Brigitte exhibitionniste
En cette fin d’après-midi, je suis pressé que Brigitte rentre du travail. Qu’a-t-elle trouvé comme idée?
J’entends la clé dans la porte de l’appartement, je suis impatient.
— C’est moi !! Ça va mon chéri?
Je suis dans le canapé la télévision allumée, je fais mine de faire des recherches sur mon portable et fais celui qui a oublié la nouvelle importante, pour ne pas passer pour l’obsédé obsessionnel.
Brigitte dépose ses affaires et se rend dans la cuisine ouverte sur le salon salle à manger. En se servant un IceTea, elle me dit :
— Je crois avoir trouvé un lieu et surtout une personne, pour ce qu’à demandé Mr Rémi.
— Haaa. Je t’écoute.
— J’ai pensé à mon oncle Pierre, le beau-frère à ma mère.
— Heuuu, je vois c’est qui, mais pourquoi lui particulièrement.
— Déjà c’est quelqu’un de ma famille et je pense que de solliciter une personne proche, devrait faire particulièrement plaisir à Mr Rémi.
— En effet, mais pourquoi lui.
— Hormis son activité professionnelle, il est aussi une sorte de guérisseur, quand tu as mal au ventre ou des maux de ce genre tu vas le voir.
— Tu as déjà été le voir pour ce type de problème?
— Non. Et voilà pourquoi c’est intéressant, ma mère n’a jamais voulu nous emmener chez lui quand on était petites, moi et ma sœur. C’est un obsédé fini, bon !!! J’en connais un autre !!
Je me suis retourné, la regardant avec un petit sourire qu’elle m’a rendu.
— J’ai cru comprendre qu’il a les mains baladeuses et ma mère en a fait les frais.
— C’est donc le personnage idéal pour ce que t’a demandé notre papy.
— Oui en effet.
Brigitte a appelé son oncle dans la soirée, il lui a dit qu’il ne pratiquait plus beaucoup cette activité. Il n’y avait surtout plus grand monde qui le contactait, surtout les femmes.
Rendez-vous pris pour le weekend, Brigitte a prétexté une gêne au ventre, mais qu’elle pouvait attendre quelques jours.
Après cette prise de rendez-vous, je me suis posé des questions. Bien sûr j’ai toujours des rapports sexuels avec ma chérie, mais d’un autre côté je suis spectateur de cette nouvelle vie sexuelle dans laquelle je l’ai entrainée. Où va-t-on ?? Une peur mêlée à l’excitation. Et le plus inquiétant, c’est que Brigitte s’y est immergée rapidement.
Ce samedi matin nous voila dans la voiture, direction l’oncle de Brigitte. Il habite a 15 min des chez nous. Il doit avoir 55 ans bien passé, je me rappelle plus de son allure, on verra tout à l’heure.
Brigitte s’est habillée relax avec son leggings gris clair et un haut à bretelles bordeaux, avec en dessous une brassière qu’elle utilise pour le sport ainsi que sa culotte associée.
Nous nous sommes garés devant le pavillon, dans cette petite commune. La tante de Brigitte était à genoux sur la pelouse en train de tailler ses rosiers.
— Bonjour, Mireille, tu vas bien?
— Bonjour, Brigitte, ça fait longtemps !!!
— Oui en effet, presque 2 ans.
La tante à Brigitte n’a rien d’attrayant, très maigre, surement dû au paquet de cigarettes qu’elle flambe toute la journée.
— Pierre ma prévenue que tu passais ce matin. Allez ! Venez, nous allons rentrer.
Nous avons suivi Mireille dans sa maison, le temps qu’elle retire ses bottes ainsi que ses gants.
— Je vous en pris rentrés. Pierre !!!! Brigitte et Philippe sont arrivés.
Nous sommes entrées dans cette maison des années 80 avec les ouvertures en bois et ce carrelage marron typique de l’époque.
Pierre est apparu au fond du couloir avec son pantalon en toile, une chemise à carreaux recouverte d’un pull en V. Dégarni, avec un bon ventre. Les yeux marron vert vitreux et ce visage fin, le descriptif de Brigitte sur son oncle corrobore avec ce visage vicieux. On dirait un petit Gru.
Nous passons devant Pierre et rentrons dans la salle à manger.
— Alors Brigitte tu as des maux de ventre?
— Oui mon oncle, ce n’est pas douloureux, mais pesant.
— OK, je vous laisse vous asseoir, je vais me laver les mains et je suis à toi.
— Mets-toi la Brigitte, pour que Pierre t’examine. Indiqua Mireille.
Pierre est revenu de la cuisine, il regardait Brigitte de haut en bas. Il s’est assis en bout de table. Il a demandé à Brigitte de positionner sa chaise à ses côtés.
— Alors !!! Voyons ça !!! Je vais poser ma main sur ton ventre, décontracte-toi.
— OK.
Il a positionné sa main sur son ventre, la bougeant petit à petit, en effectuant des pressions par endroit.
C’est à ce moment que j’ai pris mon portable pour filmer la scène discrètement. Pour qu’il puisse agir tranquillement sur le corps de ma belle, j’ai détourné l’attention en faisant remarqué à Mireille c’est splendides rosiers et lancer la discussion.
Après une petite minute sa main est rentrée sous son haut qu’il l’a recouverte, de nouveau il se baladait sur sa peau avec assurance et précision.
— Tiens, s’il te plait avance-toi un peu sur ta chaise, je vais positionner mon autre main dans ton dos.
Les deux mains sur ma chérie, il la caressait avec douceur. Se sentant en confiance, il a laissé son pouce trainer de temps à autre sous les seins de Brigitte voyant qu’elle ne protestait pas, l’appui sur ses seins a été plus marqué. Il a passé son pouce sous la brassière, venant en contact direct avec sa poitrine.
Je le voyais fixer le visage de sa nièce, guettant chaque réaction au passage de sa main.
Voyant avec quelle facilité il pouvait progresser, il a descendu sa main sur son bas ventre.
— Quelqu’un veut du café? demanda Mireille.
Brigitte lui a répondu et pendant ce temps Pierre en a profité pour passer sa main dans le leggins de Brigitte qui était remonté jusqu’au nombril. Elle l’a regardé avec un air gêné et insouciant.
— Je regarde un peu ton bas ventre et ce sera bon.
— OK. A-t-elle répondu avec un air de gamine.
Je voyais ma chérie jouer son rôle immature, ainsi que la main de Pierre qui progressait sous le leggings moulant.
Mireille qui connaissait parfaitement son mari s’est levée, gênée, prenant la direction de la cuisine en allumant une cigarette, je l’entendais préparer les tasses.
Pendant ses palpations tonton, Pierre venait innocemment en contact avec la culotte de Brigitte.
— Attention, je vais appuyer un peu plus fort.
Toujours en regardant le visage de Brigitte, il a appuyé un peu plus fortement sur son bas ventre, glissant sa main dans sa culotte et passant ses doigts dans la toison. Brigitte s’est contractée, mais la laisse progresser.
Je voyais les doigts de son oncle à travers le leggings, avancé vers l’entre-jambes de Brigitte.
Tout à coup Mireille m’a interpellé.
— Philippe ! Peux-tu venir m’aider?
— J’arrive Mireille!
Me voyant rejoindre la cuisine, Pierre a accéléré sa prospection venant au contact des lèvres de Brigitte. Voyant sa soumission et sa bouche légèrement ouverte, il a directement immiscé son doigt entre ses lèvres.
Il est rentré en contact avec l’humidité du sa vulve, sentant l’excitation de ma chérie, son doigt a pénétré son vagin sans hésitation.
Brigitte sentait le souffle chaud de son oncle dans son cou. Le bruit des tasses l’a réveillée de son extase et il a retiré son doigt de son vagin pour rentrer sa main directement dans sa brassière et malaxer son sein. De l’autre main, il se masturbait à travers son pantalon. Ça n’a pas été long, Brigitte a senti le souffle saccadé de Pierre, il venait d’éjaculer dans son pantalon.
Je suis revenu avec Mireille et nous avons servi le café.
— Voilà Brigitte, je n’ai rien descellé, tout va bien. Mais il ne faudra pas hésiter à revenir pour le moindre problème.
— Merci, mon oncle, je n’y manquerais pas.
L’expérience souhaitée par papy Rémi était réalisée. En effet, le temps que j’étais en cuisine à aider Mireille, mon téléphone continuait de filmer. Nous avons papoté une trentaine de minutes avant de quitter Mireille et Pierre, il devait être pressé que l’on parte pour changer de sous-vêtements, il n’a pas manqué de réitérer sa demande auprès de Brigitte.
— N’oublie pas !! Si tu as besoin, n’hésite pas.
— OK, merci encore mon oncle.
À peine nous avions pris la route que Brigitte me demandait mon portable pour regarder la vidéo.
— C’est cool on voie bien les mains de Pierre se balader sur mon corps, et se regard de vicieux qu’il a !!! Il a dû bander comme un taureau. Tu as bien travaillé mon chéri !
— Merci ma chérie.
— Mr Rémi va être content de ce film ! On pourrait aller le voir directement, qu’en penses-tu?
— Heuuuu, OK.
Nous avons donc pris la route de la ferme, le trajet étant un peu long, nous avons fait une halte pour manger dans un centre commercial. Tout en mangeant, je regardais discrètement la vidéo de Pierre profitant de ma chérie, ce n’a pas été long pour que mon pantalon se tende, j’ai dû patienter avant de me relever de table.
M’étant calmés, nous avons pu reprendre la route. Après une trentaine de minutes, nous nous sommes engagés dans le chemin menant chez papy.
— Je suis pressé de montrer la vidéo à Mr Rémi, me disait-elle avec impatience.
J’ai garé la voiture aux abords de la ferme, quand nous sommes rentrés dans la cour Black n’a pas manqué d’aboyer. La porte de la longère s’est ouverte.
— Black ça suffit !!! Venez par ici mes amis, n’aillez pas peur. Allez Black pousses toi !!!
Nous sommes entrées dans la maison. À ma surprise la pièce était propre et parfaitement rangée. La dégaine de notre papy, mais surtout son hygiène pouvait me laisser présager d’une maison sale et nauséabonde, c’était tout le contraire, elle était tenue avec rigueur.
Mais le mobilier était d’époque ainsi que le carrelage en petits carreaux.
— Ne faites pas vos timides, approchez et asseyez-vous.
Papy Rémi était ravi de nous voir. Il était comme à son habitude en salopette avec une chemise à carreaux, chaussé de pantoufle. Ses bottes étaient posées sur un papier journal, propre, à côté de la porte d’entrée.
Nous nous sommes assis sur le banc autour de la grande table en chêne massif. Papy Rémi était face à nous.
— Qu’est-ce qui vous amène les jeunes?
— Et bien, Mr Rémi, Philippe m’a filmé comme vous nous l’avez demandé et nous voulions vous le montrer directement.
Après avoir préparé la vidéo, j’ai tendu mon portable à notre papy.
— Merci jeune homme, je vais devoir prendre mes lunettes.
Rémi s’est levé, c’est en le suivant du regard que j’ai aperçu une pièce dont la porte était ouverte, je pouvais apercevoir des aquariums, non plutôt des vivariums, au moins cinq.
— À voilà, je vais beaucoup mieux voir. Qui est ce monsieur que je vois?
— C’est mon oncle, Monsieur.
— D’accord !! Vient à côté de moi ma petite, tu vas m’expliquer tout cela.
Brigitte s’est déplacée à côté de notre papy, elle lui a expliqué pourquoi elle a été voir son oncle Pierre.
— Mais c’est excitant cette aventure, aide-moi dont ma petite !! Je la sens qui monte.
Pas besoin de donner plus d’explications, Brigitte a ouvert la braguette de notre papy et a glissé sa main dans la salopette. Je voyais le bras de ma chérie bouger, ses yeux sur l’écran du téléphone. J’essayais de deviner ce qu’il se passait sous la table, je devinais sa main s’introduisant dans le slip taché de notre papy malaxant les testicules et le pénis.
Papy a relevé la tête, me regardant.
— Venez ma chère !!! Venez profiter des exploits de votre belle !
Je me suis déplacé à leurs côtés. La vue de ce film érotique ainsi que la main de ma chérie dans la salopette de l’ancien, je n’ai pas été long à me rigidifier.
Papy Rémi a posé sa main sur la nuque de Brigitte, la caressant doucement, il a appuyé légèrement, emmenant sa tête entre ses jambes, elle a sorti le petit membre de la salopette et ses lèvres se sont refermées dessus.
De voir c’est fesses relevées je n’ai pas résisté, j’ai saisi son leggings et sa culotte et je les ai descendu à mit cuisse, je reluquais ses fesses et sa vulve le temps de sortir ma queue.
Mon gland est venu se glisser entre ses lèvres pour s’enfoncer doucement dans son vagin, tout en regardant la tête de ma chérie descendre et monter sur le pénis de papy.
Quelques gémissements sortaient de cette bouche pleine.
Je voyais papy partir, la bouche entre ouverte, les yeux fermés.
— HAAA, HAAaaaa, haaaaaa !!!! Bois ma petite.
Je me suis moi-même afféré, déversant mon excitation dans le vagin de ma chérie.
J’aidais Brigitte à se rhabiller quand papy a exprimé sa gratitude :
— Vous avez bien travaillé tous les deux, je vous remercie. J’espère que ton tonton Pierre a ressenti la même excitation que moi.
Brigitte avait le sourire.
Papy nous a offert une boisson. Au cours de la discussion, il nous a expliqué qu’il avait perdu sa femme il y a une dizaine d’années et qu’il s’occupait de son fils handicapé.
Nous nous sommes levés pour le départ.
— Je vous revois quand les jeunes? Car j’ai besoin de vous pour un problème administratif, je dois poser un rendez-vous.
— Nous pouvons venir dans la semaine si sa vous convient. Je vais vous donner mon numéro de téléphone.
La confiance était installée. Papy Rémi nous a rappelés dans la journée pour nous donner l’heure du rendez-vous, il a demandé à ce que Brigitte soit habillée comme une femme des bureaux.
Saluant papy, nous avons repris le chemin de l’appartement. Je réfléchissais pendant le trajet, aujourd’hui elle a fait éjaculer trois hommes, impensable il y a encore un mois.
— Tu t’es surpassé ma chérie aujourd’hui.
— Oui, et tu en as bien profité?
— En effet. Lui répondais-je en la regardant, elle fixait la route, le visage heureux.
— Les vacances approchent, tu veux partir cette année.
— Oui mon chéri, j’aimerais bien un camping en bord de mer.
— OK, on regardera en rentrant.
Ce mardi nous reprenons la route pour aider notre ancien, je ne sais pas en quoi nous allons pouvoir l’assister.
Brigitte est habillée avec un tailleur beige, un chemisier blanc, des talons hauts. Elle a les cheveux attachés en chignon ainsi que des lunettes noires et un rouge à lèvres brillant. Elle est juste superbe.
Elle a l’habitude de porter ces vêtements, elle est responsable commerciale.
En entrant dans la cour de la ferme avec la voiture, nous apercevons un homme rentrer dans la maison.
Black s’approche de la voiture sans aboyer, il a l’habitude maintenant.
Nous nous présentons devant la porte, pas le temps de frapper, papy Rémi nous ouvre et il a les yeux écarquillés devant Brigitte.
— Ma chère vous êtes superbe, cet idiot de Maire ne va pas pouvoir résister. Entrez !
— Bonjour, Rémi, je suis d’accord avec vous, Brigitte est superbe. Je la regardais avec une expression sincère.
— Nous avons vu un homme rentrer dans votre maison en arrivant.
— En effet c’est mon fils René. René vient te présenter à nos invités.
Rémi c’est exprimé à voie basse pour nous indiquer à nouveau que René était handicapé et qu’il avait 46 ans.
— Allez viens René !!! Il est timide.
René est rentré dans la pièce et on a pu constater en voyant son visage, ses petits soucis mentaux, il n’était pas très grand, les cheveux bouclés tombant dans la nuque, la calvitie étaient bien installés sur le haut de son crâne.
Il avait de petites oreilles décollées, quand ils nous ont dit bonjour nous avons pu constater qu’il lui manquait beaucoup de dents. La nature n’a pas aidé ce pauvre homme. Papy Rémi a ressenti la pitié sur notre visage à l’encontre de René.
— Mon René est passionné par les gros insectes et certains mammifères et bien sur les ordinateurs.
Il nous montrait les vivariums de la main.
Brigitte et moi pouvions voir une autre passion, en effet son jogging était bien tendu et il arborait un grand sourire devant ma belle, les chiens ne font pas des chats.
— Allons-y, nous allons être en retard.
Papy Rémi est monté à l’arrière de notre voiture. Nous avons pris la route direction la mairie de la commune.
— J’ai donc rendez-vous avec le maire, il veut me racheter une parcelle agricole, pour faire des logements sociaux. Il veut me la racheter au prix de l’agricole et non du constructible. Je me fais arnaquer, il croit qu’il va baiser le vieux Rémi. Je souhaiterais bénéficier des charmes de votre belle jeune femme pour faire pencher la balance en ma faveur.
— Oui, je comprends ce que vous voulez.
— Vous voulez bien m’aider? En jouant le rôle d’une conseillère ???
— Brigitte !? C’est à toi de répondre.
— Oui ! Bien sûr Mr Rémi. Lui répondant avec le sourire en le regardant derrière.
L’ancien s’est avancé sur son siège pour frotter le bras de Brigitte.
— Merci beaucoup ma petite.
Arrivé dans le bourg, je n’ai pas eu de mal à me garer, en semaine et à cette heure de début d’après-midi, il n’y a personne. Brigitte et Rémi sont descendus pour prendre le chemin de la mairie.
Papy lui a remis dans la voiture les documents de propositions de la commune, pour qu’elle jette un œil avant le rendez-vous.
De ce fait, elle a découvert le nom de famille de notre ancien, Mr Rémy Muller.
Ils sont entrés tous les deux dans la mairie, après cette présentée à la secrétaire, elle les a conduits devant le bureau de Mr le maire, elle a frappé.
— Oui !!!
La secrétaire a ouvert la porte.
— Mr le maire, votre rendez-vous 14h30, Madame Durand et Monsieur Muller.
— Faites entrer, je vous prie.
Ils avaient convenu dans un nom bidon pour ma chérie le temps du trajet.
Ils sont rentrés dans le bureau de Mr le maire, qui s’est levé pour saluer Brigitte, ces yeux décrivaient les courbes de ma chérie, puis il a salué Rémi. L’homme était de taille moyenne avec un bon ventre, proche des 60 ans, cheveux gris dégarnis avec une petite moustache.
— Veuillez vous asseoir. Vous venez pour discuter suite à la lecture de la proposition de la mairie, concernant l’achat par la collectivité de certaines de vos parcelles.
— Oui en effet Mr le maire, je ne me suis pas présenté, je madame Durand conseillère en patrimoine, Mr Muller a sollicité mes services pour le dossier que vous venez d’évoquer.
Pendant une petite heure, les deux parties ont confronté leurs problèmes budgétaires pour l’un et les prix trop bas pour les autres. De temps à autre, les yeux du maire se portaient sur le chemisier tendu de Brigitte.
Ne voyant que la position du Maire ne bougeait pas, Papy Rémi à monté le ton. C’était l’opportunité pour Brigitte de passer à l’action.
— Messieurs ! Restez calme ! Mr Muller, je vous suggère d’aller prendre l’air, je vais discuter avec Mr le maire.
— Très sage décision, venez je vous raccompagne monsieur.
Le maire s’est levé pour accompagner Rémi jusqu’à la porte. Pour ensuite venir se rassoir dans son siège.
— Vous avez eu raison de baisser la tension dans cette négociation.
— Je vous remercie, c’est mon métier. D’ailleurs cela m’a donné chaud, vous permettez?
— Oui, bien sûr !
Brigitte s’est levée pour ôter sa veste, bombant le torse. Se retournant pour poser sa veste, elle a défait un bouton de son chemisier laissant son soutient gorge bien en vue, mais laissant le bouton au-dessus fermé, faisant croire à un oubli.
— Je tiens, Mr le maire, à avoir des éclaircissements sur certains points.
Elle a saisi plusieurs documents et c’est dirigé au côté du maire, elle a posé les feuilles sur son bureau, elle a commencé à lire. Elle était penchée en avant une main sur le bureau et l’autre suivant le texte lu avec son stylo.
Concernant Mr le maire, sa concentration était ciblée sur le chemisier ouvert par mégarde de Brigitte. Les yeux de l’homme détaillaient scrupuleusement chaque centimètre carré de son soutien-gorge généreusement rempli, il cherchait à apercevoir l’auréole de son téton à travers la dentelle.
Cet engouement pour le corps de Brigitte l’aidait pour le plan prévu, elle a décidé de passer à l’action.
— Il fait vraiment chaud dans votre bureau, monsieur.
Tout en disant cela, elle a ouvert le bouton du haut de son chemisier, provoquant en moins d’une minute des auréoles sous les bras de la chemise de Mr le maire, ainsi que des gouttes de sueur perlant sur son front et dans sa moustache.
Ajouter un commentaire