Brigitte exhibitionniste
— Joyeux Noël mon chéri !!!!!!!!
— On est le 26 décembre et j’ai encore sommeil, je te rappelle qu’on s’est couché à 2 h du matin.
— Tu as surtout trop bu pendant le repas. Le cadeau que j’ai là, je ne pouvais pas te l’offrir hier devant ta famille.
— C’est quoi ?
J’ai le visage enfoncé dans le coussin, avec une tête qui doit peser une tonne.
— Vu que monsieur n’est pas disposé à se lever, je vais ouvrir son cadeau. Brigitte s’est assise à côté de mon cadavre et a ouvert la boite en carton.
— Hoooo !! Quel beau fouet, il a un manche que je connais !
J’ai senti les lanières en cuir glissées sur mes épaules. Brigitte a basculé la couette sur le côté. Elle me regarde, je suis en boxer allongé sur le ventre.
— Arrête j’ai froid !
— Je peux te réchauffer mon chéri.
J’ai senti les liens de cuir glissés sur mon dos jusqu’à mes jambes.
— C’est agréable ma chérie, continue !
— Tout à l’heure… Patience. Voyons ce que nous avons encore.
Elle est venue s’assoir sur mon dos, elle a saisi mon poignet et y a refermé une menotte.
— Vous êtes en état d’arrestation mon chéri.
Accroché à la menotte, il y a une longue chaine et un crochet réglable. Il y a des barreaux en bois à la tête de lit. Elle passe la chaine autour du barreau et la fixe tendue. Elle fait la même chose avec mon autre main.
— Maintenant tu es tout à moi.
Elle a retiré mon boxer et l’a jeté sur ma tête.
— Tu vas être méchante ?
Je sens de nouveau les lanières glissées sur mon dos et arrivées sur mes fesses, elle me donne un petit coup de fouet.
— Très méchante !!
Les coups sont de plus en plus forts et j’essaie sans succès de me retourner pour contrer la douleur.
— Arrête de bouger, je n’arrive pas à viser tes fesses.
— Tu commences à me faire mal.
Elle a sorti deux cordes de sa boite, elle m’a attaché les chevilles aux pieds du lit.
— Voilà !! Maintenant on va pouvoir travailler.
De nouveau, j’ai senti les liens se balader sur mon corps. Elle a retiré sa robe de chambre et s’est approchée de moi en nuisette.
— Ça t’excite que je te fouette ? Ton petit mollusque durcit.
— Ta méchanceté m’excite peut-être.
Elle a posé les lanières sur mes fesses et les a descendues sur mon pénis. J’ai senti le cuir glissé jusqu’à mon gland.
— Cela t’excite ?
— Oui, ma chérie.
Elle a levé le poignet et m’a donné un coup de fouet sec sur la queue.
— Aïe !!! Aïe !!! Aïe…
— Tu as mal !
— Oui ! Ça fait super mal ! Arrête !!!
— Très bien, du coup c’est moi qui suis excitée.
Elle a passé sa main entre mes cuisses pour me saisir la verge.
— Pauvre petite bête blessée.
Détendu par la masturbation, je n’ai pas vu venir les lanières de cuir sur mes fesses.
— Aïe !!!!!! Merde !!! Ça brule !!
— Il n’y a aucune trace, juste de petites rougeurs.
Elle a levé haut la main. La voyant venir, j’ai contracté mon postérieur. Le coup a frappé sèchement.
— Aïe… !!! Putain !!! Tu m’as éclaté le cul… !!!!
— Et bien voilà !!! De belles traces sur mon esclave.
— OK, maintenant détache-moi.
Elle est partie à la salle de bain et est revenue avec un gant de toilette.
— C’est de l’eau froide, cela va te faire du bien.
— Tu peux me détacher maintenant ?
— Attends !! Je regarde dans la boite.
Elle a posé le fouet pour saisir le cadeau.
— Haaa !! Il reste un dernier cadeau. Regarde mon chéri ce beau gode, tu crois que je vais me faire plaisir avec ?
— Surement. Si tu me détaches, je peux t’aider.
Elle a retiré sa nuisette et s’est mise devant mon visage. Je regarde le gode doré imitation métal passé entre ses seins, il fait le tour de ses tétons. Elle le descend sur son ventre et le glisse entre ses cuisses. La pointe de l’outil écarte ses lèvres.
— Tu veux que je l’enfonce ?
— Je peux te le faire.
— Non, je veux me masturber devant toi et tu ne vas pas pouvoir prendre ta queue.
— Tu veux me torturer ?
J’ai eu comme réponse un petit son sortant de sa bouche quand le tube s’est enfoncé dans son vagin. Elle a posé son pied sur le lit, écartant ses cuisses.
C’est tellement frustrant de ne pouvoir prendre sa queue en regardant sa femme, se gode.
— Tu es dur, mon chéri ?
— Ho oui ! Détache-moi !
— Nooon ! Regarde, je mouille.
Elle courbe son bassin à chaque pénétration. Je me frotte la queue sur les draps pour me masturber.
Elle est venue s’assoir à côté de mes jambes.
— Tu fais quoi ma chérie ?
— J’ai les cuisses écartées, je m’enfonce le gode au plus profond.
— Je ne vois rien, détache-moi, s’il te plait !
— Patience, j’ai prévu autre chose pour toi.
C’est avec plaisir que j’ai senti sa main caresser mes fesses et pour mon grand plaisir, saisir ma queue.
Elle a placé le gode humide entre mes omoplates et la fait glisser sur mes vertèbres. La pointe de l’objet m’a délivré un frisson dans le corps, si agréable. Son autre main a continué à se balader sur mon pénis et mes testicules.
— Tu aimes mes caresses mon chéri ?
— Ho oui ma belle.
Le gode a quitté mon dos pour s’immiscer entre mes fesses.
— Pourquoi tu te contractes ? Tu as peur ?
— Non, mais…
Sa main a quitté ma queue pour filer sur mon anus.
— Brigitte ???!!! Tu fais quoi ???
Je sens son ongle faire le tour de mon anus et le gode glisser sur mes fesses.
— Brigitte !!! Réponds-moi !!! Tu fais quoi ????!!!
— Tu m’as dit il n’y a pas longtemps que je pourrais t’enculer.
— Je ne crois pas t’avoir dit explicitement, oui oui oui oui oui !!! Je veux me faire enculer.
— Mince, je croyais que tu étais d’accord ?
— Non !! Pas trop !… Attends !!! Je réfléchis ??!! Et bien c’est encore non !!!
— Dommage, ta queue est bien tendue. Je pensais que tu étais d’accord.
— Je suis excité parce que ma femme se masturbe devant moi, pas parce qu’elle veut me rentrer un truc dans le cul.
— Je me faisais une telle joie de te sodomiser.
— Et bien je suis désolé de te décevoir.
— Attends, je réfléchis !
— Quoi ???!!! Tu réfléchis ??!!
— J’ai décidé de le faire quand même !
— Quoi, quoi, quoi… !!!!!
— Il faut que tu sois détendu, inspires par le nez, expires par la bouche, calmement.
— Je n’expire que dalle, ne touche pas à mon cul.
— Pour que ça rentre plus facilement, je vais me l’introduire à nouveau. Regarde mon chéri, je suis trempée à l’idée d’écarter ta rondelle.
— Brigitte putain ne touche pas à ma rondelle !!!!
Elle a retiré le gode de son vagin humide et elle est venue le positionner entre mes fesses. Je ne sais pas sur quoi me concentrer, me détacher. Ou serrer les fesses ?
D’une main elle m’écarte les fesses.
— Hooo !!! Quelle belle rondelle plissée !!!
De l’autre elle applique la pointe du gode au centre de l’anneau.
— Brigitte !!! Ma chérie !!! Arrête !!!
— Tu as peur mon chéri ??? Tu trembles ???!!!
J’ai senti la pointe du gode pousser sur mon anus.
— Pitié !!! Arrête !!!
— C’est bien serré !!! Tu es musclé du trou de balle !!!
Elle a poussé fort et le premier centimètre s’est introduit.
— Haaaaaa !!!! Ça fait mal !!!! Arrête, pitié.
— Mais ! Elle pleure la chochotte.
Elle a posé son avant-bras sur le haut de mes fesses et a poussé fort, le gode est rentré de plusieurs centimètres. La douleur est tellement forte qu’elle a dû me déchirer l’anus.
— Haaaaaaaaaaaa !!!!! Putain de salope !!!! Tu m’as déchiré le cul !!!!!!
— Arrête de chouiner petite fiotte !!! Ton petit trou du cul n’a pas pété.
Le stress et la douleur mon fait monter les larmes.
— Arrête Brigitte, j’ai trop mal.
— Mais ???!!! Elle pleure ma petite tafiolle.
J’ai senti le gode tourner sur mon anneau et s’enfoncer de nouveau. J’ai serré les dents et remonté mon bassin pour me tendre. Les larmes ont coulé sur mes joues.
— Haaaaaaaaaaa !!!! Salope de merde !!!!! Je vais te défoncer !!!! Putain ça fait
mal… !!!!!
— Tu as l’équivalent de ta bite dans le cul, donc pas de quoi couiner !
Elle est partie à rigoler de sa bêtise. J’ai aimé cette remarque, j’ai rigolé de nervosité.
— Je vais appeler les flics, ils vont t’interner. Tu es cinglée.
Elle a tiré doucement sur le gode et l’a enfoncé avec douceur à plusieurs reprises.
— Tu aimes mon cœur ?
— Non, j’ai le cul en feu.
— Je te donne le clap de fin.
Les lanières de cuir se sont écrasées violemment sur mon pénis.
— Haaaaaaaaaaaaaaaa !!!! Tu es folle !!! Complètement folle.
Elle a détaché les menottes et s’est reculée. J’ai descendu mes mains sur mon pénis.
Je les ai regardés, pas de sang. J’ai saisi le gode planté dans mon cul et j’ai tiré doucement en plissant les yeux. Une voix mielleuse est parvenue à mes oreilles.
— Ça va mon chéri ?
— Dégage !!!
Le gode posé sur le lit, j’ai défait les cordes qui m’ont laissé une trace profonde aux chevilles.
Le gode à la main et sans prévenir, j’ai sauté du lit et lui ai attrapé la cheville. Je l’ai plaqué sur la moquette de la chambre.
J’ai regardé ses fesses et j’ai levé la main en tenant le gode comme un poignard.
Elle a vu mes yeux noirs, mes lèvres tremblantes de colère.
— Non mon chéri !!
Je ne peux pas lui faire du mal, j’ai descendu le gode, le serrant toujours fort. Je l’ai présenté devant son vagin, j’ai poussé doucement et l’ai pénétré d’un seul trait. Sa chatte est trempée, la douleur qu’elle m’a infligée lui a procuré une forte excitation.
— Vu ce que tu m’as fait subir, je pense que j’ai bien le droit à une pipe.
Elle se retourne et je continue à la pénétrer. Je tâche de me déplacer pour approcher ma queue de sa bouche, mais à chaque mouvement des bouts de verre bougent dans mon cul.
Elle saisit mon pénis en me regardant.
— Pardon mon chéri.
La regardant me sucer, j’enfonce le gode au maximum et je viens saisir un de ses seins.
J’ai du mal à me concentrer sur la fellation avec un hérisson dans le cul, mais la chaleur de sa bouche sur mon pénis me soulage l’esprit après quelques minutes. Sans sommation, je crispe mes fesses et déverse mon sperme dans sa bouche.
La douleur et la jouissance me donnent une sensation confuse.
— Allonge-toi sur le lit, je vais chercher de quoi soulager le feu.
Le gel froid sur mon anus est une bénédiction.
— Ma petite fiotte va mieux ?
— Je n’ai plus mal à la tête…
Cette fin de semaine, le seul plaisir que je prends, c’est quand Brigitte me passe du gel. Elle enfonce légèrement son doigt et j’avoue que je prends du plaisir, elle voit ma queue se durcir et me masturbe.
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