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Les tests sexuels de Muriel Chapitre 1

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J’ai testé XFR

Avant propos :
Vous me connaissez tous, je me prénomme Muriel 31ans, maman d’une fille de 3 ans. Je suis la fille de Marie-Claude, et je suis mariée à Damien 33 ans.
L’histoire que je vais vous raconter remonte six ans en arrière, Damien et moi nous étions mariés depuis près d’un an. Nous formons un couple très uni et nous sommes libertins, nous avions conclu un pacte ensemble de ne rien se cacher l’un envers l’autre de nous raconter nos aventures extraconjugales dans la transparence la plus totale.
Pour pouvoir emprunter professionnellement la même voie que mon mari je devais suivre une formation d’un mois dans la capitale. Être éloigné de mon cher et tendre mari m’angoissa, Damien s’en est aperçu et il lui vint une idée qu’il me fit part :

« Chérie, ta formation va être aussi le moment de tester tes relations extraconjugales, et je te propose d’effectuer ces tests dans différents endroits de Paris, libre à toi l’endroit : par exemple métro, grande surface etc. Je ne t’impose pas les lieux la façon de procéder pour aguicher les hommes comme les femmes, tu peux accepter ou refuser, la seule chose que je te demande c’est de faire attention à toi et de me rendre compte dans le détail tes aventures ».

Damien et moi nous sommes des fervents lecteurs des histoires publié sur le site XFR, et nous nous sommes mis en tête que je peux aussi m’essayer à ces exhibitions et autres pratiques sexuelles que nous lisons chaque jour.

Après réflexion et quelques mises au point, j’acceptais et je passais alors la journée entière à faire l’amour avec mon mari, le départ pour Paris était le lendemain matin à partir de Strasbourg en TGV.

Le lendemain matin mon mari me conduisit à la gare de Strasbourg ou je pris le TGV pour Paris. En arrivant à Paris, je pris un taxi pour me rendre sur mon lieu de vie, mon studio que la société m’a mis à disposition pour la durée de ma formation, après le déjeuner, je me suis rendue sur le lieu de ma formation afin de me familiariser avec les moyens de transport, métro, bus et le bâtiment ou je dois m’y rendre ainsi que de remplir toutes les formalités administratives. J’oubliais, nous sommes vendredi et ma formation débute le lundi matin. Cette formation est à mi-temps, une semaine le matin et l’autre semaine l’après-midi.

Ma première expérience : le Métro !

Nous sommes samedi matin de ce mois de juin, il fait beau, la température est agréable, c’est donc aujourd’hui que débute la première expérience.
Durant la journée, je me suis promenée dans les rues, faisant du lèche-vitrine, et surtout du, lèche regard, mon but est d’observer l’attitude des hommes et pourquoi pas des femmes que je croise, et aussi de voir si cette aventure dans laquelle je me lance peut m’apporter une quelconque excitation. Très vite je comprends que personne ne me remarque plus que ça. Sans doute est-ce à cause de ma tenue qui n’a rien de sexy. Je décide donc de m’acheter de quoi éveiller l’intérêt de ces messieurs dames. Après plusieurs boutiques visitées, je trouve une robe qui me paraît très sympa. Je file l’essayer dans une cabine.

L’idée de commencer réellement mon expérience me vient alors à l’esprit : et si je commençais par une petite exhibe ? Je ne porte jamais de soutien-gorge, et laisser le rideau entrouvert me paraît si simple ! Me voilà donc en train de retirer mon chemisier dans cette cabine à moitié ouverte. Rapidement mon jean tombe à mes pieds. En me baissant pour le ramasser, je prends soin de bien pousser le rideau vers l’extérieur afin d’attirer l’attention et je me redresse en me retournant face à lui. Ma petite stratégie a fonctionné, deux hommes sont face aux cabines, sans doute attendent-ils la sortie de leurs épouses des cabines voisines. Bien sûr, je fais mine de ne pas les remarquer. Je décroche la robe de la patère murale et je l’enfile.

Naturellement je commence à la boutonner par le bas afin de laisser ma poitrine visible le plus longtemps possible. C’est la première fois que je m’exhibe ainsi et je dois reconnaître qu’avec un tout petit effort de courage cela m’apporte une étrange, mais bien agréable sensation. Bretelles étroites sur les épaules, décolletées larges, resserrées à la taille, là-bas au contraire s’évasant amplement jusqu’à mi-cuisses, boutonnée sur le devant de haut en bas, blanche, légère, fine mais pas transparente, cette robe me va plutôt bien. Pour moins de cinquante euros, je décide de la prendre. Je mets mes affaires sur mon bras et sors de la cabine. En passant devant mes observateurs je leur adresse un petit sourire, auquel l’un d’eux me répond par une ‘’Bonne journée’’ ! Et l’autre par un clin d’œil. Je prends cela comme une réussite, ce qui m’encourage pour la suite de mon expérience.

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Il est 17 heures, même le samedi il y a la cohue dans le métro. Dans la rue j’accroche cette fois un peu plus de regards, le bas de ma robe danse au rythme de mes pas et je remarque que les hommes qui me croisent ont les yeux dans mon décolleté. Je n’avais jamais prêté grande attention à ce détail, mais aujourd’hui c’est différent, c’est le but et cela me réjouit de sentir tous ces regards sur moi.

17 heures 30, je descends dans le métro et m’avance au milieu du quai. Il n’y a pas encore beaucoup de monde. J’espère qu’en cette période proche des vacances les gens n’auront pas déjà déserté la capitale. Je marche un peu, un panneau publicitaire mural vide me renvoie mon image, tel un miroir sale. Je me tourne légèrement pour m’observer dans cette nouvelle robe. Ouais, bof, joli, voire affriolant, mais pas très sexy et encore moins provocant.
D’une main je fais sauter le second bouton du haut. Hou là ! Sa libération fait largement bailler le pan droit du haut de la robe. De face il ne permet qu’une vue un peu plus basse sur ma poitrine, mais de côté on distingue sans difficulté l’aréole et le téton de mon sein. Immédiatement je trouve que c’est trop, mais au moment de remettre le bouton, je me dis qu’après tout je suis là pour attirer, provoquer, aguicher, alors… Je laisse le bouton libéré.

Je me retourne pour reprendre la petite marche de la passagère patiente. Oups ! Je manque de rentrer dans un homme venu se placer à deux pas de moi. Je ne l’avais pas vu venir. Il me sourit.

« Vous avez raison, c’est beaucoup mieux comme ça ».

Surprise et gênée, je reste un instant hésitante puis je me retourne promptement et m’éloigne un peu. Une rame arrive. Il n’y a pas assez de monde à l’intérieur pour mon expérience, je la laisse repartir. En tournant la tête, je m’aperçois que l’homme est toujours là. Ah, ai-je déjà ferré un poisson ?

Quelques minutes passent et suffisent à encombrer le quai. Dans la rame suivante, c’est l’affluence. Je m’approche afin d’être l’une des premières à monter dans le wagon pour me retrouver au milieu de la foule. Encore une fois ma stratégie fonctionne. Je suis plaquée à un arceau de maintien sur lequel se posent six ou sept mains, dont la mienne. Mon autre main se charge quant à elle de maintenir sur mon épaule le sac que la vendeuse m’a gentiment offert afin que j’y range mon jean et mon chemisier, et dans lequel j’ai également mis mon sac à main. Je suis entourée de deux femmes et de plusieurs hommes dont le regard est dans le décolleté dès le départ de la rame. Ils semblent déjà s’y être perdus car ils n’en ressortent pas.

Le mouvement de foule à la station suivante me déplace, je me trouve coincée contre le dos d’une banquette. Le métro redémarre, je m’affole, je n’ai pas le temps de trouver de prise. Un homme devant moi me retient de justesse en me saisissant par le poignet avant de guider ma main vers un demi-cercle métallique fixa sur le côté des appuis têtes de la banquette. Je m’y accroche fermement sans oublier de remercier mon sauveur. Il me répond d’un sourire. À son tour, il baisse les yeux pour mater ma poitrine. Et il aurait bien tort de s’en priver, mon bras tendu tire le pan de mon décolleté qui s’ouvre généreusement, mon sein droit est à moitié visible.

Voilà ; j’y suis. Que va-t-il donc se passer maintenant ? Les nombreuses histoires que j’ai lues sur XFR me reviennent en tête, je m’attends à sentir d’un instant à l’autre une main se poser sur ma hanche ou mes fesses, mais rien ne se passe. L’homme continue à se rincer l’œil, mais aucune main ne de pose sur moi, j’en suis presque déçue. Déçue de ce qui ne m’arrive pas et parce que je commence à croire que toutes ces belles histoires ne sont que pures inventions. Cela ne fait rien, elles me font au moins passer de bons moments de lecture. Que va penser Damien lorsque je vais l’appeler tout à l’heure ?.

Je suis tellement désappointée que je m’apprête à descendre à la prochaine station. Mais personne autour de moi ne semble vouloir bouger alors que beaucoup de monde tente de monter. Je me retourne pour essayer malgré tout de sortir, mais la foule me tasse et me serre davantage contre la banquette. Le métro repart. Décidément je n’ai pas de chance. Ayant lâché ma prise je n’ai d’autre choix que de me saisir de la barre verticale située à ma droite. La présence d’une dizaine de mains m’oblige à poser la mienne très haut sur la barre.
Assurée d’une bonne stabilité, je prends le temps de faire un tour d’horizon du voisinage. Surprise : l’homme qui me fait face n’est autre que celui qui me complimentait à propos de mon décolleté tout à l’heure sur le quai. Bien évidemment son regard est fixé sur ma poitrine. Je baisse la tête et plonge à mon tour mon regard dans les pans de ma robe. Horreur, la position de mon bras tire sur le tissu et laisse voir la presque totalité de mon sein droit. Mais ce qui m’affole, c’est que la trépidation de la rame fait légèrement sursauter mes seins et je remarque que le droit cherche à s’échapper. Malheureusement nous entamons un virage, la force d’inertie m’attire en arrière, ce qui accentue encore l’ouverture de ma robe.

Cette fois c’est sûr, mon sein va se libérer, il faut que j’intervienne. Déséquilibrée en arrière je ne peux pas lâcher la barre à laquelle je me retiens, seule la main gauche va peut-être me sauver. Je lâche les cordelettes de mon sac pour tenter de déplier légèrement mon bras et venir tirer sur le pan de ma robe. Mais avant que j’y parvienne, une poigne de fer s’empare de mon coude et arrête mon action de sauvetage. Je redresse la tête en écarquillant les yeux. L’homme devant moi le fixe tout en tournant légèrement la tête de droite à gauche et de gauche à droite plusieurs fois. Non seulement il m’empêche d’intervenir, mais en plus il tire mon coude vers le bas, m’obligeant à baisser mon bras à la verticale.

Effrayée, je rebaisse aussitôt les yeux vers mon sein. Je ne peux que constater l’évolution de la situation, il s’échappe de plus en plus de ma robe, son aréole devient visible, et ce virage qui n’en finit pas !
Je tente de me redresser, mais je n’ai malheureusement pas assez de force et au lieu d’arranger ma situation je la dégrade, car la traction que j’essaie d’exercer sur mon bras contracte mon sein qui glisse plus facilement hors de ma robe. C’est une catastrophe, mon téton vient d’apparaître aux yeux de tous. J’abandonne alors toute tentative d’amélioration et laisse aller les choses, en comprenant que je suis là où je voulais être.
L’action de cet homme sur mon bras laisse finalement envisager une multitude de suites plus excitantes les unes que les autres. Et justement, à cette seule pensée, mon excitation semble se réveiller. Je sens des picotements parcourir mon bas-ventre et mes seins se gonfler. Mon téton exhibitionniste se redresse à vue d’oeil.

Enfin le virage se termine, je reprends une meilleure posture et comme un chien bien élevé, mon sein retourne dans sa niche. Durant le virage, l’homme a dû se rapprocher, car je suis maintenant plaquée contre son buste. Je sens son souffle sur mon front. Quelques secondes se passent et je sens sa main se poser sur ma cuisse. Il retrousse ma robe, il cherche à la remonter pour sans doute passer sa main en dessous, mais il n’y parvient pas. Je le regarde sans rien dire, essayant de ne rien laisser paraître sur mon visage, mais je crois qu’il voit au fond de mes yeux le désir monter en moi.

Il pose alors sa main sur mon ventre et semble triturer ma robe. Ah, je comprends, il tente d’en faire sauter les boutons. Et il y parvient, très bien même, très très bien, après un, deux, trois, je sens un quatrième bouton sauter de son maintien. Un peu d’air se glisse entre les pans de ma robe , vient caresser mes cuisses, passer entre elles et remonter jusqu’à mon entrejambe. L’homme jette un rapide coup d’oeil sur ma poitrine et constate que les bouts de mes seins sont gonflés et pointent à travers le tissu de ma robe.

Cela semble l’encourager, car il me lance un sourire. À cet instant je sens sa main se poser à l’intérieur de mes cuisses. Très vite elle remonte jusqu’à trouver ma culotte. Cette dernière ne lui cause aucun problème, très agilement ses doigts trouvent le bord du tissu, le soulèvent, glissent par-dessous et viennent se poser sur ma fente. Ce contact électrise mon sexe, je ferme les yeux. Ses doigts glissent entre mes lèvres et les écartent, oh mon Dieu, je me sens couler. Mon jus inonde ses doigts, coule le long de ma fente ouverte, je sens ce liquide chaud atteindre mes cuisses sur lesquelles il descend doucement.
L’homme monte et descend ses doigts entre mes lèvres puis enfonce un doigt dans mon sexe maintenant trempé. Puis un second ne se fait pas attendre et pénètre à son tour dans mon ventre.

La tête me tourne, j’ai peur, non pas de ce qui est en train de se passer, mais d’être surprise. Je comprends maintenant ce sentiment étrange et indescriptible que les femmes tentent d’exprimer dans leurs récits sur XFR où ailleurs. C’est vrai que la peur décuple le désir. Soudain les doigts abandonnent mon sexe et s’échappent de ma culotte. Que se passe-t-il ? Doit-il descendre à la prochaine station ? Cet arrêt soudain me surprend et j’ouvre les yeux. Il me sourit toujours et ne semble pas se préparer à sortir, alors quoi ?

Sa main s’empare de la mienne, la gauche, celle qu’il a descendue tout à l’heure. Il l’attire vers lui jusqu’à la poser sur son ventre. Sans perdre le temps il la fait glisser vers le bas, je sens son ventre se contracter, ma main glisse entre son t-shirt et le haut de son pantalon dont l’élastique se détend sous le passage de nos deux mains. L’homme ne libère la mienne que lorsqu’elle est là où il voulait la poser : sur son sexe. Je le sens gonflé, chaud. L’homme semble porter un caleçon, sans doute d’un tissu fin, car je sens sa verge comme si rien ne la séparait de ma main et surtout parce qu’il est tout poisseux de désir. La main de l’homme est ressortie du pantalon, mais elle appuie sur la mienne et semble vouloir le faire bouger de haut en bas. Je m’exécute. Rassuré de voir que je ne m’oppose pas à faire ce qu’il souhaitait, l’homme glisse à nouveau sa main sous ma culotte. Au même instant, son pied passe entre les miens pour les écarter.

Ses doigts étant revenus sur mon sexe, je ne lui offre aucune résistance et déplace légèrement mes pieds afin que mes cuisses s’écartent et que ma grotte s’ouvre. Immédiatement deux doigts s’enfoncent dans mon intimité et rapidement un petit va-et-vient débute. Cette fois le plaisir envahit mon corps, je ferme à nouveau les yeux. Un troisième doigt rejoint les deux premiers, ensemble ils s’enfoncent cette fois entièrement en moi, je suis obligée de serrer fortement les dents pour ne pas gémir, car le plaisir que je ressens alors est immense. Du coup, excitée comme chatte, je glisse ma main sous son caleçon afin de sentir sans barrière sa chair dans ma main.
Elle est dure, bouillante, et je perçois quelques petites contractions. Je remonte mes doigts sur le haut du gland afin de les lubrifier de son jus, puis je l’étale le long de son membre. Une fois sa verge bien huilée, je me décide à la masturber. Très vite nous accordons nos va-et-vient, à chaque fois que ses doigts s’enfoncent entre mes lèvres ma main descend le long de son sexe.

Nous arrivons à une station. Les portes s’ouvrent, laissant monter et descendre les voyageurs. Nous arrêtons nos mouvements afin de ne pas éveiller les soupçons. Ses doigts sont restés enfoncés tout au fond de ma grotte et contrairement à moi qui ne bouge plus, ils remuent, bien à l’abri comme s’ils jouaient du piano. La sensation est très divine, je me mords les lèvres pour ne pas crier.
Le métro redémarre et nos va-et-vient avec. Cette fois l’homme s’active avec énergie et rapidité et je sens qu’à ce rythme je ne vais pas tarder à jouir. De mon côté, je fais de même et branle son membre de plus en plus vite. Soudain de fortes contractions gonflent sa verge, mes doigts deviennent poisseux et collants, ils sont bientôt recouverts de sperme. Je n’arrête cependant pas mes mouvements, car lui poursuit ses va-et-vient dans mon sexe brûlant. Son plaisir déclenche le mien et je jouis enfin. Je ne sais pas comment je fais pour ne pas crier, car la sensation est immense et étourdissante.

Doucement l’homme retire ses doigts, libérant le fruit de mon plaisir sur mes cuisses. À mon tour je retire ma main, elle est pleine de foutre et je me demande comment je vais pouvoir la nettoyer. Nous nous regardons, il me sourit comme pour me remercier, je fais de même. La rame s’immobilise dans une nouvelle station. Sans perdre de temps, il quitte le wagon. Il y a moins de monde et je suis enfin libre de mouvements plus amples. J’en profite pour plonger ma main dans mon sac et l’essuyer sur mon chemisier, tant pis je le passerai en machine dès mon retour au studio.

Je quitte le métro deux stations plus loin. Sur le quai je reboutonne le bas de ma robe qui était ouverte jusqu’au nombril et dévoilait ma culotte à chacun de mes pas. Je referme également le haut, car je dois revenir à mon point de départ et cette fois je ne veux plus prendre de risques.

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À suivre…

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