Merci à Tibo pour le partage 🙂
Je m’appelle Lucas j’ai 17 ans, brun, yeux noirs, je suis gay, depuis 6 mois j’éjacule, et au camping cet été j’ai eu la confirmation de mon homosexualité et c’est là que ma rosette a été perforée et pas qu’une fois.
Arrivé au camping avec mes parents et ma sœur je ne pus m’empêcher de sourire en voyant tous ces hommes en maillot de bain. Voir toutes ces bosses me fit rêver, mais je me disais qu’il ne fallait pas trop rêver car tous ces hommes étaient mariés en vacances avec leur famille et amis.
Après s’être installé dans le bungalow et moi dans ma tente je partis faire un tour à la piscine pour me rafraîchir et me sortir de la tête toute ces queues que j’imaginais. J’ai mis mon slip de bain noir et rouge araignée, Pendant que je nageais je matais un peu autour de la piscine, une main frôla ma jambe, ou plutôt la caressa, puis une main plongea dans mon slip et tripota mon sexe,
Cette sensation était agréable et je m’arrêtais au bord de la piscine pour voir qui m’avait caressé. Je n’eus pas à chercher longtemps, un homme nageait vers moi me fît un clin d’œil et sortit de la piscine.
Je ne le lâchais pas des yeux et le vis se diriger vers les toilettes. Malgré mon manque d’expérience je savais ce que ce clin d’œil voulait dire. Je sortis de l’eau et me dirigeais également vers les toilettes. Il m’attendait devant une cabine et y rentra. Je m’approchais de celle-ci et baissais les yeux instinctivement sur sa bosse. Celle-ci était bien grosse dans son slip.
Il me vit le mater et dit :
– Je savais que tu viendrais, je t’ai grillé direct toi…
– Comment ça ?
– Je t’ai croisé sur le chemin de la piscine, tu matais tous les slips.
Je ne savais pas quoi dire car je ne pensais pas que quelqu’un le verrait. Je me dis alors qu’il ne devait pas être le seul à l’avoir vu, mais je ne savais pas quoi penser de ça.
J’entrai dans les toilettes, il me prit contre lui pour pouvoir fermer la porte. Je pouvais sentir sa bosse grossir, et ferma la porte sa main descendit sur mon slip et il se mis à frotter ma queue à travers mon slip.
– Alors tu as quel âge petit voyeur, ton prénom ?
– Lucas 12 ans
– Humm très beau mignon belle petite voix aiguë, imberbe et je pense que le pubis aussi
– Hein ?
– T’as des poils ou pas autour de ta petite bite ?
– Non.
– Humm et tu aimes quand je te frotte ta queue comme cela ?
– Oui.
Il se mit à me caresser partout.
– Toi tu veux apprendre le sexe et moi j’ai envie de me taper un puceau, je vais te dire quoi faire tu vas devenir un vrai petit pro du sexe, pour commencer tu vas me baisser mon slip.
Je baissai son slip pour faire sortir une belle queue aux couilles poilues et avec un gland très imposant.
– Vas-y lèche le et branle moi aussi…
Je commençai à le lécher quelques secondes et à le branler.
– Prends-le en bouche et passe ta langue sur mon gland.
Je le pris en bouche, je m’appliquais sur son gros gland à bien passer ma langue dessus.
– T’es un sacré bon suceur !
Je suçais un inconnu dans les toilettes de la piscine d’un camping, pendant que les gens rentraient et sortaient. Cette situation risquée était très excitante. Je m’appliquais pour ne pas faire de bruit, et alors que nous étions plus que deux, il me releva me tourna et m’enleva mon slip. J’étais les mains sur la cuvette cul tendu vers cet homme.
– Tu aimerais que je te baise ?
Il me caressait et me malaxait les fesses en demandant cela.
– Oui Monsieur
Il cracha sur mon petit trou et y inséra un premier doigt. Il joua quelque seconde, puis approcha sa queue de mon trou. Il fît mine de la rentrer en frottant son énorme gland sur mon anneau.
– Prêt beau gosse pour la découverte du sexe et ta première sodomie, je vais te transpercer ta rondelle. Tu la veux ?
– Oui allez-y
Il recracha sur mes fesses, étala sa salive, m’attrapa par les hanches et rentra sa queue doucement. Son gland me fît un peu mal. Mon cœur bat à 100 à l’heure, quand je reçois une claque sur les fesses, et il continue doucement à rentrer son gland dans mes fesses, j’ai les larmes aux yeux, il commence à pousser petit à petit. Son gland passe sans trop de difficultés, son pieu passe en revanche plus difficilement, mais il arrive au fond.
– Humm, ton cul est divin ! Je vais bien le baiser.
Bien accroché à mes hanches, il commença ses va-et-vient délicieux. Après quelque minute de ce régime, il me mit un coup de rein si violent que je poussai un cri style aaaaaaiiiiiiiieeeee.
– Chut tais toi tu vas rameuter tout le camping.
Je ne dis rien, serrai les dents, j’avais les larmes aux yeux tellement la douleur était forte, il se cala au fond de mes fesses et ne bougea plus.
– File-moi ton slip !
Je me baissai pour attraper le slip à mes pieds et lui donnai. Tout en restant au fond de moi, il mit mon slip en boule dans ma bouche.
– Comme cela on ne t’entendra pas…
Sur ces paroles il me baisa. J’étais les mains contre le mur me faisant baiser, jambes écartées, cul légèrement cambré avec mon slip dans la bouche, A chaque fois que quelqu’un rentrait dans les toilettes il s’arrêtait et me caressait le dos, les fesses, les jambes et dès que la personne sortait il s’agrippait à mes hanches pour me défoncer. Je sentais son gland écarter mon cul.
– Je ne vais pas tarder à éjaculer.
Entendant ça je répondis à ses coups de rein en venant à sa rencontre. Après quelques va-et-vient, il sortit sa queue et je sentis son sperme gicler sur mon dos et couler le long de ma colonne pour s’arrêter sur mes hanches cambrées.
Il me retira le slip et me fît lécher ses doigts pleins de sperme.
Il me retourna face à lui et me roula une pelle géniale.
– J’y vais, merci pour ton cul (en souriant).
– De rien ça a été rapide…
– T’inquiète petit cul, je ne suis pas le seul à avoir vu que tu matais.
– Et il partit, me laissant sur la cuvette des toilettes, slip de bain au sol, le cul ouvert et le dos couvert de son sperme.
Je sortis quelques minutes après lui, les yeux baissés et me dirigeai vers la douche de la piscine pour me rincer et je retournai vers mon bungalow.
Ma mère était sur la terrasse.
– Alors Lulu cette piscine ? L’eau est bonne ?
– Oui elle est super bonne.
– Bon on y va ! tu y retournes ?
– Euh non pas tout de suite, je vais écouter de la musique dans ma tente !
– OK ! Si tu vas faire un tour, on dîne à 20h.
Je m’installai dans ma tente, la fermai, enlevai mon slip et commençai à me doigter en pensant à ce qui venait de m’arriver, j’ai aimé et j’aimerais retenter l’expérience.
Cela faisait à peine 10 minutes que je me faisais du bien sur le dos, les yeux fermés, que j’entendis quelqu’un s’approcher.
– Petit pédé, je t’ai vu à la piscine rester 30 minutes ! rejoins-moi au bungalow avec les serviettes PSG, MARSEILLE sur le balcon près des toilettes.
Et il repartit. J’étais tétanisé par la situation. Je n’espérais qu’une chose, que ma famille n’ait pas vu cet homme près de ma tente.
Je laissai passer quelques minutes et sortis. J’avais trop envie d’une autre queue pour laisser passer cette opportunité, et me dirigeai vers les toilettes. J’aperçus le fameux bungalow avec les serviettes et m’en approchai. La porte était ouverte.
– Bonjour, y a quelqu’un ?
– Entre et ferme derrière toi (voix de l’intérieur du bungalow) …
C’est mon rêve ce genre de situation.
je crois que c’est le rève de beaucoup de petits garçons ils sont impatients de découvrir les corps d’adulte
et en plus c’est très bien écrit ça semble ètre du vécu par l’auteur peut ètre une aventure qu il eu étant petit garçon