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Les vacances au camping spéciales pour Lucas – chapitre 5

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Le lendemain de la nuit de folie passée avec ces cinq hommes, je ne peux m’empêcher de penser fortement à l’un d’entre eux en particulier : Philippe, l’homme à la queue énorme qui m’ouvrit toute la nuit, une sensation que je voulais de nouveau ressentir, je voulais être à lui.

Toute cette journée j’espérais le croiser et peut-être qu’il m’aborderait me disais-je, mais rien ne se passa, pas de rencontre, mais une soirée plus reposante que la veille qui me fit le plus grand bien à vrai dire.

Le lendemain je me décida à aller voir du côté du bungalow de mes nouveaux amis, en espérant y trouver Philippe. A cet instant je ne voulais que lui, rien d’autre ne me donnais envie, et après 3 passages devant le bungalow à chercher Philippe, Michel qui venait de sortir me fit un sourire et me fit signe d’approcher.

Je m’approchai donc, et voyant que j’arrivais, il rentra dans le bungalow, je me dis alors que le tête-à-tête serait pour une autre fois, que ce n’était pas grave. Je rentrais donc dans le bungalow plus serein que la première fois, Michel debout était seul.

Michel : Salut petit ! Comment va depuis avant-hier ?

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Moi : Ça va merci

Michel : Pas trop mal au cul ?

Moi en rigolant : Un peu de mal à m’asseoir.

Il rigole : Bon tu cherches quelqu’un je me trompe ?

Moi rougissant : Euh non ! Enfin oui je cherche Philippe

Michel : Ah ! Ce bon vieux Philippe ! On était sûr que tu passerais pour lui ! Il en a du bol le salaud ! Il est à la plage avec les autres, je vais les rejoindre, tu veux venir ?

Moi déçu : Euh non merci, ce n’est pas grave !

Michel m’attrapant le visage : Bah fait pas cette tête ! Je vais lui dire que tu es passé ! Sois ici à 16h00, OK ?

Moi souriant : Oui merci !

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Michel : Allez, file avant que je te saute dessus !

Moi ne réfléchissant plus : La prochaine fois

Ce n’est qu’en partant et en marchant vers la piscine que je me suis rendu compte que je venais de donner une invitation à Michel sans m’en rendre compte, juste sous le coup de l’excitation et quelles vacances, me dis-je.

Je passai donc l’après-midi à la piscine à bronzer et à languir en attendant 16h00, et je me pointai comme convenu où m’attendait Philippe souriant juste habiller d’un short à travers duquel j’imaginais très bien sa queue. Le voir m’émoustilla, et je ne quittai pas ses yeux, je m’amusais à provoquer ce mâle viril, moi le petit minet.

Philippe : Alors comme ça on me cherche ?

Moi : Oui

Philippe : Et qu’est-ce que tu veux ?

Moi : Euh toi !

Philippe me regarde fortement : Mieux que ça !

Moi (parlant pas trop fort) : Je veux ta queue !

Philippe : Tu veux ma queue à tout prix, toi ! Bien, allez suis moi !

Moi qui avais pris mes marques dans ce bungalow (bon je n’avais pas pris que mes marques c’est vrai), on s’en éloigna, sans un mot, jusqu’à arriver, après 5 min de marche qui me parurent une éternité, à une caravane devant laquelle était assis un homme d’au moins 70 ans qui se sirotait son petit alcool.

On s’arrêta à quelques mètres.

– Philippe : Comme je ne peux pas monopoliser le bungalow, et que je veux te baiser pendant un moment, il y a la caravane de mon vieil ami qui est là !

– Moi impatient : Oui oui

– Philippe : Seulement il faut que tu acceptes qu’il regarde

– Moi trop excité : OK

Nous nous approchons donc de cet homme. Philippe et lui se saluent et je sens son regard pesant se poser sur moi. A ce moment je me demande ce que je fais là, je baisse le regard, vois la bosse de Philippe et m’en rappelle immédiatement. Philippe m’ouvre, me pousse pour me faire rentrer et referme derrière moi. La caravane est bien rangée, propre, mais surtout agencée pour la baise. En effet ce petit cochon avait installé un fauteuil en direction des 3 banquettes qui faisaient offices de lit, et un petit projecteur éclairait tout ça.

Philippe me rejoint dans la foulée : Tu plais beaucoup à Roger, il m’a demandé si ça ne te dérangerait pas de lui faire une petite gâterie ?

Moi attendris par cette demande : Non, bien au contraire !

Philippe se rapprochant de moi me faisant reculer vers les banquettes : J’en étais sûr ! Et sur cette parole je bascule sur la banquette pour me retrouver assis les yeux bien en face de sa bosse. Il mit sa main dans son short et joua avec sa queue.

– Philippe : Tu sais ce que tu veux toi, hein ?

Je ne répondis rien, approchai ma tête de sa bosse et l’embrassai à travers son short, la léchai. Je sentis alors que la pression montait, je décidai donc de poser mes mains sur sa taille et fit descendre lentement son short, ce qui fit sortir l’arme de son fourreau. Elle était vraiment magnifique, je ne pus m’empêcher de sourire à la vue de celle-ci, et je l’imaginais déjà au fond de moi, moi tout à lui.

Je relève le regard, et attends son approbation pour m’occuper de lui.

– Philippe posant ses mains sur ma tête : Vas-y, elle est toute à toi, mon beau !

J’attrape sa queue à 2 mains (il fallait bien ça) et avant de l’avaler, je la léchai sur toute sa longueur, jusqu’aux couilles, chose qu’il apprécia au vu des sons qu’il émettait. Comme la soirée précédente je ne pus avaler plus loin que son gland, ma bouche étant trop petite pour une si grosse queue, mais je m’appliquai tout de même à ce que chaque cm2 soit léché, goûté par ma langue et mes lèvres. Pendant que je suçais Philippe, Roger s’était installé sur son fauteuil et ne loupait rien du spectacle.

Philippe sortit de mon emprise pour enlever son short. Il me fit allonger sur le dos de telle sorte que j’aie le cul sur le bord, il se plaça pour que Roger puisse voir, il releva mes jambes et m’enleva mon short.

– Philippe : Il n’est pas magnifique celui-là ?

– Roger : Oui très jeune, il pue le sexe à plein nez, beau, peau lisse, Superbes jambes, superbe cul !

Je ne sais pas ce qu’il fit à ce moment, mais j’imagine bien ce vieux cochon sortir sa queue pour se branler en me matant. Philippe lui, se lécha 2 doigts et me les fourra, et cela sans difficulté car mon cul était toujours bien ouvert des outrages précédents. Chose qu’il remarqua car il s’empressa de rajouter un troisième doigt. Il écarta mes fesses pour en faire profiter au voyeur.

Philippe : T’es bien ouvert d’avant-hier ! On va pouvoir attaquer sans trop de préparation !

Roger : Vas-y mollo je n’ai pas envie qu’il chiale le petit !

Philippe : T’inquiète il a déjà goûté ! Hein ?

Moi : Oui prends moi !

Philippe : T’as vu ?

Pas de réponse, je jetai un regard vers le fauteuil, Roger se contentait de se branler.

Philippe me fit mettre debout, et me demanda de tourner sur moi-même.

Je m’exécutai et me cambrai un maximum ce qui le rendit fou, il me jeta sur la banquette, je me retrouvai sur le flanc ; il m’attrapa par les hanches, et me fit mettre à 4 pattes. De mon côté je me cambrais pour lui montrer que j’étais prêt. Il me tira vers lui pour que j’aie les genoux au bord de la banquette. Je sentis un cracha glisser sur ma raie qu’il s’empressa d’étaler, puis il posa son gland volumineux. Instinctivement je fermai les yeux, et m’accrochais au drap. Je suis prêt à être à lui. Bien accroché, il poussa pour passer mon anneau.

Philippe sentant son gland rentrer : Oh putain que c’est bon !

Moi je ne plus parler, je n’émis qu’un son, un léger gémissement qui s’échappa. Il me veut à lui tout de suite, et il continu sa lente progression en me tirant vers sa queue, et en poussant avec ses reins. A cet instant, je ne respire plus, sentir ce morceau de chair se frayer un chemin en moi est incroyablement divin, je veux qu’il ne s’arrête jamais.

Philippe une fois tout au fond de moi : Ouhh ! Humm !

De mon côté, je pris une grande inspiration, suivie de plus courtes et rapides, je recherchais mon souffle qui fut coupé par cette intromission profonde. A peine ma respiration trouvée, je le sens qu’il recule et qu’il commence ses va et vient en moi. C’est incroyable, je gémis immédiatement à chaque fois qu’il revient au fond de moi et respire quand il recule. Le sentir aller et venir en moi est juste jouissif et je me laisse aller à ce plaisir, en me laissant guider par ses mains fermement accrochées à mes hanches, sans aucune résistance de ma part.

Philippe sortant sa queue : Écarte pour qu’on apprécie ton trou !

J’écarte bien mes fesses pour m’ouvrir au maximum, ce qui semble les combler.

Roger se branlant énergiquement : C’est très beau tout ça !

Philippe me claqua le cul et me poussa pour que je me mette au milieu de la banquette, lui en profita pour se mettre à genou derrière moi, cracha de nouveau sur mon cul et se réintroduisit en moi, et quel délice. Dans cette position Roger nous voyait de profil, et pouvait voir quand je tournais le visage vers lui, le plaisir inouï que je prenais.

– Roger : Ce petit adore ça

– Philippe : Attend que je le baise à fond ! Il ne va pas arrêter de gémir !

Les écouter parler de moi m’excitait terriblement.

Moi tournant la tête vers Philippe et le suppliant du regard : Baise-moi oui !

– Philippe : C’est ce que tu veux ?

– Moi : Oui, prend moi !

Ni une ni deux, il attrapa un coussin qui traînait, le plaça sous mon ventre, et appuya sur mon dos pour me forcer à m’allonger. Il tira sur mes hanches pour relever un peu mon cul, cracha dessus, posa une main à côté de ma tête, et de l’autre dirigea sa queue dans mon petit trou. Je fermai les yeux, et je sus au fond de moi que la partie commençait. Une fois son pubis contre mes fesses, il posa son autre main de l’autre côté de ma tête, de telle sorte que je pouvais sentir son poids sur moi. Je lui appartiens, aucun moyen d’y échapper. Il recula lentement, puis me remit tout brutalement. À chacun de ses coups de rein, je ne pus m’empêcher de lâcher un Ahhh ! des plus évocateurs. À chaque aller-retour, je sentais que la cadence accélérait, ce qui fit que me petits cris se rapprochèrent, jusqu’à ce qu’il choisisse une vitesse infernale, durant laquelle je ne fis que crier.

– Moi : Ahhh ! Ahh ! Ouiii !!! Ohhh !!! C’est !!! trop !!! bon ! Humm !

Il fit aller et venir sa queue de toute sa longueur, je sentis mon cul brûler sous ses assauts à m’en mordre les lèvres.

Après plusieurs minutes à me faire pistonner, il s’allongea sur moi, m’embrassa dans le cou, me mordilla l’oreille et ralentit sa cadence pour me baiser avec de lents coups de queue.

– Philippe me susurrant à l’oreille : Tu l’aimes ma queue ?

– Moi reprenant mon souffle : Humm ! Oui !

C’est dans ce moment de repos sensuel que je remarquai que Roger était sorti. Tellement absorbé par cet homme me baisant férocement, que je n’avais pas senti, ou entendu l’hôte prendre l’air.

Philippe se releva pour me libérer, et se prit un verre d’eau. En le regardant je me dis que cet homme est incroyablement viril, et cette queue juste wahoo !

– Philippe : Viens te réhydrater, je ne voudrais pas que tu tombes dans les pommes, fait chaud ici !

Je me levai, et me collai à lui pour me servir un verre. A peine le temps de finir mon verre, qu’il m’écarte les jambes et me prit debout avec le lavabo pour ne pas chavirer. Il s’active m’obligeant à me cambrer et à me pencher légèrement pour mieux m’offrir.

– Roger rentrant et s’installant sur son fauteuil juste à côté de nous : Je vais sortir Philippe

– Philippe : D’accord !

Il sortit sa queue et me fit mettre à 4 pattes la tête dans l’entrejambe de ce vieil homme. Je compris bien sûr qu’il était l’heure de la petite gâterie de monsieur, mais surtout que le tête-à-tête approchait. Sachant cela, je me jetai comme un affamé sur sa queue relativement dure, et pendant que Philippe me bouffait le cul divinement, je suçai avec gourmandise. Je m’y pris si bien, qu’il me remplit dans un râle la bouche d’un léger mais épais liquide.

– Roger : Comment tu fais pour pas jouir avec un pédé de gosse pareil ?

Philippe qui arrête de me bouffer se contente de sourire. Il me balance sur le lit et discute avec Roger.

– Roger : Bon tu sais où sont les draps, alors amusez-vous bien !

Philippe me regardant la queue à la main : Oui ne t’inquiète pas pour nous !

Je répondis à ce sourire malicieux en me mettant sur le dos et en tenant mes jambes vers mon torse …

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2 Commentaires

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  • sacre pute ce gosse ;avec un videur de couilles pareil les hommes n’ont pas besoin de s’emmerder a draguer des femmes

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