Le goûter !
Mireille et Éric nous firent entrer dans le salon. La villa, sans être luxueuse, paraissait sympa. Mireille nous pria de l’excuser :
« Juste le temps d’aller chercher quelques rafraîchissements, notre petit goûter… »
L’oeil pétillant de malice, elle ajouta à l’adresse d’Annie :
« Je vous confie Éric… »
Il s’assit au beau milieu de l’un des deux canapés, nous priant de prendre place. Justine et moi prîmes place face à lui sur le second canapé, Annie s’avança et s’assit contre lui, prétextant qu’il fallait laisser une place à Mireille de l’autre côté. Éric portait un pantalon de toile et une chemisette. Annie nous regarda en souriant.
« Puisque Mireille nous a confié Éric, elle n’aura rien à nous objecter si nous prenons soin de lui ».
Elle joignit immédiatement le geste à la parole, collant sa cuisse contre celle d’Éric et laissant sa main vagabonder sur la jambe. Justine et moi n’en perdions pas une miette, conscientes qu’il avait son regard figé sur nos jambes découvertes assez haut, et il devait se rendre compte que je ne portais pas de culotte.
Notre attention était attirée par la bosse qui commençait à se former au bas de son ventre. Annie prenait bien garde à masquer le moins possible l’objet de notre curiosité. Elle laissa monter sa main le long des cuisses d’Éric qui les écarta. Elle commença tout de suite une caresse à travers le pantalon. La bosse qu’elle engendra ne me donnait qu’une envie : voir ce sexe d’homme qui se tendait, et même pire…
Appréhendant notre impatience (Justine semblait bien en avoir autant envie que moi), Annie nous invita à la rejoindre. Elle s’accroupit devant Éric et nous fit asseoir de chaque côté de lui. Dans la posture qu’elle avait choisie, sa jupe remontait le long des cuisses, n’en cachant presque plus rien. Il fallait vraiment faire un véritable effort pour ne pas voir sa culotte. Éric la regardait sans aucune gêne, appréciant le spectacle. Annie tendit à nouveau ses mains vers la verge. Sans hésiter elle déboutonna le pantalon, fit glisser vers le bas le zip et écarta les deux pans de tissu, dévoilant un slip boxer de coton blanc qui moulait une bite d’une taille qui me parut imposante. J’avançais ma main, poussée par la curiosité, caressant cette turgescence. Une petite tache apparaissait déjà sur le tissu à l’endroit du gland. Annie, en bonne initiatrice, libéra le chibre en tirant sur le boxer.
C’était la première fois que je voyais en pleine lumière un sexe d’homme en érection : énorme. Je n’eus qu’une question à l’esprit : « Comment une telle chose pouvait-elle pénétrer un vagin ? »
Cela me paraissait impossible. J’en pris presque peur. Je m’étais imaginé cela tout autrement, certainement plus fin, plus à même d’entrer en douceur. Je marquai un temps d’arrêt dans ma caresse pendant qu’Annie et Justine aidaient Éric à se dévêtir.
Il était maintenant intégralement nu. Annie entreprit de caresser son torse, nous laissant le soin de taquiner le membre nœud. Justine avait commencé une masturbation lente, chose qu’elle avait déjà pratiquée. Pour ma part, je me contentais de jouer avec ses bourses et la base de sa tige. Éric bougeait de plus en plus, ses mouvements et sa respiration étaient désordonnés. Il ne faisait aucun doute qu’il avait décidé de se laisser emporter par nos caresses, de nous laisser faire malgré nos maladresses et notre inexpérience qu’il ne pouvait qu’avoir remarquées. Nos défauts prouvant une certaine ingénuité ne pouvant que l’exciter davantage. Annie embrassait maintenant son torse, et bien décidée à ne le priver d’aucune sensation, lui dit doucement :
« Je n’aurais jamais cru que ça te plairait autant de te faire caresser les couilles par deux pucelles ».
Éric nous regarda avec ses yeux ronds :
« Oh non, oh oui, ce n’est pas possible… Vous êtes pucelles, oh, oui, caressez-moi encore! »
Il s’arrêta net de bouger, sans doute pour profiter plus encore de nos mains, mais les mots d’Annie avaient dû créer en lui un choc. Il eut une longue inspiration, suivie d’un « oh ouiii » crié dans un râle. Au même moment, sa verge sembla échapper à tout contrôle. Elle se mit à battre. Surprise, je ne prêtai pas attention au nombre de spasmes, mais je surveillais son gland. Sa semence gicla en une série de jets puissants, inondant son ventre et nos mains.
J’avais du sperme sur la main… Et Justine n’avait rien à m’envier. Le suc blanchâtre avait coulé en abondance. C’était le premier contact du sperme avec ma peau. Une douce chaleur envahissait le bas de mon ventre, humidifiant mon entrecuisse. Je me sentais bien, rassurée d’être parvenue (avec l’aide de Justine, certes), à faire jouir cet homme qui pourtant devait en avoir connu, des plaisirs…
La lance qui m’avait tant impressionnée commençait à se rétracter. Ni Justine et moi ne savions quoi faire maintenant. Annie se glissa alors vers le sexe d’Éric, puis commença à lécher la main de Justine et la mienne afin d’en déguster le sperme. Occupées à regarder Annie se délecter du nectar blanchâtre, nous ne vîmes pas Mireille arriver. Elle approcha avec douceur du ventre d’Éric et se mit à laper la précieuse liqueur avec Annie. Du bout de la langue, Mireille partageait le festin que constituait le plaisir de son mari. Après avoir nettoyé nos mains, Annie et Mireille s’attachèrent à enlever toute trace de foutre de la verge fourbue. Leurs deux langues s’affairaient, ce qui eut finalement pour effet de redonner du tonus au membre viril. Éric fut vite à nouveau en érection. Mireille laissa Annie entamer la fellation et se mit à la dévêtir, dénouant le cache-cœur qui s’ouvrit sur le soutien-gorge gonflé. Annie se laissait faire avec complaisance.
Pour les deux « élèves » que nous étions, la scène était surréaliste. Mireille avait étendu sur le sol une large couette sur laquelle Éric s’était allongé sur le dos. Annie, maintenant nue, à quatre pattes entre les jambes d’Éric, lui administrait une fellation que nous avions du mal à croire possible. Elle engouffrait presque la totalité de la bite à chaque intromission. Mireille, derrière elle, la caressait et léchait son entrejambe, allant des fesses au ventre avec voracité. Leurs gémissements nous mirent dans un état d’excitation tel que Justine et moi commençâmes à nous masturber.
Éric sans doute calmé par sa première éjaculation, résistait aux assauts de la bouche d’Annie, son plaisir durait. Mireille se leva alors et invita Annie à faire de même, l’aidant à s’agenouiller au-dessus d’Éric, une jambe de chaque côté de son torse. C’était trop pour Justine qui enleva sa robe et glissa sa main dans sa culotte. Éric s’empara de son sexe dardé et le maintint à la verticale, tandis que Mireille caressait avec vigueur les fesses d’Annie. Les mains de Mireille s’étaient déplacées sur les hanches d’Annie pour mieux l’accompagner à venir s’empaler. Sa vulve toucha le gland d’Éric. Annie écarta elle-même ses lèvres intimes, s’ouvrant sans pudeur. J’avais arrêté ma masturbation tant mon voyeurisme l’emportait sur tout le reste. Je vis Annie se laisser descendre lentement sur le bâton nœud, ses lèvres s’écartant pour engloutir ce pieu de chair.
J’avais beau savoir, avoir lu tout cela, et même je l’avoue, avoir vu des photos et des films pornographiques devant lesquels je me masturbais, ce que je voyais m’impressionnait au plus haut point. La pénétration n’en finissait plus. Elle ne cessa que lorsque Annie fut tout à fait empalée sur la raideur d’Éric. Elle avait retenu sa respiration durant tout ce temps qui m’avait paru si long. Elle poussa un soupir que j’interprétai comme de la satisfaction. Accompagnée par Mireille qui tenait toujours ses hanches, elle commença une chevauchée de plaisir, tout d’abord lentement, poussant un « han » expressif à chaque fois qu’elle s’emplissait du sexe d’Éric.
Justine s’était accroupie à leurs côtés, se massant sans retenue sous sa culotte détrempée. Toutes ces images m’entraînèrent à commettre ce que j’aurais cru impossible. Je me levai et me dirigeai vers Mireille et sans hésiter, je défis les boutons de la veste de son tailleur. Son soutien-gorge à balconnet en dentelle emprisonnait ses seins que je trouvai si désirables. J’y portai mes mains, les caressant avec frénésie, les massant presque. Je mouillais comme jamais. Vivre un tel moment… Annie avait accéléré le mouvement. Son rythme était maintenant rapide. Elle poussait de petits cris, ce qui m’excitait au possible. Ma tête s’emplissait des pensées les plus folles, j’enviais mon amie, et malgré toute la bonne éducation que j’avais pu recevoir de mes parents, je me surpris à souhaiter occuper sa place, m’emplissant de ce pal humain. Mes pensées n’étaient que rêves d’actes sexuels, me faisant oublier toutes les craintes qui m’assaillaient régulièrement lorsque j’imaginais ma « première fois ».
Éric se raidit dans un râle. Je n’en doutais pas, il jouissait. Annie s’empala une dernière fois et resta collée à lui, immobile, poussant un long cri étouffé. Ils jouissaient sous mes yeux, j’étais trempée. J’imaginais son foutre venir frapper les parois du vagin d’Annie… Elle s’effondra sur lui, présentant ainsi sa croupe offerte à Mireille qui se mit à la lécher. Justine explosa à cet instant. La langue de Mireille, dans sa douce caresse, aidait Annie à recouvrer ses esprits. Elle la soutint pour se relever. Le sexe ramolli d’Éric sortit de son ventre. La chatte d’Annie était encore ouverte, laissant échapper un filet de leurs plaisirs mêlés. Mireille vint le déguster.
Nous bûmes les rafraîchissements en bavardant gentiment après être allées nous doucher et nous rhabiller, mais cette fois-ci Justine et Annie restaient cul nu sous leurs robes. Mireille et Éric formaient vraiment un couple bien sympa… Ils nous reconduisirent au camping, prenant bien soin de nous demander notre numéro de portable avant de nous quitter. Il était déjà presque 20 heures.
Première nuit !
Après l’après-midi mouvementé que nous venions de vivre avec Mireille et Éric, aucune de nous trois n’avait plus grande fraîcheur physique. Une seule envie : grignoter un petit quelque chose, puis dodo. La bouteille de champagne, celle que nous avions emportée pour fêter nos vacances, fut vite ouverte en guise d’apéritif. Quelques chips, quelques fruits, des yaourts, cela suffirait bien à calmer notre petite fringale.
L’alcool aidant, nous retrouvions un certain entrain, et comme il fallait s’y attendre, le sujet de conversation se porta sur nos « exploits » de l’après-midi, ce qui eut pour effet de nous échauffer à nouveau. Justine, si nature, si cool, avait été séduite par le tailleur blanc et la lingerie de Mireille. Elle ne tarissait pas d’éloges sur cette tenue qu’elle trouvait si sexy. Comme moi, elle avait aussi été impressionnée par la taille du sexe d’Éric, et surtout par l’aisance avec laquelle Annie l’avait englouti. Annie essaya de nous transcrire le plaisir qu’elle pouvait ressentir lorsqu’elle était pourfendue par ce pieu charnel. Elle prétendait avoir été vraiment gourde de s’être si longtemps laissée abuser par tous ces vieux principes que lui avaient inculqués ses parents, entre autres la préservation de sa virginité jusqu’au mariage.
Justine et moi écoutions religieusement ses confidences. Ses mots avaient sur moi un effet double. Le premier était de m’imaginer parfois être à sa place pour profiter de tous ces plaisirs, le second, conséquence directe du premier, était de penser que mon comportement d’oie blanche m’avait privée de bien des jouissances, et qu’il était grand temps d’y remédier. J’en étais à ce point de mes réflexions lorsque Justine nous proposa de rentrer dans la caravane, prétextant qu’il faisait frais et que, la fatigue aidant, elle avait froid.
La caravane baignait dans une douce pénombre. Sous l’impulsion de Justine, nous avions décidé de nous changer et de nous vêtir en vue de goûter à un sommeil réparateur. Nous nous préparâmes à l’abri du regard des autres, non par pudeur, cette notion venait de s’effacer entre nous, mais surtout pour ménager le suspense à la découverte de nos tenues de nuit. J’arrivai la dernière dans ce que nous appelions le séjour, y retrouvant mes amies affalées sur les banquettes-lits déjà dépliées. Justine portait un long t-shirt de fin coton blanc lui arrivant à mi-cuisses. Il était facile de se rendre compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge (comme il se doit pour toute tenue de nuit), tant ses mamelons marquaient le tissu.
Annie avait opté pour une nuisette qui me parut plus que coquine, en voile noir sous la poitrine, ses seins étant emprisonnés par une dentelle noire fort ajourée, du plus bel effet. Deux fines bretelles maintenaient ce petit bijou. À travers le voile, il était impossible de ne pas voir le superbe string en dentelle noire. Une certaine excitation remplaça vite la surprise première que j’éprouvai à la vue d’Annie.
Pour ma part, étant donné le manque cruel de lingerie de nuit coquine dans ma garde-robe, mon choix s’était porté sur un simple haut de pyjama que je portais sans le bas, entièrement nu dessous. La veste m’arrivait à peine en dessous des fesses. À défaut de posséder une nuisette sexy, j’avais essayé, maladroitement certes, de me rendre attirante par un autre artifice. Ma crainte était d’être vulgaire et non sexy. Heureusement, nous ne fîmes pas d’autre commentaire sur nos tenues que de féliciter Annie. Nous étions les composantes d’un trio assez inattendu et disparate, mais nos envies se confondaient : profiter au maximum de ces quelques jours de liberté pour nous laisser aller là où notre corps et notre esprit nous entraînaient, vers le plaisir.
Nous nous installâmes, bien sages, chacune sur notre couchette. Il faisait effectivement un peu frais, et le drap qui nous recouvrait était le bienvenu. Annie parla encore un peu, avant de tomber dans les bras de Morphée. La pénombre avait envahi notre chambre. Je percevais distinctement le souffle régulier d’Annie. Justine ne dormait pas, c’était sûr. J’entendais le bruissement de son drap, régulier, trop régulier… Sa respiration ne pouvait que la trahir. Elle devait sans aucun doute se caresser, j’en étais persuadée. Je ne savais comment réagir. Mes idées se bousculaient. N’osait-elle pas m’approcher pour joindre nos plaisirs ? Par pudeur ? Par peur d’un refus ? Préférait-elle sa caresse solitaire à celles que j’aurais pu lui procurer ? Cette dernière idée me vexa terriblement, et sans réponse, je bouillais.
Je vais lui montrer, tiens ! Poussée irrésistiblement par cette vexation que je m’étais montée de toutes pièces, je décidai d’en avoir le cœur net. En me déplaçant légèrement et discrètement, je pourrais avoir accès à son corps…
J’avançai ma main sous le drap, jusqu’à sa peau. Du bout des doigts j’effleurai sa cuisse. Elle ne cessa pas son mouvement, ce qui me plongea dans le doute. Était-il possible qu’elle n’ait pas remarqué mon approche, tant elle était à ses caresses ? J’hésitai un instant, mais je n’osais croire à cette hypothèse, pas plus que je ne voulais croire à un refus de sa part. Mes doigts montèrent le long de sa cuisse, découvrant au passage qu’elle ne portait pas de culotte. M’arrêtant sur l’aine. Je me fis plus insistante, j’aimais la douceur de la peau à cet endroit précis. Justine stoppa ses caresses. Elle devait être dans un état d’excitation déjà très avancé, car elle posa tout de suite sa main sur la mienne, et sans autre forme de procès, me guida vers son pubis, m’encouragea en caressant ma main, ce qui, par la pression, la masturbait. Elle resta peu de temps à cet endroit, m’emmenant vers l’entrée de son abricot juteux. Elle mouillait fort, la coquine. Je la laissai me guider encore.
Ma propre excitation augmentait, impossible de rester aussi passive encore bien longtemps. Je commençai à agiter mes doigts, à les mouvoir le long de ses lèvres maculées de cyprine. Je prenais un immense plaisir à faire glisser mon index entre ses lèvres luisantes, ma phalange extrême enserrée par ses deux bourrelets intimes. Partie à la rencontre de son clitoris, je le découvris gonflé de désir. Je le caressai de la pointe de mon index enduit de sa mouille. Justine ne tenait plus en place, ondulant, le souffle court. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas m’arrêter. Je me dirigeais vers sa couchette.
Je me délectais à présent de son fruit juteux. Justine était allongée sur le dos, jambes relevées et largement ouvertes, m’offrant son sexe. Ma bouche posée sur son abricot, je dégustais son miel, ma langue s’insinuant entre ses lèvres, venant par moments taquiner son bouton d’amour. Mes mains couraient sur son corps, avides de pouvoir en toucher toutes les parties accessibles ? J’étais aux anges, j’aimais son odeur son goût. Je le sentais vibrer sous mes caresses, réagissant à leurs variations. Je jouai un moment à étudier ses réactions, la voir se cambrer, l’entendre haleter, gémir doucement, parfois. Je finis par me rendre compte que j’étais dure avec elle sans le vouloir. En interrompant la montée de son plaisir trop souvent, je la privais d’orgasme. Je gobai son pistil entre mes lèvres, le léchant du bout de ma langue, sans plus m’arrêter. Justine ondula de plus belle, m’offrant des gémissements qui me comblaient. Elle se cambra soudainement, se raidit et poussa un long râle. Elle jouissait sous ma langue qui lapait la liqueur de son plaisir. Toute à son plaisir, les secondes que dura sa jouissance me parut durer une éternité.
Elle retomba essoufflée. Je me levai pour partager avec elle un long baiser d’amour. C’est bien le sentiment que je ressentais à ce moment : de l’amour. Aujourd’hui je sais bien que je me trompais, mais quel bonheur c’était ! Elle glissa sa main sur mes hanches, venant vite sur mon minou qu’elle massa sans hésiter. J’étais trempée.
« Donne-moi ta chatte, Muriel ! »
Je ne me fis pas prier. Outrepassant tout ce qui quelques minutes plus tôt aurait représenté un interdit, je vins sur elle en 69. Sa bouche se jeta littéralement sur mon sexe. Sa langue se glissa entre mes lèvres, me fouilla. Jamais personne n’avait encore passé la porte de mes lèvres. Cela m’électrisa, je vibrais sous sa langue, sentant mon ventre couler dans sa bouche. Je ne pus même pas poser ma bouche sur sa chatte, elle me fit jouir bien avant, dans un flash. Justine me dit plus tard que j’avais crié et sans doute réveillé Annie qui s’était retournée, mais nous avait laissées seules.
Nous prîmes un deuxième orgasme en profitant largement de l’opportunité que cette position de 69 nous procurait. Fourbues, nous nous endormîmes enlacées.
À suivre…
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