Damien souhaite prendre un nouveau risque, embrassé sa sœur. Il s’approche vers elle, et leurs lèvres se touchent. Leur langue s’entremêle. Le sexe de Damien, dur comme du fer, vient caresser le haut du clitoris de sa jeune sœur.
Plus loin, Brigitte jette brièvement un coup d’œil en direction de ses enfants, mais ne semble pas saisir ce qu’ils font, car il fait noir.
Elle embrasse Philippe, et tous les deux se branlent mutuellement.
– J’ai une proposition à te faire, mon cœur. Dit Philippe.
– Quoi donc ?
– Avant que je ne quitte le camping-car du voisin tout à l’heure, nous avons parlé de toi. Et si tu es d’accord, il nous attend.
– Comment ça… Tu… Tu me proposes une orgie, avec lui et sa famille ?
– Non, pas une orgie, car je sais que tu seras mal à l’aise quand verront ses enfants faire des trucs sexuels avec eux. Alors, je te propose simplement un plan à 3.
– Je n’ai jamais fait de plan à 3… C’est le genre de truc où vous allez tous les deux me prendre par tous les trous ? OK, je suis partante ! Mais allons prévenir les enfants.
Voyant les parents venir vers eux, Julie et Damien s’émergent dans l’eau jusqu’au cou, pour ne pas que les parents les voient nus.
Brigitte, prétexte qu’ils vont aller se reposer pour reprendre la route demain.
Ils s’éloignent, empruntent le sentier et rejoignent le camping-car Grégory, le voisin.
Il n’était pas certain que Brigitte allait accepter.
Les voyants arrivés, les deux filles Grégory et sa femme, s’en vont au lac pour les laissés seuls.
Philippe, avait prévenu Grégory et sa famille que cela pourrait gêner Brigitte, de faire l’amour à cinq. Il avait vu juste.
En partant, les filles souhaitent une agréable soirée à Brigitte et Philippe, et d’en profiter un maximum. Sous ces encouragements, Brigitte se sent subitement mal à l’aise. Philippe la rassure.
Grégory, invite les deux amoureux à venir s’asseoir sur le canapé, puis il leur propose quelque chose à boire. « Une limonade pour moi » répond Brigitte. Philippe, accepte un coca.
Les minutes passent, et la conversation entre les trois, sont animées. Ils rigolent et se complimentent.
Soudain, la conversation change de ton, suite à une petite remarque coquine de Philippe, envers Brigitte.
– En parlant de belles caresses, Brigitte adore ça ! Dit-il.
– Ah… C’est-à-dire ? Demande Grégory.
– Les joues, le menton, le cou, les seins…
Grégory, demande à Brigitte la permission de la toucher. Elle accepte timidement.
Il commence les caresses sur ses joues, délicatement avec deux doigts. Doucement, il descend vers son cou, et avec sa main entière, il saisit son sein, encore cacher par le maillot de bain, pour le tripoter. Grégory rapproche ses lèvres vers les siennes, et commence alors un long baiser langoureux. Ils se savourent la langue et se mélangent leurs salives.
De l’autre côté, Philippe à son tour, masse son sein gauche. Les deux hommes, écartent le tissu du maillot de bain, sous les seins de Brigitte, dévoilant son entière poitrine.
– Alors, elle n’est pas bonne ma femme ?
– Elle est vraiment délicieuse.
La main Grégory, se dirige entre les cuisses humides de Brigitte. Il écarte le tissu qui recouvre sa chatte, pour titiller son clitoris et la doigtée.
Philippe, enlève son caleçon, et se branle.
De l’autre côté du sentier, les filles arrivent au lac. Elles surprennent Julie et Damien, sortir de l’eau totalement nue.
Sans gêne, les trois filles se déshabillent devant eux pour aller se baigner.
Marie Claude, la mère, s’avance vers les deux tourtereaux.
– Quand le chat n’est pas là, les souris dansent ! Dit-elle.
– Bonsoir, Madame. Réponds Philippe.
– Non… Marie Claude.
– Pourquoi vous dites que les souris dansent ? Demande Julie.
– Vous profitez du fait que vos parents ne soient pas là, pour faire des cochonneries… Non ?
– Euh… Non… On s’est juste déshabiller car nous ne voulions pas mouiller nos maillots. Réponds Julie.
– Et c’est tout… ? Ça ne te dérange pas que ton frère soit en érection devant toi, pourtant.
– Oh… C’est un homme, c’est normal. C’est peut-être en vous voyant, qu’il bande. Il faut dire que vous êtes très jolies !
– Merci du compliment, Julie ! Toi aussi, tu es superbe. Tu as le même corps que mes filles, en un peu plus développé… Je suis curieuse de savoir si ton entrejambe est aussi développé qu’elles… Tu me permets ?
– Permet quoi ? Dit-elle étonner.
– De comparer ta zone lisse et humide avec celles de mes filles.
– Vous voulez me touchez la chatte ? !
– C’est ça, avec ta permission.
– Bah… Euh… C’est plutôt bizarre, mais d’accord.
Marie Claude, passe deux doigts entre les grandes lèvres vaginales de Julie, sans pénétration.
Elle goûte sa cyprine en léchant ses deux doigts. Elle retourne vers son entrejambe, en pénétrant ses deux doigts en elle. Cette fois, elle la doigte, sous les yeux de son frère. Julie gémit.
– Regarde ton frère, sa queue à doubler de volume !
– C’est vrai !
– Ça te plaît de voir ta sœur se faire doigter par une autre femme ?
– Oh oui ! *Damien se branle*
Soudain, un jet puissant sort du vagin de Julie, mouillant la main de Laëtitia qui continue de la branlée. Le jet éclabousse partout, et Julie pousse un grand cri de jouissance raisonnant.
Prise de honte, elle enlève la main de Laëtitia de sa chatte, et s’en va vers le sentier.
Marie Claude, demande a Damien de la suivre pour la rassurer.
Pendant ce temps-là, dans le camping-car. Grégory, Philippe et Brigitte sont totalement nus.
Toujours assise sur le canapé, Brigitte se fait lécher la chatte par Grégory. Pendant ce temps-là, elle suce Philippe qui est à genoux sur le canapé, pour lui faciliter la tâche. Face à elle, Grégory se redresse. Son gland, écarte ses lèvres vaginales. Sa bite s’enfonce, elle se fait entièrement engloutir par cette délicieuse chatte. Pour la deuxième fois, il l’a baisée. Brigitte jouit par les va-et-vient Grégory. Ses gémissements, se font étouffer par la queue de Philippe qui pénètre jusqu’au fond de sa gorge. Il lui pousse la tête, pour qu’elle l’avale entièrement.
– Tu es une grosse bouffeuse de bite, ma petite femme ! Retourne-toi, je vais t’enculer !
Pendant ce temps-là, les enfants arrivent au camp. Damien, a réussi à détendre sa sœur. Elle est souriante et plus détendue.
Les lumières du camping-car sont éteintes. En entrant à l’intérieur, il n’y a aucun signe des parents.
– Merde, ils sont où ? S’interroge Julie.
– Les lumières du camping-car du voisin sont allumées, allons voir ils sont peut-être là-bas
Ils s’approchent doucement, quand soudain ils se stoppent à quelques mètres de la porte d’entrée. Ils entendent des gémissements.
– Ce sont des gémissements ! Dit Julie.
– Exact !
– Qui ça peut être… ? Pas sa femme ni ses filles, en tout cas !
– Ça ne peut être que papa et maman. Réponds Damien.
– Je suis curieuse d’aller jeté un œil.
– Toi, curieuse de voir si ce sont nos parents qui baisent ! ?
– Oui, elle m’a ouvert l’envie l’autre folle de Laëtitia.
Ils s’avancent vers une fenêtre entre ouverte, voyant tout ce qu’il se passe à l’intérieur.
– Oh putain, maman baise le voisin ! S’exclame Julie.
– Attends, elle se retourne.
Grégory, s’assied sur le canapé. Brigitte, viens se positionner sûr, et face à lui. Elle le baise.
Philippe arrive derrière elle. Il lèche et pénètre son cul avec ses doigts et sa langue pour le préparer à accueillir sa bite. Une fois suffisamment dilaté, il se redresse, et il enfonce délicatement son gland, écartant les bords de son anus pour y introduire entièrement sa bite.
Les enfants, n’en croient pas leurs yeux. Leur maman, est en train de se faire sodomiser, et se fait prendre la chatte en même temps. Ces deux bites dans son corps, la font jouir sans retenue.
– Maman se prend une double pénétration, j’hallucine ! Dit Damien.
– Je ne savais pas qu’elle aimait la bite à ce point ! Ça m’excite, il faut que je me branle !
Julie écarte le tissu du maillot qui recouvre sa chatte. Elle se caresse et se doigte, avec son frère à côté, qui fait pareil avec sa bite.
– J’ai tellement envie d’aller les rejoindre, et enculer maman avec ma bite ! Elle m’excite !
– Quand j’y pense, c’est vraiment dégoûtant de t’imaginer sodomiser notre propre mère. Mais je suis certaine qu’elle aimerait ça !
– J’en suis sûr qu’elle est capable de se prendre une triple pénétration… Tu imagines, papa et moi en train de lui mettre tous les deux notre bite au cul, pendant que Grégory lui prend la chatte !
– Deux bites au cul ? Hé, ce n’est pas une machine notre mère !
– Au contraire, j’ai eu l’occasion de voir son cul totalement dilaté, et de près ! J’en suis sûr que deux bites c’est faisable.
– Comment ça, tu as vu de près le cul dilaté de maman ? !
– Hier, j’ai surpris Grégory enculé maman dans la forêt. Il était entrain de l’enculé par-derrière.
– Quoi, sérieux ! ?
– Oui. Je me suis fait grillé a les regarder faire. Grégory m’a dit de venir, il a dirigé ma main vers le cul de maman, et j’ai introduit deux doigts en elle. Son cul était tellement ouvert… Quand j’ai réalisé ce que j’étais en train de faire, j’ai eu une grosse érection !
– Attends. Tu as doigté le cul de maman, elle t’a laissée faire ?
– Elle ne voulait pas, mais trop excitée pour vraiment refusé.
– Et ensuite, tu l’as enculé ?
– Dix secondes de plus, et j’allais le faire ! Mais je crois qu’elle a senti le coup venir. Elle s’est retournée à genoux, pour sucer Grégory. Ensuite, je lui ai offert ma bite. Elle m’a sucé comme une experte ! Jamais personne ne m’avait sucé comme ça… J’ai fini par lui remplir la bouche avec mon sperme, et à recouvrir son visage.
– Oh merde, Damien.
– Quoi ?
– Ça m’excite ! J’aurais aimé voir ça ! Regarde comment je mouille ! *Julie lui montre sa chatte*.
– Fais-moi goûter ta cyprine, s’il te plaît.
Julie retire ses doigts de sa chatte, et elle les fait lécher à son frère.
Pendant ce temps-là, dans le camping-car. Brigitte se retourne, et se positionne dos à Grégory, toujours assis sur le canapé. Cette fois, c’est lui qui l’encule. Sa bite entre dans son cul comme dans du beurre. Face à elle, Philippe introduit son membre dans sa chatte complètement dégoulinante de cyprine.
– Alors ma petite femme, ça te plaît ?
– Oh oui… Oh oui que c’est bon ! Oh que c’est bon d’avoir deux superbes bites dans mon corps ! Aujourd’hui plus que jamais, j’aime la sodomie ! J’aime me faire enculer par deux hommes !
À ces mots, Damien réagit.
– Mais qu’elle salope !
– Elle m’excite, maman… Plus je la regarde, et plus j’ai envie d’être à sa place.
– Tes désirs commencent à prendre la parole, sœurette !
– Oh oui, je ne m’en cache pas ! J’ai envie moi aussi de recevoir ces deux bonnes bites dans mon corps !
– Même celle de papa ?
– Oui, même la bite de papa ! Je ne dirai pas non pour me l’a prendre dans le cul ! Oh désolé… J’ai honte d’avoir dit ça à voix haute.
Soudain dans le camping-car, Brigitte et les deux garçons se lèvent. Par-derrière, Grégory la soulève. Il est aidé par Philippe, qui la soulève par-devant. Ils la tiennent derrière les genoux, afin qu’elle soit les jambes écartées. Ensuite, ils recommencent à la baiser par tous les trous.
De leurs côtés, Damien propose à Julie de lui faire l’amour. Mais elle refuse. Elle ne se dit pas encore prête.
Les minutes passent, et les deux garçons redescendent Brigitte, sur les genoux. Ils se branlent devant son visage, elle ouvre la bouche et s’apprête à recueillir la semence des deux hommes. Au même moment, ils éjaculent tous les deux dans sa bouche, et sur le visage. Brigitte, invite Philippe à venir s’asseoir à ses côtés. Elle saisit le sexe Grégory, et le pointe vers les lèvres de Philippe. N’osant pas immédiatement le mettre en bouche, il se laisse convaincre par sa femme. Philippe, suce Grégory et avale les dernières goûtes de sperme. Excité par ces nouvelles lèvres, Grégory éjacule une seconde fois dans la bouche de Philippe, qui recrache le surplus, sous les rires de Brigitte. Il l’embrasse, partageant la liqueur blanche Grégory avec sa femme.
Terriblement excité, Damien se vide sous les yeux de sa sœur, qui se branle en le regardant, avant de perdre à son tour son délicieux liquide.
Plus tard dans la nuit, Julie rejoint ses parents dans le camping-car, et Damien rejoint sa tente.
6 h 30 du matin, c’est le jour du départ.
Le camp est calme, tout le monde dort encore, ou presque.
La porte du camping-car s’ouvre, et Julie en sort. Le jour se lève, et le brouillard est très épais.
Elle transporte une serviette et des rechanges, et part faire sa toilette au lac. Sur le chemin, elle repense à ses parents hier soir, mais aussi à toutes ces histoires qu’il y eut depuis le départ de la maison. Elle fait, elle pense à des choses que jamais elle n’aurait cru faire avant
Se branler devant son frère, le sucer, ou se faire prendre la chatte par lui, c’était quelque chose d’impensable il y a encore quelques jours.
Se branler en regardant ses parents faire l’amour, c’était aussi de la science-fiction.
Arrivée au lac, elle rencontre Marie Claude, assise sur une serviette au bord de l’eau.
– Salut Marie Claude…
– Oh, salut ma puce ! Bien dormis ?
– Nuit agitée, mais ça va. Je voulais m’excuser, pour hier soir.
– T’excuser de quoi ?
– Bien… D’être partie comme ça !
– Oh, mais ne t’en fait pas pour ça voyons ! J’ai senti que tu ne l’avais jamais fait avec une fille, et tu as eu peur.
– J’avais honte de faire ça, alors que mon frère me regardait.
– Tu sais, Julie… Il n’y a aucun mal à vouloir faire l’amour avec sa famille. Ta famille, ils t’aiment. Ils ne veulent que ton bonheur. Ton frère t’aime, je suis certaine qu’il te respecte. Il t’apprendra, et tu lui apprendras à vous découvrir. Grâce à toi, il saura comment satisfaire une femme, et toi, un homme.
– Ça a du sens.
– Ne te mets pas de barrière, Julie. Nous n’avons qu’une seule vie, faisons ce qu’il nous plaît de faire.
– C’est vrai, tu as raison.
Julie, se déshabille entièrement pour plonger dans l’eau encore froide. Elle est rejointe par Marie Claude. Elles se regardent mutuellement dans les yeux, et l’une s’approche de l’autre. Comme par réflexe, leurs mains caressent les poitrines mouillées de l’autre. Marie Claude, avance sa tête vers les tétons de Julie, et les lui lèche.
Leurs mains descendent vers leurs fentes, elles se masturbent mutuellement, puis elles s’embrassent.
Elles sortent de l’eau, Marie Claude s’assied sur sa serviette, les cuisses grandes ouvertes.
Julie positionne sa tête au milieu de ses cuisses, et lèche pour la première fois de sa vie, une chatte. Sa langue glisse entre les petites lèvres, jusqu’à atteindre la vulve pour introduire sa langue, et ses doigts.
– Pour ta première fois avec une femme, tu te débrouilles vraiment très bien. Dit Marie Claude.
– Je suis tellement excitée de manger ma première chatte, j’en mouille !
– Tu mouilles… ? Tu m’autorises à venir goûter ta cyprine, qui semble délicieuse ?
– Mais évidemment… Ne bouge pas !
Marie Claude s’allonge, et Julie se positionne sur elle en 69. Les deux filles, se dévorent le minou, en pleine nature.
Alors qu’elles gémissent toutes les deux de plaisir, les klaxons du camping-car se font entendre.
– Oh merde, j’ai oublié, on part tôt ce matin !
– Quoi ? Et tu comptes partir alors que l’on commençait à peine à s’amuser ! ?
– Je suis vraiment désolée Marie Claude !
Julie s’habille en vitesse, en mettant seulement sa jupe et son tee-shirt.
– Tiens, prend ça en souvenir… Dit Julie en lui donnant son string.
Marie Claude le renifle, et lui dit de se dépêcher avant qu’ils ne partent sans elle.
Sur le sentier, elle court pour rejoindre rapidement sa famille.
– Ben alors, tu étais où, on t’attend nous ! Réprimande Philippe.
– Oh… Je… J’ai fait ma toilette !
– OK, bon c’est de grave, ce sont les vacances. Allez la petite famille, on reprend la route !
Ils repartent, le cœur serré. Le spot était plaisant, ils étaient au calme et cette autre famille était très attachante. Mais chaque chose a une fin… Ou presque !
Deux heures de routes plus tard, Julie descend de la capucine et rejoint Damien autour de la table. Damien, traîne sur son téléphone.
– Bien reposé, petite sœur ?
– Grasse matinée agréable. Nous avons fait une pause depuis notre départ ?
– Oui, mais nous n’avions pas voulu te réveiller.
– D’accord…
– Je te sens pensive ?
– C’est juste que, nous venons de vivre une parenthèse hors du commun. La vie va reprendre son cours comme avant.
– Pourquoi comme avant ? Les vacances sont loin d’être terminées.
– Je suis retournée voir Marie Claude au bord du lac, ce matin. C’est la cause de mon retard d’ailleurs.
– Je sais ! Tu as eu l’air d’apprécier le 69 en plus !
– Quoi ! ? Mais comment tu sais ça ?
– Papa m’a envoyé te chercher, et je t’ai surpris à faire du broute minou avec la voisine.
– Oh mais… Parle moins fort !
– Te voir avec une autre fille, m’a vraiment excité. Vous étiez vraiment très belles.
– Merci… Tu t’es branlée en nous voyant ?
– C’est plutôt indiscret ça.
– Oh arrête, je crois que nous n’avons plus aucun secret entre nous !
– Je me suis branlée, oui. Mais je n’ai pas pu finir, à cause des coups de klaxons de papa.
– Moi non plus, nous nous sommes arrêtés en plein ébat.
– J’ai une idée, mais…
– Quoi ?
– Nous pourrions nous finir, maintenant.
– Mais ça ne va pas ! Les parents sont justes là !
– Et alors… ?
– Et alors ? Il suffirait que maman tourne la tête, pour nous surprendre !
– Dans leurs chambres alors ?
– Ils ne veulent pas qu’on y mette les pieds !
– Dans la capucine ?
– Et faire ça juste au-dessus de leur tête ?
– Ou alors, on reste là, on s’observe et on se branle discrètement sous la table.
– Je suis partante, il y a moins de risques. Par contre si maman se retourne, elle me verra la main dans mon entre jambes.
Damien défait sa braguette, et sort sa bite raide pour se branler.
Face à lui, Julie remonte sa jupe, et elle se masturbe à son tour.
Elle remonte son tee-shirt sur le haut de ses seins, pour excitée davantage son frère.
Julie aux doigts pleine de cyprine.
Brigitte, l’interrompt et lui demande de lui donner de la crème solaire. Julie monte quelques marches sur l’échelle qui rejoint la capucine. Sa jupe remonte sur le haut de ses fesses, dévoilant sa délicieuse chatte et sa petite rondelle ferme, à son frère.
Elle redescend, et donne la crème à sa mère, qui en l’attrapant, effleure les doigts pleins de cyprine de Julie.
– Tu as les doigts mouillés, tu transpires ?
– Un peu chaud ouais, mais ça va.
Elle se repositionne face à son frère.
– Tu aurais pu me le dire que tu ne portais pas de culotte !
– Pourquoi, ça t’aurait fait quoi ?
– C’est que… Maintenant j’ai vraiment envie de toi ! Tu ne veux pas venir t’asseoir sur mes genoux… ?
– Et après… ?
– Après ? Je ne sais pas… Peut-être que je te ferai l’amour !
Elle vient discrètement s’asseoir sur ses genoux, et entoure le sexe de son frère avec sa main gauche pour le branler.
Julie écarte les cuisses, pour faire de la place à Damien qui vient doigter sa chatte.
– Tu es prête ? Demande Damien.
– Oui… Répond-elle en gémissant.
Elle se lève légèrement pour positionner sa chatte au-dessus du sexe de son frère. Centimètres par centimètres, son pénis s’enfonce dans la chatte. Julie remue, faisant des mouvements de bas en haut.
– Oh oui, ça y est, ta bite est en moi ! Nous avons franchi la ligne rouge de l’inceste.
– Nous y sommes enfin… C’est difficile de comprendre que je suis en train de pénétrer ma propre sœur.
– Je sens bien ta bite en moi, qui à chaque passage écarte ma vulve.
Après quelques minutes, Julie se lève et se penche, afin que Damien lui lèche le minou.
Mais, il ne s’arrête pas seulement à son vagin. Il remonte sa langue jusqu’à son anus, le préparant à accueillir son pénis.
– J’ai envie de te sodomiser. Dit-il.
Julie accepte.
Les mouvements sont subtils, afin de n’éveiller aucuns soupçons. Le gland de son frère agrandi son cul. Plus il s’enfonce, et plus Julie gémit.
Un petit gémissement plus haut qu’un autre, alerte Brigitte, qui se retourne brièvement, et voit Julie sur son frère.
– Bah, tu fais quoi sur ton frère, Julie ?
– Euh, rien ! Damien veut me montrer quelque chose sur son téléphone.
– Ah OK… Étrange position pour voir quelque chose sur un téléphone.
En se retournant à nouveau, elle remarque que Julie remue légèrement du bassin.
Ayant de gros doutes sur ce qu’ils sont en train de faire, elle se lève prétextant qu’elle va se servir un verre d’eau.
En se servant, elle remarque que la jupe de sa fille est relevée, sur les genoux de Damien.
Voulant en savoir plus, elle lui demande de venir l’aider.
– Euh, attend maman, il termine de me montrer son truc sur le téléphone.
Après quelques minutes, Brigitte perd patience.
– J’aimerais bien que tu m’obéisses quand je te demande quelque chose, Julie !
Avant que Brigitte ne s’énerve trop, Julie se relève doucement. Le pénis de Damien se retire, sous les yeux stupéfaits de Brigitte.
– Oh mon Dieu ! Je ne voulais pas le croire, mais vous êtes réellement en train de faire l’amour sous notre dos ! Et… Et en plus tu sodomises ta propre sœur, Damien ! Mais enfin, qu’est-ce qu’il vous passe par la tête tous les deux ! ?
A Suivre
Brigitte
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