Quelques minutes plus tard, Julie revient.
Elle s’assoit avec Brigitte, qui entame la conversation.
– Tu n’as pas eu le temps de profiter de mon gode, j’ai l’impression. Damien t’a interrompu.
– J’ai essayé, mais je crois que je suis trop stressée pour m’ouvrir complètement. Et puis, Damien ne m’aide pas vraiment, je suis son vide couilles personnelle. Il a de la chance que j’aime ça !
– Comme je te l’ai dit, tu as le temps d’apprendre.
– Oui je sais bien, mais j’ai envie d’apprendre aujourd’hui. Tu ne voudrais pas m’apprendre ? Juste une fois.
– Julie… Une maman n’apprend pas à sa fille a utilisé un gode, encore moins pour de l’anal.
– Maman… Nous ne sommes pas une famille comme les autres. Dans une famille normale, aucun papa ne nique la sœur de sa femme et sa mère en même temps. Et aucune maman n’a envie de baiser sa propre fille… Donc arrêtons de prendre l’exemple des familles modèles, et faisons ce que nous avons envie de faire.
– De quoi ? ! Pourquoi tu dis qu’aucune maman n’a envie de baiser sa propre fille… ! ?
– Nous étions dans le camping-car Damien et moi, quand vous avez discuté de ça, avec papa… Et il m’a dit qu’il t’avait aussi surpris à te… Masturber en me regardant au lac !
– Mais cette phrase c’était dans l’excitation, jamais je ne ferai une chose pareille ! Et pour m’être masturbé en te regardant… Tu étais loin, et j’imaginais que c’était une autre fille qui se branlait.
– Alors… Tu as cas imaginait que je suis encore cette autre fille… Maman, j’ai vraiment besoin que tu m’apprennes !
– Julie… Ton frère dort ?
– Quand je suis descendue, il allait s’endormir.
– Vérifie… Et récupère le gode.
Julie est partie vérifiée, Damien dort comme un bébé. Elle donne le gode à Brigitte.
– Je n’arrive pas à croire ce que je m’apprête à faire… Dit Brigitte.
Elle se lève, pour enlever son pantalon. Elle garde sur elle le string. Brigitte hésite. Il n’y a qu’un petit bout de tissu, qui recouvre sa chatte à la vision de sa fille. Elle se permet quelques petites caresses, avant d’écarter le string. Julie, se caresse aussi.
Brigitte prend le gode, et le suce.
Avec son autre main, elle écarte enfin son string, dévoilant l’entièreté de sa chatte.
Elle est soudainement envahie d’adrénaline, comprenant qu’elle dévoile son vagin à sa propre fille. Elle se doigte directement avec trois doigts.
– Oh maman… Tu as vraiment une très très belle chatte. Dit Julie.
Elle dirige le gode vers sa chatte, qui n’a aucun problème à s’introduire entièrement, tellement elle mouille. Elle commence une session de va-et-vient, tout en gémissant.
– Tu es tellement belle quand tu gémis… !
Elle se lève à nouveau, pour coller le gode ventouse sur la chaise, puis elle le baise comme une grosse bite. Julie ne tient plus, elle enlève sa culotte.
Maintenant que son gode est bien lubrifié par la cyprine, elle le change de trou.
– Regarde-moi bien, ma puce. Je respire et me décontracte, puis je l’enfonce délicatement dans mon anus… Bon, moi il rentre plus facilement, car je me fais toujours enculer. Mais le principe reste le même !
Elle se lève à nouveau, et se penche contre la table pour montrer son cul à Julie.
Après quelques va-et-vient, elle retire le gode et écarte son anus.
– Tu vois l’intérieur de mon trou du cul ? Il ne se referme pas, il est bien dilaté.
– Alors c’est à ça que ressemble l’intérieur d’un rectum… Je peux toucher ?
– Oui, vas-y !
Julie entre son doigt dans le rectum de sa mère, pour sentir la substance.
– C’est… Gluant… Et humide.
– Tu m’autorises à lécher, pour voir ?
– Non…
– J’aimerais savoir ce que ça fait…
Un peu plus loin sur le parking, des passants passent, et certains jettent un petit coup d’œil.
– Bon alors vas-y, mais fait vite il y a des gens qui nous regardent !
Brigitte repasse un coup de gode, pour rouvrir son cul.
Julie, passe un coup de langue sur son vagin, et termine à l’intérieur de son rectum.
Julie se redresse pour y mettre fin, et retourne coller le gode à la chaise pour le baiser. Les deux filles se masturbent face à face, en gémissant.
Brigitte accélère, et elle jouit. Elle a propulsé son liquide vaginal sur Julie. Ses seins sont pleins de liquide, coulant jusqu’à sa chatte.
Julie continue de se masturber avec le liquide de sa mère, qui se mélange à sa cyprine. À son tour, elle propulse un jet, mais qui n’atteint pas suffisamment sa mère.
– Oh pardon de t’en avoir mis partout, je ne pensais pas que ça irait aussi loin ! S’excuse Brigitte.
– Ce n’est pas grave, mais il faut que je me venge…
– Comment ?
Julie se rapproche, toujours assise sur la chaise, elle écarte les jambes, et écarte ses lèvres vaginales… Pour propulser son urine en direction de la chatte de sa mère, qui est surprise !
Alors elle se lève, et se positionne les jambes écartées au-dessus de sa fille, pour lui pisser dessus. Elle l’arrose de la tête aux pieds. Elle se vide, jusqu’à la dernière goûte.
– Oh merde… Nous sommes folles ! S’exclame Brigitte.
– Ça fait du bien de lâcher prise de temps en temps.
Il est temps pour elles, d’aller dormir, après s’être nettoyé dans la fontaine du village.
La nuit est calme, mais il fait chaud à l’intérieur du camping-car. L’occasion pour Julie de retirer la totalité de ses sous-vêtements.
Le matin arrive vite. La famille se réveille doucement… Ou presque.
Dans la chambre des parents, certains gémissements résonnent. Ça ne provient pas de Brigitte, mais plutôt de Philippe.
En levrette, il se fait sodomiser par Brigitte avec un gode, le même gode qu’elle a utilisé hier soir. Elle l’a mis dans un strapon, pour en faire un gode ceinture. Ce père de famille se fait ouvrir profondément le cul.
– Hum oui vas-y ma puce, défonce-moi le fion !
Sous ces gémissements, Damien s’excite. Il se branle à côté de sa sœur, qui l’observe.
Mais le plaisir fut de courte durée, car la chambre des parents s’ouvre. Philippe en sort totalement nu, avec la bite demi-molle, et se dirige aux toilettes. Brigitte, elle prépare le café. Elle a pris le temps de s’habiller, chemisier et minijupe. Plus tard, ils prennent le petit-déjeuner tous ensemble autour de la table, puis ils reprennent la route. Juste le temps de faire 5 kilomètres, que Damien se met à l’aise sur le canapé, invitant Julie à le rejoindre. Elle à envie de le sucer, Damien me le voit sur son visage. Il défait sa braguette, pour y sortir son pénis déjà raide. Il se branle, sous le regard envieux de sa sœur. Elle se mordille les lèvres, puis se déshabille, complètement nue. Elle se lève, debout dans le couloir. Il suffirait que Philippe jette un œil derrière, pour découvrir sa fille totalement à poil.
Julie, prend le risque. Elle s’accroupit en écartant les cuisses, en se taponnant la chatte, qui subtilement, les claquements résonnent. Intriguée, Brigitte se retourne, et découvre sa fille. Sous le regard de sa mère et de son frère, elle se doigte la chatte.
– Que se passe-t-il derrière, Brigitte ? Demande Philippe, voyant que sa femme a le dos tourné depuis un moment.
– Oh, rien. Je regarde les enfants dormir, ils sont mignons quand ils dorment.
Damien se lève, et dirige son sexe dans la bouche de Julie, qui ne le refuse pas. Elle lui crache dessus, pour lubrifier sa queue, afin qu’elle l’avale complètement.
– Oh oui petite sœur, elle te plaît ma queue !
– Hum… !
– Tu sais quoi ? J’ai envie de te la mettre dans la chatte !
– OK… Mais fait attention ! On a aucune capote, et je n’ai pas envie que tu éjacules dans mon vagin.
– Dans la chambre des parents, il y en a !
– Pas la peine, je te fais confiance.
– Julie se lève, et s’assoit sur la table, toujours les jambes bien ouvertes. Damien pénètre en elle, en enlaçant sa sœur. Brigitte se retourne vers la route, leur laissant un peu d’intimité. Mais son excitation, prend le dessus. Elle relève sa jupe, laissant sa chatte a l’air frais, car elle ne porte aucune culotte. Elle pose la jambe droite sur le tableau de bord, puis elle se masturbe sous l’œil excité de Philippe, qui s’invite pour quelques caresses avec sa main droite.
– Hum… Damien… Tape-moi dans le fond ! Dit Julie.
Julie se retourne dos à son frère, qui continue de lui défoncer la chatte par-derrière.
– Julie… Je sens que ça vient !
– Oh non, je ne veux pas que ça s’arrête !
– J’ai envie de te remplir la chatte…
– Alors vas-y ! De toute façon je prends la pilule… Décharge ta semence fraternelle dans la petite chatte de ta sœur !
– Oh. Oui ! Je vide mes couilles pleines de foutres profondément dans ta petite chatte ! Ça déborde déjà !
Le foutre dégouline partout, toujours sous les yeux de Brigitte, stupéfaite. Ses enfants, ont franchi la ligne interdite, fixée par Brigitte. Au-delà de l’inceste, Damien prend le risque de mettre sa sœur enceinte. Si réellement Julie prend ses précautions, le risque est très amoindri.
Quelques heures plus tard, la famille s’arrête sur un air de repos, peu fréquenté. Ici, aucun commerce. De simples toilettes à la turque, entouré de végétations. En sortant du camping-car, ils retrouvent la seconde famille qu’ils ont quittée au bord du lac. Contents de tous se revoir, ils se prennent dans les bras en se faisant les bises. Le monde est petit.
Julie et Marie Claude se font aussi les bises. Ne pensant pas la revoir un jour, Julie est gênée.
Elle se dirige vers les toilettes Turc, et s’enferme à l’intérieur. En jupe, elle ne porte encore aucun sous vêtements. Elle se positionne accroupie en écartant les jambes, et elle soulage sa vessie.
Plus loin, les retrouvailles se poursuivent.
– J’ai beaucoup pensé à vous, vous savez. Nous avons regretté votre départ. Dit Grégory, le père.
– C’est vrai que vous êtes notre meilleure rencontre ! Réponds Brigitte.
– Je pense souvent à notre dernière soirée ensemble… C’était l’une des meilleurs de notre voyage. Dit Grégory.
– Il y en aura peut-être d’autres… Réponds Brigitte.
– Oh, mais avec plaisir ! Moi vous savez, je suis toujours partant quand il s’agit de faire l’amour, encore plus avec une bonne sodomie.
– Euh… Mon fils est juste la, vous savez ! Dit Philippe mal à l’aise.
– Oh oui, pardon !
La femme de Grégory, rejoint la conversation.
– Ce n’est pas grave que votre fils soit la… Je suis certaine qu’il s’est déjà imaginé faire l’amour à sa maman ! Pas vrai, Damien ?
– Euh… Non, pas vraiment…
– Mais tu sais que ta mère s’est fait prendre par mon mari, et par ton père ?
– Oui… Ça, je le sais ! Mais elle à tout à fait le droit.
Elle tente de le chauffer, elle sait que discuter de ça avec lui, l’excite.
– Bien, excusez-moi, mais il faut que j’aille faire un tour aux toilettes. Dit Brigitte.
– Oh, attendez je viens avec vous. Réponds Marie Claude, la femme de Grégory.
Elle souhaite rentrer avec elle dans les toilettes. Brigitte se demande bien pourquoi. Marie Claude, prétexte qu’elle souhaite lui parler en privé, et que ça ne peut attendre.
Elles s’enferment à double tour.
Brigitte, déboutonne son pantalon et le descend jusqu’aux genoux, sous les yeux de Marie Claude qui découvre son string bleu.
– Vous avez un joli string, Brigitte. Je vous envie.
– Merci c’est gentil. Par contre Marie Claude, tutoyer moi, s’il vous plaît !
– Oh pardon… Alors tu en fais de même.
– Très bien. De quoi tu souhaites discuter ?
Brigitte s’accroupit en écartant son string.
– J’ai plusieurs choses à te dire… Dont un qui me tient très à cœur.
– OK, dis-moi ?
– Cela concerne ta fille… Elle et moi, avons eu une relation sexuelle le matin de votre départ.
– Ah… D’accord.
– En général, je n’aime pas garder ces choses-là sans rien dire aux parents, surtout quand les enfants sont jeunes.
– Jeunes… Ils sont majeurs quand même. Réponds Brigitte en rigolant.
– Oui, je sais bien, Ah ah.
– Et alors, c’était comment ?
– Tu souhaites vraiment le savoir ?
– Bah… Oui !
– C’était… Vraiment très délicieux ! La douceur de sa peau, sa délicatesse, son minou vraiment très doux, très humide et délicieux. Je pense que le garçon qui aura la chance de faire l’amour avec elle, sera vraiment quelqu’un de chanceux.
– Eh bien… Pour être honnête, le chanceux, c’est son frère !
– Hein ? C’est vrai ? !
– Oh oui… ! Depuis notre départ, ce petit pervers encule sa sœur derrière nous.
– Mais c’est formidable ! Ils commencent à se sentir libre. Tu le prends comment ?
– J’avoue, que j’ai encore du mal à comprendre que mes propres enfants ont une relation incestueuse. C’est difficile, mais je n’ai d’autre choix que de l’accepter.
Inconsciemment, Brigitte se caresse l’entre jambes.
– Mais ça ne te laisse pas indifférente, je vois.
– C’est vrai que ça m’excite de les regarder faire. Ils le savent, mais ils continuent.
– Je suis contente que tu le prennes si bien.
Brigitte bascule vers l’arrière, elle se retient avec son bras. Elle se caresse la chatte, sous les yeux de Marie Claude.
– Tu sais quoi, Marie Claude ?
– Non, dis-moi ?
– C’est la première fois que je me masturbe devant une autre fille.
– Vraiment… ?
– Oui. Et depuis que j’ai vu la belle chatte rasée de ma fille, j’ai une obsession… Goûter à une vraie chatte !
– Ça tombe bien, ma chatte est toute lisse et toute rose. Mes filles la préfèrent comme ça.
Pendant que Marie Claude se déshabille, Brigitte pénètre deux doigts profondément dans la chatte.
Séparé par un simple mur, Julie à tout entendu de la conversation. Le mur est très fin, elle est capable d’entendre tous les petits bruits à travers. Elle entend sa maman se doigter, mais aussi sa respiration.
– Tu veux goûter ta toute première chatte ? Alors goûte la mienne !
Marie Claude se tient debout face à son visage, en écartant les grandes lèvres de sa vulve pour facilité le passage de la langue.
Comme une experte, Brigitte lèche, suce et pénètre sa langue.
– Oh oui… Hum… Pour ta toute première chatte, tu te débrouilles vraiment très bien…
– Merci c’est gentil. Elle est vraiment délicieuse !
– Ça te dirait que l’on pimente un peu… ?
– Oh oui !
Marie Claude se vide de son urine, dans la bouche et sur le visage de Brigitte.
– Goûte ma pisse… Elle est toute chaude.
– Oh… Hum… Ah… Fiu ! J’avais la bouche pleine !
– Vas-y… Branle-toi avec mon urine qui s’écoule jusqu’à ta chatte…
– Attends, garde en un peu !
Dans les toilettes à coter, Julie se branle.
Dans les toilettes où se trouvent les filles, c’est étroit pour ce que souhaite faire Brigitte.
Elles ouvrent doucement la porte, pour voir s’il y a quelqu’un, mais personne est là. Face aux toilettes, il y a un mur avec des lavabos accrochés. De chaque côté de la pièce, il y a de grandes ouvertures sans porte. Les filles s’installent sur le sol, sur le carrelage froid. Elles ouvrent leurs cuisses, et se collent chatte contre chatte. Elles se frottent mutuellement le vagin, l’un contre l’autre, libérant chacune leur urine. Leurs chattes se recouvrent de pisse, facilitant la lubrification.
– Oh oui, oh oui que c’est bon ! S’extasie Brigitte.
– Au fond de toi, tu es une vraie salope j’ai l’impression ! Je comprends d’où Julie tiens ça. Tu te débrouilles vraiment très bien, pour ta première fois avec une fille.
Doucement, Julie déverrouille la porte des toilettes, afin de laisser une petite ouverture, pour qu’elle en profite elle aussi. Mais dans sa direction, elle croise le regard de Marie Claude, souriante. Julie ne s’en cache pas, elle se masturbe sous son regard.
Les minutes passent, les filles continuent de se frotter. Quand soudain, elles se font interrompre par un inconnu, qui désir aller aux toilettes.
Toutes les deux très gênées, elles s’excusent auprès de cet homme.
Elles reprennent leurs esprits, l’heure est maintenant au nettoyage, car il y a de l’urine partout.
Elles terminent par se nettoyer le corps, avec l’évier. Elles rejoignent ensuite les garçons au camping-car, qui commençaient à s’impatienter.
En les voyants arrivés, Grégory ouvre la discussion avec Philippe.
– Ouh… Elles ont toutes les deux les cheveux mouillés, elles semblent essoufflée, et l’entre jambes de ma femme est humide.
– Effectivement, je crois qu’elles ont fait des saloperies dans les toilettes ! Les cochonnes.
La soirée approche. Avant de repartir, Philippe offre un petit apéro à tout le monde. La soirée termine sans écart, et surtout sans avoir trop bu. Philippe, souhaite faire la route de nuit, et qui sait, peut-être que cette famille les rejoindra à nouveau.
Marie Claude, Grégory et leurs filles, reste ici pour la nuit. Quand a Brigitte et Philippe, ils reprennent la route.
Dans la capucine, Julie raconte à son frère ce qu’elle a vu plus tôt dans la soirée.
En bas, Philippe profite du calme pour discuter avec Brigitte.
– C’est calme, tu crois qu’ils se sont endormis ? Demande-t-il.
– C’est probable. Qu’ils se reposent, ça leur fera du bien.
– C’est vrai.
– Et sinon, toi petit pervers… Tu sais que je t’ai vue tout à l’heure ? !
– De quoi tu parles ? S’interroge Philippe.
– Oh arrête… Ne fais pas ton innocent… !
– Ah, tu veux dire quand toi et Marie Claude vous étiez en train de vous pisser mutuellement dessus, presque à la vue de tout le monde ?
-… Voilà ! Tu t’es bien branlé en nous regardant, hein ?
– Te voir faire l’amour avec une autre fille, oui c’est l’un de mes fantasmes qui s’est réalisé ! Même si j’avais bien voulu être conviée.
– Ma prochaine fois avec une fille, tu seras là, promis !
– Donc il y aura une prochaine fois ? J’ai hâte !
– À mon avis, plus tôt que tu ne le penses.
– En attendant… J’ai une surprise pour toi, mon amour.
Brigitte, se déshabille totalement sur son siège.
Elle se procure quelques caresses, sur son cou, ses seins, ses cuisses, et son entre jambes.
Elle dirige la main de Philippe, vers sa chatte pour qu’il la doigte. Brigitte gémie sans retenue.
– Tu ne retiens même plus tes gémissements, mon amour… Nos enfants sont au-dessus.
– Je sais, mais je m’en fous. Ils sont grands, ils savent que nous aimons le sexe.
– Ta façon de penser me plaît.
– C’est pour ça que nous sommes ensemble, non ?
– Oui, et encore plus que ça même ! Il ne faut juste pas que ça leur donne de mauvaises idées.
En haut, Julie et Damien entendent tous.
Et évidemment, ils sont déjà excités.
Damien, est déjà en train de lécher la chatte de sa sœur depuis plusieurs minutes, et elle lui suce la bite. Étroitement dans la capucine, ils sont en 69.
Les heures passent. En plein milieu de la nuit, ils s’arrêtent à nouveau dans une forêt, calme, jolie et entretenu.
Philippe fatigue, et il est aussi excité par Brigitte.
– Les enfants, nous nous éloignons du camping-car, nous devons faire nos petites affaires. Dit Philippe.
Ils s’éloignent une dizaine de mètres plus loin.
Le couple se déshabille. Philippe, appuyer contre un arbre, se laisse sucer par Brigitte.
Gorge profonde baveuse, il n’en faut pas longtemps pour que Philippe vide ses couilles dans la bouche de sa femme. Malheureusement pour Brigitte, elle ne se fera pas baiser par une bite cette nuit, pourtant elle ne voulait que ça. Sa chatte en demande.
Philippe retourne au camping-car pour dormir.
Dans la capucine, Julie dort aussi.
Brigitte, rejoint Damien assis dans l’herbe.
– Qu’est-ce qu’il se passe, maman ? Tu sembles triste.
– Oh, ce n’est rien. C’est juste que Philippe est fatigué. Nos courtes relations sexuelles s’en font ressentir.
– Oh désolé.
– Ce n’est pas grave. Ta sœur et toi aviez beaucoup de chance d’avoir une vie sexuelle plus mouvementée que la mienne. Moi, je voulais seulement d’un pénis en moi cette nuit.
– Ne dis pas ça, ça va revenir. Et puis, tu en as aussi profité avec Grégory.
– Oui, mais ça, c’est juste le temps des vacances. Quand nous allons revenir à la maison, la routine reviendra. Ton père baisera ma mère et ma sœur, et moi je ferai comme si je n’étais au courant de rien.
– Maman, papa dort ?
– Oui, il est très fatigué.
– Tu sais, j’y pense souvent…
– Tu penses à quoi ?
– À ce que nous avons fait dans la forêt, l’autre jour avec Grégory.
– Ah… Tu penses encore à ça… !
– Oui, c’est normal. Tu m’as quand même fait une fellation…
– Damien… (Damien coupe la parole).
– Je regrette simplement que ça à fût si rapide.
L’érection se forme sous le caleçon de Damien, sa mère le remarque.
– Arrête Damien ! Je sais où tu veux en venir.
– Excuse-moi, maman. Mais quand je repense à tes lèvres et ta langue humide me sucer le gland, je ne peux m’empêcher de bander.
– C’était une erreur…
– Non ! Ce n’était pas une erreur. Maman, ce n’est pas anodin que tu viens me voir, en me disant que tu as envie d’une bite. Mais qui dirait ça à son fils ? Cette nuit, je t’offre mon sexe… Regarde comment tu me fais bander. (Damien descend son caleçon jusqu’aux genoux, dévoilant l’intégralité de son pénis à sa mère).
Brigitte est gênée, ses joues rougissent.
– Je dois admettre… Que de prêt, c’est quand même impressionnant. Dit-elle.
Damien, se branle sous ses yeux.
Fin
Brigitte
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