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Les tests sexuels de Muriel Chapitre 3

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J’ai testé XFR

Ma troisième expérience : un peu d’exhibitions !

Me voici à la sortie du cinéma, une fois dans la rue en direction de mon point de rendez-vous avec Damien, je glisse ma culotte dans mon sac. J’accélère le pas en voyant mon chéri.

« Bonsoir, ma chérie » dit-il en m’embrassant.

« Bonsoir, mon ange, tu es là depuis longtemps? »

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« Non, à peine dix minutes. Alors ce ciné ? »

« Eh bien, pas mal »

« C’est tout ? Juste pas mal ? »

« Oui… Enfin, plutôt bien. Prenons la voiture, je vais tout te raconter »

Nous regagnons la voiture.

« Tu veux faire quelque chose de précis ou on rentre ? »

« Oh non, rentrons ; j’aimerais bien prendre une douche parce que là, je sens un peu… Le mâle »

Damien démarre et je lui fais le récit de mon aventure cinématographique, avec tous les détails.

« Eh bien, en effet, cette fois tu es arrivé à tes fins »

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« Oui. Je crois que les deux premières fois j’aurais été gênée par ta présence »

« Comment ça ? »

« Je veux dire que si ta présence m’avait rassurée, j’avais malgré tout eu honte de m’offrir à des inconnus et de me faire prendre devant toi ».

« C’est stupide ! Tu sais bien que je suis totalement consentant ? »

« Oui mais… Je ne sais pas… La peur que ça ne se passe pas bien et que tu sois déçu »

« Rassure-toi, ma chérie, quoi q’’il arrive et quoi qu’il se passe, ce sera toujours très bien pour moi dès l’instant où tu y prends du plaisir ».

« Je sais, c’est bête mais c’est comme ça. Enfin, maintenant je pense que j’ai franchi une étape et qu’à présent je ne serai plus gênée si tu es là, au contraire ».

« Au contraire ? »

« Oui. Je me suis rendu compte qu’en fait j’aurais vraiment aimé que tu sois là tout à l’heure, même si tu avais rempli ton rôle d’inconnu et sans participation, en jouant le rôle du voyeur ».

« Moi aussi, crois-moi. Mais dis-moi, si j’ai bien suivi, tu n’as pas de culotte, là ? »

« Non ! » (petit rire)

« Montre-moi vite, je veux voir ça »

Je le regarde avec un large sourire et relève doucement le bas de ma robe et lorsque j’arrive à la hauteur de mon sexe je le découvre d’un coup sec avant de rabattre immédiatement ma robe.

« Ah non, je n’ai pas eu le temps de voir ! »

Je répète l’opération tout aussi brièvement.

« Arrête ! Allez, laisse-moi voir ton petit minou »

Je ris. Je relève une nouvelle fois ma robe et la laisse posée sur mon ventre. Mais arrivés à la hauteur d’une voiture, la peur me fait recouvrir mon sexe.

« Qu’est-ce que tu fais ? Je n’ai toujours pas eu le temps de voir ! »

« Ah bien oui, mais il faut regarder aussi, et puis je te signale qu’il y a une voiture à côté de nous ».

« Et alors, ce n’est pas bien grave ça ! Après ce que tu as fait dans le métro tu ne vas pas me dire que cela te gêne ? En plus, il ne peut pas te voir. Et puis… »

« Et puis, quoi ? »

« Pourquoi ne fais-tu pas comme ma mère, ma sœur, ma belle-sœur ? Cela fait des années quelles n’en porte plus ! De plus, tu ne portes pas de soutien-gorge avec ta forte poitrine, cela est visible, tandis qu’avoir le cul nu cela ne se remarque pas ».

« Donc d’après toi je ne dois plus mettre de culotte du tout ? Même sous mes minijupes ? »

« Oh oui, cela me fera un grand plaisir de te savoir nue sous tes habits ! »

« Tu voudrais aussi que lundi matin, je me rende à ma formation sans culotte ? »

« Oui, pourquoi pas, je pense que tu ne mettras pas de soutien-gorge non plus, alors pourquoi mettre une culotte ? »

«Bien, je vais y réfléchir. Mais qu’est-ce que tu cherches donc à me faire faire ? De l’exhibe ? »

« Oui, parfaitement, entre autres, mais surtout… »

« Quoi ? »

« Eh bien, puisque tu as décidé de vivre certaines aventures, je vais t’en faire vivre d’autres ».

« Holà, on dirait bien que Monsieur a des projets pour cette fin de journée ? »

«Oui, en effet. Et justement ça commence tout de suite »

« Ah bon ? Et qu’est-ce qui commence au juste ? »

« Eh bien, à partir de maintenant tu fais ce que je te dis de faire et tu n’as pas le droit de refuser ».

Cette nouvelle me laisse sans voix.

« Tu ne dis plus rien ? Tu ne veux pas ? Tu as peur ? »

« Non. Oui… Enfin, attends, je suis surprise. J’imagine tour ce que tu pourrais me demander de faire et… Et je me demande si je serais capable de la faire »

« Rassure-toi, je ne te demanderai rien qui pourrait te déplaire ou te faire subir des choses que tu ne voudrais pas. Non, juste des petits trucs comme de garder ta robe relevée pendant que nous roulons, et cela ne compte pas seulement pendant la période des tests que tu as commencé, mais ce sera pour toujours ».

« Ah, juste ça ? »

« Oui. Enfin, là c’est l’exemple qui me vient à l’esprit parce que c’est d’actualité mais ce peut être un peu plus ».

Après quelques minutes de réflexion, je trouve finalement cela très tentant en pensant que ça pourrait sans doute très vite devenir excitant.

« Tu ne vas pas me demander de me balader à poil dans les rues ou d’aller au resto dans ma combine (en faisant allusion à une combinaison résille noire complètement transparente que Damien m’a offerte et me demande de porter régulièrement le soir ou le week-end à la maison) avec juste un string en dessous ? »

« Non, rassure toi, et de toute façon tu ne l’as pas emmenée, il se peut que je te demande un peu d’exhibe ou de te laisser faire à certaines occasions, mais…

« Quoi me laisser faire ! À quelles occasions je te prie ? »

« Si je te le dis, tu n’auras plus la surprise. Et puis fais-moi confiance, après ce que tu viens de vivre dans le ciné je ne vois pas ce qui pourrait t’effrayer ».

Je dois bien reconnaître qu’il n’a pas tout à fait tort sur ce coup-là. Et puis si je ne lui fais pas confiance pour ce genre de chose ce n’est pas la peine que je reste avec lui et… C’est mon homme, je l’adore. Plus même, alors…

« OK, je t’écoute et je fais ce que tu me dis »

« Hum, je t’aime, ma chérie. Alors commence donc par me relever cette robe »

Je remonte donc le bas de ma robe jusque sur mon ventre, découvrant mon intimité. Enfin, ça semble simple et facile comme ça à décrire, mais en réalité je le fais tout de même avec un peu de fébrilité. Après quelques minutes, je m’aperçois que Damien avait raison, les conducteurs des voitures se trouvant à notre droite, de mon côté donc, ne semblait pas voir ma nudité. Aussi je prends confiance en moi et finis par me décontracter totalement. Je me libère tellement de mes appréhensions que je ne réagis même pas lorsqu’un gros bus touristique stoppe juste à ma hauteur. Ce n’est qu’une fois qu’il redémarre et nous dépasse que je comprends que de là où il se trouvait, le chauffeur devait avoir une vue merveilleuse de mon entrejambe. Lorsque je fais part de ma réflexion à Damien, celui-ci ne trouve rien d’autre à dire que :

« Tu devrais poser tes pieds sur le tableau de bord »

« Quoi ? Attends, c’est juste une suggestion ou ça fait partie du jeu ? »

« ça fait partie du jeu »

« Ah bon tu veux vraiment que je le fasse ?

« Absolument, oui »

« Très bien »

Je me cale un peu plus dans le fond du siège et replie mes jambes afin de passer mes pieds au-dessus du tableau de bord et les poser juste sous le pare-brise.

« Très bien, et écarte-moi bien ces jambes s’il te plaît, que l’on puisse bien voir ta fente ».

Je suis sidérée par cette remarque et la nouvelle attitude de Damien qui me met en vitrine. Sidérée, mais agréablement surprise de voir qu’il peut aussi facilement se prêter au jeu qui comme je l’imaginais, commence à devenir excitant.
Bientôt à côté de moi se place un véhicule utilitaire. En prenant mon courage à deux mains j’ose regarder le chauffeur. Celui-ci plonge déjà ses yeux sur mes cuisses et sur mon sexe totalement visible. Lorsque son regard rencontre le mien, je lui fais un petit sourire à la fois coquin et complice. Il baisse sa vitre et se penche légèrement.

« Je peux voir le haut aussi? »

Malheureusement, je n’ai pas le temps de réfléchir à sa demande que Damien démarre.

« Ah, le pauvre, je n’ai même pas eu le temps de lui répondre quoi que ce soit »

« Que t’a-t-il demandé ? »

« S’il pouvait voir aussi le haut »

« Eh, ce n’est pas une mauvaise idée »

« Ah non ! »

« Ah si ! Allez, petite chérie, déboutonne le haut de ta robe et montre lui les seins. Je vais essayer de faire en sorte qu’il nous rejoigne »

Une fois de plus j’obéis et défais tous les boutons de ma robe jusqu’à mon nombril et ouvre largement les deux pans du tissu qui recouvre ma poitrine. Mes seins sont maintenant à l’air libre, visibles de tous. Mes tétons pointent largement en avant et je sens mon sexe s’enflammer. Les efforts de Damien finissent par payer, revoilà la camionnette à mes côtés. Cette fois le chauffeur me gratifie de quelques sifflets d’admiration. Je le regarde et lui souris à nouveau. Il lève son pouce poing serré. Je lui mime alors un merci de ma bouche muette.

« Et si nous allions faire un peu d’autoroute, histoire de voir si les routiers sont aussi chauds que dans les récits de XFR ? »

« C’est toi qui décides, mon chéri, non ? »

« Absolument, tu as raison. Allez, direction l’autoroute! »

En quelques minutes, nous atteignons la voie rapide puis l’autoroute. Damien s’amuse à dépasser le plus lentement possible tous les camions que nous rencontrons. Ma position n’a pas changé, mon sexe est toujours exposé au grand jour tout comme mes seins. Pourtant, aucune réaction semble se produire, pas un coup de klaxon, pas un appel de phare, rien. Arrivant en vue du péage je retire mes pieds du pare-brise, suis glisse sous le tableau de bord et commence à reboutonner ma robe.

« Qu’est-ce que tu fais ? »

« Ben, on arrive au péage, je ne vais tout de même pas le passer comme ça la foufoune à l’air.

« Je t’ai dit que c’était moi qui te disais quoi faire où et quand ! Bon, c’est trop tard, mais garde tes seins à l’air »

Je garde donc mes pieds sur le plancher, mais laisse ma robe grande ouverte et fais mine de dormir en tournant ma tête à droite, car je ne veux pas croiser le regard du péagiste. La voiture s’immobilise devant la barrière. J’entends la vitre électrique se baisser et l’échange de bonjour entre Damien et le péagiste. J’imagine que l’homme a remarqué ma présence et surtout ma tenue, mais aucune remarque ne se fait entendre. Ce n’est qu’au redémarrage de la voiture que j’ose enfin ouvrir les yeux et là c’est l’horreur, tous les passagers d’un car de tourisme ont le regard sur moi, mes joues deviennent rouges. Heureusement cet instant ne dure que peu de temps, car nous quittons rapidement le péage.

« Bon, maintenant remets-toi comme tu étais et quoi qu’il se passe, sans nouvelles instructions de ma part, tu restes comme ça ».

Nous dépassons beaucoup de camions, bus, camionnettes mais aucune réaction ne se produit. Malgré tous les efforts de Damien qui se fait klaxonner parce qu’il roule comme une tortue sur la voie du milieu, ma tenue inconvenante ni ma position ne paraissent faire recette. Il semble bien que je ne vivrai pas l’une de ces belles aventures lues sur XFR.

« Bon, ma chérie, il faut réagir. Écarte bien les cuisses et caresse-toi. Ou plutôt non, masturbe-toi carrément »

Sa réflexion me stupéfait, mais au point où j’en suis je peux bien faire cela. Je replie donc ma jambe droite afin de poser mon genou contre la vitre de la portière et j’écarte mon autre jambe presque jusqu’à toucher le volant avec mon tibia. Mon sexe est grand ouvert et, l’excitation montante, mes lèvres intimes se gonflent et s’ouvrent légèrement. Je sens de la cyprine humidifier mon entrejambe. Je suis en position. Je pose ma main sur mon sexe et commence à me caresser. Rapidement, j’enfonce un doigt et trouve mon bouton d’amour pour le faire vibrer.
Je m’excite de plus en plus, un second doigt vient soutenir le premier et des frissons traversent à présent mon bas-ventre à chaque pression de mes doigts sur mon clitoris. Le plaisir m’envahit, doucement j’enfonce mes doigts dans mon vagin, encore et encore jusqu’à ce que ma main vienne se poser contre mes lèvres. Hum, je sens mon jus couler sur l’intérieur de mes cuisses, c’est bon, cela m’excite davantage et je commence un va-et-vient régulier en faisant ressortir totalement mes doigts avant chaque pénétration.

À l’extérieur toujours rien, aucune manifestation. Je suis sûre pourtant que je dois me faire remarquer, alors pourquoi ce silence, cette absence de tout signe qui me ferait comprendre que je suis observée ? L’action de mes doigts dans mon sexe et le plaisir qu’ils me procurent me portent jusqu’à l’extase finale, j’ai très envie d’avoir quelque chose de plus gros en moi, même l’arrivée en renfort d’un troisième doigt ne m’apaise pas, je me masturbe de plus en plus vite, j’enfonce mes doigts tout au fond de ma caverne. Damien se rend compte de l’état dans lequel je suis à cet instant, il m’encourage.

« Oui, c’est ça, chérie, vas-y, continue, enfonce-toi bien les doigts tout au fond ».

« Ah, j’aimerais tant avoir quelque chose de plus gros en moi, cela me ferait jouir plus vite ».

« Attends, je crois que j’ai une petite bouteille d’eau dans le vide-poche. Ah non, désolé ma chérie, j’ai dû la jeter »

Je suis déçue, déçue par ce faux espoir, déçue parce que personne ne semble me remarquer. Mon plaisir est grandissant, mais ma jouissance ne vient pas, je sens bien qu’elle est toute proche, mais un rien la retient. Soudain, je croise brièvement le regard d’un chauffeur routier qui écarquille ses yeux à les faire sortir de leur orbite.

« Damien, ralentis, j’ai enfin un admirateur ! »

Lentement nous nous laissons rejoindre par le camion. Je vois le pare-chocs dépasser ma vitre, je lève les yeux, la cabine arrive enfin à ma hauteur. Le chauffeur me gratifie immédiatement d’un grand sourire auquel je réponds tout de suite. Le conducteur perd de son attention, il surveille la route, mais ne manque rien du spectacle que je lui offre. Son regard sur mon intimité et mon indécente attitude me rendent folle, mes doigts s’agitent de plus belle, l’homme fait comprendre en passant sa main sur son torse qu’il souhaite me voir me caresser les seins. Sans hésiter une seconde mon autre main se pose sur ma poitrine, je me caresse, je pince un téton puis l’autre.
Mon regard ne le quitte plus, je ne peux pas le dévier. L’homme fait sortir sa langue de sa bouche et la fait trembler pour simuler un léchage que j’imagine chaud et savoureux. Tout mon corps se soulève soudainement, je me raidis, mes jambes se crispent, mon ventre se gonfle, ah, ça y est, oui, oui, oui… ! Ma main se colle contre ma fente emprisonnant mes doigts bien au fond de mon sexe qui semble vouloir exploser. Le plaisir que je ressens à cet instant est merveilleux, mes yeux se ferment, je reste ainsi, le corps tendu, avec aux premières loges mon sexe envahi de mes doigts.

Quelques secondes se passent. J’ouvre les yeux, le chauffeur est toujours là, il comprend ce qui vient de se passer et me fait un clin d’oeil accompagné d’un large sourire. Je retire mes doigts de ma chatte, ils sont trempés, je les porte à ma bouche et les suce l’un après l’autre tout en regardant mon observateur. Celui-ci me fait signe du pouce levé que le spectacle lui a plu. Je lui souris une nouvelle fois. Damien comprend lui aussi que j’ai pris mon pied et que la représentation est terminée.

« Aller, dit au revoir au Monsieur »

La voiture accélère, je plaque ma main contre ma vitre et fais un petit signe d’adieu au chauffeur routier qui, enfin, me salue de deux coups de klaxon. Je me remets de mes émotions.

« Alors, ma chérie ? Comment c’était ? »

« Waouh, pas mal du tout, je me suis laissé prendre au jeu et… Humm… Mais ce n’est pas tout à fait ce que j’avais imaginé »

« Que veux-tu dire ? »

« Eh bien par rapport à ce que nous avons pu lire sur le site il ne m’est rien arrivé de particulier, d’insolite, tu comprends ? »

« Ah oui, OK. Eh bien on va poursuivre la route encore un peu »

« Si tu veux »

Après plusieurs kilomètres, aucun autre évènement ne se produit. Déçu, tout comme moi, Damien décide de rebrousser chemin et ne pas perdre plus de temps, car il a bien d’autres projets pour cette fin de journée.

« Bon, allez on rentre. Il faudra un jour que l’on se fasse quelque chose sur une aire de repos, avec plein de routiers, qu’en penses-tu ? »

« Comme tu l’as dit tout à l’heure, c’est toi qui décides »

« Ah, tu y prends goût? »

Ma seule réponse est un joli sourire malicieux. Après avoir fait demi-tour à la sortie suivante, toujours sans aucune remarque d’ailleurs de la part du péagiste, c’est lorsque nous quittons l’autoroute que par malchance, nous tombons sur non pas un, mais une péagiste. Et celle-ci semble ne pas apprécier du tout ce qu’elle voit. Damien se fait insulter et gratifier d’un ‘’obsédé’’ de la part de cette femme qui m’afflige également d’un très joli, ‘’espèce de traînée’’.
Décidément, notre petite expérience d’exhibe sur autoroute n’est pas du tout à la hauteur de nos attentes.

Une prochaine fois peut-être…

À suivre…

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