sa soumission.
Rémi passe ses doigts entre les lèvres de sa vulve.
— Je ressens la chaleur dans ta culotte.
— Je suis chaude.
Papy a pris la main de Brigitte, il l’a posé sur la proéminence de la salopette. Brigitte frotte le tissu.
Rémi claque des doigts et Black vient s’asseoir à ses pieds. Il dégrafe sa salopette qui tombe sur ses mollets.
Il retire sa main de la culotte de Brigitte c’est elle qui sort la queue tendue du slip noir de l’ancien.
Elle le masturbe à deux mains, elle caresse le gland de papy avec le pouce, mais elle est perturbée par le chien qui regarde la scène.
Rémi lui retire son blouson et repositionne sa mèche derrière son oreille, il appuie légèrement sur l’épaule de Brigitte, elle s’agenouille et passe sa langue sur le gland luisant et sec. La petite queue disparait entre les lèvres de ma chérie.
Comme à chaque fois, je suis raide à voir la scène. Ma belle femme qui suce ce vieil homme.
J’ouvre mon pantalon et je me masturbe. Aujourd’hui c’est particulier, car elle est perturbée par Black qui regarde son maitre se faire lécher les testicules.
Rémi lui passe la main sur la joue.
— Tout va bien ? lui dit-il d’une voix mielleuse.
Elle lui fait un signe positif de la tête, mais il lit l’angoisse dans ses yeux.
— Caresse-le, il est gentil.
Brigitte pompe la petite queue sans bouger.
— Allez !! Caresse-le, il ne va pas te manger !
Elle stoppe la fellation. Je vois sa main se déplacer vers Black, elle la pose sur l’encolure du chien et le caresse.
— Tu vois il est docile. Descend, les chiens aiment qu’on leur caresse le poitrail.
Brigite s’exécute, de la main gauche elle caresse Black et de la main droite
elle masturbe papy Rémi.
— Il t’aime bien. Passe ta main sur son ventre. Tu vois qu’il est réceptif, continu à descendre.
Le menton de Brigitte se froisse et elle regarde Rémi quand le fourreau du
chien glisse entre ses doigts.
— Voilà ! C’est bien continu à cet endroit.
Sa main passe sur les testicules du chien, remonte sur le fourreau. Rémi n’a que faire du malaise de Brigitte et pousse sa queue dans sa bouche pendant qu’elle pelote les organes génitaux du chien.
— Continue ma petite, tu as vu comment je suis raide à te voir toucher mon chien.
Elle continue à le sucer, les yeux vitreux. Elle n’ose pas arrêter les caresses à l’animal. Sa soumission au vieil homme est trop forte.
Moi-même je suis troublé quand je vois un bout du pénis rouge sortir de son fourreau.
— Fais un peu ta curieuse et touche.
C’est la main tremblante que son pouce et son index pressent le pénis canin.
— Mets-toi à genoux, je vais te prendre, je suis trop excité.
Brigitte se positionne comme demandé sur un tapis, papy se masturbe tout en relevant la robe tricot sur le dos de Brigitte. Il lui baisse sa culotte, s’agenouille et positionne sa queue toute dure. Il pousse et regarde son pénis s’introduire dans le vagin de ma femme.
La queue à la main je regarde le vieux se taper ma belle, il passe sa main sur son ventre et vient pétrir un sein. Il a le souffle court, des gouttes perlent de dessous sa casquette, il accélère. Brigitte a les yeux fermés, la bouche légèrement ouverte, elle émet quelques sons d’excitation.
Les cuisses de papy tapent les fesses de Brigitte. Il accélère de nouveau.
— HOoooooooo !!!!
Brigitte sent le sperme chaud se déverser, il y a un petit sourire sur son visage, même s’il ne l’a pas prise longtemps elle est tout de même contente défaire plaisir à papy Rémi.
— Qu’est-ce que c’est bon de te prendre ma petite, quel délice. Je ne sais pas si mon cœur tiendra des années avec toi, j’aimerais mourir dans cette position. Papy me regarde en se relevant tant bien mal.
— Venez, votre femme va vous faire une gâterie.
Je me suis approché comme un con, la queue à la main. Me disant :
— Tu lui obéis toi aussi.
Je me suis agenouillé devant Brigitte. Elle m’a regardé avec un sourire coquin et a avalé ma verge.
— Merci, ma chérie, haha !!!!
Rémi la regarde le cul à l’air, les lèvres collées de sperme. Brigitte sent qu’il se passe quelque chose quand ma queue durcie entre ses lèvres, elle n’a pas le temps de réfléchir que la langue de Black lui nettoie frénétiquement la vulve, entre les lèvres, l’anus, les fesses.
Elle est bloquée, les yeux fermés, ma queue dans la bouche. Elle attend que le chien termine. Je sens le stress dans son souffle.
Black se retire, laissant une chatte ruisselante de bave.
Brigitte se relâche et reprend la pipe doucement.
Quand tout à coup !! Sa tête percute mon ventre, un poids noir et blanc c’est posé sur son dos.
— Putain !!!! Le chien est en train de la prendre !!! me dis-je.
Brigitte crie, elle a tout à fait compris ce qui se passe. Elle est coincée entre
moi et le clébard.
Je le vois qui se courbe donnant des coups de reins sur les fesses de Brigitte, ses pattes avant serrent les côtes de ma chérie.
— Non !!!! Non !!!! Non !!!! Pas ça !!! Non !!! Pas un animal !!!!
Elle essaie de sortir de l’étau, le chien, la pilonne cherchant l’entrée.
— Tiens-la !!!!!! M’ordonne le vieux.
Je repense au moment oὺ j’étais attaché sur le lit, la suppliante de ne pas me sodomiser et je saisis ses bras la bloquant au sol.
Elle est bloquée sur le tapis, André guide l’arrière-train du chien. La queue rouge glisse sur ses fesses, ses lèvres…
— Nooooon !!!!! Pitié !!!!! Noooooon !!!!!
Elle crie !! Elle pleure !! Sa tête vient de nouveau taper mon ventre !
— Arrêtez !!! Pitié !!! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !!
Le chien vient de la pénétrer, il tape fort.
— Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !!
La prise est sauvage, les gémissements de Brigitte sont mécaniques. Je la relâche, elle a la tête posée sur ses mains, les yeux vides.
Le chien, la baise sauvagement, les flops flops flops… envahissent le container.
— Ha !! Ha !! Ha !! Ha !! Ha !!
Black la pilonne sans relâche pendant trente secondes interminables pour Brigitte.
Je vois Rémi qui regarde avec un grand sourire la queue de son chien pénétrer ma chérie.
La baise animale à laquelle j’assiste me paralyse d’excitation, il a un fort bruit de succion venant du vagin de ma femme.
Un cri me perce les tympans, quand le bulbe du chien pénètre Brigitte et lui dilate le vagin. Je ne sais pas si c’est la douleur ou la surprise qui l’a fait réagir si fortement.
À ma surprise, ses gémissements sont plus… ?? Excités !
— Haaaaa !!! Haaaaa !!! Haaaaa !!!!
Elle ne peut se retenir et jouit sous les coups de queue. Je la regarde, la bouche grande ouverte et ses paupières clignotent. Sa main vient tenir la patte de Black qui a stoppé le pilonnage.
Ses cheveux trempés de sueur sont collés sur son visage, c’est la première fois que je la vois dans cet état.
Moi-même, je n’ai pas pu me retenir devant cet acte de saillie sauvage inédit. Je me suis vidé sur le tapis.
Brigitte, exténuée, lâche la patte de Black qui descend de son dos. À ma surprise, le chien reste collé à ma femme cul à cul.
Je me relève, ramasse ma queue. Je veux voir ce qui se passe.
Rémi m’explique.
— Ils sont noués tous les deux, il faut patienter. C’est à ce moment que le chien
déverse 90 % de son sperme.
Je redeviens dur quand j’aperçois la boule du chien qui essaie de sortir du vagin
de Brigitte. Je me ressaisis et m’agenouille à côté d’elle.
Je passe ma main dans ses cheveux trempés. Je saisis son blouson et le pose sur
son dos.
— Brigitte, ça va ?
Son silence me fait peur, va-t-elle me pardonner d’avoir participé à ce viol zoophile.
Le chien est toujours collé à elle. Je lève la tête et je le vois tirer.
— Haaaaaaaaaaaaa !!!!!
Sous ce gémissement de libération, la queue de Black s’est extraite accompagnée d’un gros flop. Je vois le sperme coulé sur le parquet.
Je suis stupéfait quand je vois l’énorme queue qu’a contenue le vagin de Brigitte.
Mes yeux n’arrivent pas à se détacher du gourdin rouge qui s’égoutte entre les pattes du chien.
Le chien vient de nouveau vers elle, il lui nettoie la chatte encore une fois.
A-t-elle souffert ou a-t-elle eu la plus grande jouissance de sa vie sexuelle ?
Mon cerveau n’arrive pas à réaliser la situation.
Je me hâte pour la relever en maintenant le blouson sur ses épaules. Je colle ma joue sur son visage.
— Pardon, ma chérie, pardon !
Va-t-elle me pardonner un jour.
— Ce putain de chien m’a défoncé la chatte, je n’ai jamais autant joui, je n’avais jamais vécu cela avant. J’ai tellement honte, quelle honte… Quelle honte, prise par un chien !
M’avouer qu’elle n’a jamais autant joui, je suis estomaqué par sa réponse.
— On rentre à la maison, je suis crevée.
Avant notre départ Brigitte prend une douche chez Rémi. Il entre dans la salle de bain. Elle a une serviette autour du corps, elle se sèche les cheveux.
— Tout va bien ma petite ?
— Oui Mr Rémi.
— Je vais te sécher.
Il décroche la serviette et sèche le dos de Brigitte doucement.
— Tu as aimé l’accouplement avec Black ?
— Je ne sais pas ?
— Pourtant tu as joui très fort ?
Elle a baissé la tête.
— Oui.
Rémi a posé la serviette et s’est collé dans le dos de Brigitte pour lui saisir les seins.
— Tu as aimé être prise par le chien ?
— J’ai honte, mais… oui.
— Tu es devenue une chienne ?
La main d’André a glissé entre ses cuisses.
— Elle t’a fait quoi la queue du chien ?
— Elle m’a fait jouir !
Brigitte a les mots sanglotants.
— Elle t’a fait jouir comment la queue du chien ?
Elle a posé ses mains sur son visage, les larmes lui sont venues.
— Comme une chienne, je suis une chienne.
L’ancien a appuyé sur le dos de Brigitte qui s’est penchée. Elle a senti la queue de Rémi la pénétrer.
— Tu es ma jeune chienne ?
— Ha ! Ha ! Ha ! Oui… Oui Mr Rémi je suis votre chienne.
— Je ne suis pas tout jeune, je ne peux te satisfaire plusieurs fois dans la journée.
Il a quand même pris Brigitte pendant quelques minutes avant de se retirer la queue molle.
— Est-ce que tu seras une bonne chienne ? Obéissante ?
— Je serais obéissante !
— Je ne vais avoir aucun problème pendant ton dressage ?
— N… non aucun ?? Je serai… ? Docile.
— Très bien ! Habille – toi, je t’attends devant la porte. Ne me fais pas trop attendre.
— Oui Mr Rémi.
Brigitte s’est pressée pour ne pas contrarier Rémi. Elle a suivi papy dans un couloir de la maison qu’elle ne connait pas. Il a actionné un interrupteur et la lumière est apparue derrière une porte.
Rémi a ouvert la porte qui a laissé apparaitre un escalier en pierre.
— Suis-moi ! Fais attention de ne pas glisser.
Arrivée en bas, elle se retrouve dans un sous-sol en pierre avec des voutes. Sur des étagères parfaitement rangées des cartons, des objets d’un autre temps, des bocaux de légumes…
Rémi stoppe devant une porte en bois massif encadrée d’acier riveté, il saisit la grosse clé maintenue sur une pointe. Brigitte entend le mécanisme de la serrure.
Rémi tire sur la porte qui semble lourde et allume la lumière.
Brigitte découvre l’intérieur de la pièce et plusieurs émotions la traverse,
L’interrogation, la surprise, la peur…
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