J’ai testé XFR
Ma quatrième expérience : sex-shop suite !
Damien me fait passer devant lui, afin que j’entre la première. Je me retrouve devant un petit comptoir servant de caisse placé sur ma gauche. Devant moi, trois rangées de gondoles exposent une multitude de livres, revues et vidéocassettes. J’aperçois dans le fond un peu plus sombre des vitrines dans lesquelles il me semble y avoir des vêtements et sans doute quelques accessoires.
Au-dessus de la caisse, des affichettes mentionnent la présence de cabines de projection et d’une salle de spectacle. Cinq ou six photos d’illustration ne laissent aucun doute sur sa nature.
Un homme est en train de discuter avec le caissier, mais mon entrée coupe court à leur bavardage. Dans la boutique, un homme feuillette une revue et un autre détail les jaquettes des cassettes. Damien me pousse afin que j’avance entre les présentoirs. Je sens les regards d’abord fixés sur ma poitrine descendre entre mes jambes qui soulèvent ma jupe à chacun de mes pas. N’ayant pas de culotte, l’air que je sens caresser mon entrejambe me donne l’impression que mon sexe se dévoile à chaque pas. J’avais déjà ressenti cela tout à l’heure lorsque nous marchions dans la rue après avoir abandonné notre taxi.
Nous traversons toute la boutique pour nous arrêter devant les vitrines. Il y a des ensembles très sexy, je dirais même des plus osés. Mais cela n’a pas l’air d’intéresser Damien qui porte son regard sur les accessoires. Il me montre et commente des godemichés et autres vibromasseurs ? Je n’ai utilisé ce genre d’objet que très rarement, il y a bien longtemps, à l’âge où une femme découvre son corps et ce qu’il peut lui donner comme sensations.
L’homme qui examinait les vidéos s’est approché de nous discrètement, mais cela ne semble pas gêner Damien qui me demande sans baisser la voix si je souhaite acheter l’un de ces objets. Devant ma réponse négative il poursuit son observation.
« Tiens, et ça ? Tu n’aimerais pas essayer ? »
Il me désigne un coffret en bois, nacré noir et rouge, dans lequel sont posées deux magnifiques boules blanches.
« Des boules de geisha. Il paraît que cela fait un effet extraordinaire. Tu te souviens de l’histoire de cette fille à la tour Eiffel ? »
« Ah oui. Elle devait monter les escaliers avec les boules en elle ? »
« Oui »
« Tu veux essayer ? »
« Je ne sais pas trop. Et si cela ne me plait pas, si cela me gêne ? Et puis je ne sais même pas si elles peuvent réellement tenir à l’intérieur, il faut peut-être les mettre d’une certaine manière… »
« Tu veux que je demande ? »
« Non, tu es fou ! »
« Bah quoi, faut bien se renseigner avant d’acheter, non ? »
«Parce que tu veux m’acheter ça ? »
« Pourquoi pas ? Apparemment, c’est un très bon aphrodisiaque »
Devant mon hésitation grandissante, Damien prend l’initiative d’aller voir le caissier.
« Ne bouge pas »
Il fait un ou deux pas et se retourne.
« Ne bouge pas ! Quoi qu’il arrive, ne bouge pas ! »
Je reste donc cloué sur place. L’homme qui s’était rapproché en profite pour m’aborder.
« Il y a des jolies choses, n’est-ce pas ? »
« Oui c’est vrai »
L’homme s’approche encore, il me touche presque, je ne bouge pas.
« Vous allez voir le spectacle après ? »
« Le spectacle ? »
« Oui. Il est bientôt 21 heures et c’est le premier spectacle hard de la journée »
« Ah »
Je regarde si Damien se décide enfin à revenir car l’homme est à présent contre mon côté gauche, légèrement en arrière. Son bras passe dans mon dos pour poser la main sur ma hanche droite. Il me serre légèrement. Je vois Damien discuter avec le caissier, il tourne sa tête dans ma direction comme pour indiquer au caissier mon emplacement afin qu’il l’accompagne jusqu’à moi. Ouf, il a sûrement vu que l’homme m’a accostée et il va vite revenir. Mais… qu’est-ce qu’il fait ? Oh, eh ! Je suis là, regarde-moi, il y a un mec contre moi ! Si seulement Damien pouvait avoir le don de télépathie et entendre mes appels de détresse ! Je pense à ce qu’il m’a dit juste avant de me laisser en plan.
OK, je comprends, j’ai bien peur qu’il ne soit pas pressé de revenir. J’ai accepté de jouer ce petit jeu alors…
OK, je ne bouge pas ! Bien entendu, l’homme en profite, sa main caresse ma hanche. Tout en me parlant de je ne sais quoi, alors que je réponds inconsciemment par des banalités, il glisse sa main sur mes fesses. Il me caresse sans gêne, il a sans doute entendu l’instruction de Damien.
Sa main revient sur ma hanche mais sans s’y arrêter, l’entrée facile créée par la fente de ma jupe lui permet de s’immiscer en dessous. Mais il n’a pas le bras assez long, alors il se décale et se place dans mon dos. Sa main peut maintenant aller à sa guise dans les profondeurs de ma jupe. Elle effleure le devant de ma cuisse et se pose sur l’aine à la lisière de mon sexe. Je pense que c’est l’absence de lingerie qui surprenant l’exploratrice, et à l’origine de cet arrêt.
Mais celui-ci ne dure pas, la main s’aventure un peu plus et tombe inévitablement sur mon sexe nu. Ce contact me fait frissonner, mon bas-ventre se contracte et mes lèvres s’humidifient. Mes seins aussi réagissent aussitôt, mes pointes gonflent d’affolement et forment deux petites boules à travers mon bustier moulant. L’homme caresse délicatement mon sexe. Je sens que ce dernier mouille de plus en plus et j’ai peur de la réaction de cet inconnu.
Heureusement Damien revient, accompagné du caissier libéré de son client. Ils s’approchent, l’homme derrière moi retire sa main, m’embrasse dans le cou en réitérant son invitation au spectacle.
« Bonjour, Madame »
« Bonjour »
Cette caresse m’a laissée sans voix.
« Votre mari m’a dit que vous aviez quelques craintes à propos de l’utilisation des boules de geisha ? »
« Oui…heu…je n’en ai jamais mis, alors… »
« Il suffit de les mettre en place et après elles tiennent toutes seules et remplissent leur fonction »
« Oui justement ma femme se demandait s’il y a une façon particulière de les mettre ? »
« Eh bien, n’étant pas une femme je n’en ai jamais mis non plus mais je ne pense pas qu’il y a une façon particulière de les mettre, non ».
« Et la chaînette, il y a une chaînette je crois, elle ne risque pas de s’accrocher et de les arracher d’un coup ? »
« Je ne l’ai jamais entendu dire, mais attendez, Isabelle est arrivée depuis un moment pour le spectacle. Comme il ne commence que dans vingt minutes, je vais la chercher »
Le caissier nous abandonne. Damien m’interroge sur mon petit séjour en solitaire avec l’inconnu. Je lui décris brièvement les sensations que j’ai ressenties et pour répondre à sa question masquée, je lui avoue que je n’ai pas détesté. D’ailleurs je n’en reviens pas moi-même, moi qui n’ai jamais trompé mon mari, qui n’ai jamais laissé un homme le draguer, me voilà à me laisser tripoter par un inconnu. Et quand je repense à ce que j’ai vécu cet après-midi… Quelle femme suis-je en train de devenir ?
Le caissier réapparaît avec la fameuse Isabelle.
« Je vous laisse, elle a plus d’expérience que moi dans ce domaine »
« Merci ! »
J’explique à Isabelle mes craintes et mes peurs quant à l’utilisation de sex-toy. Très gentiment elle m’explique en détail les bienfaits de cet accessoire et annihile mes appréhensions. Je me sens donc bientôt totalement rassurée ou presque. Il reste un détail somme toute important :
« Et pour les mettre en place ? »
« Rien de plus simple. Si vous vous êtes déjà donné du plaisir toute seule ou si vous avez déjà utilisé un gode, vous y arriverez sans problème, croyez-moi ».
L’attitude d’Isabelle est surprenante. Ses effleurements au cours de ses explications, ses enlacements brefs mais sensuels, le ton de sa voix… Je commence à croire que je ne laisse pas indifférente. Tout comme moi, Damien a dû le remarquer car je l’entends dire, à ma grande stupéfaction :
« Je crois que ma femme n’est pas encore bien rassurée sur ce dernier point. Cela vous dérangerait de l’aider à les mettre ? »
Mais ma surprise n’est que partielle puisque Isabelle lui répond en se tournant vers moi :
« C’est tellement délicieux comme sensation que si cela peut vous convaincre de les acheter… »
«Oui je crois savoir que c’est plutôt extraordinaire comme sensation »
« Eh bien alors, chérie, puisque Isabelle semble d’accord, il faut en profiter »
J’ai bien compris le message, mais jamais, au grand jamais, je me suis laissé toucher par une femme. Bizarrement, cette perspective m’effraye davantage qu’une aventure avec un ou même plusieurs hommes. Je dis « bizarrement » parce que j’imagine qu’une relation avec une femme doit être bien plus douce qu’avec un homme, ce qui ne devrait pas m’affoler.
J’acquiesce timidement de la tête. Après avoir été chercher les clefs de la vitrine, Isabelle en sort une boîte similaire mais emballée, et nous demande de la suivre. Nous nous retrouvons dans une petite pièce qui visiblement lui sert de loge. Elle ouvre une petite porte à travers laquelle j’aperçois une salle ronde aux murs couverts de miroirs avec en son centre une barre verticale. Au sol, une très épaisse moquette est recouverte de tapis en poils qui paraissent très doux et soyeux. Elle en rapporte deux et quelques coussins qu’elle dispose au sol. Elle m’invite à me coucher, ce que je fais fébrilement en restant cependant appuyée sur mes avant-bras.
Elle déballe la boîte, l’ouvre et en extrait deux boules reliées par une chaînette. Tout d’abord elle me fait les touchers pour que je me rende bien compte de leur texture. Elles sont délicieusement douces, sans aucune aspérité. En les faisant rouler dans ma main je sens qu’il y a quelque chose à l’intérieur. Isabelle m’explique que dans chaque boule une petite bille fixée sur une languette de plastique semi-rigide. Lorsque les boules bougent et s’entrechoquent, la languette tremble et la petite bille fixée à son extrémité crée alors des vibrations en tapotant la paroi de la boule. Effet garanti, selon elle.
Isabelle s’agenouille devant moi et, très doucement, m’écarte les jambes. Lorsqu’elle constate ma nudité, elle m’adresse un sourire très coquin, plein de malice et d’envie. Elle remonte la pointe de ma jupe sur mon ventre et s’installe tout près de mes fesses. Tout en se penchant doucement au-dessus de mon sexe grand ouvert, elle me caresse l’intérieur des cuisses. J’ai terriblement honte de m’exhiber ainsi devant une femme, surtout en songeant au but pour lequel je le fais. Cependant ces caresses me donnent des frissons. Puis elle semble hésiter. Damien s’étonne.
« Il y a un problème ? »
« Oui. Enfin non ! Mais… »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Eh bien, il est préférable, pour mettre en place ce genre de choses que… Je veux dire que votre femme ne semble pas assez excitée »
« Et vous pouvez faire quelque chose pour cela ? »
« Heu… Oui, je pense. Enfin, si elle veut bien naturellement »
« Muriel ? »
Que veut-il donc que je lui réponde, il sait bien que j’accepte de faire ce qu’il veut alors, qu’espère-t-il donc comme réponse ?
Regardant Isabelle dans les yeux, je fais entendre ma réponse.
« Dès l’instant que c’est agréable… »
« Crois-moi, ça va l’être »
Ses mains se posent sur mes genoux et glissent le long de mes cuisses. Sa tête descend elle aussi entre mes cuisses au même rythme, comme si elle était attirée par ces mains baladeuses. Bientôt je sens son souffle chaud sur ma toison réduite au minimum. Ses mains sont à présent de part et d’autre de mon sexe, seuls un ou deux doigts osent caresser ma fente. Je ferme les yeux. Délicatement ils se glissent entre mes lèvres pour les séparer l’une de l’autre. L’entrée de ma grotte d’amour s’ouvre. Deux autres doigts viennent en renfort et tous s’enfoncent alors un peu à l’intérieur, non pas pour visite mon antre mais plutôt pour en écarter davantage les parois. Le but de la manœuvre semble bien l’introduction des boules. Je ne mouille encore que très peu et j’ai peur d’avoir mal.
Mais ce ne sont pas les boules qui se présentent contre mon intimité, c’est la langue d’Isabelle ! Ma surprise est aussi grande que le plaisir qui électrise mon corps aussitôt. Je gémis sans pouvoir me retenir tant ce contact est inattendu. Mais la coquine n’en reste pas là. Du bout de sa langue, Isabelle lèche l’intérieur de mes lèvres intimes. Une vague de chaleur m’envahit. Sa langue devient maintenant plus présente, elle s’impose de toute sa largeur sur mon sexe offert. Elle vient piquer mon clitoris, ce qui me fait prendre conscience qu’il est beaucoup plus dilaté que je croyais. Les piqûres s’enchaînent, devenant de plus en plus appuyées.
La langue s’écrase à présent complètement sur mon bouton d’or et la peur qui me retenait jusqu’à présent s’efface au profit d’un plaisir grandissant à toute vitesse. Je sens que mon ventre devient chaud, à l’intérieur je sens monter la source qui ne va pas tarder à arroser cette langue qui me rend folle.
Oh oui ! Isabelle enfonce sa langue dans mon sexe, elle l’enfonce encore et encore jusqu’à ce que sa bouche se pose sur mes lèvres toujours maintenues largement ouvertes. Très fortement collée à mon sexe, Isabelle fait danser sa langue au plus profond de moi. Jamais je n’aurais imaginé que quelqu’un puisse me procurer un tel ravissement. C’est tout simplement divin.
Puis elle se retire très lentement. Je sens qu’un flot de cyprine va sortir de ma grotte. Je ne suis pourtant pas une femme fontaine mais j’ai l’impression que mon jus d’amour va littéralement jaillir d’entre mes cuisses. La langue d’Isabelle n’est qu’à moitié sortie lorsque je me sens couler abondamment, Isabelle gémit à plusieurs reprises, elle semble prendre un grand plaisir à recevoir ce breuvage sur la langue. Elle doit effectivement adorer ça parce qu’elle me lèche tout le sexe à grands coups de langue avant de s’enfoncer une nouvelle fois entre mes cuisses. C’est bon, divinement bon, je voudrais qu’elle continue comme cela pendant des heures.
Mais elle retire sa langue et je sens soudain une fraîcheur se poser à l’entrée de mon sexe. Je comprends qu’Isabelle vient de mettre entre mes lèvres une des boules de geisha. Elle pousse doucement, mes lèvres s’écartent davantage, la boule pénètre doucement, ça y est, elle est entrée. Aussitôt je sens la seconde se présenter. Elle glisse rejoindre sa sœur jumelle à l’intérieur de mon ventre. Les doigts qui jusqu’à présent s’étaient contentés de tenir mon sexe grand ouvert s’introduisent eux aussi à présent. Lorsqu’ils touchent les boules, je ressens immédiatement les vibrations dont parlait Isabelle tout à l’heure. Elles se répercutent aussitôt dans tout mon ventre et envahissent mon corps tout entier.
J’entends la porte s’ouvrir.
« Eh, faites un peu moins de bruit, on vous entend du magasin. Et puis, Isabelle, les clients attendent, le spectacle aurait dû commencer depuis cinq minutes alors va te… Mais dites, vous les voulez ces boules de geisha, ou non ? »
Damien répond :
« Je crois bien que oui et puis de toute façon, maintenant que nous les avons déballées… Pourquoi ? »
«C’est bien joli ce que je vois là. Alors si vous voulez, votre femme fait le spectacle avec Isabelle et je vous les offre ».
Je crois rêver. Malgré mon état second j’ai bien entendu que ce mec me propose de m’exhiber avec cette fille devant je ne sais combien de mecs.
Quoi ? Alors là, c’est sûr, je rêve : Damien vient de dire oui !
« OK. Isabelle, enlève lui les boules pour que tu les lui enfiles dans la salle. Allez, vite, tout le monde s’impatiente »
Isabelle tire sèchement sur la chaînette et retire les boules de geisha de mon sexe. Les sentir sortir rapidement de ma chatte me procure une forte contraction dans les reins, et je ne peux retenir un cri de contentement.
« Allez, viens vite »
Sans réfléchir ni réaliser ce que je m’apprête à faire, je la suis dans la salle ronde. Isabelle m’installe sur le sol, allongée sur le dos, et me dit doucement d’écarter lentement les jambes. Je m’exécute. Pendant ce temps elle commence un strip-tease qui ne dure pas très longtemps du fait qu’elle ne porte presque rien sur elle. Je regarde discrètement autour de moi, consciente que je suis au milieu d’un spectacle qui, même si les clients n’en attendent pas une qualité hollywoodienne, doit leur donner pour leur argent. Je ne peux qu’imaginer les hommes en train de nous mater, sûrement le sexe à la main, car les miroirs ne me laissent rien voir. Je comprends que nous sommes sur un plateau et que celui-ci tourne pour que chacun puisse admirer le spectacle. Isabelle a terminé son strip-tease, elle s’agenouille à côté de moi et commence à me caresser.
Doucement elle s’empare des lacets de mon bustier. Celui-ci s’ouvre au fur et à mesure qu’elle tire sur les petites ficelles noires. Mes seins sont à présent totalement dévoilés. Elle se penche et les embrasse. De ses lèvres elle capture mes tétons, l’un après l’autre, et les suce, les tire. Je la laisse faire, je suis tellement excitée qu’elle pourrait bien me faire n’importe quoi sans que je proteste. Sa main vient se poser sur mon sexe largement offert aux yeux de tous. Elle introduit un doigt, puis deux. Je retrouve mes sensations et mon excitation. Un troisième doigt vient rejoindre les autres et, comme s’il venait d’en donner l’ordre, tous se mettent à me pistonner d’un lent va-et-vient. Le mouvement s’accélère presque aussitôt, il est vrai que, dans l’état où je suis, elle peut se le permettre. Avec le rythme c’est aussi l’ampleur du mouvement qui s’intensifie. Isabelle m’enfonce ses doigts très profondément avant de les ressortir complètement, je ne sais pas comment elle fait pour ne pas me griffer de ses ongles à chaque fois mais elle les introduit d’un seul coup tout au fond jusqu’à ce que sa main s’écrase contre mes fesses.
Elle accélère encore, cette fois je sens vraiment que je vais jouir, tant pis pour le spectacle mais je ne peux pas me retenir plus longtemps. Je crie ma jouissance qui me comble de plaisir. Isabelle retire ses doigts, ma jouissance n’est pourtant pas terminée et cela me fait drôle de ne plus rien sentir en moi. Elle se relève, me contourne, m’enjambe, je vois son sexe pour la première fois, elle s’accroupit…
Oh non, non, elle ne va pas faire ça ?
Elle s’assoit sur ma poitrine et se penche en avant au-dessus de mon sexe. Curieusement, je ne sens pas trop son poids. Sa langue se pose à nouveau sur mon sexe et aussitôt me pénètre. Je reprends du plaisir, tout mon corps est surexcité. Deux doigts s’enfoncent en même temps que sa langue, c’est incroyable, je sens une nouvelle vague de délices monter en moi, elle arrive vite, très vite, je jouis encore et si vite, c’est fantastique ! Isabelle ne s’arrête pas, elle est dans son show et il faut faire durer le plaisir de ces messieurs.
Je ne me plains pas, bien au contraire, ma jouissance se prolonge et j’adore ça. Après quelques minutes ou peut-être seulement quelques secondes, je ne sais pas, elle s’arrête et se penche sur le côté avant de se coucher à nouveau sur mon sexe. Durant ce petit intermède j’ai ouvert les yeux que j’avais fermés presque dès le début. En gros plan, ses fesses. Un reste de ce plaisir si intense me donne envie de la lécher. Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle. Envie de lécher les fesses d’une femme, mais quel genre de femme suis-je en train de devenir ?
Soudain elle enfonce trois doigts dans ma chatte d’un coup, comme ça, sans prévenir. Je suis surprise mais si agréablement que ma seule réaction est de gémir fortement et d’écarter encore plus les jambes. Moi qui croyais être ouverte au maximum !
Comme avec sa langue tout à l’heure, ce sont ses doigts qui dansent à présent au fond de mon sexe ? Ça aussi c’est divin. Elle frotte son sexe contre mon corps et je me rends compte qu’elle mouille beaucoup et que ma poitrine est inondée de son jus. Du coup, elle peut se frotter à moi sans que cela me fasse le moindre mal. Au contraire, elle frotte sa fente contre mes tétons et cela me rend folle car je suis très sensible à cet endroit. J’ouvre les yeux pour constater la taille impressionnante de mes bouts de seins, il me semble ne jamais les avoir vus ainsi.
Lorsque Isabelle se soulève un peu, j’aperçois son sexe tout humide et là, je ne sais pas pourquoi, est-ce que j’assimile cette cyprine débordante de son sexe au sperme jaillissant de la queue d’un homme ? Toujours est-il que j’ai très envie de lui lécher le sexe et de goûter à son jus. Mais ma moralité me retient, je ne bouge pas. Isabelle attrape mes mains et les pose sur ses hanches, sans doute pour me faire comprendre que je dois moi aussi participer au spectacle en la caressant.
Mes mains se baladent donc sur son dos, ses hanches et ses cuisses. Les doigts qui me fouillaient viennent de se retirer brusquement. Isabelle m’écarte les lèvres et je sens une boule se poser sur mon sexe. Je n’ai pas le temps de réaliser ce qu’elle s’apprête à faire qu’elle le fait déjà. Tout en poussant la première boule, elle pose la seconde à côté et enfonce les deux ensemble. Mes lèvres s’écartent largement, j’ai l’impression que je vais me déchirer.
D’un coup, elles me pénètrent et s’enfoncent tout au fond de moi. Sans m’en rendre compte, sous le plaisir ressenti, mes mains ont enserré la taille d’Isabelle qui s’est soulevée. J’ouvre les yeux. Son sexe est juste au-dessus de mon visage, je vois ses lèvres intimes écartées, je reçois les effluves de son odeur intime. Ce n’est pas désagréable.
Isabelle enfonce deux doigts dans mon sexe pour jouer avec les boules de geisha. Les vibrations de ces dernières se répandent une nouvelle fois dans tout mon corps. L’aperçu auquel j’ai eu droit tout à l’heure se prolonge cette fois pour mon plus grand plaisir. Les sensations provoquées par les boules et les doigts d’Isabelle s’accentuent. Tout mon corps se crispe, se cambre, mes muscles se tendent, l’étau de mes mains se resserre sur Isabelle. Je vais jouir une nouvelle fois, j’ouvre les yeux, la chatte de ma partenaire est là, juste devant moi, à quelques centimètres de ma bouche, des gouttes de cyprine coulent sur ma joue et à la commissure de mes lèvres. Je les goûte de ma langue, je ne sens presque rien, dommage, j’ai envie de savoir quel goût cette fille peut avoir. Non, je suis folle !
Encore une série de vibrations qui traversent mon corps, je vais me lâcher et hurler cette fois tant mon plaisir est grand. Décidément cette fille est douée, elle est… Elle est là, allez, c’est elle qui te fait jouir, Muriel ! Je ne peux plus me retenir, mes bras forcent sur la taille d’Isabelle, je l’attire en arrière, son sexe descend vers ma bouche que j’ouvre. Dès le premier contact, ma langue lèche sa fente et enfin je sens son goût. Comme c’est bon, doux, onctueux, bien meilleur que le sperme que j’adore pourtant ! Je pousse ma langue entre ses lèvres et l’enfonce dans sa chatte. Je reçois une grosse quantité de cyprine sur les lèvres , le nez, elle coule le long de mes joues.
Isabelle semble apprécier puisque je l’entends gémir, cela m’excite encore plus et lorsqu’elle déplace une nouvelle fois les boules de geisha, j’explose littéralement de ravissement, de jouissance, de… Je ne sais pas, il n’y a pas de mots pour exprimer ce que je ressens à cet instant tant c’est fort.
Ma délicieuse partenaire semble se vider littéralement sur moi, je reçois une énorme quantité de son jus dans ma bouche, j’ai l’impression qu’elle éjacule comme un homme, c’est incroyable, ma bouche se remplit de ce breuvage si délicieux que je n’hésite même pas à le boire tout entier, c’est une véritable gourmandise. Je pense que c’est sa façon à elle de jouir mais je continue à fouiller l’intérieur de sa grotte avec ma langue.
Plus tard, Isabelle retire mes boules de geisha et s’échappe de ma bouche.
« Eh bien, ma belle, quel cuni ! Merci ! »
« Ah bon ? C’était réussi ? »
«Plutôt, oui ! On ne m’a pas fait jouir comme ça depuis longtemps. Allez, lève-toi, le spectacle est terminé »
«Et les clients ? »
« C’est bon ! Tu vois la lampe rouge là-bas, ça veut dire que leur temps de voyeurisme est terminé ».
Isabelle passe devant moi et sort la première de la salle.
« Eh bien dis-moi, tu as une femme, mon pote, c’est une vraie langue de velours ! »
«Ah bon ? Je trouvais déjà qu’elle suçait à merveille »
« Elle est douée de la bouche, un point c’est tout. Tiens voilà les boules. Elle les a bien gagnées, je peux te le dire »
Je sors à mon tour de la salle et je les rejoins. Damien me félicite et m’embrasse, le goût d’Isabelle ne semble pas le gêner. Soudain, la porte s’ouvre.
« Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu des clients aussi enchantés par le spectacle ».
« C’est une pro du cuni, cette fille-là »
« Hé hé ! Vous ne voulez pas faire quelques petites prestations pour moi, même seulement de temps en temps ? »
« Heu… » en regardant Damien qui répondit au caissier et propriétaire du sex-shop :
« Voilà, nous ne sommes pas parisiens, ni de l’île de France, nous sommes des Vosgiens, et Muriel est ici pour une formation d’un mois qui débute lundi matin. Pour moi, il n’y a aucun problème si Muriel est d’accord de venir faire quelques prestations pendant cette période. Par contre moi je retourne demain en fin d’après midi au domicile et Muriel devra si elle accepte de pouvoir se déplacer de son studio jusqu’ici ».
«Muriel, que décides-tu ? »
« Oh oui Damien, cela me convient très bien »
Les deux femmes n’avaient même pas pris la peine de s’habiller participait à la conversation quand Isabelle demanda ou Muriel loge :
«Je loge dans un studio loué par la société pour laquelle je fais une formation Rue…. Dans le 11e »
« Oh, Muriel, quel hasard je n’habite pas loin, je suis à environ 500 mètres de ta rue, nous pourrions faire la route ensemble pour venir ici, qu’en penses-tu ? »
« Oh oui, au moins je ne suis pas seule et je me sentirais rassurée car seule dans le métro tard dans la nuit c’est risqué ».
Alors Isabelle se rapprocha de moi, m’enlaça et ses lèvres se posèrent sur les miennes sa langue chercha la mienne, la trouva, et elles s’emmêlèrent. Elle m’embrassa langoureusement pendant de longues minutes pendant que nos mains libres se logeaient entre nos cuisses caressant nos sexes, ce qui déclencha un nouvel orgasme.
Isabelle me proposa alors de prendre une douche. J’accepte et en m’accompagnant elle me dit :
« Muriel chérie, je crois bien que je suis tombée amoureuse de toi, que dirais-tu de vivre ensemble pendant ce mois ? »
« Isabelle ! C’est avec un grand plaisir que j’accepte ta proposition, mais dis-moi, es-tu bi ou uniquement lesbienne ? »
« Je suis bi ma chérie, mais actuellement je vis seule dans mon appartement »
« Isabelle, pendant que je prends ma douche, j’aimerais que tu ailles sucer mon mari, si toutefois tu es d’accord ».
Elle me donna un baiser rapide sur la bouche et rejoignit le boss et Damien qui était en train de discuter et de boire un verre, tandis que moi j’ai pris la douche.
Une fois tout propre et habillée, je rejoins Damien qui était en train de se faire sucer sa grosse bite par Isabelle qui une main tenant la queue et de l’autre se masturbant. Je me joignis à eux et cette double fellation provoqua l’éjaculation simultanément dans nos deux bouches.
Isabelle et moi nous relevons et tout en gardant le sperme de Damien en bouche nous nous sommes réembrasser longuement.
Puis nous nous sommes dirigés vers la sortie en disant au revoir au patron, il était 21 h 55.
« Alors ? Voilà, on rentre maintenant ? »
« Ah non, ma chérie, maintenant nous allons en boîte »
« En boîte ? »
« En club plus précisément… »
À suivre…
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